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Les maladies infectieuses
/ Mission 2000 en France
/ 09-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SANSONETTI Philippe
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Chaque année, environ 17 millions d'individus décèdent de maladies infectieuses dans le monde. Neuf fois sur dix il s'agit d'individus vivant dans des pays en voie de développement. Ainsi, au-delà des effets de mode et des concepts médiatiques l'émergence et la réémergence des maladies infectieuses sont réelles dans le monde industrialisé comme dans le tiers-monde. En fait, le progrès comme le sous-développement portent en eux le risque d'émergence de nouveaux pathogènes ou de réémergence d'anciens sous des formes modifiées, en particulier résistantes aux agents anti-infectieux. L'optimisme inconscient affiché il y a vingt ans devant les progrès acquis en santé publique grâce à l'application des mesures d'hygiène dérivées des théories pasteuriennes, à la découverte des antibiotiques et des vaccins et au contrôle des vecteurs, a fait place à un pessimisme sans doute tout aussi excessif, mais certainement moins porteur de risques d'erreurs fatales. Il est temps de mettre en place une approche intégrée et cohérente visant à la prévision, la reconnaissance, la surveillance, la compréhension, le traitement, la prévention, en un mot, la maîtrise des maladies infectieuses. Mot(s) clés libre(s) : hygiène, infection, micro-organisme, microbe, mutation, pathologie, plasticité génétique, résistance, santé, vaccination, virus
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Parenté et différences de deux micro-organismes autotrophes
/ BioMedia-UPMC
/ 12-05-2010
/ Unisciel
Pellerin Marie Jeanne
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Deux êtres vivants microscopiques autotrophes verts sont parents (état unicellulaire, couleur, autotrophie, multiplication) mais différents (nature des matières organiques produites, organisation cellulaire procaryote et eucaryote, vitesse de multiplication). Mot(s) clés libre(s) : micro-organisme, cyanobactérie, Biologie cellulaire
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Bactéries de l'extrême
/ Laurent MAGET, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, IFREMER
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
MAGET Laurent, PRIEUR Daniel, FOUQUET Yves
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En 1969, Thomas Brock a montré par ses travaux que des micro-organismes peuvent vivre à des températures avoisinant et même dépassant 100 C. Ces bactéries thermophiles prolifèrent au voisinage des sources chaudes terrestres et sous-marines. Yves Fouquet, géologue à l'IFREMER, décrit les phénomènes tectoniques à l'origine des sources hydrothermales. Celles-ci sont très nombreuses en Islande du fait de l'activité volcanique de l'île et le docteur Jacob Kristjansson en étudie la microfaune. Daniel Prieur, microbiologiste au CNRS à la station biologique de Roscoff (Finistère), relate la mission Microsmoke (novembre et décembre 1995) qui a pu atteindre les fosses les plus profondes de l'Océan Atlantique (Fosse aux Serpents à 3500 m au-dessous du niveau de la mer) grâce au Nautile, engin d'exploration de l'IFREMER. Les sources chaudes sous-marines forment progressivement des cheminées poreuses à l'intérieur desquelles se développent les bactéries thermophiles. Grâce aux bras télécommandés du Nautile, les scientifiques peuvent prélever des échantillons de fluide hydrothermal et des morceaux de cheminées qui sont ensuite analysés en laboratoire. Les chercheurs ont ainsi constaté que ces micro-organismes ont développé des structures moléculaires très particulières pour leurs protéines et leurs acides nucléiques afin de résister aux pressions et températures élevées de leur environnement, ainsi que l'explique Patrick Forterre, microbiologiste à l'Université d'Orsay. Les bactéries thermophiles sont peut-être une des premières formes de vie apparues sur terre et leur résistance exceptionnelle permet aux chercheurs d'explorer les conditions extrêmes pour lesquelles la vie est encore possible.GénériqueAuteur - Réalisateur : MAGET Laurent Conseillers scientifiques : PRIEUR Daniel (Centre d'Etudes d'océanographie et de biologie marine, UPR CNRS, Roscoff et Univ. de Bretagne Occidentale), FORTERRE Patrick (Univ. Paris XI, Orsay) et FOUQUET Yves (IFREMER, Brest) Production : CNRS AV, IFREMER Mot(s) clés libre(s) : bactérie thermophile, biologie marine, geyser, haute température, micro-faune, micro-organisme, microbiologie, océanographie, soufrière, source chaude, structure moléculaire, Thomas Brock
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La vie dans des conditions extrêmes
/ UTLS LA SUITE, UTLS - la suite
/ 14-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LOPEZ-GARCIA Purificacion
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Au cours des 30 dernières années, nous avons assisté à la découverte d'une extraordinaire diversité de microorganismes habitant des milieux que l'on croyait auparavant hostiles à la vie. Aujourd'hui, on sait que la vie microbienne s'étend sur Terre partout où l'on trouve l'eau à l'état liquide, des calottes polaires jusqu'aux sources hydrothermales sous-marines, dans les déserts, dans des lacs hypersalins ou de soude, dans des eaux acides, à l'intérieur de la croûte terrestre... On a baptisé comme « extrêmophiles » ces organismes limites du vivant, qui se développent optimalement dans des environnements où les conditions physico-chimiques sont insoutenables pour le reste des êtres vivants. Ces conditions mettent à l'épreuve les propriétés de stabilité et de fonctionnalité des macromolécules biologiques. Comment font-ils pour survivre ? Des études de biologie moléculaire montrent que ces microbes sont prodigieusement bien adaptés aux conditions extrêmes et que leurs molécules ne sauraient fonctionner dans des milieux plus doux. De là, l'intérêt biotechnologique que les extrêmophiles ont suscité. Mais surtout, la découverte des extrêmophiles et des nouvelles limites de la vie sur Terre a permis d'aborder la question de la vie extraterrestre de façon rigoureuse. Certains microorganismes de notre planète seraient parfaitement capables de vivre dans les conditions environnementales qui existent dans quelques régions d'autres planètes et satellites, ou d'y avoir existé dans le passé. L'étude des microorganismes des environnements extrêmes a ainsi ouvert des nouvelles perspectives pour aborder la question des origines de la vie et pour l'exploration de la vie dans l'univers. Mot(s) clés libre(s) : adaptation, bactérie, environnement extrême, évolution, exobiologie, extrêmophile, micro-organisme, microbiologie, océanographie, origines de la vie, vie sur terre
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Bons et mauvais microbes
/ Mission 2000 en France
/ 07-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DUCLUZEAU Robert
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"Les microbes sont des êtres vivants unicellulaires que leur petite taille ne permet d'observer qu'à l'aide de microscopes optiques ou électroniques. Ce terme s'applique à deux sortes de populations. Les premières sont composées de cellules dont la structure est voisine de celle des organismes supérieurs et qui sont donc classées dans le règne des eucaryotes. Certaines sont proches des cellules des végétaux comme par exemple les champignons microscopiques ; d'autres, comme les protozoaires, se rapprochent des cellules des animaux. Les autres populations de microbes sont classées dans le règne des procaryotes, car le matériel génétique de leurs cellules ne forme pas un noyau distinct limité par une membrane. Ce sont par exemple les virus ou les bactéries qui vont constituer le sujet principal de cette conférence. L'image que nous avons des microbes est souvent associée à un aspect de danger potentiel. Cette connotation négative est en grande partie due au fait que les premières bactéries étudiées par les élèves de Louis Pasteur étaient responsables de maladies redoutables pour l'homme et les animaux. En réalité on constate aujourd'hui que les bactéries pathogènes, responsables de maladies, sont infiniment moins abondantes dans notre environnement que celles qui sont utiles, voire indispensables à l'homme." Mot(s) clés libre(s) : bactérie, bactériologie, immunologie, micro-organisme, microbe, microbiologie, sécurité sanitaire, virus
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Le dialogue moléculaire des symbioses
/ UTLS LA SUITE, Mission 2000 en France
/ 08-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DENARIE Jean
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L'azote est l'un des constituants des molécules organiques. Il constitue, sous la forme d'azote moléculaire N2, environ 80% de l'atmosphère terrestre. Cependant, il représente un facteur limitant majeur de la croissance des végétaux cultivés car ceux-ci ne peuvent l'utiliser que sous des formes non gazeuses, ammoniac ou nitrates. Seules les bactéries dites fixatrices d'azote peuvent utiliser l'azote gazeux N2 et le transformer en ammoniac. Comme cette réaction est très coûteuse en énergie, certaines se sont associées en symbiose avec des organismes photosynthétiques capables de transformer l'énergie lumineuse en énergie chimique. L'homme utilise ces associations ou symbioses en agriculture : - la symbiose entre des cyanobactéries et des fougères aquatiques est utilisée comme ""engrais vert"" dans les rizières asiatiques - la symbiose entre les bactéries du sol rhizobium avec les légumineuses (pois, trèfle, soja) permet de diminuer l'apport d'engrais azotés de type nitrates dans les pays occidentaux. Les mécanismes intimes des interactions entre les deux partenaires de la symbiose rhizobium-légumineuses sont étudiés par les scientifiques. Ils espèrent pouvoir créer une symbiose entre les rhizobium et les céréales. L'apport d'engrais azotés et la pollution conséquente s'en trouveraient d'autant diminués. Mot(s) clés libre(s) : agronomie, bactérie, biologie moléculaire, interaction biologique, interaction durable, micro-organisme, nodosité, organisme hôte, photosynthèse, plante, symbiose, symbiote
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