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3 minutes pour comprendre le pouvoir d'achat
/ Pedago SYDO
/ Canal-u.fr
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Cette vidéo explique en 3' le mode de calcul du pouvoir d'achat, son approche et ses limites.
Comment calcule-t-on le pouvoir d'achat ? Pourquoi le ressenti des français est-il parfois différent des données proposées par l'INSEE ?
Le pouvoir d'achat est-il réellement en baisse ? Mot(s) clés libre(s) : niveau de vie, Pouvoir d'achat, Revenus
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Le faible rôle de l’État dans l’évolution de la langue française
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette manifestation a été organisée dans le cadre de la
conférence annuelle de l’Association for French Language Studies (AFLS,)
organisée par le CRISCO du 17 au 19 juin 2015 : La
linguistique du français vernaculaire : analyses synchroniques, perspectives
diachroniques et applications didactiques.Anthony Lodge est, depuis 2008, professeur émerite de linguistique
française à l’Université de Saint-Andrews (R-U). Il a enseigné la
linguistique française dans trois universités britanniques – Aberdeen
(1967-1984), Newcastle (1984-1995), Saint Andrews (1995-2008). Tout au
long de sa carrière il s’est intéressé à l’enseignement du français
langue étrangère (publ. Le Français en faculté -1979) et à l’édition de textes médiévaux (publ. Le Livre des Manières d’Etienne de Fougères - 1979, The Earliest Branches of the Roman de Renart - 2001). Il s’est intéressé également à la langue occitane, et en
particulier aux archives médiévales de Montferrand (Puy-de-Dôme) (publ. Les comptes des consuls de Montferrand -1985, 2006, 2010). En linguistique historique il a publié deux ouvrages importants – Le Français. Histoire d’un dialecte devenu langue (1997) et A Sociolinguistic History of Parisian French (2004). Avec Jacques Durand et Richard Towell il a fondé en 1989 la revue Journal of French Language Studies (CUP).Résumé de la communicationDans la grande tradition républicaine, l'histoire de la langue française est
surtout le fait de l'état et de la grande littérature. Le français entre dans la
vie de la Nation au IXe siècle (Serments de Strasbourg 843), et
s'élabore progressivement au cours du moyen âge sous la plume de poètes,
chroniqueurs et administrateurs. Il est pris directement en main, à la
Renaissance, par une monarchie qui vise, d'un côté, l'anéantissement des
dialectes (Villers-Cotterêts 1539), et, de l'autre, la création d'une langue
classique modèle de logique, de clarté et d'élégance (Académie française 1637).
Cette grande tâche fut menée à bien par les grammairiens et grands auteurs de
l'Ancien Régime, mais il a fallu la Révolution et surtout la Troisième
République, pour que la population générale puisse en bénéficier. Le grand
regret de nos jours c'est que ce précieux héritage national soit si souvent
négligé et défiguré.Tout cela serait bien beau, s'il donnait une vision quelque peu réaliste du
passé de la langue. Peut-on réduire le français à la seule langue officielle, à
la belle langue ? Les millions de Français ordinaires n'ont-ils joué aucun rôle
dans l'évolution de leurs propres façons de parler ? Chacun sait que le français
est issu non pas de la belle langue latine, du latin officiel, mais du latin
parlé par des millions de Romains ordinaires. Qu'en serait-il d'une histoire du
français qui mette au milieu de la scène les locuteurs français ordinaires,
agissant collectivement et inconsciemment ? On y verrait une réduction du rôle
de l'état et des grands auteurs, mais le résultat ne serait-il pas plus conforme
à ce que nous savons aujourd'hui sur les modalités du changement linguistique
? Mot(s) clés libre(s) : pouvoir, evolution, Linguistique
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La prolifération des images
/ UTLS au lycée
/ 06-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, VANOYE Francis
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLa prolifération des images par Francis VanoyeLycée Henri Matisse (93 Montreuil) Mot(s) clés libre(s) : iconographie, image, imagination, mémoire, pouvoir de l'image, puissance de l'image, représentation
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Raison d'Etat et science de la police : deux technologies de l'ordre
/ ENS-LSH/SCAM
/ 13-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéMichel Senellart se livre ici à une analyse de la Raison d'Etat et de la police comme deux modes très différents d'exercice du pouvoir. Il propose une définition, une histoire et une liste des attributions de la police ainsi qu'une définition de la Raison d'Etat, d'après Giovanni Botero. Il précise que c'est avec Botero, en 1589, que cette expression accède à la dignité d'un concept théorique. La Raison d'Etat consiste en une "connaissance des moyens de maintenir et affermir la domination de l'Etat". Michel Senellart rappelle que la conservation de l'Etat était déjà le problème de Machiavel et s'interroge sur le but ultime de l'Etat - le bonheur commun - ainsi que sur celui de la police et de la politique. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo: Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : philosophie, police, pouvoir, raison d'état
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Le peu
/ Mission 2000 en France
/ 28-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SANSOT Pierre
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Un voyage au coeur du peu
. Le peu n'est pas un destin, mais on découvre parfois dans le peu le plus, le trop, la démesure. Un point de vue où l'on exclue le « trop peu » mais où l'on explore le peu face au trop, existe-t-il quelque chose entre le peu et le trop, le trop est il condamnable ? L'art du peu manifeste une manière de vivre de la sagesse. «Puisque l'abondance nous est désormais refusée, sachons vivre dans la qualité le peu qui nous est attribué», préconise Sansot. Mot(s) clés libre(s) : peu, pouvoir, trop, valoir
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"Des monastères en partage" d'Anna Poujeau
/ Stéphane ELOY
/ Canal-u.fr
POUJEAU Anna
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Fondé sur une enquête de terrain menée entre 2002 et 2010, cet
ouvrage explore les formes d’inscription sociale et politique des
chrétiens en Syrie. L’ethnologue nous invite à suivre les routes
menant de Bâb Tûmâ, l’un des quartiers chrétiens de Damas, aux
monastères du pays. À pénétrer dans ces lieux de miracles et
d’apparitions que visitent des Syriens de toutes confessions et où
s’ancre l’histoire contemporaine de la communauté chrétienne. À
découvrir en particulier le quotidien extraordinaire du couvent de
Sainte-Thècle à Maclûlâ. L’ethnographie révèle ici les rapports
entre monachisme, pouvoir et sainteté, dont la complexité atteint son
paroxysme lors des fêtes célébrées au monastère et au village,
quand les jeunes hommes de la communauté s’emparent du pouvoir des
saints pour affronter celui de l’Église et de ses prélats. Mot(s) clés libre(s) : pouvoir, Syrie, monachisme, Chrétiens, saints
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L'autorité -Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 12-11-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Une conférence de l'UTLS au lycéeL'autorité par Yves Michaud (philosophe)Lycée Pasteur (59 Lille) Mot(s) clés libre(s) : autorité, éducation, philosophie, pouvoir, règles, respect
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L'autorité - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 17-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Une conférence de l'UTLS au lycéePar Yves Michaud, philosophe Mot(s) clés libre(s) : autorité, éducation, philosophie, pouvoir, règles, respect
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Le pouvoir
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 30-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LEFORT Claude
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"Dans cette Université de tous les savoirs, il semble que vienne naturellement prendre place une étude du pouvoir. Je suis conscient de ce qu'il y avait de téméraire à la prendre en charge. Il n'est pas, en effet, de discipline scientifique dont l'objet spécifique soit la nature, l'origine et l'exercice du pouvoir, bien que ce phénomène ait suscité depuis longtemps la réflexion de grands esprits. Je doute d'ailleurs qu'une telle discipline ait quelque chance de se former, pour des raisons qui apparaîtront au cours de cet exposé. Rien, en tout cas, ne permet de croire que nous puissions bénéficier des acquis d'un savoir cumulatif. Qu'appelle-t-on pouvoir ? Question préalable, semble-t-il. Mais, pour répondre, il faudrait énoncer un critère qui permette aussitôt de trancher un noeud de représentations dont chacune porte la marque d'une expérience collective. Si l'on veut bien admettre que le pouvoir ne peut se réduire à la domination, à la puissance, au commandement ou à l'autorité, ce n'est pas toutefois sans raison qu'on en reconnaît le signe, soit à la capacité de décider des affaires publiques, soit à celle de disposer des moyens de coercition, soit à celle de commander, soit à celle d'incarner ou de représenter quelque puissance au-dessus des hommes ou bien d'en participer, soit à celle de posséder un savoir-faire qui échappe à l'intelligence commune. Bref, il peut être associé à l'image du prince, du gouvernant, du guerrier, du prêtre ou du magicien. Dans tous les cas, le caractère du pouvoir est lié à celui de l'obéissance, et l'obéissance elle-même implique un certain mode de croyance. D'une domination établie par la force on peut même se demander, comme nous y invitait La Boétie, si elle a jamais pu s'entretenir durablement sans bénéficier d'une "" servitude volontaire "". " Mot(s) clés libre(s) : despotisme chinois, état, politique, pouvoir
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L'appréhension des populations nomades dans l'histoire française
/ Centre d'Enseignement Multimédia Universitaire - Université de Caen Basse-Normandie, Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ 24-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
HUBERT Marie-Christine
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Cette conférence a été enregistrée dans le cadre du colloque Roms, Tsiganes et gens du voyage qui s'est tenu à Caen les 24 et 25 novembre 2011, organisé par le Centre de Recherche sur les Droits Fondamentaux et les Évolutions du Droit (CRDFED). L'objectif était de mieux connaître les populations concernées et de comprendre comment les politiques publiques et le droit les appréhendent. Derrière ces différentes dénominations se pose la question de l'appréhension de la figure de l'autre, des catégorisations et possibles discriminations que ces dernières induisent. Ont été examinés la liberté d'aller et venir, les droits politiques et sociaux et l'encadrement du droit interne par le droit international et européen. Historienne, Marie-Christine Hubert est archiviste aux Archives départementales de la Seine-Maritime. Elle est l'auteure d'une thèse d'histoire sur les Tsiganes pendant la Seconde Guerre mondiale. Résumé L'Histoire des Tsiganes se résume souvent à l'histoire des persécutions dont ils ont été les victimes depuis leur arrivée sur notre sol au XVème siècle. Cette vision bien qu'éminemment réductrice nous permet toutefois d'entrevoir l'apport des Tsiganes dans l'Histoire de France. De la Renaissance à la Troisième République, les pouvoirs publics ont instrumentalisé la « question tsigane » pour affirmer leur légitimité. Au gré des circonstances et des alliances politiques, les Tsiganes ont été valorisés ou persécutés toujours au profit des élites politiques au pouvoir. L'incorporation des Bohémiens dans les armées privées des Seigneurs féodaux a permis leur ancrage dans la société et la culture françaises. L'âge d'or des Tsiganes s'est terminé par la volonté de Louis XIV de mettre au pas les velléités d'indépendance des potentats locaux, étape indispensable à l'avènement de l'Absolutisme et l'unification du pays.Au XIXème et XXème siècles, la création du « régime des nomades » permettant l'identification et la surveillance des Tsiganes a été un galop d'essai pour ficher l'ensemble de la population. Le carnet anthropométrique d'identité a alors servi de référence à l'élaboration des cartes d'identité attribuées aux étrangers puis aux Français. Ces deux exemples ne sont qu'une infime partie de l'apport des Tsiganes dans l'Histoire économique, sociale, politique et culturelle de la France. Mot(s) clés libre(s) : Minorités, mobilité, politique, pouvoir
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