|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Lao zi, Daode jing : le livre de la voie et de la vertu
/ ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia, UOH - Université Ouverte des Humanités, ENS-LSH
/ 17-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MATHIEU Rémi
Voir le résumé
Voir le résumé
Le Lao zi, ou Daode jing, est le livre le plus mystérieux de l’Antiquité chinoise. Il n’est pas certain que Lao zi en ait jamais été l’auteur. Quant à son origine, elle est, pour l’heure encore, largement mystérieuse. Sa forme est d’une profonde originalité : ni dialogue, ni traité, mais étrange poème philosophique, parfois rimé, dont le sens fait souvent question. À l’origine, un texte dut venir au jour au milieu du ~IVe siècle dans la Chine méridionale. Mais le Lao zi, comme le taoïsme, se sont formés progressivement. Les manuscrits sur bambou et sur soie, découverts à Mawangdui, en 1973, et à Guodian, en 1993, ont révolutionné l’histoire et la compréhension du Lao zi. Lao zi doit au cœur de la pensée chinoise, le Yijing, le matériau de sa doctrine : le dao ou «Voie». Il doit aussi beaucoup au confucianisme, quoiqu’on en ait dit. La critique assidue qu’il en produit l’atteste. Lao zi propose une doctrine faite de paradoxes, attachée à la quête d’une sagesse basée sur le non-agir, la non-pensée et le non-désir, dans le respect de la spécificité naturelle des êtres. En faisant retour au dao, le sage repère sa racine et celle de tous les autres êtres. Dans cette unité retrouvée, il peut être radicalement lui-même, autorisant les choses à redevenir ce qu’elles sont en soi et non pour nous, riches de leur inépuisable vacuité. Equipe technique : Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Daode jing, Lao zi, philosophie taoïste, taoïsme
|
Accéder à la ressource
|
|
La pensée de Xun zi
/ ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM, UOH - Université Ouverte des Humanités, ENS-LSH
/ 11-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MATHIEU Rémi
Voir le résumé
Voir le résumé
À défaut d’être le plus célèbre, Xun zi (~298-~235 ?) est le plus profond et le plus fécond des héritiers de Confucius. Rude polémiste, il batailla contre les lettrés de tous poils pour préserver la pureté d’une doctrine qu’il n’imaginait qu’exigeante. Pour lui, les rites constituent la colonne vertébrale des individus comme des groupes sociaux. Avec les devoirs moraux, ils forment une sûre barrière à la méchanceté native de la nature humaine. Car on ne naît pas bon, on le devient. C’est ce qui l’opposa à d’autres penseurs et principalement à Mencius, le fils prodigue de Confucius. Son œuvre touche à bien des aspects de la connaissance de son temps, préfigurant les savoirs encyclopédiques du début de l’Empire. Il élabora une doctrine socio-politique, composa des poésies, forgea un art de la guerre, imagina le premier traité de linguistique, s’interrogea sur le Ciel et la divination, les rites, la musique ou la physiognomonie… Equipe technique : Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Montage: Mathias Chassagneux, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anthropologie philosophique, Chine, confucianisme, philosophie, Xun zi
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|