Projet ANR et CCKF coordonné par FANG Ling et Vincent GOOSSAERT. Colloque international du 18 au 20 mai 2016 au CNRS site Pouchet, Paris 17e et à l'INALCO, Paris 13e. Table ronde : religion chinoise : du bon usage des dénominations
Mot(s) clés libre(s) : religions chinoises, pratiques individuelles et familiales

Projet ANR et CCKF coordonné par FANG Ling et Vincent GOOSSAERT. Colloque international du 18 au 20 mai 2016 au CNRS site Pouchet, Paris 17e et à l'INALCO, Paris 13e. Introduction : FANG Ling et Vincent GOOSSAERT
Mot(s) clés libre(s) : religions chinoises, pratiques individuelles et familiales

Président et discutant de session : Kristofer Schipper (EPHE) Alessandro Ferrari (Università dell’Insubria), Pierre-Jean Luizard (CNRS) etMarie-Dominique Even (CNRS)
Mot(s) clés libre(s) : laïcités, sciences des religions

Cette conférence a été donnée dans le cadre du colloque intitulé Que vont devenir les églises normandes ? qui  s'est tenu au Centre Culturel International de Cerisy du 26 au 30 mai 2015, sous la direction de Pierre BOUET. Le colloque envisageait non seulement de faire le point sur la situation des églises rurales et urbaines de la région normande, mais aussi et surtout d’amener les différents acteurs engagés dans l'entretien de celles-ci et leur sauvegarde à envisager ensemble des solutions assurant la valorisation de ce patrimoine. Il importait d’abord d’examiner le corpus des lois de 1905 et des années suivantes ainsi que toute la jurisprudence, qui a permis de résoudre les difficultés posées par l’application de ces lois durant le XXe siècle. Il s’agissait, en outre, de prendre en compte les évolutions et les changements qu’ont connus aussi bien la société civile que l’Église, les clercs et les communautés de fidèles. C’est en priorité à un large débat entre les différents acteurs intéressés par les destinées des églises normandes que furent invités aussi bien les représentants de l’Église, de l’État, des collectivités territoriales et des diverses associations que les simples citoyens, en vue d’imaginer des solutions cohérentes et audacieuses, capables d’assurer le maintien et la valorisation du patrimoine matériel et immatériel des édifices religieux.Jean Laspougeas a été, après son agrégation obtenue en 1967, assistant à l’École supérieure de guerre de Paris, avant de devenir maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Caen Basse-Normandie. Directeur de l’Institut d’histoire contemporaine, il a été également chargé de cours à la Faculté de droit et de sciences politiques. Membre fondateur de l’Association française d’histoire religieuse contemporaine, il fait partie de plusieurs autres associations, notamment de la Société d’histoire religieuse de France, de la Nouvelle Société des Études sur la Restauration, de la Société des Antiquaires de Normandie, et de l’Académie des Sciences, Arts et Belles-Lettres de Caen, dont il est actuellement le président. Ses études d’histoire religieuse et d’histoire normande ont été publiées dans différentes revues et ouvrages collectifs.Résumé de la communicationExaminer les rapports entre société et religion en Normandie depuis la révolution de 1789 consiste à s’interroger sur les influences que la religion chrétienne peut exercer sur la vie artistique et intellectuelle, comme sur la vie sociale et politique. Ces influences ne sont pas séparables des conditions locales de la province comme des conditions générales de la civilisation et de l’Église. Ces influences dépendent directement de la structure et de la vie du clergé, de la présence ou non de congrégations religieuses et d’ordres monastiques, de la pratique des observances et sacrements par les populations, sans oublier que l’Église est une société où éclosent des saints au rayonnement spirituel et matériel singulier. Entre un christianisme par nature sans frontière et une province bien délimitée, sinon bien individualisée, comment se dessine la Normannia christiana à partir du colossal séisme que représentent la révolution de 1789 et ses répliques qui se succèdent tout au long du XIXe siècle ? Que devient-elle dans ces nouveaux séismes que sont les guerres mondiales du premier XXe siècle? De cette Normannia christiana, quels sont les malheurs et les heurs, les caractères et les héritages, avant que de nouveaux séismes, à partir des années 1960, n’arrivent à fracturer et le socle théologique et le socle anthropologique de la religion et de la société ?
Mot(s) clés libre(s) : histoire des religions

Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire européenne. Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation, structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes.
Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement

Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire européenne. Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation, structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes.
Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement

Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire européenne. Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation, structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes.
Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement

Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire européenne. Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation, structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes.
Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement

Juifs, chrétiens, musulmans : 15 siècles de cohabitation en Europe. Enseigner la diversité religieuse dans nos écoles La diversité religieuse en Europe s’enracine dans les pratiques des sociétés médiévales. Les dirigeants du moyen âge, chrétiens et musulmans, accordèrent des statuts protégés et inférieurs à certaines minorités religieuses. L’étude des sources juridiques montre que les sociétés médiévales, comme la nôtre, ont subi des changements constants en matière religieuse et que la cohabitation, certes pas toujours pacifique, a été la règle plutôt que l’exception dans l’histoire européenne. Cette conférence a eu lieu le jeudi 19 mars à 9h, à la Maison des sciences de l’homme et de la société du Sud-Est (MSHS).Elle est organisée dans le cadre du Centre d’analyse des processus en éducation et formation, structure fédérative de recherche de l’Ecole supérieure de l’enseignement et du professorat de l’Académie de Nice, de l’Unité de recherches « Migrations et société » URMIS, du projet Inégalités, mobilités et discriminations dans le cadre scolaire (Axe interdisciplinaire de l’UNS Altérités et mondialisations) et de l’axe 3 de la MSHS.John Tolan est historien à l’université de Nantes.
Mot(s) clés libre(s) : minorités, école, religions, laïcité (France), enseignement

Thierry Zarcone (CNRS)
Mot(s) clés libre(s) : laïcités, sciences des religions