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Droits d'émission, droits de polluer ?
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 18-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
MOULIER-BOUTANG Yann, YANN MOULIER-BOUTANG / LAURENCE TUBIANA, TUBIANA Laurence
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Résumé Yann Moulier-Boutang Les problèmes soulevés par les écologistes (réchauffement climatique, gestion des ressources rares comme l'air, la couche d'ozone, l'eau, la pollution et le dangereusement entrecroisement de ces questions avec l'inégalité planétaire) qui suscitaient ricanements il y a dix ans sont en train de s'imposer partout comme une partie inévitable de tout programme politique. La solution théorique après l'identification des problèmes passe par une prise en compte (à tous les sens du mot) de ces nouvelles contraintes dans le fonctionnement du rouleau compresseur de la puissante machinerie économique. Faut-il endogénéiser ces contraintes dans le marché ce qui passe par une « marchandisation » des ressources écologiques ? Ou bien à l'opposé, faut-il activer une réglementation limitant le marché de l'extérieur, lui assignant des limites ? Un marché des émissions de CO2 (après celui des pluies acides aux Etats-Unis) obtiendra-t-il un effet auto-régulateur capable de résoudre le problème ? L'intervention essaiera de montrer en quoi le marché du CO2 n'est pas la bonne solution en soi, à fortiori dans les formes qu'a prise sa mise en place depuis plus d'une année d'existence. Il faut non seulement le réformer mais sévèrement l'encadrer sous peine de cruelles déconvenues et de dommages irréversibles. Mot(s) clés libre(s) : droits à polluer, gaz à effet de serre, marché des droits d'émission, réchauffement climatique
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Entreprises, mondialisation et gestion de la main d’œuvre
/ UTLS - la suite
/ 11-07-2003
/ Canal-u.fr
MOULIER-BOUTANG Yann
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Les approches néo-libérales qui défendent inconditionnellement la mondialisation post-nationale, celles, diversifiées, quelles soient polanyiennes, souverainistes, keynésiennes, de défense d'une régulation nationale épuisent-elles le champ des savoirs, rendent-elles compte des transformations effectives, dessinent-elles les possibilités d'action nouvelles en matière d'emploi, de protection sociale ? À l'âge d'une transformation profonde des concepts politiques de la souveraineté, de la représentation que d'aucuns nomment « impériale », la présente conférence se propose d'explorer un autre chemin. Nous appuyant sur trois éléments majeurs qui correspondent à nos recherches ; - la mobilité de la main d'oeuvre à l'échelle mondiale ; - les transformations actuelles que nous caractérisons au-delà de l'écume de la « nouvelle économie » comme le passage à un troisième capitaliste ; - L'émergence d'un usage de plus en plus diffusé des nouvelles technologies de l'information et de la communication s'appuyant sur le réseau, troisième terme irréductible à l'État et au marché ; nous entendons proposer un cadre de lecture renouvelé des transformations stratégiques des entreprises, des problèmes de gestion des ressources humaines en leur sein et dans les nouveaux territoires productifs, et plus globalement de la mutation du salariat et du système de sa gouvernance par les mécanismes de la protection sociale. Mot(s) clés libre(s) : entreprise, mondialisation, salariat, capitalisme, gouvernance, main d'oeuvre
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/ UTLS - la suite
/ 11-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MOULIER-BOUTANG Yann
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Les approches néo-libérales qui défendent inconditionnellement la mondialisation post-nationale, celles, diversifiées, quelles soient polanyiennes, souverainistes, keynésiennes, de défense d'une régulation nationale épuisent-elles le champ des savoirs, rendent-elles compte des transformations effectives, dessinent-elles les possibilités d'action nouvelles en matière d'emploi, de protection sociale ? À l'âge d'une transformation profonde des concepts politiques de la souveraineté, de la représentation que d'aucuns nomment « impériale », la présente conférence se propose d'explorer un autre chemin. Nous appuyant sur trois éléments majeurs qui correspondent à nos recherches ; - la mobilité de la main d'oeuvre à l'échelle mondiale ; - les transformations actuelles que nous caractérisons au-delà de l'écume de la « nouvelle économie » comme le passage à un troisième capitaliste ; - L'émergence d'un usage de plus en plus diffusé des nouvelles technologies de l'information et de la communication s'appuyant sur le réseau, troisième terme irréductible à l'État et au marché ; nous entendons proposer un cadre de lecture renouvelé des transformations stratégiques des entreprises, des problèmes de gestion des ressources humaines en leur sein et dans les nouveaux territoires productifs, et plus globalement de la mutation du salariat et du système de sa gouvernance par les mécanismes de la protection sociale. Mot(s) clés libre(s) : capitalisme, gouvernance, mondialisation, salariat
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Droits d'émission, droits de polluer ?
/ UTLS - la suite, CERIMES
/ 18-10-2006
/ Canal-u.fr
MOULIER-BOUTANG Yann, TUBIANA Laurence
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Les problèmes soulevés par les écologistes (réchauffement climatique, gestion des ressources rares comme l'air, la couche d'ozone, l'eau, la pollution et le dangereusement entrecroisement de ces questions avec l'inégalité planétaire) qui suscitaient ricanements il y a dix ans sont en train de s'imposer partout comme une partie inévitable de tout programme politique. La solution théorique après l'identification des problèmes passe par une prise en compte (à tous les sens du mot) de ces nouvelles contraintes dans le fonctionnement du rouleau compresseur de la puissante machinerie économique. Faut-il endogénéiser ces contraintes dans le marché ce qui passe par une « marchandisation » des ressources écologiques ? Ou bien à l'opposé, faut-il activer une réglementation limitant le marché de l'extérieur, lui assignant des limites ? Un marché des émissions de CO2 (après celui des pluies acides aux Etats-Unis) obtiendra-t-il un effet auto-régulateur capable de résoudre le problème ? L'intervention essaiera de montrer en quoi le marché du CO2 n'est pas la bonne solution en soi, à fortiori dans les formes qu'a prise sa mise en place depuis plus d'une année d'existence. Il faut non seulement le réformer mais sévèrement l'encadrer sous peine de cruelles déconvenues et de dommages irréversibles. Mot(s) clés libre(s) : réchauffement climatique, gaz à effet de serre, droits à polluer, marché des droits d'émission
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