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Des gestes professionnels d’enseignantes de la danse en milieu scolaire pour accompagner les jeunes à la création chorégraphique
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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une méthodologie
pour révéler le dire et le faire
Des résultats de thèse illustrés par un modèle de construction identitaire d’enseignantes de la danse en
milieu scolaire (EDMS), selon des leviers théoriques sociologiques de Dubar, montrent que leur
identité professionnelle se construit au sein de six sphères de négociations identitaires, notamment au
sein de celle de l’AGIR. L’une des stratégies identitaires mobilisées par des EDMS dans l’AGIR est
l’alternance des rôles et des postures adoptés en classe auprès des élèves. Toutefois, ces rôles et
postures ont été auto-déclarés par dix-huit participantes à l’aide de données discursives, orales et
écrites. La sphère de l’AGIR n’a donc pas pu être étayée par des actes « identitaires » d’EDMS
observés en classe car la méthodologie de recherche de la thèse ne le permettait pas.
Hélène Duval, Ph.D., est professeure au Département de danse de l’UQAM depuis 2005. Elle détient
une MA en danse, sur la création chorégraphique d’élèves du secondaire et sa thèse porte sur la
construction identitaire d’enseignants de la danse en milieu scolaire (EDMS). Elle mène actuellement
une étude sur les gestes professionnels que posent des EDMS en classe.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, méthodologie, enseignants, milieu scolaire, chorégraphie
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MILDT 2010 – Vers une culture commune aux différents acteurs de l’état.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 11-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MOREL-BARNICHON Christiane
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Thème : plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies 2008-2011. MILDT (Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et les Toxicomanies)Formation interministérielle des formateurs en matière de drogues et de toxicomanies.Session interministérielle visant la création d’une culture commune aux différents acteurs de l’Etat.9 au 12 mars Ecole Militaire 1 place Joffre – 75007 Paris. Amphithéâtre Sabatier.Titre : MILDT 2010 – Vers une culture commune aux différents acteurs de l’état. Prévention, conceps et démarche de mise en œuvre.Intervenant : Christiane MOREL-BARNICHON, coordinatrice du pôle prévention à la MILDT.Résumé : Le programme APTE est un programme évalué d’activité de prévention des toxicomanies pour les jeunes de 12 à 18 ans. Il s’adresse à des intervenants qui agissent auprès des jeunes dans différents milieux (écoles, maisons des jeunes, milieux sportifs)SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : addiction, APTE, dépendance, drogues, évaluation, formation, MILDT 2010, milieu scolaire, prévention, toxicomanie
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Le texte du lecteur : présentation du colloque / Catherine Mazauric
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MAZAURIC Catherine
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Le texte du lecteur : présentation du colloque / Catherine Mazauric (co-organisatrice et membre du comité scientifique). Colloque organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts" (LLA). Université de Toulouse II-Le Mirail, 22-24 octobre 2008.Les théories contemporaines de la lecture littéraire accordent une place déterminante à l'activité des lecteurs dans l'actualisation et la reconfiguration des œuvres. Ainsi, un texte littéraire n'adviendrait véritablement que lorsque chaque lecteur lui aurait donné sa forme ultime.Le texte lu ressortit à la trame mentale qui l'anime : seul, écrit Jean Bellemin-Noël, le « trajet de lecture qui est tissé de la combinaison fluctuante de la chaîne de ma vie avec la trame des énoncés une fois pour toutes combinés par l'auteur mériterait d'être appelé texte ».C'est ce « texte du lecteur », pour reprendre une formule souvent utilisée afin de désigner métaphoriquement cet apport du sujet lisant à la réalisation de l'œuvre lue, que nous entendons interroger, du triple point de vue de sa genèse, de sa forme et de sa portée. Dans sa genèse et son élaboration : à quelles sources psychiques, culturelles, sociales l’activité fictionalisante du lecteur sollicitée par les œuvres s’alimente-t-elle ? Quels sont les territoires mentaux du sujet lecteur -mémoire intime, affects, expériences diverses, conditionnements sociaux, savoirs sur le monde, la littérature…- qui contribuent aux reconfigurations de l’œuvre ? Le texte du lecteur s’élabore-t-il comme une interprétation singulière du texte-partition de l’œuvre ? Est-il au contraire une création significativement nouvelle, qui réduirait le texte de l’œuvre au statut de simple trame fictionnelle, support de projections fantasmatiques et idéelles ? Dans sa forme : quelle est la texture de ce qui se « textualise » dans l’entre-deux mobile et incertain qui tout à la fois sépare et relie lecteur et œuvre ? De quels matériaux et matières se nourrissent ses différents aspects : formations verbales, rythmes, musiques et sons, couleurs, formes et images, lambeaux fantasmatiques et oniriques ? Le terme même de texte ne serait-il pas impropre, dans la mesure où, ainsi que le note Julien Gracq, « il n’y a pas de discours organisé de la communication intime avec un livre » ? ("En lisant en écrivant", Paris, José Corti, 1980, p.172). Quelle relation cette notion entretient-elle avec celles, partiellement concomitantes, de trajet, de dispositif, voire d’activité lectorale ? Dans sa portée : L'écriture littéraire elle-même n'est-elle pas alimentée, au moins pour une part, par la mémoire active de multiples fictionalisations de lecteur ? Le texte singulier de chaque lecteur a-t-il de la valeur pour d’autres que lui-même ? Dans quelle mesure est-il apte à se détacher du terreau expérientiel qui l’a vu naître ? Peut-il être partagé, comment, sous quelles formes ? Existe-t-il des textes communs à une ou des communautés de lecteurs ? Quelles relations entretient-il avec les productions verbales commentant les œuvres ? Saurait-il constituer une source pour la connaissance du texte de l’œuvre, voire un point de départ nécessaire pour l’analyse littéraire ? Ou n’y aurait-il pas quelque risque à en user ? Enfin, dans la perspective de l’enseignement, on pourra s’interroger sur les compétences favorisant l’émergence et l’élaboration de textes de lecteurs, ainsi que sur les pratiques qui contribueraient à les faire reconnaître, les enrichir et les faire partager. L'enseignement de la littérature et de la lecture littéraire peut-il ignorer les textes singuliers des lecteurs -ceux des élèves et étudiants bien sûr, mais aussi des enseignants, des critiques, des auteurs...- pour en rester à la seule analyse objectivante des œuvres ?> > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger".NB : l'illustration qui sert d'iconographie à la communication du colloque (affiche et programme...) est une image de synthèse réalisée par Toviraaj Ramcharit. Mot(s) clés libre(s) : compréhension du texte, écriture en milieu scolaire, enseignement (littérature), intertextualité, lecture (didactique), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), lecture littéraire, livres et lecture, réception des oeuvres
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Texte du lecteur, commentaire littéraire : exercice pour le lycéen lecteur ? / Jean-François Massol
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MASSOL Jean-François
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Texte du lecteur et commentaire littéraire : quel exercice pour le lycéen lecteur ? / Jean-François Massol. L'histoire du commentaire littéraire, exercice fondamental du français au lycée, montre que, selon les époques, le travail exigé est plus ou moins proche de la lecture personnelle de l'élève. Dans les pratiques de classe, cependant, la réalisation des commentaires conjugue le plus souvent démarche rhétorique et significations convenues. Si l'on fait l'hypothèse que les classes de français peuvent se mettre à prendre en charge le sujet lecteur, l'exercice du commentaire littéraire devrait s'en trouver infléchi, sinon bouleversé. Réfléchir dans cette perspective nécessite bien sûr d'observer les causes des limitations à la lecture personnelle dans l'histoire du commentaire, mais aussi de rechercher quelles formes extra scolaires présentent déjà des écritures de textes de lecteurs : la lettre personnelle, certains articles critiques, le journal intime, le poème... Que peuvent nous apporter ces formes dans la perspective de l'évolution du commentaire ? D'autres réflexions doivent permettre de mieux cerner cette évolution possible : peut-on passer tout simplement des démarches actuelles de l'analyse d'un texte (et pour le texte) à la description et l'analyse d'une lecture du texte (par et pour le lecteur ) ? Que fait-on de la fragmentation du texte du lecteur ? Serait-il intéressant de demander la confrontation d'une lecture personnelle à des lectures expertes ? Comment peut-on évaluer une lecture personnelle ?...Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : analyse littéraire, commentaire de texte, écrits de jeunes, lecture (appréciation), lecture en milieu scolaire, niveaux de lecture, réception des oeuvres
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Les malles du lecteur ou les écritures de la réception / François Le Goff
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
LE GOFF François
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Les malles du lecteur ou les écritures de la réception / François Le Goff. Dans la perspective d’une reconnaissance du « texte du lecteur » en situation scolaire, il convient de réfléchir aux statuts envisageables d’une écriture de la réception qui soit à la fois le témoignage d’une lecture singulière et le seuil d’une entreprise collective de lecture des œuvres littéraires.Par « écritures de la réception », nous entendons l’ensemble des productions graphiques ou iconiques d’un lecteur, souvent représenté par « le carnet de lecture ». Mais, dans le temps spécifique de la lecture du texte littéraire dans la classe de français, nous interrogerons plutôt la possibilité de productions écrites brèves, susceptibles d’engager l’élève dans une première lecture découverte d’un texte et qui ont ensuite vocation à devenir le germe d’une lecture collective. En gardant à l’esprit la double finalité de cette pratique d’écriture, peut-on déterminer des lieux du texte plus favorables que d’autres à la coopération scripturale du sujet lecteur ? De quelle nature peuvent être les greffes du lecteur sur un texte littéraire ? Ceci nous conduira enfin à poser que l’écriture comme propédeutique à la lecture introduit nécessairement des réaménagements significatifs dans la conduite d’une lecture qui n’est plus exclusivement centrée sur les marques prétendues objectives d’une autorité textuelle mais qui s’élabore aussi dans la relation d’une expérience sensible d’un lecteur empirique.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : écrits de jeunes, écriture (milieu scolaire), lecture (pédagogie), littérature (appréciation), livres et lecture, réception des oeuvres
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Croix Rouge - Nancy 2011 : Table ronde : promotion de la santé.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DESCHAMPS Jean-Pierre
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Promotion de la santé (« salutogenèse »), référentiel de méthodes. Basé sur la capacité donnée aux personnes et aux groupes de maîtriser leur santé et ses déterminants, d’avoir un pouvoir sur leur santé. Les grands dispositifs nationaux/régionaux n’empêchent pas les actions de proximité, ni la « démocratie sanitaire ». De vraies politiques locales de santé sont possibles, mais aussi des programmes thématiques (ex : nutrition)Rôle central de l’école sur « santé et citoyenneté ».Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°2.5 promotion de la santé. Modérateur/Intervenant : Jean-Pierre DESCHAMPS - Pédiatre, Professeur honoraire de santé publique, Nancy.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescence, citoyenneté, Croix Rouge Nancy 2011, enfance, milieu scolaire, salutogenèse, santé publique
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