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Kalimata ou l’art de la poterie chez les Wayana
/ Marie Fleury
/ Canal-u.fr
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Une vieille femme du village de Taluwen, sur le haut Maroni, en Guyane française, admire les poteries réalisées par Linia, jeune potière wayana.
Elle nous raconte le mythe de Kuliwelui, l’argile qui avait pris forme humaine pour transmettre l’art de la poterie aux Wayana. En écoutant le mythe, on assiste à toutes les étapes, de la collecte de l’argile en forêt aux finitions, en passant par le façonnage, la cuisson, et le vernis avec l’écorce d’Apulukun (Inga spp.).
La question posée est la survie de ces savoir faire traditionnels face à l’occidentalisation des modes de vie. (Marie Fleury) Mot(s) clés libre(s) : tradition orale, Taluwen, wayana, transmission inter-générationnelle, savoir-faire traditionnel, apulukun, vernis, motif, artisanat, film ethnographique, poterie, vidéo, Amérique, argile, bois, mythe, Guyane
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Des scènes du quotidien aux scènes historiques, images de frères et sœurs dans la peinture du XIXe siècle / Michaël Vottero
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 23-03-2012
/ Canal-u.fr
VOTTERO Michaël
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Des scènes du quotidien aux scènes historiques, images de frères et sœurs dans la peinture du XIXe siècle / Michaël Vottero. In "Frères et sœurs du Moyen Âge à nos jours", colloque international organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne: histoire des sociétés, du Moyen Âge à l'époque contemporaine (Framespa) de l'Université Toulouse II-Le Mirail et par le Centre de recherches historiques de l'Ouest (Cerhio) de l'Université Rennes 2. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 22-23 mars 2012. (Ce colloque de Toulouse constitue la seconde partie d'un double colloque international dont la première partie s'est tenue à Rennes, les 1er et 2 décembre 2011).Session 4 : Fratrie/fraternité, le lien rêvé, 23 mars 2012.Le XIXe siècle connaît un développement sans précédent de la peinture de genre tant dans les expositions, que dans les galeries des marchands ou les intérieurs bourgeois. Ces scènes de la vie quotidienne diffusent toute une imagerie de valeurs sociales et familiales. Parmi les figures récurrentes de ces épisodes, l'enfant apparaît comme l'une des plus importantes, à une époque où l'on s'interesse à sa place dans la société et dans la famille. Les petits adultes, que l'on avait l'habitude de voir figurer en peinture jusque dans les dernières années du XVIIIe siècle, cèdent leurs places à des représentations de plus en plus réalistes du monde de l'enfance au sein duquel s'inscrit le lien fraternel. Un très grand nombre de peinture de genre mettent en scène des frères et des sœurs. Si la figure de la grande sœur domine, reprenant l'idéal maternel et projetant la jeune fille dans sa future place de mère, nous trouvons des scènes de jeux, de disputes ou de tendresse. Autant de sujets qui véhiculent les images d'un idéal familial. Des visions drôles, émouvantes, parfois édifiantes, influencées par les sciences sociales, les réformes politiques et la littérature, proposent un nouveau regard sur la vie quotidienne et dont certains peintres se font une spécialité, tels Bouguereau et Merle. Ces évocations de l'enfance par la peinture de genre se retrouvent progressivement dans les portraits d'enfants célèbres de la période, que l'on songe à ceux du Duc de Morny ou de la Reine Victoria. Ces portraits de fratries se teintent ainsi d'une nouvelle sensibilité. Tandis que Chassériau ou Courbet immortalisent leurs fratries dans des œuvres de jeunesse, d'autres vouent un véritable culte à la figure de leur sœur, tel Khnopff. Des peintures qui se développent parallèlement à la poursuite d'une imagerie plus traditionnelle, comme celle d'Abel et Cain, que l'on découvre enfant, ou de fratries mythologiques et historiques. Renouvelant l'approche de l'histoire, les figures historiques sont parfois présentées enfants, auprès de leurs frères et sœurs ; l'histoire se teintant d'une sensibilité familière proche des peintures du quotidien qui triomphent alors. Mot(s) clés libre(s) : peinture (thèmes et motifs), peinture et société, peinture (19e siècle), peinture de portraits, peinture moderne (France), enfants (dans la peinture)
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Ecrire Paris
/ UTLS - la suite
/ 09-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
REDA Jacques
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I. Que signifie écrire une ville ? Pourquoi être tenté et ensuite avoir l'intention de s'y appliquer ? comment s'y appliquer ? comment s'y sont pris quelques autres, dans le passé et de nos jours Les leçons qu'on a pu en tirer. II. La poétique propre à un territoire qui s'urbanise (site, constructions, développements). La poétique propre au sujet qui écrit avec son donné biographique et mental personnel, et en rapport avec une certaine visée de construction de langage. - Ecrire la ville se situe au point de rencontre et (dans l'idéal) de fusion de ces deux poétiques, le mot restant pris au plus près de son sens d'élaboration. Particularités des moyens employés pour tendre vers ce point. III. Exemples tirés de quelques ouvrages. Mot(s) clés libre(s) : paris (dans la littérature), poésie, Poésie (thèmes et motifs), villes (dans la littérature)
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2- L'art de la ville : Corps de/dans la ville / Jean-Luc NANCY
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
NANCY Jean-Luc
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"Corps de/dans la ville". Jean-Luc NANCY. In colloque international: "L'Art de la Ville / The Art of the City" organisé par l'équipe Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), de l'Université de Toulouse 2-Le Mirail, 6 -8 novembre 2008.Dans un style à la fois érudit et ludique, prenant au pied de la lettre le thème "l'Art de la ville" et refusant l'idée de ville limitée à ses fonctions, le philosophe Jean-Luc Nancy présente une vision de la ville en tant que créatrice d'elle même, de sa propre œuvre, tout entièrement faite de son propre mouvement. D'un mouvement de prolifération indéfinie, de dispersion permanente, d'éloignement et de rapprochement mais aussi constitutive, tout autant que constituée, de la circulation et du mouvement des passants -"acteurs et spectateurs à la fois"- de la rencontre, "du rendez-vous qui est peut-être l'œuvre majeure de la ville".Pour Jean-Luc Nancy, "il y a un art de la ville. C'est un art du corps en mouvement, du sens prochain toujours renvoyé au lointain, un art d'une certaine insignifiance faisant réseau de signes -des signes qui ne sont pas des signes signifiants, pas tout à fait signifiants- un art du croisement, du frôlement, des pas, des passages, des directions et des errances".Aux confins du socio-politique et de l'histoire urbaine, empruntant à Duchamp, à Blanchot, à Nietzsche et aux situationnistes, convoquant éthymologie et linguistique, le philosophe accorde à la ville la possibilité d'offrir du sens commun, du renvoi entre les sujets et la ville : "pour qu’il y ait ville, il faut qu’il y ait véritablement l’invention du mode infini de circulation du sens qui est au fond ce qu'on appelle le monde moderne". Au tour ou au détour de cours et de boulevards, de flânerie en promenade, de trajectoires et de passages surtout, "être dans la ville c'est être "en ville" comme Heidegger dit « au monde »". Jean-Luc Nancy interroge aussi sur la capacité de la ville d'aujourd'hui à "rendre possible l'ensemble et l'avec", sur l'hypothèse de la fin de la ville à offrir la possibilité d'un "art du vivre ensemble". Extrait du texte de présentation du colloqueCe colloque s'intéressera à la manière dont l'art (la littérature, l'architecture, la peinture, la photographie, le cinéma...), à travers toutes les époques, aborde la ville. Sans vouloir cadastrer, archiver ou comprendre un lieu qui demeure dans le mouvement, nous envisagerons le renouvellement de la démarche artistique au contact du paysage urbain « [c]ircumambulate the city », disait Melville.Conscient de ses limites, l'art se réinvente pour approcher un lieu où l'évidence du concret se mêle aux dérives imaginaires. Il n'évoque pas seulement la ville en termes de cadre, de construction sociale ou symbolique, ou de surface sémiotique, saturée de textes et d'images, mais il accorde ses doutes et ses modulations aux traces et aux transmutations urbaines. Il semble ainsi esquisser une « poéthique » (M. Deguy) de la ville. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie urbaine, espace urbain, flânerie, vie urbaine, ville (philosophie), ville (thèmes et motifs)
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3- L'art de la ville : California ou la découverte de l'Amérique / Jean-Michel MAULPOIX
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MAULPOIX Jean-Michel
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"California ou la découverte de l'Amérique". Lecture de Jean-Michel Maulpoix. Colloque international "L'Art de la Ville / The Art of the City". Organisé par l'équipe de recherche "Cultures Anglo-Saxonnes" (CAS) de l'Université de Toulouse-Le Mirail, 6-8 novembre 2008.Jean-Michel Maulpoix lit un texte de sa plume, par lequel il narre poétiquement son voyage aux État-Unis en 1993. Parti chargé de représentations de l'Amérique alimentées par le cinéma et la littérature, il découvre l'espace américain dans une rencontre avec la ville de Los Angeles, ses boulevards, son campus universitaire, ses restaurants, la côte atlantique... attentif à ses sensations : "cette ville n'a pas de substance. L'excitation passée, j'en découvre le vide. Je ne peux m'appuyer sur rien, je ne parviens pas à m'orienter. Nulle part je ne parviens à isoler quelque élément qui me donnerait l'échelle de l'ensemble, le mode d'emploi, la direction à prendre. Tout flotte, libre d'attache. Me voici égaré dans une civilisation qui paraît avoir subi une gigantesque psychanalyse et qui l'inflige à son tour à quiconque la découvre." En correspondance avec l'intervention de Jean-Luc Nancy dans ce même colloque, l'auteur parle de mouvement, de passage, de circulation... Il remarque "dans cette mégapole, on n'existe pas quand on ne circule pas." Plus loin, "tout le long de la mer, entre Santa Monica et Venice, on circule, on patine. On court, on roule, on glisse à la surface de sa propre vie. Ou plutôt de la vie tout court, qui ne semble plus être celle de quelqu'un. On roule sur la Californie."Extrait du texte de présentation du colloque Ce colloque s'intéressera à la manière dont l'art (la littérature, l'architecture, la peinture, la photographie, le cinéma...), à travers toutes les époques, aborde la ville. Sans vouloir cadastrer, archiver ou comprendre un lieu qui demeure dans le mouvement, nous envisagerons le renouvellement de la démarche artistique au contact du paysage urbain « [c]ircumambulate the city », disait Melville.Conscient de ses limites, l'art se réinvente pour approcher un lieu où l'évidence du concret se mêle aux dérives imaginaires. Il n'évoque pas seulement la ville en termes de cadre, de construction sociale ou symbolique, ou de surface sémiotique, saturée de textes et d'images, mais il accorde ses doutes et ses modulations aux traces et aux transmutations urbaines. Il semble ainsi esquisser une « poéthique » (M. Deguy) de la ville. Mot(s) clés libre(s) : États-unis), Jean-Michel Maulpoix (1952-....), Los Angeles (Californie, récit de voyage, ville (thèmes et motifs)
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Le Premier Homme : comment vivre sans Dieu ?
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MATTEI Jean-François
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Dans Le Premier Homme, Camus annonçait l’ouverture d’un troisième volet de son œuvre : le cycle de l’amour, après ceux de l’absurde et de la révolte. Le Premier Homme se constitue ainsi comme une nouvelle Genèse. Jacques Cormery, nouvel Adam, a cette particularité de s’avancer dans un univers sans créateur. Si Camus se déclarait d’une incroyance « passionnée », on est frappé pourtant par la perpétuelle résurgence de la question de Dieu, grand absent-présent du Premier Homme. La structure du manuscrit inachevé conduit Jacques Cormery à accepter la dérobade et l’oubli de l’origine, avant un ressourcement dans l’évocation de l’enfance. Mot(s) clés libre(s) : Albert Camus, Le premier homme, littérature (thèmes et motifs), religion
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America at Large : grands espaces, peintures murales et recherche de l'utopie. (Matthieu Orléan)
/ La Cinémathèque française
/ 13-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Orléan Matthieu
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Dans le cinéma américain des années 70, dont Easy Rider est un emblème, la reconquête physique de l'espace (territoires vierges ou frontaliers, en bordure des mégalopoles) s'accompagne d'une recherche spirituelle. Une recherche qui croise ou rencontre bien des expériences plastiques des artistes de la même époque (Ed Ruscha, Jasper Johns, Allan Kaprow, Roy Lichtenstein). Trois femmes de Robert Altman, réalisé en 1977, est un film hanté par cette question du territoire, et s'y mêlent, dans un débordement chromatique inédit, la folie (version schizophrénie), l'onirisme (version dédoublement), et la création artistique (version peinture murale at large). Mot(s) clés libre(s) : art et cinéma, cinéma (1970-….), cinema (thèmes et motifs), dennis hopper (1936-….), easy rider (1969), espace au cinéma, esthétique, états-unis, robert altman (1925-2006), trois femmes (1977)
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Landis par Landis : une leçon de cinéma (4/4)
/ La Cinémathèque française
/ 01-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Landis John
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Partie 4 : les années 2000, l'aventure de Thriller"Nous recevons les films exactement comme nous rêvons. C'est pourquoi le cinéma continuera à avoir un impact si fort. Les livres, que j'aime tant, requièrent un processus intellectuel par lequel nous lisons et traduisons ce que l'auteur dit avec l'aide de notre imagination. Mais un film n'a qu'à montrer une chose et elle est là. Un film peut montrer un cyclope, et il est là, en vrai ! Je pense que le film est la forme la plus naturelle de l'imagination car il est sa réalité tangible. Il s'empare de quelque chose de fantastique et le rend réel et compréhensible."John Landis, John Landis, Milwaukee Press, 2008. Mot(s) clés libre(s) : carrière cinématographique, cinéma, cinéma (thèmes et motifs), états-unis, john landis (1950-....)
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Landis par Landis : une leçon de cinéma (3/4)
/ La Cinémathèque française
/ 01-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Landis John
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Partie 3 : les monstres, la peur"Nous recevons les films exactement comme nous rêvons. C'est pourquoi le cinéma continuera à avoir un impact si fort. Les livres, que j'aime tant, requièrent un processus intellectuel par lequel nous lisons et traduisons ce que l'auteur dit avec l'aide de notre imagination. Mais un film n'a qu'à montrer une chose et elle est là. Un film peut montrer un cyclope, et il est là, en vrai ! Je pense que le film est la forme la plus naturelle de l'imagination car il est sa réalité tangible. Il s'empare de quelque chose de fantastique et le rend réel et compréhensible."John Landis, John Landis, Milwaukee Press, 2008. Mot(s) clés libre(s) : carrière cinématographique, cinéma, cinéma (thèmes et motifs), états-unis, john landis (1950-....)
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Landis par Landis : une leçon de cinéma (2/4)
/ La Cinémathèque française
/ 01-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Landis John
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Partie 2 : Hamburger Film Sandwich, The Stupids, Dream On"Nous recevons les films exactement comme nous rêvons. C'est pourquoi le cinéma continuera à avoir un impact si fort. Les livres, que j'aime tant, requièrent un processus intellectuel par lequel nous lisons et traduisons ce que l'auteur dit avec l'aide de notre imagination. Mais un film n'a qu'à montrer une chose et elle est là. Un film peut montrer un cyclope, et il est là, en vrai ! Je pense que le film est la forme la plus naturelle de l'imagination car il est sa réalité tangible. Il s'empare de quelque chose de fantastique et le rend réel et compréhensible."John Landis, John Landis, Milwaukee Press, 2008. Mot(s) clés libre(s) : carrière cinématographique, cinéma, cinéma (thèmes et motifs), états-unis, john landis (1950-....)
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