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Aires marines protégées
/ Serge MONTAGNAN, Emmanuel PONS, Thierry PORTAFAIX, Jean-François FEVRIER
/ Canal-u.fr
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Ce documentaire nous emmène dans un voyage au long cours
vers les îles de l’Océan Indien occidental. Il met en lumière la mise en place
et le fonctionnement d’Aires Marines Protégées, un concept initié par la
COI depuis 2006.
De l’île Maurice à La Réunion, en passant par Madagascar,
les Comores ou encore les Seychelles, découvrez comment les populations locales
tentent de poursuivre leurs activités tout en préservant ces écosystèmes marins
menacés.Ce travail d’encadrement, d’éducation et de responsabilisation
auprès des acteurs et usagers de ces AMP devra perdurer pour fiabiliser la
ressource et permettre de s’engager sur la voie d’un développement durable.
C’est là l’enjeu du projet conduit par le World Wide Fund
(WWF), mandaté par la COI en collaboration avec les différents organismes des
pays de la zone. Mot(s) clés libre(s) : protection de l'environnement, COI, les Seychelles, les Comores, World Wide Fund, Madagascar, île de La Réunion, île Maurice, développement durable, conservation, aire marine protégée
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Les risques des nanotechnologies
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 17-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WEISBUCH Claude, WEILL Claire
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Point de vue pour le débat sur les nanotechnologies de Claude Weisbuch Alors qu'elles étaient associées au départ à des espoirs de percées majeures dans la plupart des secteurs scientifiques, technologiques et économiques, les nanotechnologies deviennent l'objet de critiques radicales, certains en appelant même à un moratoire sur ces recherches. Il convient d'en débattre publiquement, en commençant par rappeler certains faits de base: 1. Le concept de nanotechnologie a pris son essor a cause du programme américain conçu pour redonner un élan aux disciplines physico-chimiques, laissées en plan aux USA par la priorité donnée à la biologie par le parlement américain. 2. Il faut rappeler la différence entre nanosciences et nanotechnologies. La nanoscience vise à l'exploration des phénomènes nouveaux apparaissant aux dimensions nanométriques, les nanotechnologies à leur mise en oeuvre dans des produits, ces phénomènes nouveaux ayant des origines physiques très variées. Une différence majeure apparaît immédiatement: alors qu'en nanoscience l'objet nanométrique est tout a fait digne d'intérêt, pour les applications il faut ramener ces propriétés nouvelles à l'échelle humaine pour l'utilisateur. Par exemple, une molécule unique peut être passionnante et faire l'objet de nombreux travaux de recherche, elle ne sert à rien toute seule. 3. Il n'y a pas de nanotechnologie définie en tant que telle, mais un patchwork de technologies très disparates suivant les domaines, et l'impact de l'échelle du nanomètre peut être très général ou très spécialise. Ayant défini très rapidement les nanotechnologies, on peut alors essayer d'analyser les incertitudes et risques associés aux nanotechnologies. Un premier point: en général, les risques associés aux aspects nouveaux des nanotechnologies sont bien sûr à traiter de la même manière que toute les autres activités scientifiques, technologiques, industrielles (qui ne sont pas en butée par rapport a ce qu'il conviendrait de faire, on peut en convenir !):protection des opérateurs lors de l'élaboration, identification des risques (dangerosité et exposition) des utilisateurs, recyclage des objets en fin de vie. La polémique sur la nanotechnologie/les nanotechnologies vient de ce que les critiques radicaux disent qu'elles ne sont pas de même nature que les autres, et n'exposent pas aux mêmes risques, et que le paragraphe ci-dessus ne s'applique pas: 1. on ne voit pas les objets des nanotechnologies. Dans la plupart des cas, en fait, ces objets ne seront pas accessibles sous leur forme divisée, nanométrique, mais dans un matériau système a l'échelle humaine, bien visible: circuit intégré en nanoelectronique, matériau composite à très haute résistance, matériau pour turbines à haute température, matrice nanométrique pour purification ou dessalement de l'eau, biopuces pour diagnostic médical, ... 2. Les éléments nanométriques vont partout, et donc dans des endroits ou ils sont dangereux, par exemple les organes du corps humain. Ceci n'est vrai lors de l'utilisation que pour les médicaments et les cosmétiques ou l'efficacité nouvelle est apportée par l'utilisation de la matière divisée. En ce qui concerne les médicaments, on est dans une situation ou il faut effectivement étudier ce qui serait des effets secondaires, puisque le médicament irait ailleurs que la ou on souhaite qu'il aille. Ceci est la définition même des effets secondaires des médicaments, et la longue procédure habituelle de validation des médicaments est tout à fait adaptée à prendre en compte la spécificité des nanomédicaments. En ce qui concerne les cosmétiques, les tests habituels sont certainement à faire évoluer, avant la mise sur le marché. Les académies britanniques, poursuivant les travaux de leur remarquable rapport sur les potentiels et risques de nanotechnologies, appelent de leurs voeux une publication transparente des tests effectués par et pour les industriels. C'est certainement une excellente recommandation (on pourrait aussi le réclamer pour d'autres produits....). D'autres possibilités d'exposition à des nanoparticules existent lors de l'élaboration et de la dégradation. Lors de l'élaboration, avant la mise en oeuvre dans des objets macroscopiques, il faut savoir que l'on sait manipuler des substances autrement plus dangereuses dans l'industrie. Le problème sera là de mettre en oeuvre des nouvelles réglementations adaptées tenant compte de la dangerosité et du risque d'exposition, avec aussi des moyens de mesure et de contrôle. Pour ce qui est de la dégradation, on entre ici dans un problème important, urgent, pour tous les secteurs industriels existant. Nous avons de fortes lacunes dans l'analyse du cycle de vie des matériaux. Les critiques radicaux nous affirment que les nanomatériaux ne se dégraderont pas dans l'environnement. Rien ne permet de l'affirmer, ni le contraire d'ailleurs (comme pour beaucoup de produits fabriques de manière massive aujourd'hui). Ce que la nature nous montre, par contre, c'est que la dégradation de nombreux matériaux minéraux ou biologiques n'aboutit pas à des nanostructures se promenant librement. Il y a dans ce domaine de la dégradation des matériaux (nanos ou non) un grand domaine scientifique à maîtriser. 3. Les nanotechnologies permettront d'entrer dans des domaines ou il ne faut pas aller ( la maîtrise du vivant et le rêve/cauchemar de l'immortalité, le contrôle de l'individu par des nanorobots qu'on lui injecte à son insu), ou peuvent permettre in-fine la destruction de la planète par l'émergence d'une intelligence collective de nanoobjets auto reproducteurs qui échapperaient au contrôle de leurs créateurs dans une furie destructrice. On est la en pleine science fiction, avec zéro science et 100% de fiction. Ces phantasmes viennent de non scientifiques (romanciers, princes héritiers, ...) ou de scientifiques non-spécialistes (extrêmement souvent des informaticiens et roboticiens)ne connaissant pas les bases de la biologie, de la neurologie, de la chimie, de la physique, de la théorie de l'information, qui permettent de montrer simplement l'impossibilité de telles réalisations. Les nanotechnologies permettront plus sérieusement d'accéder à des connaissances qui poseront des problèmes accrus en matière de protection des libertés individuelles, en facilitant très largement des techniques aujourd'hui encore limitées: empreintes génétiques des individus, fichage informatique, ... Ces dangers existent déjà aujourd'hui, et il faudra d'une part veiller a la bonne application des protections individuelles prévues, d'autre part à la définition de nouvelles protections lorsque des risques nouveaux apparaîtront (à ce sujet le comite national d'éthique montre que l'on ne peut émettre de recommandations que sur des questions bien identifiées, et pas sur des sujets généraux). Il est certainement utile d'en débattre. Résumé de Claire Weill Le risque de ne pas savoir de quoi on parle Il y a une quinzaine d'années, l'apparition de la microscopie à champ proche a permis de « voir » et manipuler des atomes individuels. Depuis, l'industrie de la microélectronique a poursuivi sa démarche de miniaturisation conduisant à la fabrication de matériaux structurés à des échelles inférieures au millième de millimètre (micron). Ces approches respectivement ascendantes et descendantes pour l'étude de la matière ont légitimement ouvert de nouvelles voies pour la recherche scientifique à l'échelle du nanomètre, le millionième de millimètre. Parallèlement des développements industriels ont mis à profit ces deux approches. Dès lors, plusieurs facteurs concourent à la très grande instabilité des discours sur les « nanotechnologies » et les « nanosciences » aujourd'hui dans les media, voire même des informations dans des publications dans des revues spécialisées, y compris scientifiques : la science dont il s'agit est récente et une grande partie des développements industriels sont encore balbutiants et pour une grande part confidentiels. Du fait des promesses considérables formulées sur les potentialités des nanotechnologies dans les domaines de la santé, de l'énergie, de l'environnement, du traitement de l'information
, des moyens financiers très importants et en forte croissance ont été investis dans la recherche fondamentale et appliquée dans tous les pays industrialisés depuis 2000. Ces promesses sont à la mesure des impasses dans lesquelles se trouvent nos sociétés, dont l'impasse écologique (épuisement des ressources fossiles et ponction excessive des ressources renouvelables, changement climatique
). Ces promesses démesurées se sont nourries d'abus de langages, de glissements sémantiques, d'assertions peu, voire pas du tout étayées. Ainsi, pour les besoins de la cause, des pans entiers de certains champs scientifiques ont été rebaptisés « nanos ». Les sciences physiques, chimiques biologiques et de l'information investissent désormais l'échelle du nanomètre. Ceci ne signifie pas pour autant l'automaticité de synergies entre les développements technologiques issus de leurs applications éventuelles. Or, un tel argument a été largement utilisé, en regroupant les synergies annoncées sous le vocable inapproprié et trompeur de « convergence ». Celui-ci a néanmoins le mérite d'évoquer la notion de projets, ceux des différents lobbies qui ont construit puis promu le développement des nanotechnologies. Notons en outre qu'il est absurde de penser qu'un champ scientifique se définirait par une échelle de taille, or on n'hésite pas à parler de « nanoscience ». Enfin, le nanomètre n'est pas, et de loin, la plus petite échelle de la matière investie historiquement par les scientifiques, qu'il s'agisse des physiciens des particules ou des chimistes moléculaires. Le fantasme de manipuler des atomes tels les éléments d'un lego a été véhiculé par plusieurs ouvrages de science fiction aux Etats-Unis à caractère prophétique, voire apocalyptique (E. Drexler, « Engines of creation », Engins de création, 1986 ; M. Crichton, « Prey », La proie, 2002). Ceux-ci ont donné l'illusion au lecteur qu'il pouvait comprendre, voire palper par la pensée ce qui se jouait à l'échelle atomique. Ce fantasme fait fi toutefois des lois de la physique quantique, qui compliquent considérablement la donne. Il introduit également une confusion entre l'approche scientifique et celle de l'ingénieur. Il apparaît donc urgent de déconstruire un certain nombre de discours et de s'attacher à davantage de rigueur dès lors que l'on évoque la science et les développements technologiques qui se déroulent à l'échelle du nanomètre, et ce dans l'intérêt de tous : politiques, citoyens, scientifiques et industriels. Les risques sanitaires, environnementaux et éthiques des nanomatériaux Les nanomatériaux présentent pour les autorités publiques des difficultés spécifiques. Déjà commercialisés dans des produits, les nano - objets sont susceptibles de diffuser dans l'environnement de multiples manières et sous des formes variées (nanoparticules libérées par exemple lors de l'usure de matériaux renforcés comme les pneus verts) et de pénétrer dans le corps humain par les voies respiratoires ou par la peau (crèmes solaires). Or, les modes de production des nanoparticules en laboratoire tout comme en milieu industriel sont loin d'être stabilisés. En outre, on ne dispose pas aujourd'hui de méthodes satisfaisantes permettant d'avoir accès à leurs caractéristiques structurales, réactives, et par voie de conséquences à leurs propriétés toxicologiques et écotoxicologiques. Par suite, nous sommes encore très loin d'une harmonisation des normes à l'échelle internationale, pourtant nécessaire dans le contexte de la mondialisation du commerce. Le cadre réglementaire européen couvre en théorie les nanoparticules, isolées ou insérées dans des produits, sans toutefois les prendre précisément en compte. En particulier, le règlement sur les substances chimiques en passe d'être adopté en Europe, REACH, pourrait encadrer les risques liés aux nanoparticules en introduisant des critères de dangerosité tels que la forte réactivité potentielle due à leur très grand rapport surface sur volume et la diffusion potentielle dans le corps humain. Cependant, les outils juridiques resteront inefficaces aussi longtemps que des techniques de caractérisation des nanoparticules sur l'ensemble de leur cycle de vie encore une fois, de quoi parle-t-on ? ne seront pas accessibles aux régulateurs. L'étude, et par conséquent l'optimisation ab initio, du cycle de vie de certaines substances chimiques ou nanoparticules se heurte également à des problèmes méthodologiques majeurs. A cet égard, la production et la diffusion non contrôlée de nanoparticules pourrait être source de dommages pour lesquels l'imputation de la responsabilité est difficile, faute de tracabilité possible. Le développement industriel contrôlé et responsable des nanoparticules ne se fera donc pas sans franchir au préalable certaines étapes. Ceci exigera des efforts aussi bien des autorités publiques que des acteurs économiques, en particulier pour assurer l'existence et le maintien de ressources suffisantes en experts toxicologues et écotoxicologues dans leurs sphères respectives. Les questions éthiques associées à certains développements potentiels issus de nanotechnologies sont similaires à celles que posent des technologies existantes - en termes de protection de données privées notamment, mais aussi de brevetabilité du vivant, si l'on considère que les nanotechnologies recouvrent une partie des biotechnologies. Certes, les risques pourront être amplifiés par l'augmentation des capacités de stockage et de traitement de l'information qu'apporte la miniaturisation de la microélectronique, qui est d'ailleurs loin d'approcher l'échelle nanométrique. Cependant, l'arbre cachant souvent la forêt, certains usages de dispositifs non nanométriques mais rebaptisés « nano », comme l'utilisation de puces ADN, pourraient fragiliser les systèmes de santé des pays industrialisés, et accentuer encore s'il en était besoin les inégalités avec les pays en développement. Ainsi, l'exploitation de tests génétiques à fins de thérapies préventives personnalisées pourrait provoquer, si elle s'avérait fondée scientifiquement, l'apparition de traitements extrêmement onéreux inaccessibles au Sud et conduisant au Nord, soit à une augmentation considérable des coûts de santé publique, soit à une médecine à deux vitesses. Les nanotechnologies exemplifient une difficulté majeure pour nos sociétés technologiques : celle des rythmes différents Le développement de technologies conduisant à la mise sur le marché de nouveaux produits et systèmes s'effectue à un rythme si rapide qu'il ne permet pas aux Etats d'encadrer à temps les risques associés, lorsque cela est possible. En outre, les autorités publiques ne peuvent assumer seules la charge de développer les moyens techniques à cet effet. Par ailleurs, le paysage des risques avérés et potentiels qui résultent des activités économiques devient inextricable à un tel point que le gestionnaire de risques, en situation d'arbitrage impossible, se trouve confronté à des dilemmes sans fin. Le niveau d'indécidabilité augmentant, les gouvernements ont de plus en plus recours à des consultations de citoyens, afin d'estimer l'appréhension par la société de risques liés à des technologies émergentes. Ces nouveaux instruments de nos démocraties techniques, aussi intéressants et séduisants soient-ils soulèvent toutefois des questions difficiles. Ils ne pourront en particulier être utiles pour la progression des débats sur les questions aussi larges que disparates regroupées aujourd'hui sous le vocable de nanotechnologies qu'en sériant les problèmes. D'un autre côté, les bénéfices de technologies émergentes conduisant à des innovations radicales ne seront perceptibles bien souvent qu'à moyen ou long terme. Pour ce qui concerne les nanotechnologies, des pistes très intéressantes se dessinent dans le domaine médical, celui des économies d'énergie (lampes basse consommation, piles à combustibles, matériaux plus légers et plus résistants), du traitement des eaux et de la remédiation des sols. Il importe toutefois de garder à l'esprit que leur exploitation ne pourra survenir que dans les prochaines décennies, durant lesquelles les contraintes qu'exerce l'homme sur la planète s'intensifieront. A cet égard, un des risques politiques majeurs associé à l'engouement pour les nanotechnologies serait d'entretenir l'illusion que des solutions purement technologiques pourraient permettre de diminuer ces contraintes de manière significative à un horizon temporel pertinent. Mot(s) clés libre(s) : biopuce, éthique, innovation technologique, miniaturisation, nanomatériaux, nanosciences, nanotechnologies, protection de l'environnement, risque sanitaire, science des matériaux
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Détonation danger!
/ FILMED
/ 01-01-1999
/ Canal-U - OAI Archive
VINCEY P., ARNAUD C., FRAISSE A.
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L'objectif pédagogique de cette cassette vidéo destinée à tous ces militaires est centré sur la prévention des traumatismes sonores aigus.
Ces traumatismes par bruits impulsionnels d'armes à feu, toujours trop fréquents dans les Armées sont plus faciles à prévenir qu'à guérir.
Le scénario est celui du parcours d'un jeune élève officier victime d'un traumatisme sonore aigu qui comprend l'importance des dégâts engendrés par une animation d'images de synthèse de l'oreille interne.
FILMED_100-5501-042
1999 Mot(s) clés libre(s) : audition, FILMED, oreille intene, protection auditive, traumatisme sonore
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Musiques traditionnelles et création contemporaine / Roger Tessier, Patrick Burgan, Xavier Vidal, Jean-Jacques Castéret, Brice Tissier
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 18-03-2016
/ Canal-u.fr
VIDAL Xavier, CASTÉRET Jean-Jacques, BURGAN Patrick, TESSIER Roger, TISSIER Brice, COURT Jean-Michel
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Musiques traditionnelles et création contemporaine. En hommage à Jean-Christophe Maillard / Roger Tessier, Patrick Burgan, Xavier Vidal, Jean-Jacques Castéret, Brice Tissier, in 5ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation", organisé, sous la responsabilité scientifique de Jean-Yves Laurichesse, par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès. Toulouse, Centre occitan des musiques et danses traditionnelles, 18 mars 2016.
On oppose généralement les musiques traditionnelles, dites «
populaires », et la musique « contemporaine », de composition savante,
oubliant que la musique savante des siècles passés a souvent emprunté
des formes aux traditions populaires. Il s’agira, dans un dialogue entre
ethnomusicologues et compositeurs, d’interroger les processus par
lesquels, dans la musique comme dans les autres arts, le nouveau se
nourrit de l’ancien, le savant du populaire, comment en somme les
musiques traditionnelles, par-delà leur nécessaire « conservation »,
restent vivantes dans la création contemporaine.
Table ronde animée par Jean-Michel Court, maître de conférences de musicologie, Université Toulouse Jean Jaurès.
Intervenants :
- Roger TESSIER (compositeur),
- Xavier VIDAL
(musicien, responsable des Musiques traditionnelles au CRR de Toulouse),
- Patrick BURGAN (compositeur),
- Jean-Jacques CASTÉRET (ethnomusicologue,
Université de Pau et des Pays de l’Adour),
- Brice TISSIER (musicologue, Université Paris-Sorbonne et professeur d’analyse au Conservatoire Régional de Toulouse). Mot(s) clés libre(s) : protection du patrimoine culturel, musique contemporaine, création artistique contemporaine (21e siècle), musique traditionnelle
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Les risques industriels
/ Mission 2000 en France
/ 29-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
VEROT Yvan
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Le développement des sciences et des techniques a permis d'atteindre dans les pays modernes, un niveau de vie jamais atteint. Cependant une sensibilité particulière apparaît désormais dans l'opinion à l'égard du risque. Le risque est une notion complexe. Il est autant social que scientifique. Le risque industriel est encadré par une réglementation détaillée et complexe. Il fait l'objet d'une démarche exigeante de l'entreprise pour favoriser la prévention et la mise en place des dispositions qui en permettent la maîtrise. Par ailleurs, des dispositions sont également en place ou en développement afin de répondre aux attentes et interrogations des parties intéressées à l'extérieur de l'entreprise. La complexité des systèmes modernes donne un rôle particulièrement important à l'aspect humain dans la conduite des installations et la maîtrise des risques associés. L'aversion actuelle à l'égard du risque est de nature à conduire à une situation stérilisante alors que l'innovation et le développement, maîtrisés, permettent à la fois l'amélioration du bien-être et la protection de l'environnement. Mot(s) clés libre(s) : maîtrise des risques, management du risque, protection de l'environnement, risque accidentel, sécurité industrielle, système complexe
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Croix Rouge - Nancy 2011 : La mesure de réparation dans le cadre pénal.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SWITSCHARTSCHIK Rosette
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Délinquance, violence, éducation. La mesure de réparation dans le cadre pénal.Une mesure pénale, une sanction mais pas une sanction répressive. Une démarche originale qui s’appuie sur un rapport aux autres possible, qui ne relève pas de la loi du talion, du rejet, de la peur : un pari d’humanité qui se construit à plusieurs. Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°5.4 Délinquance, violence. Modérateur : Philippe JEAMMET - Professeur émérite de Pédopsychiatrie, Paris.Intervenant : SWITSCHARTSCHIK Rosette - Educatrice à la Protection Judiciaire de la Jeunesse.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescence, Croix Rouge Nancy 2011, délit, enfance, mesure de réparation, milieu ouvert, PJJ, Protection Judiciaire de la Jeunesse
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Croix Rouge - Nancy 2011 : La mesure de réparation dans le cadre pénal.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-u.fr
SWITSCHARTSCHIK Rosette
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Délinquance, violence, éducation. La mesure de réparation dans le cadre pénal.Une mesure pénale, une sanction mais pas une sanction répressive. Une démarche originale qui s’appuie sur un rapport aux autres possible, qui ne relève pas de la loi du talion, du rejet, de la peur : un pari d’humanité qui se construit à plusieurs. Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°5.4 Délinquance, violence. Modérateur : Philippe JEAMMET - Professeur émérite de Pédopsychiatrie, Paris.Intervenant : SWITSCHARTSCHIK Rosette - Educatrice à la Protection Judiciaire de la Jeunesse.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescence, enfance, délit, Croix Rouge Nancy 2011, mesure de réparation, milieu ouvert, PJJ, Protection Judiciaire de la Jeunesse
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Croix Rouge - Nancy 2011 : Discussion maltraitance et protection de l'enfance en danger
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SOUBLIN Emmanuelle
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Maltraitance et protection de l’enfance en danger.Au départ, la loi de 2007 a pu susciter des déceptions voire des régressions, mais elle a tout de permis quelques avancées. Cela implique la notion de temps, mais la nécessité d’une mise en alerte s'est avérée importante.Il s'agit non seulement d' invoquer les droits de l’enfant, mais de permettre aux parents de les exercer dans leurs situations de vie et d'être avant tout attentif à l’enfant.L'enfant est une personne en devenir et tout mal-traitement, toute maltraitance, met en jeu une vie entière, et d’autres vie à venir.Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°4.5 Maltraitance et protection de l’enfance en danger. Modérateur : Emmanuelle SOUBLIN – (Directrice adjointe à la Direction de l’action sociale, Croix-Rouge française).SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : bientraitance, Croix Rouge Nancy 2011, éducation, enfance, maltraitance, protection
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La lutte contre les violences sexuelles en milieu sportif (Session 2)
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 05-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
SIMON Victor, BOUYSSY Marie, CANO Jean, GROSLERON-GROS Nathalie
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Sport Intensif et Maltraitance3e journées de Psychopathologie du sport4 & 5 juin 2009 - CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 * La lutte contre les violences sexuelles en milieu sportif (Session 2)- Intervenants : * Victor Simon (Psychiatre, Directeur de l’Institut de Médecine Psychosomatique et de l’enseignement de l’hypnose, Université Paris V Necker)« Détection et prise en charge spécifique des victimes d’abus sexuel »* Marie Bouyssy (Psychiatre, Médecin légiste au CHU de Tours), Jean Cano (Psychiatre au CHU de Tours)« Prise en charge des agresseurs »* Nathalie Grosleron-Gros (Médecin légiste au CAUVA, CHU de Bordeaux)« Prise en charge médico-légale : exemple du CAUVA » - Président / Modérateur : Chantal Delcroix (Coordinatrice de l’Observatoire Départemental de la Protection de l’Enfance (ODPE) – Direction Enfance Famille) Marie-Luce Petraud (Travailleur social, Bureau de l’Enfance en Danger – Direction Enfance Famille) Le viol, les attouchements sexuels, le harcèlement sont des pratiques avérées dans le milieu sportif et les cas sont nombreux. Toutefois, les victimes de ces violences sont encore très souvent difficiles à identifier car elles refoulent les abus subis tant par peur d’être exclues du système sportif que par déni (PTSD, syndrome secondaire à un abus sexuel). Par ailleurs, le lien qui souvent unit la victime à son agresseur (entraîneur, autre sportif…), à la fois soutien, ami, « parent » rend la dénonciation difficile et culpabilisante. Comment déceler les signes d’un abus ? les lieux à risque ? et les agresseurs sexuels, quelle prise en charge pénale, thérapeutique proposer?Psychiatres et médecins légistes répondent. Mot(s) clés libre(s) : abus sexuels, adolescents, crimes sexuels, délinquants sexuels, harcèlement sexuel, maltraitance, protection et assitance, psychopathologie, rééducation sociale, relations sportifs-entraîneurs, souffrance, sportifs de haut niveau, sports, traumatisme, vio
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La Moselle ensauvagée - UVED
/ Alain CHRETIEN, Fabienne GRANERO-GERARD, Université de Lorraine, Université Virtuelle Environnement et Développement durable
/ 13-09-2013
/ Canal-u.fr
SCHNITZLER Annik, SCHMITT Laurent, THIEBAUT Gabrielle, GOBAT Jean-Michel, ARNOLD Claire
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La Moselle ensauvagée - De l’eau et des forêts dans la vallée de la Moselle ou le retour d’une dynamique naturelle est une ressource pédagogique en écologie proposée par Annik Schnitzler (Université de Lorraine), Laurent Schmitt (Université de Strasbourg), Gabrielle Thiébaut (Université de Rennes 1), Jean-Michel Gobat (Université de Neuchâtel) et Claire Arnold (Université de Neuchâtel et de Lausanne).
Cette ressource a
reçu le prix Medea Awards 2016 pour la meilleure utilisation des
médias dans l'enseignement supérieur.
Sur une dizaine de kilomètres, la vallée de la Moselle en amont de Nancy fait partie des quelques très rares vallées alluviales françaises qui bénéficie d’inondations. Pour cette raison, elle bénéficie de plusieurs titres de protection (Natura 2000, Réserve Naturelle Régionale) Une forêt alluviale se développe spontanément le long de la rivière depuis quelques décennies. Sur la base d’interviews de chercheurs spécialisés, ce film développe quelques aspects de la fonctionnalité géomorphologique et écologique de la vallée, en insistant sur 3 points essentiels : 1. les liens entre rivière et biodiversité ; 2. les services écologiques ; 3. les conséquences négatives de certaines activités anthropiques.
Cette ressource est sous-titrée en anglais et est accessible pour les personnes atteintes de handicaps visuels et auditifs.
Une coproduction Université de Lorraine / Université Virtuelle Environnement et Développement durable.
Soutiens financiers : Conseil Régional de Lorraine / Agence de l’Eau Rhin-Meuse / Réseau Hubert Curien - CSTI Lorraine / Conseil Général de Meurthe-et-Moselle / Conseil Général des Vosges. Mot(s) clés libre(s) : protection, géomorphologie, dynamique fluviale, service écologique, forêts alluviales
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