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Images et mirages, nanosciences : ouverture du colloque / Anne Sauvageot, Xavier Marie, Xavier Bouju
/ Jean JIMENEZ, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SAUVAGEOT Anne, MARIE Xavier, BOUJU Xavier
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Images & mirages @ nanosciences : ouverture du colloque / Marie-Christine Jaillet, Anne Sauvageot, Xavier Marie, Xavier Bouju. Colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010.Présentation générale du colloqueCe colloque invite artistes, scientifiques, philosophes et sociologues, à croiser leurs regards, leurs connaissances et leurs savoir-faire sur les images produites par et pour les nanosciences et les nanotechnologies. En permettant en effet de concevoir, d’observer et de fabriquer des objets à l’échelle nanométrique, de nouveaux outils scientifiques offrent désormais au regard les images d’un « visible invisible » relevant en particulier de la physique quantique. Ces images qui donnent accès au nanomètre (un milliardième de mètre) et dont la présence dans le domaine de la vulgarisation scientifique se fait de plus en plus intense, ne peuvent que renouveler le questionnement sur le régime du voir comme sur les relations que celui-ci entretient avec le savoir et les imaginaires. Le colloque analyse les impacts de ces outils, la dynamique de la représentation et de la simulation, les rapports entre le perçu et le réel, les modalités de la réception et de l’interprétation de ce nouveau monde des formes mais aussi les dérives cognitives voire commerciales. En s’appropriant ou en détournant les images et les artefacts scientifiques, quel est l’ordre des significations que leur apportent les artistes, que conservent-ils du contenu d’origine, quelles dimensions originales leur confèrent-ils et de quels messages les chargent-ils ? Mot(s) clés libre(s) : art contemporain et esthétique, art et sciences (21e siècle), art et technologie, arts visuels, création artistique (21e siècle), imagerie scientifique (influence), imagerie scientifique (représentation), nanotechnologies (réception), perception spatiale
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La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience, ou Bergson et la valse à trois temps (par Camille Riquier)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 25-03-2014
/ Canal-u.fr
RIQUIER Camille
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La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience de Bergson. Mot(s) clés libre(s) : espace-temps, chronologie, perception du temps, Temps vécu, durée, conscience de soi (philosophie), Gilles Deleuze, contribution au concept de temps, perception spatiale, spatialisation
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Quantum fireflies - Lucioles quantiques / Ludwig
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LUDWIG
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Quantum fireflies - Lucioles quantiques / Ludwig. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 4 : Visions et visées artistiques sur les nanos. L’inscription d’une esthétique nanotechnologique dans le contexte scientifique et artistique, 9 décembre 2010.Déluge lumineux conçu pour l’occasion, Quantum fireflies nous projette dans un champ ouvert, quantique, parcouru d’ondes, d’interférences, de flashes et d’éclairs. Résultat d’un workshop mené avec les étudiants en Master et Doctorat d’arts plastiques, cette installation explore la relation de dualité onde-particule telle qu’elle est envisagée en physique contemporaine, en privilégiant une approche bottom-up-bottom-up-bottom-bottom-up-up-…, pour une traversée des échelles concevables et inconcevables. De fantomatiques lucioles évoluent dans l’espace chargé de particules de brume, tout en générant vagues, vibrations et tremblements. Les corps sont irradiés, déformés d’ombre - toute frontière évaporée. Les énergies à l’œuvre à échelle nanométrique se retrouvent ici projetées en plein air, matérialisant peut-être un nouveau champ de probabilités. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (21e siècle), arts visuels et sciences, imagerie scientifique, nanosciences (influence), perception spatiale
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24 dollars rings-Assemblages-formes / Bruno Lhonneur, Ophélie Frayssinet
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LHONNEUR Bruno, FRAYSSINET Ophélie
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24 dollars rings-Assemblages-formes / Bruno Lhonneur, Ophélie Frayssinet. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 1 : Les échelles du visible. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible, 9 décembre 2010.Bruno Lhonneur et Ophélie Frayssinet, professeurs d’arts appliqués au Lycée Rive-Gauche de Toulouse présentent des études, conçues et développées en partenariat avec le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) de Toulouse), par deux classes d’étudiants en arts appliqués (BTS de design d’espace et Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles du design) représentant le Lycée Rive-Gauche. Un ensemble de documents visuels commentés, illustrent la démarche et les thèmes abordés (la multiplication, l’échelle, le temps et l’infini) ainsi que les propriétés des matériaux utilisés pour leurs œuvres réalisées dans le cadre d’exercices réalisés pendant le cours d’Expression Plastique de ces deux formations. Mot(s) clés libre(s) : arts visuels, création artistique et sciences, imagerie scientifique (réception), imageries scientifiques (influence), nanosciences, perception spatiale (dans l'art), réalisations artistiques d'étudiants (Toulouse), sciences et arts
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Une approche géographique des images de l'art occidental
/ UTLS - la suite
/ 30-10-2002
/ Canal-U - OAI Archive
GRISON Laurent
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Notre travail unit un métier - celui de chercheur - et une double passion, celle de l'art et celle de la géographie. En mettant soigneusement les choses les unes à côté des autres, les unes avec les autres, comme dans la poésie mallarméenne ou sur une carte, nous choisissons de comprendre la géographie comme une dialectique du combinatoire qui a pour objet l'interprétation des lieux, des symboles et des signes, une science à la recherche de l'épissure entre l'espace réel et l'espace imaginaire. Étudier les figures géographiques dans les différentes formes d'art, c'est construire un pont entre plusieurs approches de la spatialité. La figure géographique - la représentation d'un carrefour ou d'une route, par exemple - est une forme fondamentale de l'espace. Elle détermine le sens des représentations. Nervure du réel, elle entretient des liens intimes avec l'espace géographique et correspond à des lois de l'organisation spatiale. La figure est une pièce de l'espace, qu'il soit espace réel et/ou espace imaginaire construit à partir du réel. Notre postulat de départ est que l'art est écriture créative de l'espace - même si, bien sûr, on ne peut réduire la création à cette seule caractéristique. Entre autres gestes, les artistes - écrivains, peintres, musiciens ou autres - narrent, projettent et reproduisent l'espace. Ils utilisent, façonnent et exposent des figures géographiques dans un processus de construction qui intègre des phénomènes d'imbrication et de transposition de celles-ci. Les différentes formes d'art n'entretiennent pas avec l'espace les mêmes relations mais il nous semble qu'aucune n'est plus spatiale qu'une autre par principe et que rien n'empêche de les considérer avec une même méthode rationnelle. Notre problématique centrale est la suivante : comment la création artistique use-t-elle des figures géographiques et quel sens leur donne-t-elle dans l'art occidental depuis la Renaissance ? Portant un regard à la fois géographique et sensible sur les oeuvres, nous mettons au jour quelques éléments d'une grammaire des figures dans l'art qui associe forme et sens. Le géographe est ici un déchiffreur de signes : représentations de l'espace, métaphores et symboles. Notre méthode est d'essence structuraliste : s'appuyer sur le contexte social et politique de la création d'une oeuvre, mesurer la transformation de la relation de l'art à l'espace, n'exclut pas de rechercher des éléments fondamentaux et universels. Mot(s) clés libre(s) : analyse spatiale (statistique), art et géographie, art occidental, création (esthétique), espace (art), géographie dans l'art, perception spatiale
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
CHEVRIER Joël
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Pour faire le portrait d'un électron / Joël Chevrier. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 1 : Les échelles du visible. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible, 9 décembre 2010.La pointe du Microscope à Force Atomique (AFM) peut palper une surface à l’échelle nanométrique comme je le fais avec l'extrémité de mon doigt à notre échelle. Quelle différence entre la pointe de l’AFM et le bout de mon doigt lorsqu’ils touchent une surface, c’est à dire un mur ? Pas si grande. La soudaineté du contact, manifestation banale mais centrale de la mécanique quantique, fait que du nanomètre au mètre, les objets inertes ne s'interpénètrent pas mais se touchent brutalement. Alors faire le portrait d’un électron avec un AFM, est ce différent ? Oui. Cet électron attaché à une molécule sur une surface est d’abord une charge électrique. La pointe nanométrique vient interagir avec lui grâce au champ électrique. Un portrait électrique donc. Le mur m’exclut quelques soient mes efforts pour partager son espace. Pour occuper sa place, il me faudra le détruire. Un électron sur une surface. Quelle est sa taille ? Quelle place occupe-t-il ? Mauvaises questions pour un scientifique. Pour le Microscope à Force Atomique, l’image vient tranquillement et sans détour. C’est quasiment automatique. Appuyant fort, la pointe s’approche, on a l’image d’un petit électron. En appuyant faiblement, une nouvelle image le montre énorme. Dans les deux cas, on produit une image de l’électron, toujours basée sur la force électrique d’interaction entre la pointe du palpeur et cet électron. Parmi toutes ces images, quel est le portrait de l’électron ? Au choix du spectateur. Jusqu’où peut aller cette variation de la taille apparente ? Ici, jusqu’aux limites de "l’appareil photo".> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : arts et sciences, imagerie scientifique (interprétation), nanosciences (réception), nanotechnologies (instrument), perception spatiale
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