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[...] Sur la base d’un besoin non exprimé de formation, nous avons décidé de proposer une formation de FOS du tourisme destinée aux professionnels et futurs professionnels qui auront la charge de promouvoir cette région [La Sibérie] à l’international, et notamment pour le public francophone. [En partant] d’une analyse d’un besoin de formation, nous avons défini des concepts et méthodologies à la base de cette formation ainsi qu’une ébauche des bases de contenus organisés autour de macro et micro-tâche. [Résumé auteur]
Volume 2 non disponible.
[...] Sur la base d’un besoin non exprimé de formation, nous avons décidé de proposer une formation de FOS du tourisme destinée aux professionnels et futurs professionnels qui auront la charge de promouvoir cette région [La Sibérie] à l’international, et notamment pour le public francophone. [En partant] d’une analyse d’un besoin de formation, nous avons défini des concepts et méthodologies à la base de cette formation ainsi qu’une ébauche des bases de contenus organisés autour de macro et micro-tâche. [Résumé auteur]
Volume 2 non disponible.
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Ce mémoire porte sur la place du "plaisir d'apprendre" dans les représentations des chercheurs en sciences de l'éducation, des enseignants et, partant, du personnel politique à travers de l'examen des programmes scolaires des trente dernières années.
Ce mémoire porte sur la place du "plaisir d'apprendre" dans les représentations des chercheurs en sciences de l'éducation, des enseignants et, partant, du personnel politique à travers de l'examen des programmes scolaires des trente dernières années.
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Au cycle 1, le langage a toujours été au coeur des apprentissages. Nous le travaillons dans nos classes à travers des albums de jeunesse, des comptines. Apprendre à parler une langue est donc un moyen de s’ouvrir au monde en encourageant à la compréhension interculturelle, ce qui contribue ainsi à faire reculer le racisme.
Je me suis donc demandé si les activités d’éveil aux langues favorisent les échanges culturels avec les familles et entre les familles.
Pour mener à bien la recherche, le travail de recherche est divisé en trois parties. La première partie se concentre sur le développement du cadre théorique et conceptuel de la recherche. La deuxième partie présente l'approche méthodologique adoptée pour la création et la mise en oeuvre de l'album pédagogique plurilingue dans la classe de sensibilisation aux langues. Enfin, la troisième et dernière partie présente les résultats de la recherche.
Au cycle 1, le langage a toujours été au coeur des apprentissages. Nous le travaillons dans nos classes à travers des albums de jeunesse, des comptines. Apprendre à parler une langue est donc un moyen de s’ouvrir au monde en encourageant à la compréhension interculturelle, ce qui contribue ainsi à faire reculer le racisme.
Je me suis donc demandé si les activités d’éveil aux langues favorisent les échanges culturels avec les familles et entre les familles.
Pour mener à bien la recherche, le travail de recherche est divisé en trois parties. La première partie se concentre sur le développement du cadre théorique et conceptuel de la recherche. La deuxième partie présente l'approche méthodologique adoptée pour la création et la mise en oeuvre de l'album pédagogique plurilingue dans la classe de sensibilisation aux langues. Enfin, la troisième et dernière partie présente les résultats de la recherche.
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Les tentatives de mesure de l’intelligence ont maintenant une longue histoire : les premiers tests du quotient intellectuel ont été conçus au début du XXe siècle. Il a néanmoins fallu attendre les travaux de Jean Piaget et sa théorie du développement de l’enfant pour que l’on s’intéresse à la manière dont les individus testés résolvent les problèmes qui leur sont présentés. L’œuvre d’Howard Gardner s’inscrit dans cette filiation. Ses travaux sur le développement des capacités cognitives, appuyés sur les neurosciences, ont trouvé leur aboutissement dans la formulation de sa théorie des intelligences multiples.
En utilisant les concepts forgés par Howard Gardner, ce mémoire propose quelques outils visant à discriminer les différentes formes d’intelligence chez des enfants de maternelle et, en particulier, à évaluer leur intelligence kinesthésique.
Les tentatives de mesure de l’intelligence ont maintenant une longue histoire : les premiers tests du quotient intellectuel ont été conçus au début du XXe siècle. Il a néanmoins fallu attendre les travaux de Jean Piaget et sa théorie du développement de l’enfant pour que l’on s’intéresse à la manière dont les individus testés résolvent les problèmes qui leur sont présentés. L’œuvre d’Howard Gardner s’inscrit dans cette filiation. Ses travaux sur le développement des capacités cognitives, appuyés sur les neurosciences, ont trouvé leur aboutissement dans la formulation de sa théorie des intelligences multiples.
En utilisant les concepts forgés par Howard Gardner, ce mémoire propose quelques outils visant à discriminer les différentes formes d’intelligence chez des enfants de maternelle et, en particulier, à évaluer leur intelligence kinesthésique.
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La démarche d’investigation est utilisée afin d’étudier les sciences dans le primaire et le secondaire. Elle est composée de plusieurs étapes : une situation déclenchante, une problématique qui en découle, des hypothèses qui expliquent le phénomène, des expérimentations pour valider celles-ci et enfin l’interprétation scientifique qui construit le savoir scientifique des élèves. Cela ne signifie pas qu’une seule étape doit avoir lieu en une séance et il est possible de revenir aux étapes précédentes.
Dans ce mémoire, la place de l’écrit dans cette démarche d’investigation est analysée dans les trois cycles qui forment le premier degré. Il développe les types d’écrits utilisés pendant les différentes étapes, ainsi que leurs fonctions. La fonction d’un type d’écrit ne sera pas la même selon l’étape dans laquelle il est utilisé. Pour permettre de faire ces analyses, j’ai mis en place trois séquences en sciences dans les trois cycles : en moyenne section, en CE1 et en CM2. Chaque séquence est développée en suivant et précisant les étapes de la démarche d’investigation avec pour chaque écrit produit, une analyse de sa fonction.
La démarche d’investigation est utilisée afin d’étudier les sciences dans le primaire et le secondaire. Elle est composée de plusieurs étapes : une situation déclenchante, une problématique qui en découle, des hypothèses qui expliquent le phénomène, des expérimentations pour valider celles-ci et enfin l’interprétation scientifique qui construit le savoir scientifique des élèves. Cela ne signifie pas qu’une seule étape doit avoir lieu en une séance et il est possible de revenir aux étapes précédentes.
Dans ce mémoire, la place de l’écrit dans cette démarche d’investigation est analysée dans les trois cycles qui forment le premier degré. Il développe les types d’écrits utilisés pendant les différentes étapes, ainsi que leurs fonctions. La fonction d’un type d’écrit ne sera pas la même selon l’étape dans laquelle il est utilisé. Pour permettre de faire ces analyses, j’ai mis en place trois séquences en sciences dans les trois cycles : en moyenne section, en CE1 et en CM2. Chaque séquence est développée en suivant et précisant les étapes de la démarche d’investigation avec pour chaque écrit produit, une analyse de sa fonction.
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L’étude des stadiasmes de la Grande Mer et de Patara implantés en Lycie rendent compte de l’ancrage territorial de la domination romaine dans l’espace géographique grec à l’époque de Claude (41 - 54 ap. J.-C.). Les stadiasmes sont, dans cet espace, des marqueurs de territorialité et des lieux de mémoire. Ils sont également porteurs d’une vision géographique grecque du monde permanente sous la domination romaine. Les stadiasmes peuvent aussi être envisagés comme des objets de métissage entre les cultures grecque et romaine.
La troisième partie propose une application pédagogique en classe de 6e.
L’étude des stadiasmes de la Grande Mer et de Patara implantés en Lycie rendent compte de l’ancrage territorial de la domination romaine dans l’espace géographique grec à l’époque de Claude (41 - 54 ap. J.-C.). Les stadiasmes sont, dans cet espace, des marqueurs de territorialité et des lieux de mémoire. Ils sont également porteurs d’une vision géographique grecque du monde permanente sous la domination romaine. Les stadiasmes peuvent aussi être envisagés comme des objets de métissage entre les cultures grecque et romaine.
La troisième partie propose une application pédagogique en classe de 6e.
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Apprendre à comprendre constitue une mission de l’Institution scolaire. Pour cela, tout enseignant se doit de développer, chez l’élève, des stratégies efficientes que celui-ci pourra utiliser face à des textes littéraires ou non. Ces stratégies, une fois acquises, constitueront des habiletés de lecture qui rendront le processus de la compréhension plus accessible. Au sein de la sphère scolaire, l’élève construit des règles de compréhension dès son plus jeune âge et l’enseignant(e) joue le rôle de médiateur, de guide afin qu’il devienne un lecteur actif et autonome.
D’après les nouveaux programmes, ce processus complexe doit reposer sur un enseignement explicite associant la clarté cognitive aux multiples interactions entre pairs. Apprendre à comprendre doit s’inscrire dans un projet de lecture qui conduit à la recherche d’inférences et qui doit tendre vers l’accès à la compréhension fine. Selon Jocelyne Giasson, il convient de mettre en place très tôt des processus de lecture et des habiletés afin d’accéder à la compréhension et de donner du sens à l’acte de lire. L’interaction entre la variable texte, lecteur et contexte améliore la compréhension et permet d’aborder différents textes qualifiés soit de collaborationnistes ou de résistants selon Catherine Tauveron.
Mais comment peut-on apprendre alors ? Par le personnage peut-être ?
J’ai choisi d’évoquer le personnage de la sorcière afin de répondre à la problématique suivante : comment les élèves peuvent-ils apprendre à comprendre par le personnage de la sorcière dans la littérature de jeunesse ?
Véritable être de papier, le personnage appartient à la fiction mais il est également le modèle auquel s’identifie l’enfant et c’est de la pluralité des lectures que les élèves se forgeront une construction solide du personnage. Il joue le rôle de médiateur entre le texte et le lecteur qui le modèle à son image et en fonction de son rapport au monde. Cependant, quelques obstacles d’ordre cognitifs et culturels doivent être pris en compte car tous les élèves n’ont pas le même bagage culturel. Les connaissances encyclopédiques font quelquefois défaut pour leur assurer une porte d’entrée dans le récit et c’est à ce moment que l’enseignant(e) met en place des activités. L’élève s’approprie des stratégies et grâce à ce processus qui devient peu à peu transparent, il se rend compte qu’il peut utiliser à nouveau ces mêmes stratégies dans d’autres textes : la compréhension est au service du sens.
Pourquoi choisir la sorcière ? Personnage énigmatique, à la frontière du mythe et de la légende, c’est un personnage qui intrigue certains, fascinent d’autres. Aujourd’hui, les auteurs de littérature de jeunesse l’extirpent de son stéréotype, « cassent le mythe » pour provoquer un décalage auprès des lecteurs. Affublée d’une touche humoristique, elle devient un personnage aux traits humains. D’ogresse, elle passe à un personnage presque familier. Très présente dans l’esprit des enfants, leur permet-elle d’accéder à la compréhension plus aisément ? Ma partie pratique auprès de trois classes (CP/ CE1 et CM2) m’a permis d’aborder ce personnage par le biais d’activités motivantes autour de deux contes : Hansel et Gretel des Frères Grimm et Baba Yaga de Rose Celli. L’objectif était qu’ils se détachent peu à peu de la lecture littérale pour accéder à une lecture symbolique. J’ai mis en place dix-huit séances suivies d’une analyse qui prouve que les élèves s’appuient sur le personnage pour construire des bases solides à la recherche de sens, ils ont acquis des stratégies qu’ils pourront utiliser dans d’autres textes. Ce fut une belle expérience que j’aurai plaisir à reconduire.
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Apprendre à comprendre constitue une mission de l’Institution scolaire. Pour cela, tout enseignant se doit de développer, chez l’élève, des stratégies efficientes que celui-ci pourra utiliser face à des textes littéraires ou non. Ces stratégies, une fois acquises, constitueront des habiletés de lecture qui rendront le processus de la compréhension plus accessible. Au sein de la sphère scolaire, l’élève construit des règles de compréhension dès son plus jeune âge et l’enseignant(e) joue le rôle de médiateur, de guide afin qu’il devienne un lecteur actif et autonome.
D’après les nouveaux programmes, ce processus complexe doit reposer sur un enseignement explicite associant la clarté cognitive aux multiples interactions entre pairs. Apprendre à comprendre doit s’inscrire dans un projet de lecture qui conduit à la recherche d’inférences et qui doit tendre vers l’accès à la compréhension fine. Selon Jocelyne Giasson, il convient de mettre en place très tôt des processus de lecture et des habiletés afin d’accéder à la compréhension et de donner du sens à l’acte de lire. L’interaction entre la variable texte, lecteur et contexte améliore la compréhension et permet d’aborder différents textes qualifiés soit de collaborationnistes ou de résistants selon Catherine Tauveron.
Mais comment peut-on apprendre alors ? Par le personnage peut-être ?
J’ai choisi d’évoquer le personnage de la sorcière afin de répondre à la problématique suivante : comment les élèves peuvent-ils apprendre à comprendre par le personnage de la sorcière dans la littérature de jeunesse ?
Véritable être de papier, le personnage appartient à la fiction mais il est également le modèle auquel s’identifie l’enfant et c’est de la pluralité des lectures que les élèves se forgeront une construction solide du personnage. Il joue le rôle de médiateur entre le texte et le lecteur qui le modèle à son image et en fonction de son rapport au monde. Cependant, quelques obstacles d’ordre cognitifs et culturels doivent être pris en compte car tous les élèves n’ont pas le même bagage culturel. Les connaissances encyclopédiques font quelquefois défaut pour leur assurer une porte d’entrée dans le récit et c’est à ce moment que l’enseignant(e) met en place des activités. L’élève s’approprie des stratégies et grâce à ce processus qui devient peu à peu transparent, il se rend compte qu’il peut utiliser à nouveau ces mêmes stratégies dans d’autres textes : la compréhension est au service du sens.
Pourquoi choisir la sorcière ? Personnage énigmatique, à la frontière du mythe et de la légende, c’est un personnage qui intrigue certains, fascinent d’autres. Aujourd’hui, les auteurs de littérature de jeunesse l’extirpent de son stéréotype, « cassent le mythe » pour provoquer un décalage auprès des lecteurs. Affublée d’une touche humoristique, elle devient un personnage aux traits humains. D’ogresse, elle passe à un personnage presque familier. Très présente dans l’esprit des enfants, leur permet-elle d’accéder à la compréhension plus aisément ? Ma partie pratique auprès de trois classes (CP/ CE1 et CM2) m’a permis d’aborder ce personnage par le biais d’activités motivantes autour de deux contes : Hansel et Gretel des Frères Grimm et Baba Yaga de Rose Celli. L’objectif était qu’ils se détachent peu à peu de la lecture littérale pour accéder à une lecture symbolique. J’ai mis en place dix-huit séances suivies d’une analyse qui prouve que les élèves s’appuient sur le personnage pour construire des bases solides à la recherche de sens, ils ont acquis des stratégies qu’ils pourront utiliser dans d’autres textes. Ce fut une belle expérience que j’aurai plaisir à reconduire.
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Pour ce mémoire de recherche, j’ai choisi comme objet d’étude l’influence d’une séquence de danse de création sur les élèves d’une classe de cycle 3. Mon expérience de la danse ayant favorisée mon propre bien-être, j’ai émis l’hypothèse que cette pratique pouvait également avoir un effet bénéfique sur le bien-être des élèves.
La particularité de la danse de création, et spécifiquement de la danse improvisée, est qu'elle laisse une grande part de liberté et de créativité à ceux qui la pratiquent. C'est pourquoi je me suis intéressée à la notion de créativité. Je me suis demandé si un travail créatif dans un domaine défini, ici, en l’occurrence, la danse, pouvait avoir des répercussions sur d'autres domaines et, en particulier, sur la production d'écrit.
Mes recherches sur l’apport pédagogique de la danse m’ont permis de mieux cerné mon objet et de construire ma méthodologie. J’ai travaillé à partir des traces écrites produites par l’ensemble des élèves au terme de chaque séance de danse. J’ai analysé spécialement l’évolution des travaux de quatre élèves choisis et réalisé des entretiens semi-directifs. L’ensemble des données ont été ensuite compilées et interprétées.
Pour ce mémoire de recherche, j’ai choisi comme objet d’étude l’influence d’une séquence de danse de création sur les élèves d’une classe de cycle 3. Mon expérience de la danse ayant favorisée mon propre bien-être, j’ai émis l’hypothèse que cette pratique pouvait également avoir un effet bénéfique sur le bien-être des élèves.
La particularité de la danse de création, et spécifiquement de la danse improvisée, est qu'elle laisse une grande part de liberté et de créativité à ceux qui la pratiquent. C'est pourquoi je me suis intéressée à la notion de créativité. Je me suis demandé si un travail créatif dans un domaine défini, ici, en l’occurrence, la danse, pouvait avoir des répercussions sur d'autres domaines et, en particulier, sur la production d'écrit.
Mes recherches sur l’apport pédagogique de la danse m’ont permis de mieux cerné mon objet et de construire ma méthodologie. J’ai travaillé à partir des traces écrites produites par l’ensemble des élèves au terme de chaque séance de danse. J’ai analysé spécialement l’évolution des travaux de quatre élèves choisis et réalisé des entretiens semi-directifs. L’ensemble des données ont été ensuite compilées et interprétées.
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Les bâtiments des écoles de la IIIème République semblent bien différents des bâtiments des écoles actuelles. Cette évolution suit-elle l’évolution de l’enseignement où répond-elle à d’autres critères ? Afin d’étudier cette question, un historique de l’enseignement et un historique des bâtiments scolaires sont dressés puis des plans des écoles de la IIIème République et des écoles contemporaines sont analysés.
Les bâtiments des écoles de la IIIème République semblent bien différents des bâtiments des écoles actuelles. Cette évolution suit-elle l’évolution de l’enseignement où répond-elle à d’autres critères ? Afin d’étudier cette question, un historique de l’enseignement et un historique des bâtiments scolaires sont dressés puis des plans des écoles de la IIIème République et des écoles contemporaines sont analysés.
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Plus que de simples anecdotes, ce mémoire tente d’apporter des informations sur l’architecture scolaire des écoles primaire française de la période de la troisième république à nos jours. Il ne se contente pas de faire un simple descriptif
de l’architecture scolaire et de l’organisation spatial d’une classe. Il justifie les choix architecturaux et organisationnelle pris par les architectes en fonction de l’histoire de l’école. Il répond ainsi à la question suivante : quelles sont les interactions entre l’architecture scolaire et les évolutions pédagogique. Pour y répondre, les auteurs analysent l’histoire de l’architecture scolaire française et les évolutions pédagogiques découpé dans le temps.
Plus que de simples anecdotes, ce mémoire tente d’apporter des informations sur l’architecture scolaire des écoles primaire française de la période de la troisième république à nos jours. Il ne se contente pas de faire un simple descriptif
de l’architecture scolaire et de l’organisation spatial d’une classe. Il justifie les choix architecturaux et organisationnelle pris par les architectes en fonction de l’histoire de l’école. Il répond ainsi à la question suivante : quelles sont les interactions entre l’architecture scolaire et les évolutions pédagogique. Pour y répondre, les auteurs analysent l’histoire de l’architecture scolaire française et les évolutions pédagogiques découpé dans le temps.
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