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Morale
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / UOH / CERIMES / CANAL PHILO / SCAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 15-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WORMSER Gérard
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Les essentiels : La philo par les mots - MoraleEquipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat Mot(s) clés libre(s) : liberté morale, morale
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La moraline et les moralistes - Jean-Charles Darmon
/ UTLS - la suite
/ 13-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite, DARMON Jean Charles
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Une conférence du cycle : "Quels humanismes pour quelle humanité aujourd'hui ?"La moraline et les moralistes par Jean-Charles DarmonLa tentation a souvent été grande de légitimer l’enseignement de la littérature en mettant au premier plan des raisons et des finalités morales. Mais ce type de démarche, encouragé aujourd’hui par tout un courant critique et philosophique outre-Atlantique, a souvent pour effet d’occulter l’inquiétante étrangeté des expériences de pensée que la littérature (même la plus « classique ») permet d’explorer, loin, très loin assurément des « leçons de morale » qui l’on prétend parfois y puiser. Ceux que l’on nomma, précisément, les « moralistes », furent des maîtres du soupçon impitoyablement critiques et prodigieusement inventifs à cet égard. On pourrait montrer, notamment, qu’avec Montaigne et ses grands successeurs s’ouvre une crise de l’exemplarité morale sans précédent, faisant de la lecture un exercice éthique d’un style nouveau. Je voudrais réexaminer, de ce point de vue, un cas, célèbre entre tous, celui des Fables de Jean de La Fontaine ; et, en abordant les jeux complexes qu’il instaure avec la notion même d’exemplarité, rappeler quelle fut la profondeur souvent déroutante des allégories de la pensée morale dont certaines Fables offrent le spectacle. Mot(s) clés libre(s) : fables, humanisme, Jean de la Fontaine, littérature et morale, moralistes
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UNF3S-Promouvoir un partenariat public privé exemplaire et éthique
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 31-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
SPECTOR Marcel, FALISE-MIRAT Béatrice, LEMOINE Philippe, MOTEL Yannick, CRISTOFINI Patrice
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Comment promouvoir un partenariat public privé exemplaire et éthique dans le cadre de l'UNF3S ? Mot(s) clés libre(s) : éthique, Intel, LEEM, les entreprises des systèmes d'information sanitaires et sociaux, les entreprises du médicament, LESISS, morale, Orange, partenariat, UMVF, UNF3S, Université Médicale Virtuelle Francophone
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Le genre des miroirs des princes dans l'histoire des idées politiques
/ ENS-LSH/SCAM, ENS- LSH/UOH
/ 13-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Le genre des miroirs des princes occupe une place quelque peu marginale dans l'histoire des idées politiques. Il traite, en effet d'un thème "les vertus du bon prince" qui relève davantage de l'exhortation morale ou de la prédication religieuse que de la théorie politique. Si son origine remonte à l'antiquité, il apparait essentiellement comme un genre médiéval renouvelé certes par l'éthique humaniste du Quattrocento mais remise en cause dans sa substance même, par les conditions nouvelles de la vie politique.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Cadre: Sébastien Boudin, Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Réalisation multimédia : Patrick Sarselli, Pascal Duchanaud, Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : devoirs, Le prince, Machiavel, miroirs des princes, morale politique, princes
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Michel le sidéen, hymne à la vie, une destinée
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 01-01-1993
/ Canal-U - OAI Archive
SALIMPOUR A.
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Résumé :
Michel le sidéen n'est pas une complainte mais un hymne à la vie, une semaine avant sa mort, d'un sujet atteint du SIDA. Le parcours d'un homme qui apprend sa séropositivité puis entre dans sa maladie. A la souffrance physique et morale s'ajoutent la solitude ressentie également en établissements de soins, l'attitude des soignants. Un retour sur le passé du patient permet de découvrir une personnalité riche, empreinte de solidarité humaine et livrant son combat contre le sida. La façon dont il aborde sa phase terminale et achève sa vie avec sérénité ne peut que susciter un profond respect.
Ce témoignage est pathétique et son écoute ne peut manquer de nous interroger.
Réf. FILMED : 93 3605 147 Mot(s) clés libre(s) : moral, phase terminale, sida, vécu, vie
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Le corps, le pur et l’impur, avec Jacques Rollet
/ 09-03-2015
/ Canal-u.fr
ROLLET Jacques
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Les catégories du pur et de l’impur relèvent, comme celle du sacré, de la religion la plus ancienne. Elles ont, dans le domaine religieux, conservé une actualité, entre autres pour l’islam et le judaïsme. C’est en fait la question de la pureté du corps qui est ainsi posée. Le christianisme y a mis fin en remplaçant le sacré par la sainteté.Dans les sociétés sécularisées contemporaines, cette question – qui semblait dépassée – s’est introduite en politique, explicitement pour l’islam, et par la pression du "politiquement correct" pour les antiracistes de tout bord. C’est l’intégrité du corps social qui est cette fois-ci en jeu. Ce paradoxe apparent s’avère révélateur des tensions que suscite toujours le questionnement sur le corps intime dans la sphère publique. Mot(s) clés libre(s) : corps, pur et impur, sphère publique, corps intime, théologie morale
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La question du mal, entre radicalité et banalité (par Myriam Revault d’Allonnes)
/ Brigitte PIERRAT, Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 20-10-2010
/ Canal-u.fr
REVAULT D'ALLONNES Myriam
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Radicalité du mal, banalité du mal : deux expressions apparemment opposées, que Myriam Revault d’Allonnes s’attachera à rapprocher en montrant combien l’hypothèse kantienne du mal radical permet de faciliter la compréhension de la pensée d’Hannah Arendt, qui, au moment du procès d’Eichmann à Jérusalem, avait associé l’idée de « banalité du mal » à la figure inédite du mal politique moderne (les meurtres de masse, commis sans conscience de culpabilité par des individus parfaitement ordinaires).M. Revault d’Allonnes a, dans un premier temps, montré en quoi Kant s’est démarqué des approches traditionnelles du mal. Kant, en effet, récuse la logique des théodicées, l’inscrutabilité de l’origine faisant échec à tout schéma explicatif du mal. Il refuse ainsi l’hypothèse du péché originel, de même que toute explication psychologique, qui enracinerait le mal, d’une part dans la sensibilité ou l’irrationalité des passions ; d’autre part dans la dépravation de la raison. Il n’y a donc pas, pour Kant, de « mal absolu », choisi délibérément par un individu « diabolique », mû par l’intention de faire le mal pour le mal. Pour Kant, en effet, l’idée du « mal absolu » et l’hypothèse diabolique ne sont que des moyens de refouler hors de l’humain, la possibilité du mal, permettant ainsi aux hommes ordinaires de s’excepter de toute responsabilité. Aussi Kant opposera le concept de « mal radical ».Dans un deuxième temps de son exposé, M. Revault d’Allonnes analysera précisément ce concept, en en donnant d’abord le principe : ce qui corrompt le fondement de toutes les maximes morales ; ce qui effrite, à ses racines, la constitution morale. Elle le rattachera ensuite au « fondement subjectif de l’usage de la liberté », qui caractérise la « nature » humaine. L’homme y est pensé comme libre et perfectible, déterminé par une « disposition » au bien, qui constitue en lui la possibilité de l’humanité, mais aussi par un « penchant » « naturel » au mal, qui, subordonnant la raison à la sensibilité, l’autorise à s’écarter des maximes de la loi morale pour privilégier la satisfaction de ses désirs. Dans ce renversement de l’ordre moral, le « penchant » au mal devient perversion du cœur humain. Mot(s) clés libre(s) : Hannah Arendt, éthique, Kant, morale, banalité, mal, radicalité
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La question du mal, entre radicalité et banalité
/ Brigitte PIERRAT, Lycée d’Etat - Jean Zay - Internat d'excellence
/ 20-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
REVAULT D'ALLONNES Myriam
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Radicalité du mal, banalité du mal : deux expressions apparemment opposées, que Myriam Revault d’Allonnes s’attachera à rapprocher en montrant combien l’hypothèse kantienne du mal radical permet de faciliter la compréhension de la pensée d’Hannah Arendt, qui, au moment du procès d’Eichmann à Jérusalem, avait associé l’idée de « banalité du mal » à la figure inédite du mal politique moderne (les meurtres de masse, commis sans conscience de culpabilité par des individus parfaitement ordinaires).M. Revault d’Allonnes a, dans un premier temps, montré en quoi Kant s’est démarqué des approches traditionnelles du mal. Kant, en effet, récuse la logique des théodicées, l’inscrutabilité de l’origine faisant échec à tout schéma explicatif du mal. Il refuse ainsi l’hypothèse du péché originel, de même que toute explication psychologique, qui enracinerait le mal, d’une part dans la sensibilité ou l’irrationalité des passions ; d’autre part dans la dépravation de la raison. Il n’y a donc pas, pour Kant, de « mal absolu », choisi délibérément par un individu « diabolique », mû par l’intention de faire le mal pour le mal. Pour Kant, en effet, l’idée du « mal absolu » et l’hypothèse diabolique ne sont que des moyens de refouler hors de l’humain, la possibilité du mal, permettant ainsi aux hommes ordinaires de s’excepter de toute responsabilité. Aussi Kant opposera le concept de « mal radical ».Dans un deuxième temps de son exposé, M. Revault d’Allonnes analysera précisément ce concept, en en donnant d’abord le principe : ce qui corrompt le fondement de toutes les maximes morales ; ce qui effrite, à ses racines, la constitution morale. Elle le rattachera ensuite au « fondement subjectif de l’usage de la liberté », qui caractérise la « nature » humaine. L’homme y est pensé comme libre et perfectible, déterminé par une « disposition » au bien, qui constitue en lui la possibilité de l’humanité, mais aussi par un « penchant » « naturel » au mal, qui, subordonnant la raison à la sensibilité, l’autorise à s’écarter des maximes de la loi morale pour privilégier la satisfaction de ses désirs. Dans ce renversement de l’ordre moral, le « penchant » au mal devient perversion du cœur humain. Mot(s) clés libre(s) : mal, morale
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La croissance de l'enfant
/ ENS-LSH/SCAM
/ 16-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
RAPPAPORT Raphael
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L'éthique de notre action entre la pression normative psychosociale et le progrès de la recherche médicale Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession Les limites du vivant / sous présidence de Gabriel Gachelin"Une réflexion sur les difficultés d'une action médicale ou ses dérives lorsque la décision médicale doit (ou plutôt devrait) concilier les progrès de la recherche, les vues fluctuantes de la normalité, au sens références «normales», la quête du meilleur interlocuteur (l'enfant/ses parents) et une pluie d'autres considérations vraiment médicales. Tout ceci mis ensemble constitue un peu le fondement d'une éthique de notre action et en souligne les difficultés. Pour aborder cette problématique je propose de prendre pour modèle «la gestion» de la croissance staturale de l'enfant : paradigme médical, priorités psychosociales et considérations économiques sont au centre de cette réflexion/ action".R. RappaportEquipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Enfant -- Croissance, Ethique médicale, Médecine -- Innovations, Médecine -- Prise de décision, Médecine -- Recherche -- Aspect moral, Théories du vivant, Troubles de la croissance
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Que font les artistes - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 05-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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L’activité artistique et esthétique ne se limite pas à la seule production d’une œuvre mais se prolonge au-delà dans l’impact qu’elle provoque. En effet, l’artiste produit de nombreux effets : émotionnels, moraux, cognitifs mais aussi sociaux. C’est à ce phénomène que s’intéresse ici Yves Michaud, professeur de philosophie et spécialiste d’art contemporain.Une conférence de l'UTLS au lycée avec Yves Michaud (philosophe). Lycée Emile Duclaux, Aurillac (15) Mot(s) clés libre(s) : art et morale, art et politique, art et religion, artistes, esthétique, philosophie de l'art, sociologie de l’art
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