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EEHU ARRAS 2011 – L’identité Professionnelle.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 17-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
TISON Philippe
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Titre : EEHU ARRAS 2011 – L’identité ProfessionnelleIntervenants : Philippe TISON (Docteur en psychologie)Résumé : L’identité en psychologie :- C’est une représentation mentale (de soi)- Est multifactorielle : caractère, sexe, langue, profession- La construction de l’identité : Processus continu (Freud, Piaget, Durkheim)- C’est dimension personnelle + une dimension socialeCaractéristiques et constituants de l’identité sociale et collective : - Normes du groupe d’appartenance- Normes du groupe que je désire intégrer- Représentations sociales du métier IDE- Statuts professionnels collectivement partagés- Idéologie du système de soins- Valeurs socio-éducatives collectives- Acquis professionnels partagés- Attentes des autres acteurs du soinL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors de la réunion de l’EEHU (Espace Ethique Hospitalier et Universitaire de Lille) sur le thème approche clinique de l’éthique en situations cliniques, en formation et en recherche. Lille-Arras le 31mai 2011.Organisé avec le partenariat de l’UNF3S/UMVF et le FSP mère – enfant du ministère des affaires étrangères.Réalisation, production : Canal U/3S Mot(s) clés libre(s) : accommodation, assimilation, EEHU, éthique, identification, IFSI, Lille 2011, prévention, projections, représentations mentales
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Le concept d'image
/ UTLS - la suite
/ 06-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
TIERCELIN Claudine
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Qu'est-ce qu'une image ? Une copie, un reflet, une ressemblance, une visée intentionnelle, une manière d'être de la conscience imageante ? En quoi se distingue-t-elle d'un concept, d'un signe, d'un symbole ? Faut-il y voir un décalque de la réalité physique, un prolongement de la perception, de l'intuition sensible, une idée, un auxiliaire, une étape de la pensée abstraite, le moteur essentiel de l'imagination créatrice ou bien plutôt une illusion trompeuse, un obstacle à la pensée discursive ? Pense-t-on même par image ? La notion d'image mentale a t-elle un sens ? L'image pure n'est-elle pas un mythe ? Tout n'est-il pas image ? Autant de questions qui, depuis l'Antiquité, n'ont cessé d'opposer partisans et adversaires de l'image. Dans les vingt dernières années, plusieurs phénomènes à bien des égards révolutionnaires obligent à reprendre ces discussions avec un regard neuf D'abord la prolifération d'images de toute nature, mais plus encore l'apparition de nouveaux types d'images (photos, films, vidéos, images de synthèse, virtuelles, numériques, etc.) et la complexification galopante des réseaux et médias dans lesquels elles s'insèrent. Ensuite, l'apparition de nouvelles techniques d'imagerie et parmi elles, l'imagerie cérébrale fonctionnelle qui vise à établir des cartographies du cerveau en fonctionnement. Enfin, et grâce à ces nouvelle technologies, un renouvellement des méthodes en neuroscience, en psychologie cognitive et en philosophie de l'esprit. Il devient possible non seulement d'obtenir des informations morphologiques relatives à l'anatomie du cerveau (IRM, scanner X), mais, grâce à des techniques telles que l'électroencéphalographie (EEG), la tomographie par émission de positons (TEP), l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) ou la magnéto-encéphalographie (MEG), d'observer in vivo le cerveau engagé dans des activités cognitives telles que celles, notamment, d'imagerie. A partir d'exemples concrets, on commencera par préciser les caractéristiques communes aux images (physiques ou psychiques) et plus généralement, ce qui définit la fonction image (ou iconique) relativement à d'autres fonctions telles que celles d'indication et de symbolisation de la réalité et l'on s'interrogera sur la pertinence de la catégorie ou de l'objet image. Puis on rappellera quelques une des expériences récemment menées en psychologie cognitive qui permettent en particulier de préciser le lien qu'ont les images mentales avec la perception et l'imagination, et de façon générale de mieux cerner leur structure et la nature de leur contribution au fonctionnement cognitif (en matière de résolution de problèmes, de mémorisation, de simulation ou d'anticipation). On essaiera alors de voir en quoi ces nouvelles approches permettent d'éclairer et dans certains cas de dissoudre certains des problèmes et débats classiques qui continuent d'animer philosophes mais aussi artistes, psychologues, linguistes, logiciens ou mathématiciens, en vérité pour des raisons sur lesquelles on pourra d'ailleurs s'interroger tout un chacun. Mot(s) clés libre(s) : image, images mentales, perception, philosophie, représentation mentale
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Représentation de soi, représentation de l'autre
/ ENS-LSH/SCAM
/ 15-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Pr. JEANNEROD Marc
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Colloque La représentation du vivant : du cerveau au comportementSession La représentation du cerveau par les neurosciences Marc Jeannerot s'intéresse ici aux représentations graphiques du cerveau et des fonctions cognitives à travers les siècles et aux liens supposés entre certaines aires du cerveau et certaines fonctions (théorie des localisations). Il évoque ensuite la notion de "cerveau social", c'est-à-dire l'ensemble des dispositifs qui permettent d'entrer en communication les uns avec les autres, et montre qu'il existe une sensibilité particulière du cerveau pour les stimuli biologiques (voix, visage, etc.), par opposition aux stimuli mécaniques. Il présente ensuite des expériences utilisées par des psychologues de la cognition pour les pathologies, comme la schizophrénie, impliquant des troubles de l'identité et de la représentation de soi.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia, Exploitation : Julien Lopez, Cadre:Mathias Chassagneux, Son: Xavier comméat, Montage-Encodage-Diffusion Web:Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Cerveau -- Physiologie, Cerveau social, Communication, Représentation mentale, Sciences cognitives, Stimuli biologiques, Stimuli mécaniques
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Phonologie et cognition
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 14-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LAKS Bernard
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Conférence du 14 février 2000 par Bernard Laks. La phonologie analyse l'organisation de la composante sonore du langage. La conférence illustrera l'aspect cognitif et mental de ce fonctionnement phonologique. Les représentations mentales du signe sonore sont constituées par des catégories arbitraires et abstraites, les phonèmes. Selon les langues, le nombre et les limites de ces catégories sont très variables. On en donnera des exemples. Malgré cette diversité, les langues humaines sont extrêmement semblables. La conférence illustrera l'approche "Principes et Paramètres" qui rend compte à la fois de l'universalité de la compétence linguistique de l'espèce et de la paramétrisation singulière qu'on observe langue à langue. Enfin, les représentations mentales abstraites que manipule notre compétence de locuteur ne sont pas linéaires. Leur structure interne et leur architecture cognitive expliquent un grand nombre de processus phonologiques observés. On en prendra des exemples dans diverses langues. Mot(s) clés libre(s) : communication, langage et langues, langues (diversité), linguistique cognitive, phonologie (aspect cognitif), représentations mentales, sciences cognitives, signe (linguistique)
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Connaissances et pensée mathématiques : les bases cérébrales de l'intuition numérique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 15-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DEHAENE Stanislas
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Quelles représentations mentales et quelles structures cérébrales permettent au cerveau humain de créer des mathématiques ? Les nouvelles méthodes des sciences cognitives et de l'imagerie cérébrale permettent d'aborder cette question empiriquement, même si nous ne pouvons guère qu'effleurer le sujet en étudiant les plus simples des objets mathématiques : les petits nombres entiers. Je montrerai que la représentation des nombres dans le cerveau humain suit deux lois dont de nombreux mathématiciens, tels Poincaré, Hadamard ou Einstein, avaient pressenti l'existence en faisant appel à leur introspection. Tout d'abord, cette représentation est non-verbale : elle ne fait appel ni aux mots, ni aux aires corticales du langage, mais dépend des régions pariétales associées à la perception de l'espace. En second lieu, elle est susceptible de s'activer en l'absence de toute conscience. La région pariétale fournit une intuition des quantités dont nous ne réalisons l'importance, paradoxalement, que lorsqu'elle est détériorée : une lésion cérébrale, à l'âge adulte comme dans la petite enfance, entraîne une incapacité de calculer et, plus simplement, de comprendre ce que sont les nombres. Ainsi, si les mathématiques de haut niveau se construisent grâce au langage et à l'éducation, leurs fondements les plus élémentaires - concepts de nombre, mais aussi d'espace, de temps, d'opération... - sont à rechercher dans l'organisation même de notre cerveau. Mot(s) clés libre(s) : calcul inconscient, cerveau humain, imagerie cérébrale, intuition des nombres, neurosciences cognitives, philosophie des mathématiques, région pariétale, représentation mentale
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Que nous apprennent les sciences cognitives sur notre capacité à gérer les conflits d'intérêts?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 06-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CORNU Jean-Michel
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Penser c’est avancer mais comment pense-t-on ? Pour raisonner, l’homme fait appel à deux mémoires de travail : - la première, la pensée linéaire ou boucle phonologique permet d’enchaîner les concepts mais elle est physiologiquement limitée à une suite de 3 idées. Mais en réalité, les capacités apparemment ténues de cette mémoire à court terme sont considérablement accrues grâce à l’existence d’une mémoire à long terme capable de stocker un vocabulaire symbolique acquis culturellement, permettant ainsi l’émergence de la parole et la construction d’un véritable discours. . - la seconde, le calepin visuo-spatial, permet de construire des liens associant entre elles plusieurs idées, ce qui s’apparente à une planification, à la réalisation d’une carte de concepts. C’est de ce mode de pensée que relèvent les processus de création, la confrontation de différents points de vue, la gestion des conflits d’intérêts. Cependant, tout comme la pensée linéaire, cette seconde mémoire de travail est également limitée et ne permet le traitement simultané que de 5 à 9 idées distinctes. Là encore, les capacités de cette mémoire sont augmentées par l’existence de plans symboliques, stockés dans la mémoire à long terme, et qui favorisent le maniement simultané de nombreux concepts. Partant de ce constat, Jean-Michel Cornu montre combien il est important de chercher à créer la meilleure carte symbolique possible pouvant aider au mieux à gérer les conflits d’intérêts, à travailler collectivement, à être créatifs et innovants et il présente les différents orientations de la recherche actuelle pour y parvenir.La représentation cartographique est un atout pour le raisonnement collectif et individuel et un garant de l’intérêt général. Mot(s) clés libre(s) : calepin visuo-spatial, cognition, conflits d’intérêts, heuristique, mémoire à court terme, mémoire à long terme, mémoire de travail, mind mapping, neurosciences, pensée linéaire, raisonnement, représentation mentale, résolution de problème, sciences cogni
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