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Representaciones de la población afrocaribeña en Costa-Rica, 1940-1953 / Ronald Soto-Quiros
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
SOTO QUIROS Ronald
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Representaciones de la población afrocaribeña en Costa-Rica, 1940-1953 / Ronald Soto-Quiros, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.Se trata de un análisis sobre las imágenes de la población de origen especialmente jamaicano en las dos décadas precedentes a la elección del primer diputado de origen afrocaribeño en Costa Rica. La investigación utiliza como fuente histórica particularmente la prensa nacional y local. El estudio intenta mostrar el peso politico y simbólico que tuvo la idea de una población mayoritariamente blanca en Costa Rica como uno de los componentes esenciales en la construcción de una identitad nacional en la aceptación e integración de la población de origen afroantillano -especialmente asentada en el caribe costarricense desde los años 1870- como afrocostarricense. La primera parte intenta explicar el desarrollo y consolidación de la idea de un país de "blancos" en la primera mitad del siglo XX. Una segunda parte analiza les imágenes de los afrocaribeños en el período posterior a 1934 -año de establecimiento de una medida estatal para prohibir la incorporación de afrocaribeños en los nuevos campos bananeros de la región pacífica. Una tercera sección se ocupa de evaluar la evolución y las imágenes de la población afrocaribeña durante la década de 1940 hasta la eliminación de medidas racistas contra esta población y la elección del primer diputado afrocostarricense, Alex Curling, en 1953. Mot(s) clés libre(s) : Noirs (identité collective), Afro-caribéens, Costa Rica (19e-20e siècles)
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De l'afro-Mexique aux afro-latino-Amériques : réflexions afrodiasporiques à partir de cas pratiques / Sébastien Lefèvre, Paul Mvengou Cruzmerino
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
MVENGOU CRUZMERINO Paul, LEFÈVRE Sébastien
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De l'afro-Mexique aux afro-latino-Amériques : réflexions afrodiasporiques à partir de cas pratiques / Sébastien Lefèvre, Paul Mvengou Cruzmerino, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Ëtre « Noir » au Mexique c'est avant tout être invisible. Aucune reconnaissance constitutionnelle, aucune présence réelle dans les manuels scolaires. Jusqu'à il y a quelques années, cette situation n'était pas exclusive du Mexique. En effet, la reconnaissance des populations afro-latino-américaines reste récente. On peut dater un changement concernant la "visibilisation" de ces populations à partir des années 1990. Puis en 2001 s'est tenue à Duban, en Afrique du Sud, sous les auspices des Nations Unies, la conférence mondiale contre le racisme, la discrimination et la xénophobie, qui a permis à un certain nombre de leaders afros de s'y rendre. Et, récemment, l'année 2011 a été décrétée par les Nations Unies comme l'année des afrodescendants afin de promouvoir les droits et le développement des dites populations. Parallèlement à ces divers processus [afro ou autre] pour rendre visibles les populations afro-américaines, le champ scientifique afro-latino-américaniste s'est aussi développé de manière importante durant les deux dernières décennies, donnant lieu à divers programmes de recherches nationaux et transnationaux. Prenant en compte le contexte de ces deux décennies, Sébastien Lefèvre et Paul Mvengou Cruzmerino proposent de partir de leurs recherches respectives sur l'identité afro-mexicaine pour déboucher sur une réflexion plus générale quant aux afro-latino-Amériques. Plus précisément, ils interrogent les formes de résistances symboliques développées et entretenues au fil des siècles par les Afro-mexicains et les confrontent ensuite à d'autres formes de résistances afro-latino-américaines. Cette confrontation permet de voir qu'il existe certaines transversalités entre les différentes populations afrodiasporiques qui ne sont pas anodines, amenant à poser les bases de réflexions afrodiasporiques transatlantiques. Mot(s) clés libre(s) : Mexique (20e siècle), Noirs (identité collective), Noirs (Mexique)
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Le mythe du viol fondateur aux Antilles françaises : un récit du métissage qui en cache un autre / Stéphanie Mulot
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
MULOT Stéphanie
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Le mythe du viol fondateur aux Antilles françaises : un récit du métissage qui en cache un autre / Stéphanie Mulot, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.Un débat virulent sur la place de l'esclavage dans l'histoire coloniale anime le discours public aux Antilles françaises. Diverses stratégies mémorielles témoignent des différentes affiliations choisies par les acteurs contemporains. L'analyse d'un mythe présent dans l'imaginaire antillais -celui du viol fondateur- permet de montrer que le rapport à l'histoire bute sur des nœuds mémoriels qui entretiennent les représentations du trauma originel et enferment les acteurs contemporains dans des conflits fratricides. La représentation de l'origine du métissage et de la population née dans l'esclavage dans un viol s'oppose à l'idée de rencontres sexuelles désirées. L'analyse de ces deux scénarii montre que de telles représentations inhibent la construction d'une mémoire réconciliée, aux composantes multiples, alors que le processus de créolisation a pourtant contribué à la diversification des affiliations identitaires possibles. Mot(s) clés libre(s) : mythe, représentations sociales, esclavage (mémoire collective), Noirs (identité collective), Antilles (19e-21e siècles), viol et esclavage
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La figure de la mulâtresse dans la construction de l'identité cubaine (iconographie XIXe-XXe siècles) / Sylvie Mégevand
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
MÉGEVAND Sylvie
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La figure de la mulâtresse dans la construction de l'identité cubaine (iconographie XIXe-XXe siècles) / Sylvie Mégevand, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 1 : Esclavage et mémoire.Les représentations de la mulâtresse ont donné lieu à une abondante iconographie à Cuba et dans l'aire Caraïbe. Abondance n'induit pas forcément variété, ce que prouve l'analyse diachronique des célèbres lithographies "La vida de la mulata" (firme Susini) et de la firma La Legitimidad sur les paquets de sucre, des couvertures de revues (Cartales et autres peintures de Landalouze, de Carlos Enríquez). Ce corpus permet de brosser un état des lieux sur les invariants esthétiques d'un stéréotype aussi esthétiquement fascinant que moralement condamnable aux yeux des publics : jeunesse, beauté plastique et liberté de mœurs, mais également tentation, immoralité et décadence. La mulâtresse est-elle un facteur de cohésion ou bien au contraire le ferment d'un désordre social ? Le regard généralement univoque qu'ont porté les artistes et les publics sur cette femme métisse n'empêche pas de cerner les rapports, plus complexes qu'il n'y paraît, entre Blancs et Noirs, hommes et femmes, dominants et dominés... Autant de données contradictoires qui s'enracinent dans une ambiguïté statutaire fondée sur des préjugés raciaux et des pratiques sociales et sexuelles directement nées de l'esclavage. De telles représentations conduisent à s'interroger sur la puissance et la stabilité d'un imaginaire collectif qui est également repérable dans le domaine littéraire, à définir des contours de la construction identitaire insulaire dont la mulâtresse est un des éléments clés avec d'autres figures emblématiques créées comme elle au XIXe siècle -telle celle du guajiro blanc. Mot(s) clés libre(s) : représentations sociales, peinture cubaine (19e siècle), noirs (dans la peinture), Noirs (identité collective), peinture cubaine (20e siècle), Cuba (19e-20e siècles)
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La population caribéenne du Costa Rica : entre isolement et revendication d'une identité noire métissée / Lucie Dudreuil
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DUDREUIL Lucie
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La population caribéenne du Costa Rica : entre isolement et revendication d'une identité noire métissée / Lucie Dudreuil, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.Le Costa Rica a connu deux vagues migratoires d'Afro-descendants : l'une est liée à l'histoire de la colonisation, l'autre, majoritairement jamaïcaine, est survenue au milieu du XIXe siècle pour pallier le manque de main d'oeuvre nécessaire à la réalisation du chemin de fer reliant la capitale au port de Limón et au travail dans les bananeraies nord-américaines. La communication de Lucie Dudreuil aborde cette deuxième vague migratoire. Le contexte idéologique du XIXe siècle hostile à l'intégration de la population afro-caribéenne et son isolement géographique a favorisé la reproduction du mode de vie et de pratiques culturelles jamaïcains tandis que l'arrivée d'habitants de la vallée centrale dans la province de Limón et l'obtention de la nationalité costaricienne des Afro-caribéens en 1948 a largement contribué à la "créolisation" des cultures et du métissage de l'identité. Comment s'est forgé cette identité afro-caribéenne dans un contexte initialment raciste ? L'année 1948 et l'élection de José Figueres marquent un tournant car ce dernier adopte une politique d'intégration des minorités ethniques. Quel type de politique d'intégration mène t-il et quelles répercussions a t-elle sur la construction identitaire de la population afro-caribéenne ? Cette politique a t-elle vraiment permis de passer de l'isolement et du repli identitaire à la revendication d'une identité noire et métissée ? Mot(s) clés libre(s) : Noirs (identité collective), Métissage culturel, Afro-caribéens, Costa Rica (19e-20e siècles)
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHARLERY Hélène
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 5 : Entendre et voir les Amériques noires. "É Minha Cara" (That's My face, 2001) est un documentaire que son réalisateur, le metteur en scène noir américain Thomas Allen Harris, qualifie de « mythobiographie » associant les images d'archives de sa famille, tournées par son grand-père, à celles du voyage initiatique du réalisateur. Dès la scène d'ouverture, Harris questionne la manière dont ses grands-parents et sa mère, chacun à leur façon et à leur époque respective, ont imaginé l'Afrique pour construire leur propre afro-américanité. La lecture intergénérationnelle que le documentaire propose offre aux spectateurs trois constructions différentes de l'Afrique-source, la "mère-patrie", imaginée, recherchée, fantasmée et vécue par les protagonistes. Lorsque le réalisateur, narrateur et personnage, entame à son tour cette quête vers sa « propre Afrique », comme il le dit lui-même, il se retrouve à Salvador de Bahia au Brésil, déplaçantainsi ce que Patricia de Santana Pinho appelle la « carte de l'africanité » (Maps of Africanness). Cette communication a pour but d'analyser le dialogue triangulaire et intergénérationnel, individu et collectif, entre les États-Unis, l'Afrique et le Brésil que le metteur en scène élabore dans son documentaire, et la place centrale que la voix féminine occupe dans cette afro-africanité dont le réalisateur redessine les contours autant qu'il les interroge. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, identité culturelle (Etats-Unis), film documentaire, Brésil (20e-21e siècle), Noirs (identité collective)
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Les Amériques noires : identités et représentations. Conférence inaugurale / Jean-Luc Bonniol
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
BONNIOL Jean-Luc
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Les Amériques noires : identités et représentations. Conférence inaugurale / Jean-Luc Bonniol, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Aux Amériques, les puissances coloniales européennes, puis les premières républiques, ont fait de la traite et de l'esclavage des Noirs un des principaux moteurs de leur prospérité économique, qu'il s'agisse de l'exploitation minière ou des grandes plantations. Déportées par millions au cours des siècles, niées dans leur humanité et leurs cultures, les populations d'origine africaine ont dû survivre à la tragédie individuelle et collective de la traite et de la condition servile.
Survivre a imposé de se reconstruire : la tragédie de l'esclavage est aussi l'histoire des luttes pour l'émancipation et la dignité, depuis les palenques et les quilombos d'Amérique latine jusqu'aux combats pour l'égalité des droits aux Etats-Unis, dans les années 1960. Du nord au sud du continent, les « Amériques noires » -pour reprendre l'heureuse expression de Roger Bastide- sont à la fois cohérentes et diverses. Mot(s) clés libre(s) : identité culturelle, négritude, anthropologie sociale et culturelle, esclavage (mémoire collective), Noirs (identité collective)
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Memorias rotas, memorias construidas: familias de africanos en Cuba / María del Carmen Barcia Zequeira
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
BARCIA ZEQUEIRA María del Carmen
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Memorias rotas, memorias construidas: familias de africanos en Cuba / María del Carmen Barcia Zequeira, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.La memoria colectiva vinculada a la esclavitud es asunto vigente en la sociedad cubana actual, y se manifesta en la presencia de los cultos religiosos afrocubanos, de esta manera se revela la relación entre memoria e historia socio-cultural. Las devergencias históricas entre capas, sectores y grupos integrados por negros y mulatos, algunos apegados a formas de la cultura occidental, no han podido impedirlo.Buena parte de los estudios vinculados a la esclavitud moderna se inscriben en campos vinculados a la memoria, individual o colectiva, presente en los descendientes y depositada en los documentos. Estas historias recogen sus espacios sociales, sus experiencias, su conciencia que también es histórica y que en gran medida ha conformado una mentalidad de resistencia ante avatares de diversa índole e incluso la formación de identidades. De poco sirven los avances metodológicos, la comprensión de procesos, el uso de conceptos, si estos no tienen aplicación en esa realidad pasada, que aún forma parte del presente y que difícilmente será excluida del futuro.La continuidad de una memoria vinculada a los espacios simbólicos de la trata negrera y de la esclavitud se asienta en un encadenamiento parental que se inició en el barco negrero. Rotas las memorias de las familias de origen, se fueron estableciendo otras que se basaron en la presencia de carabelas, cabildos africanos, compadres de bautismo católico o africano, matrimonios legales o consensuales, es decir en parientes de diverso tipo que integraron otra familia, la afrocubana. En esta relación se construyó una nueva memoria que conservó, enraizó y trasmitió hasta la actualidad algunas tradiciones ancestrales. Mot(s) clés libre(s) : esclavage (mémoire collective), Noirs (identité collective), Cuba (20e-21e siècles)
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