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Mots-clefs > O > orientalisme
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  • 24 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 10
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 09-10-2009 / Canal-U - OAI Archive
PALET MARTINEZ Josep Maria, ORENGO ROMEU Hèctor A.
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Mot(s) clés libre(s) : Age du bronze, archéologie du paysage, économie préhistorique, Néolithique, paléoenvironnement, Pyrénées orientales
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L'Art de la Danse Orientale: une tradition à préserver

/ Ilenia MACALUSO / 14-05-2015 / Canal-u.fr
MACALUSO Ilenia, AGARWAL Ankur, MARTIN JENNA
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Sonia Touchane, professeur de Danse Orientale, nous raconte le statut et la condition de travail des danseuses orientales aujourd’hui en Occident et en Egypte. Mariem Guellouz, sémiologue et linguiste nous explique l’histoire et les changements de cette danse influencée par les évènements historiquse qui ont aussi changé la société égyptienne aujourd’hui .
Mot(s) clés libre(s) : sémiologie, civilisation arabe, Egypte, tradition, danse orientale, mariem guellouz, sonia touchane
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Migrations et communautés de mémoire dans les Pyrénées-Orientales et à Perpignan / Bill Kidd

/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 13-10-2009 / Canal-U - OAI Archive
KIDD Bill
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Migrations et communautés de mémoire dans les Pyrénées-Orientales et à Perpignan. Bill Kidd (Université de Stirling, Royaume-Uni). In "Quartiers et mémoires de migrations", journée d'étude organisée par le laboratoire France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du moyen Age à l'époque contemporaine (FRAMESPA, CNRS) en collaboration avec la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration et avec le soutien de la MSHS de Toulouse, dans le cadre de "La Novela" le festival des savoirs de la ville de Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 13-14 octobre 2009.
Mot(s) clés libre(s) : immigrés, mémoire collective, Pyrénées-Orientales (France)
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La grande tradition de la médecine chinoise

/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM / 17-02-2010 / Canal-U - OAI Archive
GIARMON Yves
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La médecine traditionnelle chinoise (MTC) s'appuie sur des connaissances et des pratiques en constante évolution, accumulées et éprouvées depuis plus de vingt siècles. Cette médecine aujourd'hui fait partie des réponses apportées aux problèmes de santé de populations réparties dans tous les pays du globe. La MTC vise à sa manière au bien-être, à la prévention, au diagnostic et au trairement des maladies. Pour cela, elle se fonde sur des pratiques, des approches, des connaissances et des conceptions de santé spécifiques, à travers l'acupuncture, la pharmacopée chinoise, le tuina (massages et manipulations), la diététique chinoise, le qi gong et le tai qi...Après des millénaires d'observation et d'expérimentation dans une société chinoise très pragmatique elle arrive en occident par la France. Elle est aujourd'hui l'objet de nombreuses expérimentations modernes qui démontrent son efficacité. Il lui reste encore à combler un déficit d'image et de communication en occident...La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2009-2010 sur le thème "Santés, médecines, sociétés". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM /
Mot(s) clés libre(s) : acupuncture, armoises (emploi en thérapeutique), diététique, médecine chinoise, médecine chinoise (diagnostic), médecine orientale, méridiens, pharmacopée, points d'acupuncture, qi gong, tuina
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Du savon dans les yeux, toilette d’une fillette au sein peul bande, Ibel février 1990

/ 06-02-1990 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Du savon dans les yeux, toilette d’une fillette au sein peul bande, Ibel, région de Kédougou Sénégal Oriental, février 1990Une mère du village peut bandé d'Ibel au Sénégal oriental procède à la toilette de sa petite fille de neuf mois. Elle la savonne intégralement de la tête aux pieds, puis la rmce à la main. Elle la talque et l'essuie avec un pagne. Le bébé porte différents colliers et boucles d'oreilles et sa mère explique leur provenance et la raison pour laquelle il les porte. Après l'avoir habillé, elle lui donne le sein. Puis elle le fait danser sur ses genoux en chantant. Le soir, le bébé dort serré dans un pagne au dos de sa mère qui danse.Avec : Adama Diallo, la maman, Aïssatou Camara, sa fille, les voisines et amies du quartierTraduction à Paris Souleymane Balde, Mamadou Sylla, Mamadou Saliou Diallo, Sylvie BouvierMontage : Alain Epelboin, Sylvie Bouvier (assistante)Auteur-réalisateur : Alain Epelboin médecin ethnologue CNRS ParisDocument réalisé au cours d'une mission du Centre National de la Recherche Scientifique et du Muséum National d'Histoire Naturelle en accord avec le Ministère sénégalais de la recherche scientifique.
Mot(s) clés libre(s) : danse, Ibel, propreté, orifice, Sénégal oriental, soin quotidien, mouchage, eau, mère/enfant, Afrique, petite enfance, savon, musique, apprentissage, hygiène, vidéo, maternage, film ethnographique, amulette, toilette, Peul Bande
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Langues d’Islam (XIe-XVe siècle)

/ L'équipe technique des auditoriums de la BnF, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS / 27-11-2015 / Canal-u.fr
DAKHLIA Jocelyne, NEF Annliese, ANHEIM Étienne, GHOUIRGATE Mehdi, VALLET Éric
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L’héritage de l’orientalisme a fait des études linguistiques sur l’arabe un domaine de recherche souvent séparé de l’histoire des sociétés et des cultures. Dans ce dossier, les Annales proposent de revenir sur ce partage à la lumière de travaux récents inspirés par la sociolinguistique. Face à la pesanteur de l’image d’un arabe classique et coranique dominant les pratiques linguistiques et culturelles, il s’agit de montrer toute la variété des niveaux de langue au sein de l’arabe, mais aussi leur articulation à des formes originales de polyglossie, comme avec le berbère et l’italien. Dans cette perspective interdisciplinaire, les langues peuvent devenir de véritables objets d’histoire, et leur étude, une manière de renouveler profondément l’histoire sociale et politique de ce « second âge de l’Islam » qui reste encore trop souvent dans l’ombre de l’historiographie. En savoir plus
Mot(s) clés libre(s) : orientalisme, Islam, sociolinguistique, Italie, multilinguisme, Yémen, Moyen-Âge, Maghreb, berbère
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L’habitat urbain en Europe centrale et orientale - Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon

/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon / 24-11-2006 / Canal-u.fr
COUDROY de LILLE Lydia
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Quelles dynamiques ? Cette séance des « Déjeuners de l’ISH et de l’ENS LSH » est l’occasion de présenter au public les résultats d’une partie des recherches menées par l’auteur depuis une quinzaine d’années sur les transformations urbaines en Pologne et dans d’autres pays d’Europe centrale et orientale, sous l’angle de l’habitat. Marqueur du niveau de développement économique d’un territoire, des relations entre Etat et société, emprunt de codes et de valeurs individuels et collectifs, l’habitat offre une entrée complexe sur la compréhension des rapports entre espace et société – qui constitue le cœur de la démarche géographique. Au croisement entre réflexion diachronique (le rôle des grandes fractures historiques, la pérennité des héritages territoriaux) et synchronique (la démarche comparative, l’analyse multiscalaire), l’habitat est ici questionné plus particulièrement sous l’angle des modèles d’évolution urbaine en Europe centrale et orientale. Dans une première partie, l’habitat des villes de l’Europe qu’on appelait alors « socialiste » socialiste est présenté dans toute sa diversité. En effet, on a tendance à l’associer spontanément à l’image itérative et monotone du grand ensemble. Pourtant, cette apparence est trompeuse. D’une part, parce que cette forme architecturale et résidentielle s’est développée en Pologne et en Tchécoslovaquie entre les deux guerres, de manière expérimentale, avant que ces deux pays ne soient des pays « socialistes ». D’autre part, la résolution de la crise du logement grâce au recours à des formes architecturales « modernes » est un courant qui traverse toute l’Europe à cette même période, puis surtout après la Seconde Guerre mondiale. La différence fondamentale entre l’Europe dite alors « de l’est » avec l’Europe occidentale est la pérennisation du phénomène à l’est, alors qu’à l’ouest, d’autres solutions de logement furent proposées aux ménages à partir des années 1970 alors que cette alternative ne fut que très rarement autorisée (en Hongrie notamment). Le grand ensemble dans les pays socialistes offrait en définitive la meilleure réponse technique aux présupposés économiques et idéologiques que les Etats s’y étaient fixés. Sa généralisation et le gigantisme paroxysmique avec lequel il s’est diffusé sont responsables de l’indigence paysagère de bien des villes à l’est de l’Europe. Mais paradoxalement, l’habitat dit « de masse » laissait les populations en situation de pénurie structurelle de logements. Ce constat général doit être nuancé par le fait que ces orientations communes ont été mises en œuvre de manière finalement assez contrastée dans les différents Etats. Les populations y étaient toutes globalement mal logées à la fin des années 1980, mais selon des critères distincts : en Pologne, la pénurie quantitative était très marquée, en Roumanie la taille moyenne des logements était très basse, alors que les Bulgares étaient ceux qui devaient le plus souvent vivre dans des appartements communautaires. Autre différence marquante : le rapport à la propriété. La Bulgarie est un pays de propriétaires à plus de 90 % alors que c’est le cas de 40% des Polonais. Traditions historiques, choix politiques et économiques expliquent ces contrastes qui heurtent les idées reçues sur les éventuels choix idéologiques. Enfin, les grands ensembles ne sont pas conçus comme de l’habitat « social » mais doivent loger la majorité de la population, dans toute sa diversité sociale. Cela n’abolit pas les différences de statut des quartiers d’habitat collectif, mais celles-ci sont fines. Depuis les années 1990, les paradigmes politiques et économiques sont renouvelés : l’Etat s’est désengagé de la mission essentielle qu’il s’était fixée de contrôler l’offre de logements, et a reporté sur les communes une partie de ses compétences, comme l’offre de logements sociaux ; l’économie de marché exerce désormais ses lois sur le marché foncier notamment, et de nouveaux opérateurs économiques augmentent la part du privé dans l’offre de logements. Pour autant, 15 ans d’économie de marché n’ont pas du tout résolu le manque quantitatif de logements, ne serait-ce que parce que les investisseurs se sont d’abord intéressés à des secteurs économiques à plus forte rentabilité (immobilier d’affaires, tourisme). D’autre part, les ménages ont été fragilisés économiquement et socialement, ce qui a freiné la demande. Le rattrapage n’est donc pas fait, quantitativement. En revanche, l’amélioration qualitative de la construction est réelle : l’architecture est plus différenciée, et les matériaux de meilleure qualité. Dans les capitales, qui enregistrent le plus fortement les dynamiques et réagissent comme des miroirs grossissants – ou déformants, parfois -, l’habitat évolue là encore selon des logiques très différentes. En Hongrie, en Pologne, elles jouent un rôle de tête de pont des dynamiques économiques et profitent nettement de la situation en concentrant depuis la fin des années 1990 une part sensible des investissements dans l’immobilier résidentiel. Il n’en est rien en Roumanie, ni en Bulgarie. Le marasme s’y perpétue : à Bucarest seuls les populations les plus aisées se font construire des logements - très vastes -, et en Bulgarie, Sofia est délaissée, au profit de l’urbanisation touristique littorale. Spatialement, les dynamiques de l’habitat produisent des situations qui demandent des lectures interprétatives croisées. D’un côté, les dynamiques en cours montrent des traits de convergence avec des trajectoires urbaines « européennes » : le retour vers un certain interventionnisme étatique à la fin des années 1990, des politiques publiques territorialisées vers les quartiers les plus en difficulté en témoignent dans certains Etats. Mais d’autre part, la tendance des élites à s’enfermer dans des quartiers préservés tandis que se forment des poches de pauvreté à base ethnique (rom) dans certains quartiers péricentraux ou dans des grands ensembles (Hongrie, Slovaquie, Bulgarie) évoquent plus des processus d’« américanisation ». En ce sens, les villes d’Europe centrale et orientale indiquent une voie de développement hybride.
Mot(s) clés libre(s) : Europe centrale et orientale, habitat urbain
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Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : L’habitat urbain en Europe centrale et orientale

/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon / 24-11-2006 / Canal-U - OAI Archive
COUDROY de LILLE Lydia
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Quelles dynamiques ?Cette séance des « Déjeuners de l’ISH et de l’ENS LSH » est l’occasion de présenter au public les résultats d’une partie des recherches menées par l’auteur depuis une quinzaine d’années sur les transformations urbaines en Pologne et dans d’autres pays d’Europe centrale et orientale, sous l’angle de l’habitat. Marqueur du niveau de développement économique d’un territoire, des relations entre Etat et société, emprunt de codes et de valeurs individuels et collectifs, l’habitat offre une entrée complexe sur la compréhension des rapports entre espace et société – qui constitue le cœur de la démarche géographique. Au croisement entre réflexion diachronique (le rôle des grandes fractures historiques, la pérennité des héritages territoriaux) et synchronique (la démarche comparative, l’analyse multiscalaire), l’habitat est ici questionné plus particulièrement sous l’angle des modèles d’évolution urbaine en Europe centrale et orientale. Dans une première partie, l’habitat des villes de l’Europe qu’on appelait alors « socialiste » socialiste est présenté dans toute sa diversité. En effet, on a tendance à l’associer spontanément à l’image itérative et monotone du grand ensemble. Pourtant, cette apparence est trompeuse. D’une part, parce que cette forme architecturale et résidentielle s’est développée en Pologne et en Tchécoslovaquie entre les deux guerres, de manière expérimentale, avant que ces deux pays ne soient des pays « socialistes ». D’autre part, la résolution de la crise du logement grâce au recours à des formes architecturales « modernes » est un courant qui traverse toute l’Europe à cette même période, puis surtout après la Seconde Guerre mondiale. La différence fondamentale entre l’Europe dite alors « de l’est » avec l’Europe occidentale est la pérennisation du phénomène à l’est, alors qu’à l’ouest, d’autres solutions de logement furent proposées aux ménages à partir des années 1970 alors que cette alternative ne fut que très rarement autorisée (en Hongrie notamment). Le grand ensemble dans les pays socialistes offrait en définitive la meilleure réponse technique aux présupposés économiques et idéologiques que les Etats s’y étaient fixés. Sa généralisation et le gigantisme paroxysmique avec lequel il s’est diffusé sont responsables de l’indigence paysagère de bien des villes à l’est de l’Europe. Mais paradoxalement, l’habitat dit « de masse » laissait les populations en situation de pénurie structurelle de logements. Ce constat général doit être nuancé par le fait que ces orientations communes ont été mises en œuvre de manière finalement assez contrastée dans les différents Etats. Les populations y étaient toutes globalement mal logées à la fin des années 1980, mais selon des critères distincts : en Pologne, la pénurie quantitative était très marquée, en Roumanie la taille moyenne des logements était très basse, alors que les Bulgares étaient ceux qui devaient le plus souvent vivre dans des appartements communautaires. Autre différence marquante : le rapport à la propriété. La Bulgarie est un pays de propriétaires à plus de 90 % alors que c’est le cas de 40% des Polonais. Traditions historiques, choix politiques et économiques expliquent ces contrastes qui heurtent les idées reçues sur les éventuels choix idéologiques. Enfin, les grands ensembles ne sont pas conçus comme de l’habitat « social » mais doivent loger la majorité de la population, dans toute sa diversité sociale. Cela n’abolit pas les différences de statut des quartiers d’habitat collectif, mais celles-ci sont fines. Depuis les années 1990, les paradigmes politiques et économiques sont renouvelés : l’Etat s’est désengagé de la mission essentielle qu’il s’était fixée de contrôler l’offre de logements, et a reporté sur les communes une partie de ses compétences, comme l’offre de logements sociaux ; l’économie de marché exerce désormais ses lois sur le marché foncier notamment, et de nouveaux opérateurs économiques augmentent la part du privé dans l’offre de logements. Pour autant, 15 ans d’économie de marché n’ont pas du tout résolu le manque quantitatif de logements, ne serait-ce que parce que les investisseurs se sont d’abord intéressés à des secteurs économiques à plus forte rentabilité (immobilier d’affaires, tourisme). D’autre part, les ménages ontété fragilisés économiquement et socialement, ce qui a freiné la demande. Le rattrapage n’est donc pas fait, quantitativement. En revanche, l’amélioration qualitative de la construction est réelle : l’architecture est plus différenciée, et les matériaux de meilleure qualité. Dans les capitales, qui enregistrent le plus fortement les dynamiques et réagissent comme des miroirs grossissants – ou déformants, parfois -, l’habitat évolue là encore selon des logiques très différentes. En Hongrie, en Pologne, elles jouent un rôle de tête de pont des dynamiques économiques et profitent nettement de la situation en concentrant depuis la fin des années 1990 une part sensible des investissements dans l’immobilier résidentiel. Il n’en est rien en Roumanie, ni en Bulgarie. Le marasme s’y perpétue : à Bucarest seuls les populations les plus aisées se font construire des logements - très vastes -, et en Bulgarie, Sofia est délaissée, au profit de l’urbanisation touristique littorale. Spatialement, les dynamiques de l’habitat produisent des situations qui demandent des lectures interprétatives croisées. D’un côté, les dynamiques en cours montrent des traits de convergence avec des trajectoires urbaines « européennes » : le retour vers un certain interventionnisme étatique à la fin des années 1990, des politiques publiques territorialisées vers les quartiers les plus en difficulté en témoignent dans certains Etats. Mais d’autre part, la tendance des élites à s’enfermer dans des quartiers préservés tandis que se forment des poches de pauvreté à base ethnique (rom) dans certains quartiers péricentraux ou dans des grands ensembles (Hongrie, Slovaquie, Bulgarie) évoquent plus des processus d’« américanisation ». En ce sens, les villes d’Europe centrale et orientale indiquent une voie de développement hybride.
Mot(s) clés libre(s) : Europe centrale et orientale, habitat urbain
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La question paysanne des hautes terres d'Afrique de l'Est

/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM / 09-04-2008 / Canal-U - OAI Archive
CHARLERY DE LA MASSELIÈRE Bernard, VIDAL Franck
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Caractérisées par une altitude moyenne de 1000 m, de vastes plateaux et un climat équatorial modéré, les hautes terres d’Afrique de l’Est ont toujours été une région propice au développement de l’agriculture. Bien avant l’arrivée des premiers colons, ces terres étaient déjà occupées et organisées autour de la production agricole. A partir de 1850, les modèles de développement importés d’Europe se généralisent dans ces régions, puis se réorganisent à partir de 1930. Depuis les années 80, la dérégulation des marchés agricoles mondiaux impose aux hautes terres d’Afrique de l’Est une nécessaire construction de nouveaux réseaux et de nouvelles approches du développement agricole.
Mot(s) clés libre(s) : afrique orientale, agriculture, hautes terres (afrique orientale), paysannerie, politique agricole, produits agricoles
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Cours de syriaque n°08

/ ENS-LSH/SCAM / 04-11-2001 / Canal-u.fr
BOHAS Georges
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Cours de syriaque N° 8 sur Ens Media Textes modernes. Etude du livre d'Albert Abûnâ La lecture en syriaque (Bagdad 1982)Questions leçons 6 et 7. Etude leçons 8 et 9Grammaire. Les pluriels des nomsTextes classiques. Luc ch.1, v. 45Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard
Mot(s) clés libre(s) : apprentissage de l'alphabet syriaque, langues sémitiques, syriaque oriental, Albert Abûnâ, grammaire du syriaque, La lecture en syriaque, Evangile selon Luc
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