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Présentation du numéro spécial de la revue Critique : « Hong Kong prend le large »
/ Boris SVARTZMAN
/ Canal-u.fr
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Numéro 8/ 2014 (n° 807 – 808) conçu et dirigé par Sebastian Veg.Page personnelle de l'éditeur http://cecmc.ehess.fr/index.php?2687
Judith Pernin et Chloé Froissart ont collaboré ce numéro.
Sommaire de la revue
Depuis
sa rétrocession à la Chine en 1997, Hong Kong connaît une configuration
politique et culturelle inouïe d’îlot protodémocratique, de langue
cantonaise et cosmopolite, dans une Chine autoritaire, unitaire du point
de vue culturel et linguistique, et de plus en plus nationaliste. Cette
situation a abouti, depuis deux ou trois ans, à la revendication d’une
véritable identité culturelle hongkongaise, postnationale et distincte
de la Chine, que rien ne laissait présager au moment de la rétrocession,
fondée sur l’existence d’une culture cantonaise distincte, sur la
spécificité de l’expérience historique du colonialisme qui a sanctuarisé
les libertés fondamentales et sur la vitalité de la société civile.Quand
la question de l’avenir de Hong Kong est redevenue d’actualité, dans
les années 1980, à la suite de la politique de réformes et d’ouverture
menée en Chine, un certain consensus prévalait dans la société
hongkongaise pour mettre fin à l’ère coloniale et à ses injustices. Si
les réformes sociales des années 1970 (menées sous le gouvernorat de
Murray MacLehose) avaient enfin donné le statut de langue officielle au
chinois écrit et amélioré le système scolaire public et les filets
sociaux, les structures profondes du colonialisme – une société
fortement hiérarchique dominée par une élite anglophone, aux inégalités
socioéconomiques criantes, et l’exclusion d’une partie de la population
de la vie civique – ne prêtaient guère à la nostalgie. La signature de
la déclaration conjointe sino-britannique de 1984 marqua l’accord sur le
retour de Hong Kong à la Chine à la date de l’expiration du bail
emphytéotique sur les Nouveaux Territoires signé en 1898. (L’île de Hong
Kong et la péninsule de Kowloon au sud de Boundary Street avaient été
cédées à perpétuité à la couronne britannique en 1842, mais il fut jugé
matériellement difficile et politiquement intenable de les séparer du
reste du territoire.) Cependant, et malgré les garanties contenues dans
la formule « un pays, deux systèmes », l’idée d’un contrôle politique
direct par Pékin, a fortiori après la répression du mouvement
démocratique de 1989, provoqua l’angoisse des Hongkongais et une
émigration massive au cours des années 1990
Lire l’article en texte intégral en libre accès sur CAIRN.INFO Mot(s) clés libre(s) : cinéma, patrimoine culturel, HONG-KONG
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Musiques traditionnelles et création contemporaine / Roger Tessier, Patrick Burgan, Xavier Vidal, Jean-Jacques Castéret, Brice Tissier
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 18-03-2016
/ Canal-u.fr
VIDAL Xavier, CASTÉRET Jean-Jacques, BURGAN Patrick, TESSIER Roger, TISSIER Brice, COURT Jean-Michel
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Musiques traditionnelles et création contemporaine. En hommage à Jean-Christophe Maillard / Roger Tessier, Patrick Burgan, Xavier Vidal, Jean-Jacques Castéret, Brice Tissier, in 5ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation", organisé, sous la responsabilité scientifique de Jean-Yves Laurichesse, par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès. Toulouse, Centre occitan des musiques et danses traditionnelles, 18 mars 2016.
On oppose généralement les musiques traditionnelles, dites «
populaires », et la musique « contemporaine », de composition savante,
oubliant que la musique savante des siècles passés a souvent emprunté
des formes aux traditions populaires. Il s’agira, dans un dialogue entre
ethnomusicologues et compositeurs, d’interroger les processus par
lesquels, dans la musique comme dans les autres arts, le nouveau se
nourrit de l’ancien, le savant du populaire, comment en somme les
musiques traditionnelles, par-delà leur nécessaire « conservation »,
restent vivantes dans la création contemporaine.
Table ronde animée par Jean-Michel Court, maître de conférences de musicologie, Université Toulouse Jean Jaurès.
Intervenants :
- Roger TESSIER (compositeur),
- Xavier VIDAL
(musicien, responsable des Musiques traditionnelles au CRR de Toulouse),
- Patrick BURGAN (compositeur),
- Jean-Jacques CASTÉRET (ethnomusicologue,
Université de Pau et des Pays de l’Adour),
- Brice TISSIER (musicologue, Université Paris-Sorbonne et professeur d’analyse au Conservatoire Régional de Toulouse). Mot(s) clés libre(s) : protection du patrimoine culturel, musique contemporaine, création artistique contemporaine (21e siècle), musique traditionnelle
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Cinéma, adaptation, restauration : autour des "Misérables" d’Henri Fescourt (1925). Table ronde / Philippe Ragel, Yves Reboul, Béatrice de Pastre
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-12-2014
/ Canal-u.fr
REBOUL Yves, DE PASTRE Béatrice, RAGEL Philippe
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Cinéma, adaptation, restauration : autour des Misérables d’Henri Fescourt (1925). Table ronde / Philippe Ragel, Yves Reboul, Béatrice de Pastre, in 2ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission", animée par Philippe Ragel et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 12 décembre 2015.
Connu
jusqu’à présent uniquement en noir et blanc et dans une version de
courte durée, le film d’Henri Fescourt "Les Misérables" -adapté du roman de Victor Hugo- a fait l'objet d'une restauration qui lui a permis de retrouver sa durée initiale (6 heures, en 4 actes) et
la richesse des différentes techniques de couleurs utilisées son réalisateur afin d'être restitué dans une version très proche de celle présentée aux spectateurs en 1925, qualifiée à l’époque de "chef d’œuvre de la cinématographie mondiale". Grâce à une facture esthétique classique, une narration filmique maîtrisée et un montage aussi efficace que discret, le film Les Misérables d'Henri Fescourt adapte et transmet fidèlement le texte de l'oeuvre de Victor Hugo, tout en se conformant à une image assez conventionnelle du grand écrivain.
Intervenants
- Franck Loiret, directeur délégué de la
Cinémathèque de Toulouse,
- Jean-Yves Laurichesse, professeur de
littérature (Université Toulouse-Jean-Jaurès, campus Mirail),
- Philippe Ragel, maître de conférences HDR en histoire et esthétique du
cinéma, (Université Toulouse-Jean-Jaurès, campus Mirail),
- Béatrice de
Pastre, directrice des collections aux Centre National de la
Cinématographie,
- Yves Reboul, spécialiste de littérature du XIXe
siècle et de cinéma. Mot(s) clés libre(s) : films (conservation et restauration), protection du patrimoine culturel, adaptations cinématographiques, Victor Hugo (1802-1885), Henri Fescourt (1880-1966)
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Les collections graphiques du Musée de l'Air et de l'Espace : quelles "images" acquérir
/ 10-04-2015
/ Canal-u.fr
RAYNAUD Clémence
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Chaque année, une journée d’études est organisée lors du Carrefour de
l’Air au Musée de l'air et de l'Espace, pour étudier les questions
relatives à la conservation, la restauration et la mise en valeur du patrimoine
aéronautique. Elles ne peuvent trouver leur pertinence que par des croisements
de regards avec des collections d’un autre type, avec des spécialistes d’autres
disciplines. Cette journée s’adresse à tous ceux qui sont impliqués dans la
conservation du patrimoine aéronautique : musées, associations, particuliers,…
La journée d’études « collecter, conserver et restaurer le patrimoine
aéronautique » avait pour thème 2015 : Histoire, mémoire,
représentations et collections dans les musées d’histoire et de techniques.
Un musée, avant d’être une structure administrative ou un bâtiment est avant
tout une collection suivant les termes de la loi de 2002 qui fixe le cadre
d’existence et de fonctionnement des « musées de France » : le musée conserve,
restaure, étudie et présente au public les collections qu’il détient. Le
responsable de collections porte-t-il le même regard sur les oeuvres et les
objets que les spécialistes de la médiation culturelle ou du service des
publics ?
Que vient chercher et voir le visiteur ? Au-delà de l’oeuvre ou de l’objet
présenté, il y a aussi le contexte social, mental du visiteur et du
professionnel de musée. Que donne-t-on à voir aux visiteurs ? Les regards se
croisent mais voient-ils la même chose ?
Cette journée d’études est centrée sur les questions de l’histoire des
représentations et des mentalités autour des collections techniques et
scientifiques. Les premières communications ont pour but de placer le cadre
général de la réflexion. Dans une seconde partie, des responsables de
collections, dans des interventions courtes, placeront cette question des
représentations au niveau des collections que ce soit au musée de l’Air et de
l’Espace ou dans d’autres institutions. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, arts graphiques, musée, collection
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Les collections du musée de la voiture de tourisme de Compiègne : présentation technique de voitures ou représentation d'une société et d'un phénomène social ?
/ 10-04-2015
/ Canal-u.fr
PRIVAT - SAVIGNY Maria - Anne
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Chaque année, une journée d’études est organisée lors du Carrefour de
l’Air au Musée de l'air et de l'Espace, pour étudier les questions
relatives à la conservation, la restauration et la mise en valeur du patrimoine
aéronautique. Elles ne peuvent trouver leur pertinence que par des croisements
de regards avec des collections d’un autre type, avec des spécialistes d’autres
disciplines. Cette journée s’adresse à tous ceux qui sont impliqués dans la
conservation du patrimoine aéronautique : musées, associations, particuliers,…
La journée d’études « collecter, conserver et restaurer le patrimoine
aéronautique » avait pour thème 2015 : Histoire, mémoire,
représentations et collections dans les musées d’histoire et de techniques.
Un musée, avant d’être une structure administrative ou un bâtiment est avant
tout une collection suivant les termes de la loi de 2002 qui fixe le cadre
d’existence et de fonctionnement des « musées de France » : le musée conserve,
restaure, étudie et présente au public les collections qu’il détient. Le
responsable de collections porte-t-il le même regard sur les oeuvres et les
objets que les spécialistes de la médiation culturelle ou du service des
publics ?
Que vient chercher et voir le visiteur ? Au-delà de l’oeuvre ou de l’objet
présenté, il y a aussi le contexte social, mental du visiteur et du
professionnel de musée. Que donne-t-on à voir aux visiteurs ? Les regards se
croisent mais voient-ils la même chose ?
Cette journée d’études est centrée sur les questions de l’histoire des
représentations et des mentalités autour des collections techniques et
scientifiques. Les premières communications ont pour but de placer le cadre
général de la réflexion. Dans une seconde partie, des responsables de
collections, dans des interventions courtes, placeront cette question des
représentations au niveau des collections que ce soit au musée de l’Air et de
l’Espace ou dans d’autres institutions. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, musée, voiture, collection
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Art contemporain et tradition théologique. Table ronde / Lydie Parisse, Valère Novarina, Amador Vega
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-10-2015
/ Canal-u.fr
PARISSE Lydie, NOVARINA Valère, VEGA Amador
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Art contemporain et tradition théologique. Table ronde / Lydie Parisse, Valère Novarina, Amador Vega. Table ronde animée par Lydie Parisse, in séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation" organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 20 octobre 2015.
Contrairement aux théologies dites « positives », qui peuvent dire quelque chose sur le divin positivement, la tradition dite de « la voie négative » affirme que le problème du divin ne se laisse enfermer dans aucun appareil conceptuel. Or, une partie de la création moderne et contemporaine s’abreuve aux lectures des textes de cette tradition ancienne. Selon Valère Novarina, ces derniers contiennent l’essence du théâtre ; selon Amador Vega, ils sont à l’origine de l’art contemporain. Comment cette référence aux textes du passé peut-elle renouveler notre regard sur le langage, sur l’humain, sur la littérature, sur l’art ?
Cette rencontre-lecture est en lien avec le spectacle Le Vivier des noms qui se jouera au Théâtre Sorano de Toulouse du 17 au 19 novembre 2015.
Intervenants
Lydie Parisse, maître de conférences de
littérature française à l'Université Toulouse Jean-Jaurès,
Valère
Novarina, écrivain et metteur en scène,
Amador Vega, professeur
d’esthétique et de philosophie de la religion à l'Université Pompeu
Fabre de Barcelone. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, création artistique contemporaine (21e siècle), théâtre contemporain, patrimoine littéraire, mystique et littérature, littérature et religion
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Chimie et art
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 18-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MOHEN Jean-Pierre
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C'est Gaston Bachelard qui, après Pasteur, attira l'attention sur les transactions et les créations matérielles dans la science et la chimie. Il rappelle que ce domaine dépasse, par sa richesse, la mémoire et l'imagination de tout homme. En réalité depuis qu'ils fabriquent des pierres taillées et des épieux appointés, depuis qu'ils utilisent le feu, depuis qu'ils tannent des peaux, qu'ils enduisent de couleurs leurs corps ou les parois des cavernes les Hommes sont plongés dans le monde de la chimie par l'intermédiaire de tous ces matériaux qu'ils expérimentent concrètement mais dont ils ne connaissent absolument pas la théorie.Les métallurgistes, les verriers, les fabricants de couleurs ont sans doute compris quelques processus de la transformation des matériaux mais il semble que leur savoir soit resté empirique. Nous avons à faire à un énorme matériel, d'énormes vestiges que les Hommes ont produits d'une manière synthétique, ingénieuse, mais ils n'en savaient pas la théorie. Ils avaient un sentiment d'empirisme, ils réussissaient, et parfois d'une manière géniale, ces objets que l'on retrouve dans les tombes et les habitats. Tous ces objets, nous en avons la charge, des témoins, des références qu'il faut comprendre et essayer de conserver. Tout a commencé lorsque Roentgen, il y a environ un siècle, a inventé les rayons X. En inventant les rayons X, il inventait l'invisible, il permettait de voir quantités de choses que nous ne pouvions percevoir avec nos yeux. Cet invisible va être source de quantité de travaux que ce soit en médecine, en physique et dans le monde du patrimoine. Une science, la science des matériaux, l'art dans le sens de ce qu'a fabriqué l'Homme, y a trouvé un outils précieux. Mot(s) clés libre(s) : art, art et sciences, chimie analytique, expertise, patrimoine culturel, science appliquée à l'art, science du patrimoine, sciences des matériaux
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Maisons d’écrivains, lieux de mémoire et de création. Table ronde / Caroline Casseville, Daniel Fabre, Jacques Mény
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 28-05-2015
/ Canal-u.fr
MENY Jacques, LAURICHESSE Jean-Yves, FABRE Daniel, CASSEVILLE Caroline
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Maisons d’écrivains, lieux de mémoire et de création. Table ronde / Caroline
Casseville, Daniel Fabre, Jacques Mény. Table ronde animée par Jean-Yves Laurichesse, in séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1.
Conservation, transmission" organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 28 mai 2015.
Alors
même que la figure de l’auteur a été mise en question et que la
littérature a perdu de son importance sociale, l’engouement contemporain
pour les maisons d’écrivains montre que les lecteurs restent sensibles
aux lieux où ont vécu les grands créateurs et qui les ont inspirés. Que
viennent-ils y chercher qui puisse ajouter à la lecture des œuvres ou la
prolonger ? Ces lieux relèvent-ils d’un culte illusoire ou bien
gardent-ils une forme de mémoire de la création ? Peuvent-ils échapper à
la muséification et susciter de nouvelles œuvres ?
Tour à tour sont évoqués le besoin du public que la littérature s'incarne dans un lieu et dans des objets, la recherche du lieu et de l'atmosphère de la création, cotoyer l'intimité de l'écrivain et la genèse d'une oeuvre. La maison d'écrivain c'est « une mise en présence de l'originel (...) l'espace où quelque chose a eu lieu » (Daniel Fabre). Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, lieux de mémoire, patrimoine littéraire, écrivains (résidences et lieux familiers)
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Le cinéma comme art
/ Mission 2000 en France
/ 23-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MAKOWSKI Claude
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Le cinéma comme art par Claude Makovski Abel Gance disait : " Il y a le cinéma et l'art du cinéma ". Il savait de quoi il parlait, lui qui nous a laissé quelques chef-d'oeuvres incontestés du 7ème art : La Roue, J'Accuse ou le prodigieux Napoléon. Après une description introductive à la praxis cinématographique, puis une seconde partie consacrée aux aléas qui jalonnent la jeune histoire du cinéma (105 ans, bientôt 106 : quatre générations d'imaginaires renouvelés), la troisième partie de l'exposé sera dévolue au récit de quelques exemples choisis qui montreront en outre la fragilité de la pérennité des oeuvres cinématographiques, dont l'avenir dépendra de nouvelles vigilances de conservation et d'une prise de conscience non exclusivement sectaire ni marchande du patrimoine filmé, source inépuisable de culture et de création. Enfin, les nouvelles technologies permettront-elles à la fois de desserrer l'étau parfois oppressant des " décideurs " (ceux, qui, tenant les cordons de l'industrie, commandent aux créateurs) et d'apporter des techniques inédites de protection et de prolongement vital des films dont l'existence affirme la présence de l'Art du Cinéma ? Mot(s) clés libre(s) : art cinématographique, cinéma, cinéma (technique), cinéma numérique, femmes et cinéma, films (conservation et restauration), protection du patrimoine culturel
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Théâtre antique et enjeux contemporains : créer dans l’écart / Pierre Letessier, Jean-Claude Bastos, Gregory Bourut
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-02-2016
/ Canal-u.fr
LETESSIER Pierrre, BASTOS Jean-Claude, BOURUT Grégory, GARELLI Marie-Hélène
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Théâtre antique et enjeux contemporains : créer dans l’écart / Pierre Letessier, Jean-Claude Bastos, Gregory Bourut, in 4ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation", organisé, sous la responsabilité de Jean-Yves Laurichesse, par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse Jean Jaurès. Toulouse, Théâtre Daniel Sorano, 12 février 2016.
Et
si, loin d’être « moderne » comme nous l’aimerions, le théâtre antique
était « autre » ? S’il appartenait à un territoire si éloigné et
différent du nôtre que notre lecture ne saurait s’en faire que dans
l’écart et la recréation ? La séance abordera cette question à propos de
la mise en scène de l’Antigone de Brecht par Gregory Bourut, donnée au
Théâtre Sorano du 9 au 12 février 2016. Double écart et double jeu que
cette relecture d’une recréation ? Comment, par l’écart ou malgré lui,
peut-on rejoindre les enjeux contemporains ?
Table ronde animée par Marie-Hélène Garelli (professeur de langues anciennes,
Université Toulouse Jean Jaurès.
Intervenants
- Pierre LETESSIER (maître de conférences à l’Institut d’Études
Théâtrales, Université Paris 3-Sorbonne Nouvelle),
- Jean-Claude BASTOS (comédien et metteur en scène,
responsable de l’espace de création Gare aux Artistes, Toulouse),
- Gregory BOURUT (comédien et metteur en scène, Compagnie Blutack
Theatre). Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, mise en scène théâtrale, théâtre français contemporain, tragédie grecque
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