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CNIPsy 2010 Marseille - Le quotidien, évidence perdue de la psychiatrie : questions
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NAUDIN Jean, MICOULAUD-FRANCHI Jean-Arthur
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CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – Le quotidien, évidence perdue de la psychiatrie : questionsRésumé : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans "La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie."La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzan URBAN relaté par LudwigBINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHIAuteur : Jean NAUDIN,SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, épistémologie, éthique, neuro-phénoménologie, phénoménologie, reconstruction, schizophrénie, sciences cognitives
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CNIPsy 2010 Marseille - Le quotidien, évidence perdue de la psychiatrie : introduction
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NAUDIN Jean, MICOULAUD-FRANCHI Jean-Arthur
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CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieRésumé : Introduction : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans "La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie".La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzanne URBAN relaté par LudwigBINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHISCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, diagnostic, épistémologie, éthique, phénoménologie, reconstruction, sciences cognitives, typologie
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CNIPsy 2010 Marseille - La pratique quotidienne du psychiatre : introduction
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NAUDIN Jean, MICOULAUD-FRANCHI Jean-Arthur
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CNIPsy 2010 Marseille : 7ème Congrès National des Internes en Psychiatrie (CNIPsy). Thème : «Mauvais genre»Session : Le quotidien : évidence perdue de la psychiatrieTitre : CNIPsy 2010 Marseille – La pratique quotidienne du psychiatre éclairé par la phénoménologie.Résumé : "Que me manque-t-il vraiment ?" Tels sont les propos rapportés par BLANKENBURG dans "La perte de l’évidence naturelle", son livre sur la schizophrénie lors de son anamnèse de la patiente Anne. "Quelque chose de si petit, de si unique, quelque chose d’important sans quoi on peut ne pas vivre […] C’est vraiment l’évidence naturelle qui me manque. […] Il y a tellement de choses qui me sont étrangères. Il s’agit de la vie simplement, de la conduite de la vie."La phénoménologie d’un point de vue psychiatrique constitue ainsi un courant, comme nous le verrons avec Bernard PACHOUD, qui permet d’être attentif à des dimensions qui échappent au regard médical classique.Nous analyserons avec François de GANDT la construction du monde par une malade, tel que peut le révéler le cas Suzanne URBAN relaté par LudwigBINSWANGER. La discussion s’ouvrira ensuite, avec Nicolas FRANK, à la question de savoir de quelle façon ce quotidien pourrait faire l’objet d’une reconstruction par des thérapeutiques, alors que sa caractéristique principale est précisément sa dimension tacite.Modérateurs : Pr Jean NAUDIN, Jean-Arthur MICOULAUD-FRANCHISCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CNIPsy 2010 Marseille, épistémologie, éthique, phénoménologie, reconstruction, sciences cognitives
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