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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
VERONI-PACCHER Lisa
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Le Temps de la nation noire ? Amiri Baraka et la Convention politique nationale noire de Gary (1972) / Lisa Veroni-Paccher, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.Le poète, activiste et leader afro-américain Amiri Baraka fut, avec Richard Hatcher et Charles Diggs, un des organisateurs de la Convention politique nationale noire de Gary, dans l'Indiana, en mars 1972. Cet événement est souvent dépeint par les historiens et les chercheurs en sciences politiques comme marquant la fin des Mouvements des Droits civiques et du Black Power ou représentant une voie sans issue dans un contexte politique américain de plus en plus conservateur. Cette communication analyse le rôle d'Amiri Baraka et sa tentative de réunir sous le même toit intégrationnistes, nationalistes et radicaux noirs, dans l'espoir que la convention aiderait à promouvoir un sentiment d'unité et de solidarité parmi les Afro-américains transcendant les clivages idéologiques. Au grand désespoir de Baraka cependant, les délégués de la convention de Gary ne purent se mettre d'accord sur ce qui permettrait de garantir l'indépendance politique noire et l'unité raciale : fallait-il œuvrer en dehors ou au sein des institutions politiques en place ? Malgré ses faiblesses et ses paradoxes apparents, la Convention de Gary, par son envergure et son entreprise de création d'un programme politique spécifiquement noir, fut une expérience stimulante qui permit un instant aux partisans des stratégies de contestation et à ceux qui préféraient les stratégies électorales, de réfléchir ensemble aux alternatives offertes aux Afro-américains pour augmenter leur pouvoir politique. L'héritage d'Amiri Baraka se retrace donc dans les tentatives d'articulation et d'affirmation d'un pouvoir politique indépendant noir dans l'Amérique des années 70 et au-delà. Mot(s) clés libre(s) : Mouvement des droits civiques (Etats-Unis), Amiri Baraka (1934-2014), noirs américains (identité collective)
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L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
STEPHAN Léa
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L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Cette communication se propose d'étudier l'identité changeante
qu'endosse Barack Obama en montrant combien il choisit de représenter
des facettes spécifiques de son identité en fonction de ses besoins
politiques du moment. A l'instar de la population américaine, les
origines de Barack Obama sont mixtes et complexes. Toutefois, pour les
besoins de son rôle de président de tous les américains, Barack Obama
favorise le plus souvent une identité racialement neutre, celle du politicien noir post-mouvement des droits civiques qui privilégie
le paradigme de la classe au détriment de celui de la race. Mais
l'analyse montre que suivant le sujet abordé et l'auditoire, Obama
choisit par contre de mettre en avant d'autres facettes de son identité.
En effet, particulièrement pour des sujets sensibles ou concernant
certaines communautés en particulier, Obama puise dans son identité
complexe pour tisser des liens avec son auditoire. Lea Stephan montre
comment Obama favorise tour à tour ses oirigines noires ainsi que celles
de sa femme, afin d'asseoir sa légitimité auprès de la communauté
africaine-américaine, mais aussi comment il utilise son passé d'immigré
en Indonésie pour créer un rapport priviligié avec la communauté
hispanique. Mot(s) clés libre(s) : identité culturelle (Etats-Unis), noirs américains (identité collective), Barack Obama (1961-....)
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Afro-Caribéens et Afro-Américains à New-York : interactions et représentations / Léna Loza
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
LOZA Léna
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Afro-Caribéens et Afro-Américains à New-York : interactions et représentations / Léna Loza, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.La grande majorité des immigrants afro-caribéens arrivés aux États-Unis au début du vingtième siècle s'installa au cœur de la communauté noire de New-York, à Harlem. Quelques décennies plus tard, une seconde vague d'immigratio en provenance de la Caraïbe transforma le quartier de Brooklin où une multitude d'enclaves ethniques afro-caribéennes se développèrent. L'assignation identitaire raciale commune à laquelle Afro-Caribéens et Afo-Américains sont soumis aux États-Unis a indéniablement contribué à leur rapprochement. Cependant, la complexité des interactions entre ces deux groupes et les enjeux identitaires connexes ont été mis en évidence dans de nombreuses études.Cette communication propose un regard historiographique sur la recherche consacrée à l'immigration afro-caribéenne aux États-Unis. Cette perspective conduit à examiner les discours sur la réussite socio-économique des immigrés noirs originaires de la Caraïbe anglophone et à s'intéresser aux analyses relatives à leur construction identitaire dans la société américaine. cette communication met ainsi en lumière l'approche comparative implicite qui sous-tend ces études émaillées de références à la population afro-américaine. Mot(s) clés libre(s) : Afro-américains, noirs américains (identité collective), Afro-caribéens, recherches en sciences humaines et sociales, immigrés caribéens (Etats-Unis)
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Entretien avec Eric Arnesen
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Nathalie MICHAUD, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 13-06-2006
/ Canal-u.fr
HARDING Wendy, ARNESEN Eric
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Un entretien avec Eric Arnesen, professeur d'histoire des relations du travail dans la communauté afro-américaine. Générique Interview : Wendy Harding - Réalisation et post-production : Bruno Bastard - Cadreurs : Nathalie Michaud et Claire Sarazin - Production et Moyens techniques : SCAM-Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09. Mot(s) clés libre(s) : conditions économiques, conditions sociales, conflits raciaux, histoire sociale, noirs américains, relations raciales, Etats-Unis (21e siècle), Afro-américains
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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DOLISANE-EBOSSE Cécile
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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Les mémoires oubliées de la création artistique des femmes de la Harlem Renaissance méritent d'être exhumées, vivifiées et édifiées comme appartenant au patrimoine culturel mondial. Carrefour cuturel du monde noir, ce mouvement a fait connaître Langston Hugues, Claude Mac Kay et Alain Lockes et bien d'autres encore. Mais le talent féminin des personnalités telles la sculpteuses Augusta Savage, qui vouait un culte à Léopold sedar Senghor, et Faith Ringgold, qui a dédié un buste à W.E.B Dubois, sont très peu connues dans l'aire francophone. Pourtant leurs productions artistiques étaient essentiellement consacrées à la cause et à la libération des peuples opprimés. Il s'agit, à n'en pas douter, dans une approche socio-historique et genre, de la responsabilité culturelle et politique de la femme créatrice dans l'avancement de l'humanité en arborant la vitalité de l'art nègre. Mais qui se souvient encore de celles qui ont contribué à cet humanisme de la différence ? Quelles sont les raisons de cette amnésie collective ? Mot(s) clés libre(s) : Renaissance de Harlem, femmes artistes noires américaines, Augusta Savage ( 1892-1962), Faith Ringgold (1930-….)
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHARLERY Hélène
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L'afro-africanité retracée dans "That's My Face" (Thomas Allen Harris, 2001) / Hélène Charlery, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 5 : Entendre et voir les Amériques noires. "É Minha Cara" (That's My face, 2001) est un documentaire que son réalisateur, le metteur en scène noir américain Thomas Allen Harris, qualifie de « mythobiographie » associant les images d'archives de sa famille, tournées par son grand-père, à celles du voyage initiatique du réalisateur. Dès la scène d'ouverture, Harris questionne la manière dont ses grands-parents et sa mère, chacun à leur façon et à leur époque respective, ont imaginé l'Afrique pour construire leur propre afro-américanité. La lecture intergénérationnelle que le documentaire propose offre aux spectateurs trois constructions différentes de l'Afrique-source, la "mère-patrie", imaginée, recherchée, fantasmée et vécue par les protagonistes. Lorsque le réalisateur, narrateur et personnage, entame à son tour cette quête vers sa « propre Afrique », comme il le dit lui-même, il se retrouve à Salvador de Bahia au Brésil, déplaçantainsi ce que Patricia de Santana Pinho appelle la « carte de l'africanité » (Maps of Africanness). Cette communication a pour but d'analyser le dialogue triangulaire et intergénérationnel, individu et collectif, entre les États-Unis, l'Afrique et le Brésil que le metteur en scène élabore dans son documentaire, et la place centrale que la voix féminine occupe dans cette afro-africanité dont le réalisateur redessine les contours autant qu'il les interroge. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, identité culturelle (Etats-Unis), film documentaire, Brésil (20e-21e siècle), Noirs (identité collective)
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Black Matters. From W.E.B. DuBois to Elijah Anderson and Marcus A. Hunter, Key Concepts on Race Relations (2) Marcus A. Hunter
/ 03-07-2015
/ Canal-u.fr
BENSE FERREIRA ALVES Celia, JONES Martha S., HUNTER Marcus Anthony, ANDERSON Elijah
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Conférence de Marcus A. Hunter, Associate Professor à UCLA et Professeur invité au département de sociologie de Paris 8 et d’Elijah Anderson, Professeur à Yale. Les interventions seront discutées par Martha S. Jones, Associate Professor à l’Université du Michigan, Ann Arbor. Organisation et contact : Celia Bense Ferreira AlvesLa conférence s’intitule Black Matters que l’on peut traduire par « Affaires noires » car les questions que W.E.B. DuBois et les chercheurs en sociologie urbaine après lui ont tenté de décrire et appréhender sont celles auxquelles la population noire de Philadelphie est quotidiennement confrontée. Une autre façon de traduire Black Matters est « Les noirs comptent » car les ethnographies approfondies et analyses théoriques qui traitent de la situation de la population noire ont élargi la compréhension générale que l’on a de la vie dans les grandes villes et mis en lumière non seulement les problèmes, mais également les actions prises par la population noire pour tenter de les résoudre. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, racisme
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Black Matters. From W.E.B. DuBois to Elijah Anderson and Marcus A. Hunter, Key Concepts on Race Relations (1) Celia Bense Ferreira Alves
/ 03-07-2015
/ Canal-u.fr
BENSE FERREIRA ALVES Celia, JONES Martha S., HUNTER Marcus Anthony, ANDERSON Elijah
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Conférence de Marcus A. Hunter, Associate Professor à UCLA et Professeur invité au département de sociologie de Paris 8 et d’Elijah Anderson, Professeur à Yale. Les interventions seront discutées par Martha S. Jones, Associate Professor à l’Université du Michigan, Ann Arbor. Organisation et contact : Celia Bense Ferreira AlvesLa conférence s’intitule Black Matters que l’on peut traduire par « Affaires noires » car les questions que W.E.B. DuBois et les chercheurs en sociologie urbaine après lui ont tenté de décrire et appréhender sont celles auxquelles la population noire de Philadelphie est quotidiennement confrontée. Une autre façon de traduire Black Matters est « Les noirs comptent » car les ethnographies approfondies et analyses théoriques qui traitent de la situation de la population noire ont élargi la compréhension générale que l’on a de la vie dans les grandes villes et mis en lumière non seulement les problèmes, mais également les actions prises par la population noire pour tenter de les résoudre. Mot(s) clés libre(s) : noirs américains, racisme
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