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Titre
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Manifestations broncho-pulmonaires des maladies digestives.
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 23-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WALLAERT B.
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Professeur B. WALLAERT (Lille) : L'auteur passe en revue toutes les manifestations respiratoires en liaison avec les maladies intestinales d'origine inflammatoire, notamment la maladie de CROHN et la rectocolite hémorragique. Cette atteinte peut toucher les conduits respiratoires trachéo-bronchiques sous forme d'infiltrats inflammatoires lympho-granulocytaires, de siège souvent pericapillaire, se traduisant par un aspect inflammatoire ou pseudo-tumoral à l'endoscopie. Elle peut également affecter le tissu interstitiel parenchymateux pulmonaire donnant des aspects divers : de type granulomatose, BOOP, PINS, poumon éosinophile, nodules necrobiotiques, atteinte séreuse. Ces atteintes respiratoires peuvent parfois être indépendantes de l'évolution de la maladie intestinale. La corticothérapie (prednisolone -1 mg/k/j) a le plus souvent, des effets spectaculaires rapides. Mot(s) clés libre(s) : maladie de CROHN, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, Pr WALLAEART, rectocolite hémorragique
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Le pneumologue et la prise en charge des traumatismes thoraciques.
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 24-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
VAYLET Fabien, MARGERY J.
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Pr F. VAYLET, Docteur J. MARGERY (HIA PERCY - Clamart)
Les auteurs rappellent la fréquence des traumatismes thoraciques et leur gravité (20 à 50% de décès) et insistent sur le fait qu'ils sont souvent associés à des lésions extra thoraciques. Ils sont soit fermés, soit ouverts, secondaires à des chocs directs, des décélérations, des effets de souffle). Ils insistent sur la complexité du diagnostic exact, car il peut y avoir à la fois traumatisme pariétal et atteinte des viscères internes. Les plèvres sont souvent touchées (pneumothorax ou hémothorax),les poumons peuvent être le siège de contusions, d'hématomes, de pneumatoceles, d'atélectasies, d'embolies gazeuses, les bronches de ruptures ou d'encombrement sanguin, le cœur et les vaisseaux de plaies, d'hématomes, d' hemopericarde, de ruptures, de pseudo anévrysmes. Il ne faut pas oublier les ruptures œsophagiennes possibles ou du canal thoracique Tous ces traumatismes nécessitent une prise en charge en urgence sur le terrain, puis une hospitalisation dans un centre médico-chirurgical adapté. La priorité revient à la réanimation respiratoire et cardiovasculaire après un examen clinique attentif et complet du traumatisé. Le pneumologue peut être amené à réaliser des gestes techniques d'urgence tels endoscopies ou pose de drains. Mot(s) clés libre(s) : Dr MARGERY, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, Pr VAYLET, réanimation cardiorespiratoire, traumatisme thoracique
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Prise en charge des sarcoïdoses sévères.
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 24-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
VALEYRE Dominique
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Professeur D. VALEYRE (Paris – Bobigny) :
L'auteur définit en premier lieu la notion de sarcoïdose sévère processus granulomateux disséminé qui atteint des structures fragiles (faisceau de HIS, hypophyse, nerf optique ) qui entraîne une fibrose pulmonaire, une dégénérescence du système nerveux central, une atteinte laryngée, une hypercalcémie, une thrombopénie et résiste aux corticoïdes. La gravité de ces formes peut entraîner une mortalité qui peut aller de 0,5 à 5 %. Au niveau pulmonaire, les complications sont la fibrose, le CPC, les dilatations des bronches, la greffe aspergillaire, source d'hémoptysies répétitives et graves. La corticothérapie générale, à fortes doses (''/2 mg/kg/j), pendant plus de 12 mois reste le traitement de base. En cas d'échecs, on peut avoir recours à d'autres médicaments comme le methotrexate, la cyclosporine, L'azathioprine, l'hydroxychloroquine et maintenant 1 4infliximab pendant une durée de 6 mois. Mot(s) clés libre(s) : Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, Pr VALEYRE, sarcoïdose
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Manifestations respiratoires liées au cannabis.
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 23-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
URBAN Thierry
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Professeur T. URBAN (ANGERS) : L'auteur définit d'abord les différents types de fumeurs de cannabis (occasionnels, réguliers, quotidiens) et leurs tiges (le plus souvent des garçons de 15 à 20 ans), ainsi que les modes de présentation et de consommation de cette drogue. Il compare ensuite cette addiction avec celle du tabac et de l'alcool. Il décrit enfin les effets toxiques démontrés, psychiques et somatiques, notamment au niveau de l'appareil respiratoire (BPCO, cancer ?) liés à la consommation de marijuana par l'intermédiaire du delta-9- tetrahydrocannabiol, responsable de la dépendance et les compare à ceux liés au tabagisme. Mot(s) clés libre(s) : addiction, bangs, cannabis, joints, marijuana, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, Pr URBAN
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Les asthmes « hyperéosinophiliques »
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 24-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
TUNON de LARA Manuel
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Professeur J.M. TUNON de LARA (Bordeaux INSERM U885) :
Dans cet exposé, l'auteur définit d'abord le type d'association asthme souvent sévère et corticorésistant nécessitant à la fois corticothérapie locale et générale avec hyperéosinophilie sanguine (> à 500 par mm3) et au LBA (> à 25 à 40%).
Elle se rencontre dans deux cas différents :
1= celui d'un asthme sévère isolé à phénotype particulier dont il définit les critères ;
2= celui d'une broncho-pneumopathie à éosinophiles associée à un asthme plus ou moins sévère, d'origine médicamenteuse (minocycline, levofloxacine), parasitaire ( filaire, anguillule, ascaris, toxacara canis),aspergillaire (ABPA), ou essentielle (maladie de CARRINGTON ou de CHURG et STRAUSS ). Mot(s) clés libre(s) : ABPA, asthme, CARRINGTON, CHURG et STRAUSS, éosinophilie, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, Pr Tunon de Lara
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. La survie des cancers bronchiques non à petites cellules
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 24-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MILLERON Bernard
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Professeur B. MILLERON (Paris - Tenon) : L'auteur rappelle que cette affirmation ne peut être apportée que par des essais randomisés. Pour des populations sélectionnées, le bénéfice actuel en matière de survie peut être considérable, Cette amélioration des résultats thérapeutiques passe par un diagnostic plus précoce, reposant sur les nouvelles techniques actuelles de diagnostic (fluorescence endobronchique, Petscan), un bilan d'extension plus précis ( PETscan, nouvelles techniques d'exploration du médiastin ),une meilleure utilisation des traitements combinés, une meilleure utilisation des chimiothérapies et des thérapeutiques ciblées. Mot(s) clés libre(s) : cancer bronchique, chimiothérapie, mediastinoscopies, NPC, Petscan, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, Pr MILLERON
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Faut-il réduire la durée de l’antibiothérapie au cours des pneumonies ?
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 24-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MAYAUD Ch.
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Professeur Ch. MAYAUD (Paris – Tenon)
L'auteur rappelle qu'actuellement les recommandations sont claires et concordantes pour les indications, le choix, les modalités d'application de l'antibiothérapie dans le PACs, divergentes et floues pour la durée, 7 à 10 jours pour les cas d'antibiothérapie probabiliste, 7 à 21 jours pour celles qui sont documentées, ceci selon la bactérie en cause. Il insiste sur le fait qu'il faut réduire la durée de l'antibiothérapie au strict nécessaire, compte tenu de la compliance du patient. En s'appuyant sur des modèles expérimentaux chez l'animal, il propose de réduire l'antibiothérapie dans le cas de PACs non sévères traitées en ambulatoires à 3 jours pour l'amoxicilline, à 5 jours pour la télithromycine, la ceftriaxone pour les sujets à risques et la levofloxacine à la dose de 750mg /j, de même pour les exacerbations de BPCO avec TVO de s'abstenir d'antibiothérapie dans les bronchites aigues et les exacerbations de BPCO sans TVO. Mot(s) clés libre(s) : amoxicilline, BPCO, ceftriaxone, levofloxacine, médecine, PACs, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, pneumopathies aïgues, Pr MAYAUD, télithromycine
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Cancer bronchique primitif : place des résections infra-lobaires
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 24-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MASSARD Gilbert
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Professeur G. MASSARD (Strasbourg) : L'auteur insiste d'emblée sur le fait que les techniques modernes d'investigations thoraciques (TDM spiralée multibarettes, Petscan, endoscopie en autofluorescence ) devraient permettre un diagnostic plus précoce des cancers bronchiques donc faciliter des techniques chirurgicales plus limitées économisant la fonction respiratoire ( segmentectomie ou wedge). Le « N stadging » lui parait capital pour décider d'une telle attitude, même et surtout devant les plus petites tumeurs. Le bilan fonctionnel respiratoire du malade pèse aussi beaucoup pour le choix d'une telle décision. Compte tenu des résultats obtenus à 5 ans dans les tumeurs TIN0, de moins de 2 cm, la segmentectomie a une place légitime nettement préférable au wedge. Mot(s) clés libre(s) : cancer bronchique, lobectomie, Pierre BOURGEOIS 2007, pneumologie, Pr MASSARD, segmentectomie, wedge
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Réduction du risque en tabacologie.
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 23-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MARTINET Yves
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Professeur Y. MARTINET (Nancy) :
L'auteur rappelle en préambule qu'environ 40% des fumeurs réguliers de cigarettes meurent de cette consommation et que les non fumeurs qui vivent au côté de fumeurs ont un taux de mortalité de 15% supérieur à ceux qui vivent dans un milieu sans fumée. La fumée de cigarette renferme 4.000 composants dont de nombreux toxiques pour la santé générateurs de BPCO, de cancers bronchiques, de pathologies ORL ou cardiovasculaire, de cancers de la vessie entre autres. Citons le CO, les goudrons, les benzopyrènes, les nitrosamines en plus de l'effet addictif de la nicotine. L'arrêt de la consommation de cigarettes est la seule thérapeutique valable. De nombreux produits pharmaceutiques peuvent réduire la consommation tabagique donc ses risques : timbres, gommes, sprays, tablettes L'auteur rappelle enfin qu'une autre possibilité est celle de l'utilisation de tabac oral (Snus suédois) qui réduirait â moins de 5% les risques respiratoires liés à la cigarette. Mot(s) clés libre(s) : addiction, cigarette, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, pneumologie, Pr MARTINET, Snus, tabac, toxicologie
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Pierre Bourgeois 2007 Paris. Obésité et troubles respiratoires.
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 24-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
LEVY Patrick
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Professeur P. LEVY (Grenoble) : L'auteur rappelle en préambule que l'obésité entraîne une déficience de la mécanique respiratoire et une augmentation du travail respiratoire. Les manifestations en sont avant tout les apnées obstructives du sommeil qui, par hypoventilation alvéolaire liée a une augmentation de résistance des voies aériennes supérieures, sont cause d'hypoxémie et d'hypercapnie, d'hypertension artérielle avec arythmies, d'ischémie myocardique, d'accidents vasculaires cérébraux, d'asthmes résistants et graves dus aune inflammation bronchique liée a la leptine, sécrétée par les adipocytes, qui est responsable d' hyperréactivité. Mot(s) clés libre(s) : apnées du sommeil, asthme, leptine, obésité, Pierre BOURGEOIS 2007 Paris, Pneumologie, Pr LEVY
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