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Reflections of 1980s Sindhi Society in Amar Jaleel’s Dil Je Duniya: A Commentary on Aror Jo Mast
/ Serge BLERALD
/ Canal-u.fr
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Kamran Khumber, CEIAS (CNRS-EHESS) Mot(s) clés libre(s) : fiction, hindou, Littérature vernaculaire, nouvelles
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Comment étudier une langue orale ?
/ Céline Ferlita
/ Canal-u.fr
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Comment éudier une langue qui n'a ni dictionnaire, ni grammaire, ni traces écrites ? Ce sont les défis que relèvent les linguistes de terrain. Ce 4ème épisodes nous expliquent leurs méthodes, leurs difficultés rencontrées mais pas seulement : les bonnes surprises sont aussi au rendez-vous.Avec : Paulette Roulon-Doko, ethno-linguiste au LLACAN (Langage, langues et cultures d'afrique noire), CNRS /INALCOIsabelle Bril, linguiste au LACITO (Laboratoire
de Langues & Civilisations à Tradition Orale) CNRS, université Paris 3, UNIVERSITE
PARIS-SORBONNE PARIS 4 Mot(s) clés libre(s) : République Centrafricaine, Nouvelle calédonie
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La modernité : une greffe difficile sur le "grand village" / Pierre Weidknnet
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
WEIDKNNET Pierre
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La modernité : une greffe difficile sur le "grand village. Pierre WEIDKNNET. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pierre Weidknnett contextualise la construction de l'université du Mirail dans la politique urbaine de Toulouse, ce "grand village (selon l'appellation de l'historien Jacques Godechot) qui voulait se faire métropole. Au XVIIIe siècle, Toulouse est une ville "sainte, sotte et sale", placée au cœur d'une région agricole et préservant son centre ville. Les grands travaux urbains (quais, Grand-rond, canal de Brienne...) seront à l'initiative des États du Languedoc et de l'Intendant royal, tout comme la localisation de l'industrie aéronautique et chimique à Toulouse sera le fait de décisions d'État jusque dans les années 1950. Après la Libération, le 1er maire, Raymond Badiou, mènera une politique de maîtrise budgétaire dans une vision malthusienne de limitation de la croissance qui explique probablement la construction en zone périphérique de manière un peu anarchique excepté à Colomiers qui sera appréciée à postériori comme une réussite. A cette période, le cas de Toulouse n'est pas isolé car à l'échelle nationale prévaut la doctrine "du graviérisme", de Jean-François Gravier, pour un développement des campagnes et ce malgré l'exode rural vers les villes et notamment Paris. En 1960, le PADOG ( Plan d'aménagement et d'organisation générale de l'agglomération parisienne) publie un aménagement de l'Ile-de-France avec pour sous-titre "Paris ne doit pas croître" et c'est dans ce contexte que Toulouse va devenir métropole d'équilibre. En 1958, la nomination du nouveau maire de Toulouse est une rupture en matière de développement urbain dans l'idée d'une croissance nécessaire de la ville face aux mutations des modes de vie qui s'imposent à elle et dans le cadre concurrentiel du Marché commun naissant. Dès lors et pour une durée d'une dizaine d'années, une grande politique d'infrastructure va simultanément mener un aménagement du centre ville (pénétrante des allées Jean Jaurès notamment) avec la construction de la ville nouvelle du Mirail dans laquelle prendra place naturellement l'université au demeurant dans l'objectif supplémentaire de renvoyer les étudiants vers la banlieue. Le Mirail est un nouveau centre à côté de la ville ancienne comme en ont été construit dans les pays d'Europe de l'Est à la même période, à ceci près qu'il n'y est pas tout à fait juxtaposé comme dans ces pays et que le rapport modernité et patrimoine n'y est pas identique. Une troisième période, celle du maire Pierre Baudis, dont la campagne électorale s'est faite sur le Mirail et sur la politique urbaine, enclenche une dynamique de réhabilitation et un processus de gentrification du centre ville. C'est le moment où le mot Mirail disparaît du vocabulaire au profit de "centre régional". Mot(s) clés libre(s) : gentrification, politique urbaine, Toulouse (1950-1970), Toulouse (quartier du Mirail), urbanisation, ville nouvelle
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La religion des Chinois en France: Implantations, croyances et pratiques
Session 1. 3ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 18-05-2016
/ Canal-u.fr
WANG Jing, LIU Yongsi, ZHANG Xuesong
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Projet ANR et CCKF coordonné par FANG Ling et Vincent GOOSSAERT.
Colloque international du 18 au 20 mai 2016 au CNRS site Pouchet, Paris 17e et à l'INALCO, Paris 13e.
Le Nouvel an chinois : fête communautaire et rituel deprocession ?
WANG Jing Mot(s) clés libre(s) : religions chinoises, pratiques individuelles et familiales, nouvel an chinois
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Monique Linard
/ Jean-Pierre Pivin, Ruben Ibanez, Pascal Roche, INRP/TECNE, IUFM Academie de Versailles
/ 01-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, TRAULLET Claude
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Linguiste de formation, Monique Linard, a commencé par enseigner l’anglais dans le Secondaire. Elle est ensuite entrée à l’Université Paris 10 - Nanterre, où elle a poursuivi sa carrière en Sciences de l’Education. Dans les années 70, elle crée une filière d’enseignement et de recherche en pédagogie audiovisuelle. Au début des années 1980, elle s’intéresse aux questions de la connaissance et de l’apprentissage médiatisés par ordinateur. De 1992 à 1995, elle dirige à Lyon-Ecully un laboratoire CNRS de Sciences Humaines et Sociales consacré à divers aspects de la formation et de la communication liés aux TIC. Elle est actuellement Professeur Emérite de l’Université.Extraits vidéos du CD Rom "Une approche multimédia des idées et des personnes". Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Geneviève Jacquinot
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 04-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après un CAPES de lettres modernes et un diplôme de cinéma, Geneviève Jacquinot opte pour l'audiovisuel lors de missions en Afrique et à la radio-télévision scolaire. Elle enseigne ensuite au collège expérimental de Marly le Roy dès 1966 puis participe à la création de Paris 8 (Vincennes). Elle poursuit alors une carrière universitaire dans cette université (1).A partir de ces diverses expériences et de ses recherches, Geneviève Jacquinot a théorisé dans tous les domaines touchant à l’audiovisuel.Image et pédagogie (2)Les limites des expérimentations avec l’audiovisuel dans un système éducatif (3)Le rapport entre innovation et audiovisuel (4)Le statut de l’audiovisuel dans le contexte universitaire de Paris 8 (5)Après plusieurs expériences internationales (6), elle participe à l’expérimentation de la télévision scolaire en Côte d’Ivoire dont elle analyse les points et les limites durant près de 10 ans (7), puis enseigne à l’université d’Abidjan.De retour à Paris 8, elle participe aux avancées dans le domaine des technologies éducatives (8) et participe à l’élaboration de théories multiréférencées (9). Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Etienne Brunswic
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, Université Paris Descartes
/ 04-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Professeur de lettre en Tunisie puis Stagiaire à l’ENS Saint Cloud, il utilise des méthodes audiovisuelles en français, à partir de 1963, il intègre la Radio-télévision scolaire puis l’IPN (1), où il est chargé, entre autres, des expérimentations des circuits fermés de télévision, comme celui du collège de Marly le Roi. (2) (3). De 1971 à 1988 il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède à l’UNESCO qui joue alors un rôle important dans le développement des systèmes éducatifs des pays nouvellement indépendants (4) (5). Son approche va s'élargir, l'usage des technologies n'étant perçu que comme la résultante d'un système plus large (8) où la pédagogie elle même n’est que la résultante de facteurs objectifs (9). Après sa retraite, souvent avec Jean Valérien, il participera comme consultant auprès de divers organismes internationaux à de nombreux projets éducatifs.(10)>> à voir aussi: Formation des enseignants Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-u.fr
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
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Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, audiovisuel, TICE
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Entretien avec Jean Valérien
/ Jean-Pierre Pivin, Ruben Ibanez, Pascal Roche, INRP/TECNE, IUFM Academie de Versailles
/ 01-01-1997
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques
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Né en 1931, Jean VALÉRIEN entre en 1953 à l'École Normale Supérieure de Saint-Cloud, agrégé de sciences naturelles en 1957, puis lycée de Meaux, et service militaire au Service Cinématographique des Armées. Il est assistant, puis maître-assistant au Centre audiovisuel de l'E. N. S. de 1960 à 1968. Son objectif est d'intégrer les moyens audiovisuels dans l'enseignement particulièrement dans sa disciplinaire d'origine les sciences naturelles. Il réalise à partir de 1963, 60 films en 16 et 35 mm comme : « le fonctionnement cardiaque », « la structure de la cellule », ou, « du Pelvoux au Viso », puis à partir de 1965, en 8 mm.De 1965 à 1967, il réalise des émissions de télévision scolaire et participe à la réflexion sur les établissements expérimentaux comme l'École Alsacienne et surtout le CES de Marly-le-Roi, aménagé avec un circuit fermé de télévision.En 1968 à 1970, Jean VALÉRIEN est Inspecteur d'Académie à Moulins, soucieux avant la mode, de communiquer, il obtient de la presse locale la publication régulière d'une page sur l'école.De 1969 à 1973, il dirige la Radio Télévision scolaire (RTS, RTS Promotion) à l'Institut Pédagogique National puis à l'Office Français des Techniques Modernes d'Éducation (OFRATEME). La télévision scolaire est alors à son apogée. Durant cette période, la première opération multi-médias (en deux mots à l'époque) est initiée : « la France face à son Avenir »Dans ses fonctions, Jean VALÉRIEN est confronté à des expériences étrangères. Conseil de l'Europe et surtout TV Niger, TV Maroc et TV Côte d'Ivoire avec le complexe audio-visuel de Bouaké.De 1973 à 1980, il quitte le monde de l'École pour celui de la formation des adultes. Il est directeur d'une filiale de la Caisse des Dépôts et Consignations : le Centre d'Études et de Réalisations pour l'Éducation Permanente (CEREP). Il informatise son entreprise.Il rejoint l'administration centrale du ministère de l'Éducation de 1980 à 1983, élaborant des plans audiovisuels et informatiques. Ces réflexions précèdent ce qui deviendra un peu plus tard : le plan Informatique Pour Tous.De 1983 à 1985, chargé de mission auprès du Recteur de l'Académie de Rennes, il impulse des expérimentations de télédistribution et des créations de centre ressource en technologie. De retour à Paris en 1985, il est chargé de mission au Secrétariat d'État à la Communication pour préparer une chaîne éducative de télévision. De 1985 à 1989, Inspecteur de l'Académie de Paris, son secteur de responsabilité englobe l'AIS et les sections internationales.Ayant pris sa retraite, Jean VALÉRIEN est consultant pour le Ministère des Affaires Étrangères, le secrétariat d'État à la Coopération ou pour des organismes internationaux. Il joue un rôle actuellement dans l'appui à la constitution d'associations de parents d'élèves africains, dans l'élaboration de manuels et dans l'utilisation des autoroutes de l'information pour l'enseignement à distance. Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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