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Milieu interstellaire, naissance et mort des étoiles
/ Mission 2000 en France
/ 10-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CASSE Michel
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La Galaxie est un système complexe et évolutif. Ses trois composantes matérielles (baryoniques), étoiles, nuages interstellaires et rayonnement cosmique sont en symbiose. Les nuages accouchent de lignées d'étoiles. Les étoiles, réacteurs nucléaires à confinement gravitationnel synthétisent la variété complète des noyaux d'atomes à l'exception des plus légers, et les rejettent dans le milieu environnant sous l'effet de leurs vents et de leur explosion. Les ondes de choc engendrées par les supernovae communiquent une très haute vitesse à une fraction congrue de la matière. Ce cycle laisse derrière lui des résidus compacts, naines blanches, étoiles à neutrons et trous noirs. De génération en génération d'étoiles le milieu interstellaire s'enrichit en éléments complexes, propices à la vie. Les noyaux d'atomes, expulsés par les étoiles, s'entourent d'électrons et s'enchaînent en molécules dans le froid des nuages. Il naît toute une chimie. Les indices observationnels de la nucléosynthèse stellaire, de la chimie nuageuse et de l'évolution chimique de la Galaxie seront passés en revue, avec une mention spéciale à l'astronomie gamma, révélatrice de la violence créatrice des étoiles, et au stellaire INTEGRAL, qui en est le fleuron européen. Mot(s) clés libre(s) : astronomie gamma, astrophysique, cosmologie, étoile, galaxie, matière noire, matière nucléaire, nuage interstellaire, nucléosynthèse stellaire, rayonnement cosmique, supernova, univers
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INDRA, regards sur le coeur de l'atome
/ Jean DRUON, Eusébio SERRANO, GANIL (CEA CNRS)
/ 03-01-1993
/ Canal-U - OAI Archive
BIMBOT René
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En vue d'étudier les états limites du noyau atomique, le GANIL à Caen a entrepris en 1989 la construction d'un nouveau détecteur de particules baptisé Indra. Ce détecteur, un des plus puissants du monde, possède 336 modules de détection qui couvrent tout l'espace autour de la cible. L'expérience de base consiste à envoyer des noyaux projectiles sur une cible. Les fragments générés par la collision sont analysés par le détecteur. Les températures obtenues sont très élevées et on reconstitue ainsi des conditions qui existaient aux origines de l'univers. Il y a transition de phases pour la matière nucléaire, les noyaux se désintégrant en une "vapeur" de protons et de neutrons. Parallèlement à ces données théoriques, la conception et le fonctionnement des principaux composants du détecteur Indra sont décrits : - le trigger qui permet de sélectionner les événements (collisions) intéressants ; - les photomultiplicateurs, couplés à des cristaux d'iodure de césium qui émettent de la lumière quand ils sont traversés par une particule ; - les chambres d'ionisation, chambres à gaz placées entre deux électrodes. Inauguré en février 1993, Indra permettra aux chercheurs du GANIL d'étudier la matière nucléaire telle qu'elle existait une seconde après la naissance de l'univers.GénériqueConseiller scientifique : BIMBOT René Réalisateurs : DRUON Jean et SERRANO Eusébio Production : Culture Production, GANIL (CEA-CNRS) Diffuseur : CNRS Images, http://videotheque.cnrs.fr/ Mot(s) clés libre(s) : chambres d'ionisation, collision, détecteur de particules, matière nucléaire, noyau de l'atome, photomultiplicateur, physique nucléaire, trigger
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