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La diversité biologique comme objet social et objet légal
/ UTLS - la suite
/ 23-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VIVIEN Franck-Dominique
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Les années 80 ont été le témoin de la reconnaissance de la diminution de la diversité biologique en tant que problème global d'environnement. Il s'agit là d'une problématique appartenant à la classe des « univers controversés », en ce qu'il y a débat, au sein même de la communauté des chercheurs des sciences de la vie, sur la gravité du phénomène, ses causes et ses conséquences, les responsabilités à invoquer, les intérêts concernés, etc. Cet état de controverse n'a pas empêché que cette problématique soit versée dans le débat public et s'inscrive sur l'agenda politique. Une Convention internationale a ainsi été signée lors du Sommet de la Terre qui s'est tenu à Rio de Janeiro en 1992. Cette Convention sur la diversité biologique, ratifiée en 2002 par plus de 180 pays, a deux objectifs : d'une part, définir et appliquer des mesures incitatives pour la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité et, d'autre part, mettre en place des mécanismes et des instruments permettant l'accès aux ressources génétiques et le partage « juste et équitable » des avantages qui en sont retirés. Pour ce faire, la Convention sur la diversité constitue un précédent dans le domaine du droit international de l'environnement puisqu'elle entend vouloir faire des droits de propriété des instruments de valorisation et de protection de la biodiversité. Elle fait ainsi une place toute particulière aux droits de propriété portant sur les « ressources biologiques » proprement dites, mais aussi sur les techniques, savoirs et savoir-faire permettant leur exploitation. Abandonnant le statut de patrimoine commun de l'humanité qui était conféré jusqu'à lors à la biodiversité, la Convention de Rio reconnaît prioritairement la souveraineté nationale sur les ressources biologiques (art. 3) tout en faisant une place aux droits commerciaux (art. 16.5) et aux droits des communautés autochtones et locales (art. 8j). Cette focalisation de la Convention de Rio sur les droits de propriété marque une inclinaison de plus en plus marquée des négociations internationales vers la nécessité d'organiser et de stimuler une nouvelle activité - la bioprospection - et un nouveau type de commerce international, celui des gènes. Outre qu'elle oblige à s'interroger sur l'efficacité environnementale et l'équité sociale d'une politique que certains chercheurs n'hésitent pas à assimiler à celle qui concerne le pétrole, cette évolution fait que le conflit potentiel entre la Convention sur la diversité biologique et d'autres instances - en premier lieu, l'Organisation mondiale du commerce - est devenu aujourd'hui un des enjeux majeurs de la politique internationale de la protection de la diversité biologique. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, commerce des gènes, Convention de Rio, développement durable, diversité biologique, économie de l'environnement, éthique, propriété du vivant, ressource biologique
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La biodiversité
/ Mission 2000 en France
/ 06-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MOUNOLOU Jean-Claude
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Pour se nourrir et construire leur société, les hommes exploitent la diversité biologique. Agriculture, élevage, artisanat et industries sont des activités qui associent des choix d'objets vivants et des techniques d'exploitation. Au cours des trois derniers siècles leur développement s'est appuyé sur l'élaboration patiente de la science biologique. L'intervention des chercheurs et la prise en compte des connaissances nouvelles dans le fonctionnement social se faisait cependant très progressivement. Réciproquement, la société ne s'imposait guère dans le champ de la biologie dont l'évolution n'obéissait qu'à une logique scientifique. En conséquence la définition des droits et le système juridique qui organisent le rapport entre les hommes à propos du vivant s'établissaient au fur et à mesure et paraissaient tenir en équilibre les perceptions culturelles et philosophiques, les activités économiques et la connaissance de la diversité biologique. Depuis quelque vingt années la cohérence passée a fait place à une situation de crise juridique et biologique. Plusieurs événements y concourent. D'un côté la croissance démographique, l'épuisement envisagé de certaines ressources biologiques et les changements climatiques menacent la diversité existante. D'un autre côté, le progrès des connaissances, en particulier génétiques et écologiques, fait entrevoir des perspectives tout à fait remarquables de créer des objets vivants nouveaux. Les enjeux économiques de la biologie, autrefois modestes et lointains, sont devenus majeurs et immédiats. Ils incitent à des transformations, des investissements et des productions qui bousculent les structures et les liens sociaux actuels. Les conflits qui apparaissent posent en termes nouveaux la question de la relation entre ressources biologiques et droits. Le monde s'accorde à penser que, d'une façon ou d'une autre, l'avenir des générations futures doit être construit dans une perspective de développement durable par une relation nouvelle, étroite, évolutive entre la société et la science. Le concept et le vocable de biodiversité, apparus dans les années 80, identifient ce champ de réflexion et d'action. Qu'on la précipite, qu'on la freine ou qu'on l'accompagne, une évolution se fait. Elle impose au citoyen d'intégrer, dans ses réflexions et ses choix, des concepts, des connaissances et des démarches de sciences biologique, économique, juridique, médicale et sociale. L'Université remplira sa mission si elle prépare cette synthèse en apportant plus d'informations par sa recherche et des formations adaptées pour les jeunes. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, diversité biologique, écologie, ecosystème, évolution, génétique, génétique des populations, ressource biologique
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La biodiversité
/ Mission 2000 en France
/ 06-01-2000
/ Canal-u.fr
MOUNOLOU Jean-Claude
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Pour se nourrir et construire leur société, les hommes exploitent la diversité biologique. Agriculture, élevage, artisanat et industries sont des activités qui associent des choix d'objets vivants et des techniques d'exploitation. Au cours des trois derniers siècles leur développement s'est appuyé sur l'élaboration patiente de la science biologique. L'intervention des chercheurs et la prise en compte des connaissances nouvelles dans le fonctionnement social se faisait cependant très progressivement. Réciproquement, la société ne s'imposait guère dans le champ de la biologie dont l'évolution n'obéissait qu'à une logique scientifique. En conséquence la définition des droits et le système juridique qui organisent le rapport entre les hommes à propos du vivant s'établissaient au fur et à mesure et paraissaient tenir en équilibre les perceptions culturelles et philosophiques, les activités économiques et la connaissance de la diversité biologique. Depuis quelque vingt années la cohérence passée a fait place à une situation de crise juridique et biologique. Plusieurs événements y concourent. D'un côté la croissance démographique, l'épuisement envisagé de certaines ressources biologiques et les changements climatiques menacent la diversité existante. D'un autre côté, le progrès des connaissances, en particulier génétiques et écologiques, fait entrevoir des perspectives tout à fait remarquables de créer des objets vivants nouveaux. Les enjeux économiques de la biologie, autrefois modestes et lointains, sont devenus majeurs et immédiats. Ils incitent à des transformations, des investissements et des productions qui bousculent les structures et les liens sociaux actuels. Les conflits qui apparaissent posent en termes nouveaux la question de la relation entre ressources biologiques et droits. Le monde s'accorde à penser que, d'une façon ou d'une autre, l'avenir des générations futures doit être construit dans une perspective de développement durable par une relation nouvelle, étroite, évolutive entre la société et la science. Le concept et le vocable de biodiversité, apparus dans les années 80, identifient ce champ de réflexion et d'action. Qu'on la précipite, qu'on la freine ou qu'on l'accompagne, une évolution se fait. Elle impose au citoyen d'intégrer, dans ses réflexions et ses choix, des concepts, des connaissances et des démarches de sciences biologique, économique, juridique, médicale et sociale. L'Université remplira sa mission si elle prépare cette synthèse en apportant plus d'informations par sa recherche et des formations adaptées pour les jeunes. Mot(s) clés libre(s) : écosystème, évolution, génétique, biodiversité, écologie, diversité biologique, génétique des populations, ressource biologique
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La biodiversité à Paris
/ UTLS - la suite
/ 02-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MORET Jacques
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Les scientifiques distinguent trois niveaux d'organisation de la biodiversité : la biodiversité au niveau des écosystèmes (les grands systèmes de fonctionnement de la planète, comme l'écosystème forêt tropicale, ou l'écosystème Camargue, par exemple), la biodiversité au niveau des espèces (l'ensemble des espèces animales, végétales, microbiennes qui peuplent un écosystème) et, enfin, la biodiversité au niveau génétique (qui exprime les différences génétiques entre les individus d'une même espèce). En général quand on parle de biodiversité, c'est souvent en référence aux milieux dits « naturels » et peu perturbés par l'homme. Qui n'a pas entendu parler de l'extraordinaire richesse en biodiversité des forêts tropicales ou de la « crise de la biodiversité » que traverse aujourd'hui le monde, du fait de la déforestation, de la disparition des milieux naturels ou des pollutions ? Pourtant la biodiversité est aussi présente dans des espaces très peu naturels où l'action de l'homme est prépondérante, comme les villes. On retrouve en ville, et à Paris, les trois niveaux d'organisation de la biodiversité : - le niveau de l'écosystème. Les villes sont peu à peu devenues des objets d'études pour les scientifiques pour essayer d'appréhender comment les espèces animales, végétales et microbiennes s'organisent pour constituer un véritable écosystème urbain, en réaction, en accompagnement, ou à la faveur de la présence de l'homme et au modelage du paysage qu'il réalise ; - le niveau des espèces. Un autre objet d'étude, en milieu urbain, consiste à recenser la flore et la faune qui peuplent les villes, à analyser leurs fonctionnements, leurs migrations et leurs adaptations à l'écosystème urbain ; - le niveau infra-spécifique. Dans des espaces aussi confinés que les villes, les populations des espèces sont souvent très diversifiées. Etudier les différences génétiques entre individus des différentes espèces, c'est étudier le troisième niveau de la biodiversité. Paris n'est bien entendu pas un milieu purement minéral qui n'héberge que des hommes ! C'est un véritable écosystème avec un fonctionnement complexe, sa flore et sa faune, ses flux entrant et sortant, son évolution au cours du temps. Le niveau de la biodiversité sur lequel on possède le plus d'informations est celui de la diversité spécifique. Quelle biodiversité à Paris aujourd'hui ? Difficile de répondre à cette question, d'une part car certains groupes animaux (comme les invertébrés) ou végétaux (comme les algues) sont mal connus, mais aussi car chaque jour des espèces arrivent ou disparaissent de Paris ! Pour évoquer des groupes sur lesquels on possède des informations fiables, on peut donner les chiffres suivants : - 1382 plantes supérieures (ce qui est à rapprocher des 1800 espèces présentes en Ile-de-France, ou des 6000 espèces de la flore française), - 28 espèces de poissons dans la Seine, - 9 espèces d'amphibiens et 3 de reptiles, - 90 espèces d'oiseaux (dont 49 espèces nicheuses), - 25 espèces de mammifères ; On constate que Paris est loin d'être un désert pour les plantes et les animaux ! Comment est organisée la biodiversité à Paris ? Bien entendu les milieux dits « naturels » n'existent plus à Paris. Même les bois de Boulogne et de Vincennes sont très anthropisés. Les espèces ont donc principalement tendance à se répartir dans les milieux les moins perturbés et il n'étonnera personne de savoir que la biodiversité augmente quand on s'éloigne du centre. Ainsi, pour les plantes, les arrondissements les plus pauvres en espèces sont le 2ème et le 9ème arrondissement. Les 7 arrondissements les plus riches en plantes sont tous situés sur la périphérie. Les bois comportent plus de 300 espèces de plantes, soit plus que beaucoup des communes de banlieue ! Une autre tendance consiste pour la faune et la flore à coloniser des milieux propres aux villes et qui offrent des conditions de vie locales différentes des conditions générales ambiantes. Ainsi, le grillon domestique, qui s'accommodait par le passé du four du boulanger, a rejoint le métro. Le renard aussi a su tirer parti du réseau souterrain métropolitain pour se maintenir en ville. L'humidité et la chaleur dispensées par nos appareils managers ont générés des conditions de vie idéales pour la blatte germanique qui s'y installe. La biodiversité n'est donc pas distribuée au hasard à Paris, elle est organisée en un véritable écosystème urbain. Quelles tendances pour l'évolution de la biodiversité à Paris ? Sur le plan historique nous avons la chance de disposer d'informations relativement précises depuis le 17ème siècle qui permettent de reconstituer l'évolution de la biodiversité à Paris. Les publications anciennes, mais aussi les collections principalement conservées au Muséum national d'Histoire naturelle, nous renseignent bien. Pour la flore, nous disposons pour le 17ème siècle de descriptions très précises, comme dans les ouvrages de CORNUT (1635) ou de TOURNEFORT (1698) qui dressent de véritables « états des lieux » de référence pour apprécier l'évolution de la biodiversité. La description de la flore du secteur « à côté du Cours la Reine, dans le Bois qu'on appelle les Champs Elysées » est d'une rare précision. Mais l'apogée des observations se situe vers le milieu du 19ème siècle, où la ville n'a pas encore le visage moderne que lui donneront les transformations du baron HAUSSMANN. Paris dispose, avec ces observations, de photographies de sa biodiversité au cours des temps. En fait, deux tendances contradictoires s'affrontent au niveau l'évolution de la biodiversité à Paris. La première est bien entendu la disparition des espèces les plus fragiles, celles qui nécessitent des conditions de vie très particulières ou de grands espaces. Les plantes des milieux humides du « bois dit des Champs Elysées » n'existent plus et Paris n'héberge plus que 50% de la faune des grands mammifères, 50% de la faune des amphibiens ou 20% de la faune des reptiles qui étaient présentes au 18ème siècle. Le dernier chevreuil a été observé au bois de Boulogne en 1935. Le blaireau vivait au niveau de l'actuel jardin des Tuileries au 12e siècle, il a disparu du bois de Boulogne dans les années 40-50. Pour la salamandre tachetée et lézard vert, les disparitions datent de la première moitié du 20eme siècle
Et la disparition de ces espèces semble difficile à enrayer. Dernière en date, une espèce de fougère observée aux arènes de Lutèce et disparue en 2000. C'était la seule station connue de cette espèce pour toute l'Ile-de-France ! Mais une deuxième tendance, plus surprenante, s'observe en parallèle : c'est l'arrivée à Paris, puis la dissémination en Ile-de-France, puis souvent dans toute la France d'espèces « exotiques » ! De nombreuses espèces sont arrivées de tous temps en France par Paris, que ce soient par exemple les espèces de plantes amenés dans les fourrages des armées d'occupation après la guerre de 1870, ou plus récemment la Renouée du japon ou de la Vergerette de Sumatra. Les termites sont arrivées à Paris en gare d'Austerlitz dans des pins des Landes, avant de coloniser toute l'Ile-de-France. Sans compter avec toutes les espèces dites « de compagnie » qui constituent l'univers quotidien de nombreux parisiens et qui sont parfois relâchées dans le milieu urbain quand elles deviennent trop encombrantes. On ne compte plus, par exemple, les tortues de Florides dans les points d'eau parisiens ! Fennec, genette, écureuil de Corée ou encore maki ont été observés plus ou moins longuement dans Paris. « Paris terre d'asile », également pour la biodiversité ! Quel bilan ? Le bilan est mitigé. Le nombre global d'espèces présentes à Paris n'a pas tendance à trop diminuer. Par contre, si on analyse en détail la composition de la biodiversité de Paris aujourd'hui par rapport à ce qu'elle était il y a un siècle, on constate que ce ne sont pas les mêmes espèces : bon nombre d'espèces indigènes n'existent plus, remplacées par des espèces exotiques. Ceci pose d'ailleurs quelques problèmes : l'analyse des situations d'introduction d'espèces au cours des siècles a montré que peu d'entre-elles arrivent à se stabiliser à long terme dans le milieu, mais, a contrario, certaines espèces en se naturalisant deviennent parfois « envahissantes », perturbant fortement les écosystèmes autochtones. Parallèlement à cette tendance, les efforts entrepris pour améliorer la qualité de certains milieux (comme par exemple les eaux de la Seine) depuis quelques années, ceux destinés à protéger activement certains biotopes favorables (comme les aires de nidification de certains rapaces), ou ceux mis en oeuvre pour réduire l'apport des désherbants dans les parcs et jardins, conduisent à une recolonisation de Paris par des espèces qui l'avaient déserté dans les années soixante. Ainsi, une trentaines d'espèces de poissons s'observent dans la Seine, la fouine et le renard sont de retour dans Paris intra-muros, les pigeons ramiers et les mouettes rieuses volent sur la capitale
Certes Paris n'est pas encore à l'image de certaines autres capitales européennes pour lesquelles on a désigné des secteurs protégés destinés à préserver des espèces (comme Bruxelles pour les chauve-souris) ou d'autres où vivent en pleine ville d'abondantes populations viables de renard (comme Genève), mais peu à peu des tendances positives s'observent pour un maintien, voire une augmentation, de la biodiversité à Paris. Sauver la biodiversité, c'est bien sûr mettre en place des réglementations, mettre en oeuvre des plans d'action et mettre à disposition des moyens financiers, mais cela passe aussi par une prise de conscience de tous les citoyens : la préservation de la biodiversité c'est l'affaire de chacun d'entre-nous ! Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, diversité biologique, écologie, écosystème, espèce vivante, faune, flore, génétique, Paris, ressource biologique
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10ème colloque de biologie prospective - place des biobanques et des centres de ressources biologiques
/ 16-03-2006
/ Canal-U - OAI Archive
CLEMENT Bruno
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Les progrès des sciences du vivant ont été liés aux qualités biologiques . L'échantillon biologique vient du patient et de son consentement et des sources diverses . L'assurance qualité s'inscrit dans u cadre réglementaire . L'échantillon sera utilisé à des fins de recherche : le tissu donnera des informations et on réalisera un stockage de données et cet ensemble se connectera à des réseaux d'échange .
Origine
10ème colloque de biologie prospective InterReg III A. Canal-U Médecine - 2006
Générique
Réalisation : CERIMES - SPI-EAO Mot(s) clés libre(s) : assurance qualité, biobanques, biologie prospective, échange de données, échantillon, épidémiologie, ressources biologiques
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