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Mots-clefs > O > ondes sismiques
Niveau supérieur
  • 5 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 5
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Sous le plus haut plateau du monde

/ Jean-François TERNAY, C.N.R.S Images, Cité des Sciences et de l'Industrie / 20-01-2000 / Canal-U - OAI Archive
GRAPPIN Christiane, HIRN Alfred, de VOOGD Béatrice
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En septembre 1998, une cinquantaine de chercheurs et de techniciens chinois et français sont réunis à Gonghe, petite bourgade au nord du plateau tibétain, pour une des plus vastes opérations d'études sismologiques organisées en Chine : étudier la croute terrestre sur un trajet long de près de 1000 km. Dans des conditions difficiles, les deux équipes vont placer 240 stations sismiques tous les 5 km entre Gonghe et Yushu. Ces enregistreurs vont mémoriser les ondes produites par des tirs de plusieurs tonnes d'explosifs enterrés par forage. Parallèlement a lieu une autre expérience de sismologie : il s'agit d'enregistrer les ondes sismiques naturelles engendrées par les tremblements de terre ayant lieu n'importe où à la surface du globe. La réunion de ces deux expériences va permettre d'obtenir une image plus fine de l'ensemble croute terrestre-manteau supérieur. Le premier tir est parfaitement réussi. Le lendemain, l'équipe contrôle le bon enregistrement des signaux sur les sismomètres. L'analyse des résultats a lieu au retour à Paris. La corrélation entre toutes les ondes enregistrées permet de préciser la position du MOHO (l'interface entre la croute et le manteau), et de commencer à dessiner les hétérogénéités de la croute.GénériqueAuteurs : Christiane GRAPPIN, Alfred HIRN et Béatrice de VOOGD Réalisation : Jean-François TERNAY Production : CNRS Images media-FEMIS-CICT/Cités des Sciences et de l'Industrie Diffusion : CNRS Diffusion
Mot(s) clés libre(s) : croûte terrestre, discontinuité de Mohorovicic, géologie, manteau supérieur, Moho, onde sismique, sismologie, Tibet, tremblement de terre
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Modélisation de la zone d'ombre des ondes P

/ Université Lyon-I, Unisciel / 2009 / Unisciel
Daniel Isabelle, Bezacier Lucile, Flament Nicolas
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Il s’agit d’illustrer la propagation des raies sismiques à l’intérieur de la Terre par une vidéo, et en particulier de mettre en évidence le caractère liquide du noyau terrestre externe. C’est une notion fondamentale, mais souvent mal comprise par les étudiants, car il faut beaucoup de temps pour l’expliquer sans support adhoc. Il apparaît une zone d’ombre dans l’enregistrement des ondes à la surface de la Terre, simple à observer mais complexe dans le détail. La zone d'ombre dans la propagation des ondes sismiques de type S est liée à leur non propagation dans le noyau liquide externe. La zone d'ombre dans la propagation des ondes sismiques de type P est quant à elle due à une plus faible vitesse de propagation de ces ondes dans le noyau par rapport au manteau.
Mot(s) clés libre(s) : raies sismiques, noyau terrestre externe, zone d’ombre, ondes P, propagation des ondes sismiques
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Mise en évidence de la zone d’ombre sismique - simulation

/ Université Lyon-I, Unisciel / 2009 / Unisciel
Daniel Isabelle, Bezacier Lucile
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Il s’agit d’illustrer la propagation des raies sismiques à l’intérieur de la Terre par une simulation, et en particulier de mettre en évidence le caractère liquide du noyau terrestre externe. C’est une notion fondamentale, mais souvent mal comprise par les étudiants, car il faut beaucoup de temps pour l’expliquer sans support adhoc. Il apparaît une zone d’ombre dans l’enregistrement des ondes à la surface de la Terre, simple à observer mais complexe dans le détail. La zone d'ombre dans la propagation des ondes sismiques de type S est liée à leur non propagation dans le noyau liquide externe. La zone d'ombre dans la propagation des ondes sismiques de type P est quant à elle due à une plus faible vitesse de propagation de ces ondes dans le noyau par rapport au manteau.
Mot(s) clés libre(s) : raies sismiques, noyau terrestre externe, zone d’ombre, ondes sismiques, propagation des ondes sismiques
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Mise en évidence de la zone d’ombre sismique

/ Université Lyon-I, Unisciel / 2009 / Unisciel
Daniel Isabelle, Bezacier Lucile
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Il s’agit d’illustrer la propagation des raies sismiques à l’intérieur de la Terre, et en particulier de mettre en évidence le caractère liquide du noyau terrestre externe. C’est une notion fondamentale, mais souvent mal comprise par les étudiants, car il faut beaucoup de temps pour l’expliquer sans support adhoc. Il apparaît une zone d’ombre dans l’enregistrement des ondes à la surface de la Terre, simple à observer mais complexe dans le détail. La zone d'ombre dans la propagation des ondes sismiques de type S est liée à leur non propagation dans le noyau liquide externe. La zone d'ombre dans la propagation des ondes sismiques de type P est quant à elle due à une plus faible vitesse de propagation de ces ondes dans le noyau par rapport au manteau.
Mot(s) clés libre(s) : raies sismiques, noyau terrestre externe, zone d’ombre, ondes sismiques, propagation des ondes sismiques
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Physique et sciences du globe

/ UTLS - la suite / 13-07-2005 / Canal-U - OAI Archive
CAMPILLO Michel
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La Terre est une planète vivante dont l'intérieur garde de nombreux secrets. Comment voir sous la surface ? Les ondes sismiques sont les seules ondes qui se propagent jusqu'au centre de la Terre. Elles permettent de réaliser des images des structures profondes. En utilisant des méthodes qui se rapprochent de celles de l'imagerie médicale, ces images permettent d'explorer des problèmes fondamentaux de la physique de la Terre comme la convection dans le manteau, qui conditionne les grands traits de la géologie de la surface, ou l'existence du champ magnétique. Dans la plupart des cas les analyses des sismologues s'appuient sur des ondes dont ils peuvent décrire précisément le trajet et dont ils connaissent bien la source. Ces ondes ne sont qu'une faible partie du signal enregistré en continu par les stations sismologiques modernes. La physique de la diffusion multiple offre des possibilités nouvelles pour exploiter ces masses importantes de données. En particulier, le bruit, cette agitation permanente de la surface du sol qui trouve principalement son origine dans les couplages avec les océans, peut être utilisé en l'absence de séisme pour déduire les sismogrammes qui seraient observés si un séisme se produisait exactement à une des stations d'enregistrement. Une nouvelle imagerie passive émerge qui permettra d'affiner nos images de l'intérieur de la Terre et donc d'y mieux cerner les processus physiques à l'origine du monde qui nous entoure.
Mot(s) clés libre(s) : champs diffus, corrélation, fluctuation-dissipation, géophysique, manteau terrestre, onde de surface, onde de volume, onde sismique, séisme, sismogramme, sismologie, Terre, tremblement de terre
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