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Mots-clefs > P > PIB
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  • 9 ressources ont été trouvées. Voici les résultats 1 à 9
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Tri :   Date Editeur Auteur Titre

Qu'est-ce que le produit intérieur brut (PIB) ?

/ Pedago SYDO / Canal-u.fr
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On entend régulièrement parler de « PIB », mais que se cache derrière ces 3 lettres ? Comment le PIB est-il calculé ? Que permet-il de mesurer ? Cette nouvelle vidéo « Dessine-moi l'éco » explique en 3 minutes la notion de PIB et les concepts clés (Richesse par habitant, PIB nominal et réel, etc.) qui s'y rattachent.
Mot(s) clés libre(s) : calcul, richesse, PIB, BIB, valeur ajoutée
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Austérité ou relance, comment ça marche ?

/ Pedago SYDO / Canal-u.fr
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Qu'est-ce qu'une politique d'austérité ? Et une politique de relance ? Comment un État choisit entre ces deux types de politiques ? Cette nouvelle vidéo "Dessine-moi l'éco" explique en 3 minutes comment et selon quel indicateur un État va décider de mener soit une politique d'austérité soit une politique de relance afin de tenter de diminuer le poids de sa dette par rapport à son PIB.
Mot(s) clés libre(s) : PIB, Dette, austérité, relance
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Laboratoire TRIS - Modélisation de l'économie française - Volet 3

/ 08-03-2014 / Canal-u.fr
MATOUK Jean
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Jean Matouk est Professeur à l’Université de MONTPELLIER Il est l'auteur de nombreux ouvrages et plus particulièrement en anthropologie économique: 1978 "La gauche peut sauver l'entreprise" Ramsay 1979 "Le Languedoc Roussillon et l'avenir" Lacave – Montpellier 1987 "Le socialisme libéral" - Albin Michel 1990 "Systèmes financiers comparés" - Les banques Dunod (traduit en russe) 2000 "La Bourse" Les Essentiels - Milan Jean MATOUKl nous présente aujourd'hui son modèle écrit et soutenu lors de son doctorat. Cette vidéo est une introduction courte qui est suivi de trois autres vidéos. Elle nous permet de situer son modèle dans la théorie économique. Dans cette dernière vidéo, professeur Jean Matouk explique les différentes liaisons entre les différents agrégats économqiues de son modèle et nous présente de fançon schémtique le modèle. Le schéma disponilbe dans l'onglet
Mot(s) clés libre(s) : PIB, consommation, economie, revenu
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Laboratoire TRIS - Modélisation de l'économie française - Volet 2

/ 08-03-2014 / Canal-u.fr
MATOUK Jean
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Jean Matouk est Professeur à l’Université de MONTPELLIER Il est l'auteur de nombreux ouvrages et plus particulièrement en anthropologie économique: 1978 "La gauche peut sauver l'entreprise" Ramsay 1979 "Le Languedoc Roussillon et l'avenir" Lacave – Montpellier 1987 "Le socialisme libéral" - Albin Michel 1990 "Systèmes financiers comparés" - Les banques Dunod (traduit en russe) 2000 "La Bourse" Les Essentiels - Milan Jean MATOUKl nous présente aujourd'hui son modèle écrit et soutenu lors de son doctorat. Cette vidéo est une introduction courte qui est suivi de trois autres vidéos. Elle nous permet de situer son modèle dans la théorie économique. Présentation de la modélisation de la consommation des ménages. Voir le schéma 2 dans l'onglet ci-dessous.
Mot(s) clés libre(s) : PIB, consommation, economie, revenu
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Laboratoire TRIS - Modélisation de l'économie française - Volet 1

/ 08-03-2014 / Canal-u.fr
MATOUK Jean
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Jean Matouk est Professeur à l’Université de MONTPELLIER Il est l'auteur de nombreux ouvrages et plus particulièrement en anthropologie économique: 1978 "La gauche peut sauver l'entreprise" Ramsay 1979 "Le Languedoc Roussillon et l'avenir" Lacave – Montpellier 1987 "Le socialisme libéral" - Albin Michel 1990 "Systèmes financiers comparés" - Les banques Dunod (traduit en russe) 2000 "La Bourse" Les Essentiels - Milan Jean MATOUKl nous présente aujourd'hui son modèle écrit et soutenu lors de son doctorat. Cette vidéo est une introduction courte qui est suivi de trois autres vidéos. Elle nous permet de situer son modèle dans la théorie économique. Présentation générale du modèle de l'économie francaise. Vous avez dans l'onglet ci-dessous les schèmas des liaisons entre les différentes variables économiques.
Mot(s) clés libre(s) : PIB, consommation, economie, revenu
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Laboratoire TRIS - Modélisation de l'économie française - Introduction courte

/ 08-03-2014 / Canal-u.fr
MATOUK Jean
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Jean Matouk est Professeur à l’Université de MONTPELLIER Il est l'auteur de nombreux ouvrages et plus particulièrement en anthropologie économique: 1978 "La gauche peut sauver l'entreprise" Ramsay 1979 "Le Languedoc Roussillon et l'avenir" Lacave – Montpellier 1987 "Le socialisme libéral" - Albin Michel 1990 "Systèmes financiers comparés" - Les banques Dunod (traduit en russe) 2000 "La Bourse" Les Essentiels - Milan Jean MATOUKl nous présente aujourd'hui son modèle écrit et soutenu lors de son doctorat. Cette vidéo est une introduction courte qui est suivi de trois autres vidéos. Elle nous permet de situer son modèle dans la théorie économique.
Mot(s) clés libre(s) : PIB, consommation, economie, revenu
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La mesure de la croissance économique

/ AUNEGE, CERIMES / 28-05-2014 / Canal-u.fr
DELORD Nicolas
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Trimestrielle ou annuelle, réalisée ou prévisionnelle, la croissance économique et le PIB sont omniprésents dans les médias et dans les débats économiques contemporains. Ce clip rappelle que le PIB mesure tout à la fois la valeur ajoutée des activités de production du côté de l'offre, la distribution primaire des revenus et enfin les dépenses des agents économiques du côté de la demande.
Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, production, PIB, revenu, valeur ajoutée, État
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Les comptes de la santé et de la protection sociale

/ 02-03-2006 / Canal-U - OAI Archive
BERSHI Célia
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On constate une croissance du PIB en 2004 après 3 ans de ralentissement. Cette reprise est liée à l'augmentation de la consommation des ménages liée à une forte hausse du SMIC (+ 5.8 %). La loi de finance de la Sécurité sociale en 2004 a vu la suppression du FOREC, l'augmentation de la perception sur le tabac, la fixation de l'ONDAM, la CMT etc... La CMT représente 147, 6 milliards d'euros soit 9 % du PIB. La DCS représente 183, 5 milliars d'euros, soit 11, 13 % du PIB. La DNS, dépense nationale de santé est un concept utilisé par l'OCDE , elle représente 10 % du PIB; la France est à la 6ème place. Les dépenses hospitalières sont le premier poste des dépenses de la CSBM ; leur montant s'élève à 64 milliards d'euros, soit 44, 4% de la CSBM.La CSBM est financée à 76, 7 % par la Sécurité Sociale, 1, 3% par l'état, 9, 1% par les ménages. Origine Laboratoire SPIE-EAO, Faculté de Médecine, Université Henri Poincaré Nancy I, 2006 SCD médecine Nancy
Mot(s) clés libre(s) : biens et services médicaux, CMT, cotisations, CSBM, DCS, dépenses hospitalières, loi de finance 2004, ONDAM, PIB, protection sociale
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Patrick ARTUS - 8 Octobre 2015

/ 08-10-2015 / Canal-u.fr
ARTUS Patrick
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 8 octobre 2015, au lycée Daudet de Nimes Patrick Artus. Te voici de nouveau parmi nous. Ce soir, le Forum Charles Gide t’accueille dans le plus ancien Lycée de la Ville, celui sur les bancs duquel se sont assis  ,entre autres, quatre  Gaston célèbres : Gaston Doumergue, Président de la république de 1924 à 1931, , Gaston Deferre, Gaston Darboux  mathématicien, secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences, Gaston Boissier  écrivain,  professeur d'éloquence latine au Collège de France, et Secrétaire perpétuel de l'Académie Française en 1895  et quelques autres dont Jean-Pierre Serre, Médaille Fields à l'âge de 28 ans, Professeur au Collège de France... Nous t’accueillons ici à la demande de Madame Barbé, le proviseur, et d’enseignants d’économie qui ont préparé  l’écoute de ton intervention avec quelques élèves. Tu es l’un de nos grands économistes, l’un de meilleurs d’entre nous oserais-je dire. Tu es ancien élève de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole nationale de la statistique et des études économiques, professeur à Paris I Panthéon Sorbonne. Tes mérites ont été largement reconnus, puisque tu es membre de trois viviers des plus grands esprits de l’économie en France : Le Conseil d’analyse économique, près du Premier ministre, de la Commission économique de la nation, et, last but not least, du Cercle des économistes, dont j’essaye de ne manquer aucune manifestation, notamment les célèbres rencontres d’Aix en Provence. Ce soir tu viens, avec un livre à l’appui : Croissance zéro. Comment éviter le chaos, », publié chez Fayard, succédant, il faut le savoir, à un autre, qui, en quelque sorte l’anticipait, «  Les apprentis sorciers. Quarante ans d’échecs de la politique économique française », nous parler de la  croissance. Ou plus précisément du manque de croissance dont tu crains qu’il ne soit durable. Soyons clair, faudra-t-il que nous nous contentions définitivement, dois-je dire au mieux, d’une croissance de 1,5% à 2%, telle que celle que nous espérons encore pour 2016 en France ? Pourquoi ? Quelles sont ou seraient les causes de cette anémie pernicieuse,  de cette « languitude économique» en osant ce néologisme. Et, si c’est le cas, comment doit-on organiser la société, quelles actions l’Etat doit-il mener pour qu’elle ne se traduise pas, à moyen terme, par un chaos social. Sur la première partie du sujet, la croissance languissante, à titre purement introductif, je voudrais brosser un tableau élémentaire  de départ des connaissances sur le sujet. On apprend à nos étudiants que la croissance a deux facteurs : les hommes, c’est-à-dire la population active disponible et le capital. En fait, dans cette optique, elle en a trois, car il faut ajouter le facteur « mystère », ou plutôt le « bouche trou », que dans la fonction de production la plus simpliste, celle a deux facteurs seulement on mesure par la marge d’erreur, l’écart type de l’ajustement aux deux premiers. Ce « bouche trou » on l’appelle PGF, productivité globale des facteurs a, c’est-à-dire la croissance du PIB résultant d’une augmentation unitaire des deux facteurs de base, travail et capital. Une question tout de même,  qui semble aujourd’hui « ringarde », le capital peut-il avoir une productivité ? Une machine, une liasse de billets pour l’acheter, sont-elles capables de produire sans les hommes ? A cette question les économistes d’aujourd’hui répondent avec cette productivité globale des facteurs, qui élimine la question en considérant que les deux facteurs ne font qu’un. En un sens, c’est tant mieux, car cela évite de délicates questions de doctrine. C’est sur cette productivité qu’aujourd’hui les questions se posent. Cette productivité, elle est évidemment liée au progrès technique incorporé dans le capital, mais aussi à celui qui est dans la tête des travailleurs. D’ailleurs divers collègues ont écrit, à la suite de Cobb et Douglas, des fonctions de production incorporant le progrès technique, ou la quantité d’information technologique présente dans les machines et les têtes. Devant la difficulté de « mathématifier » des fonctions de production de plus en plus complexes, nombre de nos collègues ont d’ailleurs fini par ignorer , en quelque sorte, les deux facteurs, et revenant au célèbre Joseph Schumpeter, mettre le progrès technique devant, à long terme au moins, au-delà de la conjoncture, comme seul facteur de croissance donc de production. Schumpeter, ses grappes d’innovations cycliques, et sa destruction-créatrice : destruction des vielles entreprises et de leurs vieilles machines pour les remplacer par des neuves ! Je te laisse le soin de développer ou contredire, mais tu n’échapperas pas s’agissant de la période actuelle, au paradoxe de Robert Solow, prix Nobel 1987, qui, la même année, s’étonnait, je cite  « que l’introduction massive des ordinateurs dans l’économie, contrairement aux attentes ne se traduisait pas par une augmentation statistique de la productivité » . Taux de croissance annuels de la productivité globale des facteurs 1985-90 1990-95 1995-200 2000-07 2007-11 France 1,7 1,1 1,3 0,9 -0,3 Allemagne 1,4 1,1 1,1 0,1 Roy-Uni 0,4 1,6 1,4 1,5 -2,4 Etats-Unis 0,7 0,7 1,5 1,4 0,8 Japon 0,7 0,7 0,7 1,1 0,3 Source : OCDE et autres Je ne sais pas si tu valides ce tableau de chiffre de la productivité globale des facteurs. Elle laisse entrevoir un net ralentissement pour la France, l’Allemagne, et le Japon, moins net pour les Etats-Unis et une évolution chaotique pour cette Angleterre dont on fait un modèle.  Or, effectivement, ces années sont celles de l’explosion de l’informatisation, celle du passage à la production 2.0 puis même aujourd’hui à la société 2.0.  Comment se fait-il que cette explosion ne se traduise pas dans les chiffres. J’avance une explication : sur 2000-2011, il y a eu le creux de 2008-2009. Or on mesure cette productivité avec une fraction dont, sous une forme ou une autre, le numérateur est la production. Si elle baisse ou ralentit, si le numérateur diminue, comme en 2008-2009, la fraction diminue mécaniquement Et il y a , je crois , une autre raison, que tu as d’ailleurs expliquée un jour dans un article du Monde, et que sans doute tu vas reprendre : l’informatique, c’est non seulement une augmentation  de la productivité du travail- j’ai organisé la dématérialisation des titres dans une banque , des chèques, des retraits d’espèces et j’ai pu l’observer de près, mais c’est aussi une offre surabondante de nouvelles informations, dont se servent les entreprises, mais ,qu’elles ne comptent pas dans leur production, et qui est pourtant produite quelque part. C’est aussi, ces derniers temps, l’horizontalisation des échanges sociaux, de transports, d’appartements, de repas …qui ne sont pas non plus, en tous cas pas encore, relevés comme production, puisqu’ils ne sont d’ailleurs pas encore taxés. Je crois donc qu’il n’est pas tout à fait exact de dire que la productivité baisse. Qu’en penses-tu ?  Le progrès technique se ralentit-il ? Avons-nous connu une période exceptionnelle dans l’après-guerre, certains disent même depuis 250 ans, et rentrons nous dans la grande stagnation. Que faire ?
Mot(s) clés libre(s) : croissance économique, productivité, PIB
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