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SML Nancy 2011 - Carences et surdosages en Vitamine D.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
WERIHA Georges
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Titre : SML Nancy 2011 - Carences et surdosages en Vitamine D.Intervenant(s) : Georges WERYHA (Professeur – service d’endocrinologie, Hôpital de Brabois - CHU de Nancy)Résumé : Objectifs : Connaître les effets sur les tissus osseux, et les effets extra-osseux de la Vit D. Rechercher et traiter les carences et surdosage. Prescrire un traitement par Vit D en pratiqueL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la Semaine Médicale de Lorraine 2011 (SML 2011) séance thématique de formation : Vitamine D : ce qu’il faut savoir pour la pratiqueRéalisation, production : Canal U/3SMots clés : SML Nancy 2011, biochimie, métabolisme osseux, vitamine D Mot(s) clés libre(s) : biochimie, métabolisme osseux, SML Nancy 2011, vitamine D
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SML 2011 : Inauguration officielle de la Semaine Médicale de Lorraine.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VESPIGNANI Hervé, DE KORWIN Jean-Dominique
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Titre : SML 2011 : Inauguration officielle de la Semaine Médicale de Lorraine (SML 2011)Intervenant(s) : Hervé VESPIGNANI (Professeur, Service de Neurologie, hôpital central – CHU de Nancy), Jean Dominique de KORWIN (Professeur – Service de Médecine H, Hôpital Central - CHU de Nancy) Résumé : discours de bienvenue, présentations des programmes de la Semaine Médicale de Nancy (SML 2011)L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la Semaine Médicale de Lorraine 2011 (SML 2011) Inauguration officielle.Réalisation, production : Canal U/3Smots clés : sml 2011, dépendance, santé Mot(s) clés libre(s) : dépendance, santé, SML Nancy 2011
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SML 2011 – Les épilepsies dont on ne connait pas la cause.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 25-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VESPIGNANI Hervé
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Titre : SML 2011 – Les épilepsies dont on ne connait pas la cause.Intervenant(s) : Hervé VESPIGNANI (Professeur, service de neurologie, hôpital central – CHU de Nancy).Résumé : Les épilepsies dont on ne connait pas la cause.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la Semaine Médicale de Lorraine 2011 (SML 2011) et des 3èmes Rencontres Lorraines de l’Epilepsie. Coordonnateurs : Pierre LAHALLE-GRAVIER (Président d’Accueil Epilepsie Lorraine), Jean-Luc SCHAFF (médecin, Office d’Hygiène Sociale (OHS)). Organisateurs : Accueil Epilepsies Lorraine – CHU de Nancy - Office d’Hygiène Sociale (OHS)Réalisation, production : Canal U/3SMots clés : SML Nancy 2011, épilepsie Mot(s) clés libre(s) : épilepsie, SML Nancy 2011
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EMOIS Nancy 2011 - La filière hospitalière des plus de 80 ans admis en urgence
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VERCHERIN Paul
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Titre : La filière hospitalière des plus de 80 ans admis en urgence dans le département de la Loire : quels apports du PMSI MCO et SSR ?Résumé : L’hospitalisation non programmée des personnes de plus de 80 ans est une difficulté croissante pour les établissements de santé MCO. Ce travail a pour objectif de décrire à travers les données PMSI les trajectoires MCO et SSR de ces patients.Sujets et méthode : Les séjours des patients de plus de 80 ans résidant dans la Loire hospitalisés en urgence ont été extraits de la base PMSI régionale Rhône-Alpes de 2008. Leur trajectoire hospitalière MCO et SSR a été reconstituée à partir de la clé de chaînage anonyme.Résultats : 3 871 hospitalisations soit 30% des personnes âgés ont un mode d’entrée en urgence dont 96% sont observées dans 7 des 9 établissements du département ayant un service d’urgence. Les taux d’admission aux urgences varient de 14% à 64% selon l’établissement. La durée moyenne de séjour est 11,5 jours contre 6,2 jours pour les séjours programmés. 10% des patients décèdent, 66% rentrent à domicile et 20% partent en SSR. 93% des 765 séjours SSR se sont déroulés dans le département. La DMS est de 32 jours. Le score moyen des activités de la vie quotidienne est de 14,2. Il varie du moins dépendant 11,4 à 16,4 sur une échelle de 24. 62% des patients en SSR retournent à domicile, 13% sont admis dans une USLD, 11% retransférés en MCO et 8% décèdent en SSR.Discussion- Conclusion : La filière gériatrique dans la Loire se déroule à proximité du domicile des patients. Cette étude visualise les rôles des établissements au sein de la filière en termes de case mix, de recrutement SSR… Cependant, des éléments incohérents existent : non utilisation du mode d’entrée par les urgences par deux établissements, absence de transfert en USLD pour un autre.Si la qualité de certains indicateurs est encore insuffisante, le PMSI montre son utilité pour la description de la filière gériatrique dans un territoire.Intervenant : VERCHERIN Paul (Service de santé publique et de l’information médicale, CHU de Saint Etienne, 42055 Saint Etienne Cedex 1).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : PMSI et épidémiologie. Modérateurs : V. GILLERON (CHU de Bordeaux), E. SAULEAU (CHU de Strasbourg).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : chaînage anonyme, EMOIS Nancy 2011, gériatrie, MCO, personnes âgées, PMSI, SSR, urgences
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EMOIS Nancy 2011 - Patients pris en charge pour des troubles mentaux
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VASSEUR Stéphanie
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Titre : Patients pris en charge pour des troubles mentaux et du comportement dans le secteur de court séjour du Centre Hospitalier Universitaire d'Angers : une réalité MCO ou RIM-P ?Résumé : Notre établissement prend en charge des pathologies psychiatriques dans des unités de court séjour : le PMSI court-séjour (MCO) est-il bien adapté pour rémunérer à sa juste valeur ce type de prise en charge ?Méthode : On sélectionne tous les résumés d'unités médicales (RUM) de 2009 et 2010 pour lesquels le diagnostic principal (DP) correspond à certaines pathologies psychiatriques : troubles mentaux d’origine non organique sauf ceux liés à l’utilisation de substances psychoactives et troubles de la personnalité. Trois quarts de ces séjours passent par la médecine interne, la pédiatrie médicale ou les urgences et tout particulièrement dans deux services: l'unité médico-psycho-sociale et la pédiatrie médicale. On s'intéresse au service de médecine interne-addictologie-pathologies professionnelles et psychosociales et à la pédiatrie médicale. On sélectionne tous les séjours de 2009 et 2010 qui ont eu au moins un RUM dans une de ces unités. On décompose cette population en deux catégories afin de comparer leur lourdeur :- les séjours relevant d'une prise en charge psychiatrique, présentant un RUM de médecine interne ou de pédiatrie médicale dont le DP est une des pathologies précédemment définies ;- les autres relevant d'une prise en charge somatique.Résultats : 1461 séjours en 2009 et 1056 en 2010 présentent une pathologie psychiatrique en DP. On constate en médecine interne et pédiatrie que la prise en charge psychiatrique allonge significativement la durée moyenne de séjour (DMS) respectivement de 2 et 8,3 jours. En pédiatrie, la DMS est multipliée par quatre alors que la valorisation moyenne n'est multipliée que par deux. On observe donc un manque à gagner équivalent à deux hospitalisations MCO.Discussion/Conclusion : On fait ainsi entrer "de la psychiatrie" dans le MCO mais ce type de prise en charge n'est pas intégré dans ce modèle. Ne faudrait-il pas harmoniser la description de ces séjours avec une prise en charge psychiatrique en MCO et en établissement spécialisé ?Intervenant : VASSEUR Stéphanie, SIX Patrick (Département d'Information Médicale, Centre Hospitalier Universitaire d'Angers, Angers, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : court-séjour, DMS, DP, EMOIS Nancy 2011, MCO, PMSI, psychiatrie, résumés d'unités médicales, RUM
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EMOIS Nancy 2011 - PMSI SSR combiné à la SAE pour étudier la prise en charge en SSR
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
VALDELIEVRE Hélène
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Titre : Utilisation statistique du PMSI SSR combiné à la SAE pour étudier la prise en charge en SSR.Résumé : L’étude vise à faire un état des lieux de la prise en charge en Soins de Suite et Réadaptation (SSR) à partir des données du PMSI et de la Statistique Annuelle des Etablissements de santé (SAE).Méthode : Le PMSI-SSR est une base de gestion médico-économique destinée à la tarification de l’activité, et qui nécessite des opérations statistiques pour être utilisée à des fins d’études. Il convient, par exemple, de corriger les défauts d’exhaustivité des jours de présence et de reconstituer des séjours complets. L’appariement avec la SAE met en regard l’activité du PMSI et les facteurs de production associés (capacités et personnels) permettant de calculer des ratios de gestion.Résultats: En 2008, 1762 établissements ont déclaré une activité en SSR pour une activité de plus 32 millions de journées. Les densités d’offre sont plus élevées en Ile de France, en Alsace et dans le sud-est où l’implantation des cliniques est prépondérante. A l’opposé la Champagne Ardenne, les régions du centre disposent d’une offre moindre. La moitié des séjours sont motivés par des maladies du système ostéo-articulaire, des lésions traumatiques ou des affections cardio-vasculaires. Les séjours des femmes sont deux fois plus nombreux que ceux des hommes en poursuites de soins post traumatiques et rhumato-orthopédiques. Par contre, les poursuites de soins cardio-vasculaires ou respiratoires concernent plus d’hommes que de femmes. Les ressources en personnel sont plus élevées dans le secteur public et notamment dans les CHU que dans les cliniques du fait vraisemblablement de la plus grande complexité des cas traités (dans le public, 20% des séjours concernent des patients dépendants).Conclusion : Cette étude montre l’importance des retraitements statistiques lorsqu’on exploite des sources administratives non conçues pour les études. Elle propose ensuite un panorama de l’activité en hospitalisation complète en SSR.Intervenant : VALDELIEVRE Hélène (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques - Ministère chargé de la santé, Paris).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon)Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DMS, EMOIS Nancy 2011, HAD, hospitalisation, MCO, non-réponse, PMSI, SAE, soins de suite et de réadaptation, SSR, tarification
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Cafés des Sciences - Nancy 2011 : Puces RFID : identifier pour mieux surveiller.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 15-02-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TURUANI Mathieu, BELLAIRE Arnaud, THOMAS André
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Cafés des Sciences - Nancy 2011 : Puces RFID : identifier pour mieux surveiller. Mon premier est gros comme une tête d’épingle.Mon deuxième réagit aux ondes radiosMon tout peut se résumer en 4 lettres.Mon tout, c’est RFID, pour «Radio Frequency Identification» ou «Identification par radiofréquence».Stocker, transmettre et récupérer des données à distance devient possible grâce à la combinaison d’une puce dotée de mémoire et d’une antenne sensible aux ondes radios. Ce petit dispositif est à la base des « étiquettes intelligentes » et marque le renouveau d’une technologie utilisée depuis les années 40. Bien connue des habitués du métro parisien avec les passes «Navigo», il existe de nombreuses autres applications : suivi des colis, identification des animaux, gestion des stocks…Faut-il avoir peur de cet outil de traçabilité miniaturisé ? Notre vie privée sera-t-elle menacée ? S’agit-il de millions de «Big Brother» en puissance ? Un café pour vous mettre la puce à l’oreille ! Ce Café des Sciences est co-organisé par le CST du PRES de l'Université de Lorraine et par l'ESIAL dans le cadre de l'année de ses 20 ans.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy 2011, électronique, puces, radiofréquence, RFID
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Puces RFID : identifier pour mieux surveiller (Cafés des Sciences - Nancy 2011)
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 15-02-2011
/ Canal-u.fr
TURUANI Mathieu, BELLAIRE Arnaud, THOMAS André
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Cafés des Sciences - Nancy 2011 : Puces RFID : identifier pour mieux surveiller. Mon premier est gros comme une tête d’épingle.Mon deuxième réagit aux ondes radiosMon tout peut se résumer en 4 lettres.Mon tout, c’est RFID, pour «Radio Frequency Identification» ou «Identification par radiofréquence».Stocker, transmettre et récupérer des données à distance devient possible grâce à la combinaison d’une puce dotée de mémoire et d’une antenne sensible aux ondes radios. Ce petit dispositif est à la base des « étiquettes intelligentes » et marque le renouveau d’une technologie utilisée depuis les années 40. Bien connue des habitués du métro parisien avec les passes «Navigo», il existe de nombreuses autres applications : suivi des colis, identification des animaux, gestion des stocks…Faut-il avoir peur de cet outil de traçabilité miniaturisé ? Notre vie privée sera-t-elle menacée ? S’agit-il de millions de «Big Brother» en puissance ? Un café pour vous mettre la puce à l’oreille ! Ce Café des Sciences est co-organisé par le CST du PRES de l'Université de Lorraine et par l'ESIAL dans le cadre de l'année de ses 20 ans.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : électronique, radiofréquence, Cafés des Sciences Nancy 2011, RFID, radio-identification, puce électronique, identité numérique
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SML Nancy 2011 – Déclaration d’effet indésirable médicamenteux.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 21-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TRECHOT Philippe
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Titre : SML Nancy 2011 – Quels éléments doivent figurer sur une déclaration d’effet indésirable médicamenteux. Comment améliorer la déclaration au sein de son établissement ? Intervenant(s) : Philippe TRÉCHOT (Service de Pharmacologie, hôpital central – CHU de Nancy)Résumé : Objectifs : - Impliquer les professionnels de santé dans la pharmacovigilance, et plus particulièrement les correspondants locaux de pharmacovigilance par le biais du réseau régional et des outils développés par le CRPV - Améliorer la qualité des déclarations de toxidermies - Information en matière de dispositions réglementaires de pharmacovigilance nationale et européenne L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la Semaine Médicale de Lorraine 2011 (SML 2011) séance thématique de formation : données cliniques sur les toxidermies. Données pratiques et réglementaires en pharmacovigilance. 1er séminaire du Réseau Lorrain de PharmacovigilanceRéalisation, production : Canal U/3SMots clés : SML Nancy 2011, pharmacovigilance, toxidermies, CRPV, réglementation Mot(s) clés libre(s) : CRPV, pharmacovigilance, réglementation, SML Nancy 2011, toxidermies
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SML 2011 – IRM et épilepsie
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 25-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TISSERAND Anne
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Titre : SML 2011 – L’apport de l’imagerie cérébrale dans la recherche de la cause de l’épilepsie. IRM et épilepsieIntervenant(s) : Anne TISSERAND (Service de neuroradiologie diagnostique et thérapeutique – CHU de Nancy)Résumé : L’apport de l’imagerie cérébrale dans la recherche de la cause de l’épilepsie.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la Semaine Médicale de Lorraine 2011 (SML 2011) et des 3èmes Rencontres Lorraines de l’Epilepsie. Coordonnateurs : Pierre LAHALLE-GRAVIER (Président d’Accueil Epilepsie Lorraine), Jean-Luc SCHAFF (médecin, Office d’Hygiène Sociale (OHS)). Organisateurs : Accueil Epilepsies Lorraine – CHU de Nancy - Office d’Hygiène Sociale (OHS)Réalisation, production : Canal U/3SMots clés : SML Nancy 2011, épilepsie, neuroradiologie, imagerie cérébrale Mot(s) clés libre(s) : épilepsie, imagerie cérébrale, neuroradiologie, SML Nancy 2011
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