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Julien Barret : "Rap et poésie peule : une performance guidée par le rythme et la rime. Les canons de la poésie orale" (discutante: Christiane Seydou)

/ Franck Guillemain / Canal-u.fr
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Qu'il s'agisse des poèmes de bergers peuls ou bien de rap instrumental ou a capela - du genre égotrip ou freestyle, sans thème directeur, où le rappeur affirme ses prouesses microphoniques à l'auditeur -, ces performances vocales semblent obéir à des règles communes : un travail formel sur les rythmes et les jeux de sons, qui semble nécessaire à la mise en valeur sonore d'un tel propos. Ainsi, du rap français au rap ghanéen en passant par le hip-hop américain, les flows des MC's ne sont pas sans rappeler la scansion accélérée, assonancée, au style formulaire des bergers peuls du Mâssina, qui, dans leurs mergi et jammooje na'i, mettent en valeur les vertus de leurs troupeaux ou leur propres qualités. Cette communication tentera de définir un canon commun à ces pratiques relevant de la poésie orale scandée, l’« aspect canonique » résidant dans les dimensions phonique et rythmique qui procèdent toutes deux de la figure de répétition. Christiane Seydou (CNRS) sera sa discutante et le film sur la poésie des bergers peuls réalisé dans le cadre de l'exposition "Paroles d'Afrique" sera présenté pour favoriser la discussion. Cette conférence a été donnée dans le cadre de l'opération de recherche "discours canoniques dans leurs modalités linguistiques" coordonnée par Sandra Bornand.
Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, Conférence, julien Barret, ELLAF, Rap et poésie peule : une performance guidée par le rythme et la rime. Les canons de la poésie orale, poésie peule, Littératures en langues africaines, théorie littéraire et pratiques langagières, discours canoniques
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Histoire des rythmes

/ 17-03-2016 / Canal-u.fr
SCHMITT Jean-Claude
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Séminaire dispensé par Jean-Claude Schmitt Les rythmes entraînent la vie entière des individus et des sociétés : il n’y a pas de vie sans rythme, c’est-à-dire sans une mise en ordre variable de faits qui se répètent en combinant indéfiniment périodicité et rupture. Pourtant, il n’existe pas à ce jour une histoire des rythmes qui confronte nos conceptions à celles du passé. Or le contraste est fort entre notre monde, où les rythmes sont observés dans des champs séparés, et la civilisation holiste de l’Europe médiévale, où ils entrent en résonance avec la totalité de la Création, que Dieu aurait façonnée en six jours. C’est à ce rythme fondateur que le livre de Jean-Claude Schmitt emprunte sa propre scansion, en explorant les significations du rythmus médiéval, les rythmes du corps et du monde, ceux du temps, de l’espace et du récit, avant de s’interroger sur la fonction des rythmes dans le changement social et la marche de l’histoire.
Mot(s) clés libre(s) : changement social, périodicité, holisme, rythme, Moyen-Âge
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Evolution des états du sommeil

/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France / 04-02-2000 / Canal-U - OAI Archive
JOUVET Michel
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Conférence du 4 février par Michel Jouvet. Le sommeil de l'homme est l'aboutissement d'une très longue évolution phylogénétique qui a intégré les mécanismes suivants : 1) L'"invention" chez les êtres pluricellulaires de mécanismes "d'homéostasie prédictive". Ces mécanismes sont commandés par une horloge interne, d'à peu près 24 heures (circadienne). 2) Des processus d'économie d'énergie : inactivité, repos et sommeil, permettent en effet de réduire la consommation d'énergie et de nourriture. Dans certaines niches écologiques, un processus saisonnier, l'hibernation, remplace l'alternance quotidienne du sommeil en réduisant considérablement la consommation d'énergie par diminution de la température corporelle jusqu'à 1 à 2°C. 3) Des processus d'homéothermie avec les oiseaux, le sommeil sert également à protéger et préparer un nouvel état survenant avec une périodicité ultradienne, le sommeil paradoxal (SP) ou sommeil avec mouvements rapides oculaires, qui est chez l'homme le substratum neurobiologique de l'activité onirique. Nous passerons d'abord en revue l'apparition et l'évolution de ces mécanismes au cours de l'évolution phylogénétique, avant de montrer comment on en retrouve les traces au niveau du sommeil d'un sujet humain.
Mot(s) clés libre(s) : cerveau, horloge, rythme biologique, santé, sommeil
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Chronique pygmées Bakoya, Gabon, avril 2006

/ 10-04-2006 / Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique des Pygmées Bakoya, Gabon avril 2006 : 1- Imbong 2- dix leçons d'ethnomusicologie, 3 Angetse Etienne, chanteur & musicien bakoya de harpe-cithare 37 scènes 1- Imbong 2- Au quartier bakoya de Zoula Sylvie Lebomin, ethnomusicologue, enregistre et analyse 10 pièces musicales bakoya en faisant jouer simultanément et/ou successivement les musiciens et les chanteuses. 3- Huit chansons d'Angetse Etienne, chanteur et musicien bakoya d'enye (harpe cithare) à Mékambo. Il est accompagné pour une pièce par Louis Joseph Ambese. Petit récital improvisé à la demande de Sylvie Lebomin, ethnomusicologue en présence de Denis Mimbaye. Chapitres : 00 1 Imbong, avril 2006  35 mn Acteurs par ordre d'apparition Ambèse Louis Joseph Mimbaye Denis, chef de village Moulili Jean de Dieu, préfet Angetse Etienne, joueur d'enyele Lebomin Sylvie, ethnomusicologue Toum Bernard Mbouaza Ginère, évangéliste Bokani Gilles, chef de village Epelboin Alain, médecin anthropologue 01 traitement de la première dent de lait des enfants bakoya  2 mn 07 Installé dans le "corps de garde" du village Imbong, Louis Joseph Ambèse raconte que lorsque l'enfant bakoya perd sa dent de lait, il doit la donner au "lézard" (indet), afin qu'il la remplace par une belle dent. 02 sortie des Pygmées de la forêt dans les années 1934-36  13 mn 59s Denis Mimbaye, chef bakoya du village Imbong, raconte comment, au début de la colonisation, ses aïeux Pygmées ont noué leurs premiers rapports avec les Européens, leur fournissant, notamment, des gibiers entiers, non découpés. Il évoque en particulier le lieutenant Thomas qui dirigeait la région en 1933-1936. Celui ci, favorable aux Pygmées, gagne leur confiance à l'occasion du règlement d'une rébellion provoquée par des injustices exercées par un chef de village nommé par l'administration. C'est à la suite de cette affaire que les Pygmées du secteur d'Imbong, décidèrent de quitter leurs campement isolés en forêt, pour s'installer au bord de la route que venait d'ouvrir ce même lieutenant Thomas 03 administration de Mékambo de 1924 à 2006  1 mn 48s À la sous-préfecture de Mékambo, Moulili Jean de Dieu, le sous-préfet, commente le grand panneau érigé dans l'entrée "liste nominative du personnel de commandement ayant servi dans le département de la Zadié Mékambo" depuis 1924. On y retrouve la trace du Lieutenant Thomas (1933 1936), dont le rôle fut important dans la percée des routes et dans la construction d'une alliance avec les Pygmées Bakoya : c'est celle ci qui les amena à cette époque "à sortir de la forêt" et à s'installer le long de la piste, récemment rendue carrossable. J.D. Moulili rapelle comment autrefois les avions qui reliaient le Congo au Gabon, faisaient escale à Mékambo qui'était également une étape importante sur la route du Congo. Moulili Jean de Dieu, préfet de Mékambo depuis 2005, face à la caméra : - Comme on est proche de la République du Congo, la grande voie, c’était, qui reliait le Congo à Makokou, je crois, Makokou, Eboué d’ailleurs qui était la première capitale provinciale : et bien, la voie passait par ici. C’était un passage obligé.Et même les avions qui partaient de Libreville ou Woleu-Ntem, avant que ça n’atterrisse à Brazzaville, ils faisaient escale ici. Vous avez vu la petite piste d’atterrissage.La première voiture qui serait partie du Congo était passée par ici. Ce sont les gens de Mékambo qui l’auraient vu. C’était quand même un spectacle ! Avant ceux de Makokou !Le propos est interrompu par une voix en français, forte et tendue de vieille femme en colère. Elle est habillée de vêtements propres et délavés, mouchoir de tête noir et jaune brillant, assorti au trop grand polo masculin jaune pâli, avec sur le visage des restes blancs de masque facial au kaolin, en particulier sur son « gros » nez. Une malade mentale que les employés de la préfecture ont l’habitude de voir fréquenter les bureaux, serinant les mêmes litanies. En fait, une ancienne employée qui est devenue folle à la suite de diverses infortunes. Filmiquement, une rupture explosive du propos d’un très haut fonctionnaire, comme par un esprit ancien, hantant sans cesse les lieux de son passé. L’ancienne employée de bureau : - Voilà le premier état civil pour moi à Mékambo ! Veut-elle dire qu’elle a été une des premières à être enregistrée à l’état civil ou à tenir le bureau de l’état civil ? Signifie-t-elle que sa famille et/ou elle même a été en contact très tôt avec l’administration au pouvoir, et qu’elle a eu un statut social élevé, désormais détruit ? Alain : - Quelle année ? Période coloniale ou après l’indépendance ? Elle poursuit son propos sans prêter attention à la question. Elle n’a pas l’air si âgée, 60, 70 ans : donc on pourrait prendre comme hypothèse qu’elle est née dans les années 1930, 1940. Elle aurait eu 20 ans entre 1950 et 1960 ? En fin d’administration coloniale ou au contraire lors de la mise en place de l’administration gabonaise ? - Moi qui étais premier (employé) état civil, ici à le bureau à Mékambo, avec le vieux là ! Elle montre un vieillard à proximité, hors caméra. La fourchette d’âge s’élargit jusqu’à 80 ans, et la fiabilité du propos, quant à un ancien emploi de bureau exercé ici se confirme. Elle a, dans un premier temps, bénéficié de l’ascenseur social construit sur la scolarisation, l’apprentissage du français et de l’écriture. L'air, il fait moi comme ça (geste d’essuyage de la sueur du front), comme je n'ai pas de voiture ! L’air ! Attention, c’est vraisemblablement un mot très polysémique. Le geste d’essuyage de la sueur sur le front, morphème non-verbal transculturel africain bien connu, désigne le travail physique, mais aussi l’excès de dépense d’énergie, et donc aussi la notion de fatigue au sens aussi bien physiologique que pathologique. Ici, on entend air au sens d’exposition au aléas du climat, que ce soit dans les bureaux surchauffés ou lors de déplacements à pied. Employée de bureau, c’est-à-dire un statut social important du point de vue de la société dont elle est originaire, mais négligeable du point de vue de la hiérarchie administrative. Elle n’avait pas un rang lui permettant de disposer d’un véhicule et elle avait de grandes distances à parcourir, non seulement pour venir au travail, mais également pour mener à bien ses autres activités, familiales, agricoles, voire commerciales. L'air, il volait pour moi de l'argent !  Les dures conditions écologiques lui coûtaient beaucoup ? « Air » est à prendre au sens écologique, mais aussi surnaturel : vents ou souffles porteurs des agressions maléfiques d’esprits, de jaloux, d’envieux, d’ingrats, de méchants ! L'air ! Il gaspillait les enfants pour moi ! Il rendait ses enfants malades ? Il a détourné ses enfants de leur mère ? L'air, il gaspillait moi ! Cet air a fini par altérer sa réussite sociale. Je dors dans le par terre ! S’agit-il de dormir par terre, parce que sa ruine est-elle qu’elle ne dispose même plus de lit chez elle et qu’elle est obligée de dormir sur une natte. Ce peut être une réalité concrète ou une expression archétypale de la misère d’une femme âgée, délaissée, veuve ou divorcée, et de plus abandonnée par ses enfants !  Autre hypothèse, elle n’a pas de domicile fixe et est amenée à dormir n’importe où, parfois sans natte, à même le sol, comme beaucoup de malades mentaux, délaissés par leurs familles impuissantes à juguler la folie. C'est premier (e) à le bureau là, l'année du boulot, moi de l'argent ! Il faudrait reprendre l’histoire de l’administration de Mékambo pour identifier son statut véritable et savoir si elle a été effectivement embauchée la première ! Peu importe ! Elle exprime une réussite sociale ancienne et une ruine actuelle. Tous les jours à le boulot, le village, c'était en courant ! Je viens pour trouver moi le boulot ! Ici, elle reprend ce qu’elle indiquait antérieurement par le geste d’essuyage de la sueur sur le front, à savoir qu’elle était une femme active, gérant de nombreuses activités, « en courant ». Et que sa réussite était le fait de son propre mérite. Une histoire « ordinaire » d’une personne qui a pris l’ascenseur de la réussite sociale de la modernité, mais qui s’est brisée dans le piège tendu, un miroir aux alouettes : et qui tend elle aussi un miroir dans lequel on craint de retrouver son propre reflet, passé ou à venir.  Un bouffon, une griotte, qui dit des « vérités » aux puissants sans pouvoir être puni. Une vieille femme dangereuse, au malheur potentiellement « contaminant », qui révèle les non-dits, les désirs, les inconscients individuels et collectifs. Est-ce en tant que ce qu’elle était qu’elle est tolérée en ces lieux officiels ? À cause de la présence du témoin étranger ? En raison de la dangerosité des paroles de malédiction d’une vieille femme ? Ou, comme les Pygmées, du fait de sa proximité avec les êtres du monde non visible au commun des mortels ? 04 Représentation de la maladie Ebola chez les Bakoya  4 mn 27s voir séquence 9 mn : http://www.canal-u.tv/video/smm/chronique_pygmees_bakoya_de_mekambo_gabon_avril_2006_representation_des_epidemies_de_maladie_a_virus_ebola_de_2001_2002.16144 À la suite d'une épizootie ayant décimé les gorilles, en 2001-2002, une épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola, sous-type Zaïre, se propageant jusqu'à Kéllé au Congo, a terrifié la population de la région de Mékambo, tuant notamment quelques Pygmées Bakoya. Qu'en reste-t-il dans les mémoires ? À la sous-préfecture de Mékambo, deux affiches sont exposées dans le hall : l'une d'un parc national avec des têtes de gorilles en très gros plan, l'autre consacrée à Ebola et indiquant les mesures et comportements à prendre, pour éviter de se contaminer. Angeste Étienne, chanteur et joueur réputé de harpe cithare enye interprête à son domicile la chanson sur Ebola qu'il a inventé lors de l'épidémie. " Les jeunes filles ! Gardez le corps ! Ebola arrive !". traduisent Toum Bernard et Mbouaza Ginère, évangéliste, tous deux originaires d'Imbong. Ils rappellent l'horreur qui les a saisi Toum Bernard : -Pour moi c'était la première fois d'entendre parler d'Ebola et c'était aussi pour moi très horrible. de voir comment les médecins manipulaient les corps. Là nous les parents ! Non ! Les parents des décédés ! Non, non, non ! Ils n'avaient plus le pouvoir, de manipuler les corps. Mbouaza Ginère, évangéliste : - Comment se fait il que c'est une épidémie. Et puis en prenant, quand le corps meurt, il faut absolument que les parents puissent voir comment, à enterrer le corps. Mais ce qui était horrible, c'était pourquoi ? C'était parce que, quand la personne trouve la mort, au lieu que c'est les parents qui prennent le corps, ce sont les médecins eux-même qui prennent le corps. Et des fois, d'autres corps ont disparu ! Toum Bernard : - Mais leur cimetière (tombe) , on ne connait pas. On ne connait pas où se trouvent de ces corps là aujourd'hui. Mbouaza Ginère, évangéliste : - Après un moment donné, les familles qui ont perdu les parents ont été satisfaits par l'argent. Donc il a fallu que l'état gabonais pense aux familles qui ont perdu les parents pour leur donner de l'argent... déja sur canal u Acteurs par ordre d'apparition : Angetse Etienne, joueur d'enyele Lebomin Sylvie, ethnomusicologue Toumoro Bernard Mbouaza Ginère, évangéliste Epelboin Alain, médecin anthropologue Caméra-son- réalisation : Epelboin Alain 05 iboga 5 mn 06 remerciements 7 mn 17s 00 2 dix leçons d'ethnomusicologie  32 mn18 Au quartier bakoya de Zoula Sylvie Lebomin, ethnomusicologue, enregistre et analyse 10 pièces musicales bakoya en faisant jouer simultanément et/ou successivement les musiciens et les chanteuses. Etaba Madeleine, chanteuse Ambili Florence, chanteuse Maboa Thérèse, chanteuse Aboul Jonas, percussion Mwango Mathias, joueur d'abele Ipatima Stanislas joueur de ndumu Mindem Jean-Rémy, joueur de ngom 07 1 Chant du Mongala 8 mn 7s Après un essai destiné à expliquer la procédure de l'enregistrement aux musiciens, exécution d'un premier chant de Mongala où chaque intervention est enregistrée en référence avec celle qui la précède. Le Mongala est un culte initiatique centré sur la gemmellité que l'on retrouve sur une grande frange est du territoire gabonais. 07 2 Chant du culte Issembu 3 mn 28 Enregistrement analytique d'un chant du culte Issembu réservé aux femmes. Comme pour le Mongala, ce culte se retrouve dans les populations de toute la frange est du territoire gabonais sous différentes appellations (Lissembu; Lissimbi; Lessimbu). 07 3 Chant et fabrication de panier 2 mn 28 Pendant les enregistrements, un homme continue à tresser son panier, vraisemblablement de l'ethnie Kwélé au regard du type de maille utilisé. 07 4 chant par deux femmes 57 s Cet enregistrement permet d'entendre la complémentarité des voix et des registres utilisés par les deux femmes. 07 5 chant de Ngodja 3 mn 54s Chant de Ngodja accompagné particulièrement par la poutre frappée et le baguettes entrechoquées. Ces deux éléments rythmiques permettent d'entendre la suprposition d'un rythme binaire et d'un rythme ternaire. 07 ethnomusicologie 6  3 mn 35s 07 7 chant du culte Mbumba  3 mn Chant du culte de divination Mbumba. Au bout de quelques temps, Florence, la chanteuse principale, introduit la technique de chant du yodel qu'elle dit avoir emprunté aux Pygmées Baka, installés dans la région de Minvoul, mais qui descendent parfois jusque dans l'Ogooué-Ivindo pour la chasse. 07 8 chant du répertoire Abwema  3 mn 48s Enregistrement d'un chant du répertoire Abwéma. 07 9 Bébé en musique  1 mn 36 Les bébés participent à l'activité musicale dès leur plus jeune âge. Dans un premier temps de façon passive, du seul fait de leur présence dans les bras des femmes. Ils acquièrent ainsi les rythmes corporels de base. 00 3 Angetse Etienne, chanteur & musicien bakoya de harpe-cithare 18 mn 25 Huit chansons d'Angetse Etienne, chanteur et musicien bakoya d'enye (harpe cithare) à Mékambo. Il est accompagné pour une pièce par Louis Joseph Ambese. Petit récital improvisé à la demande de Sylvie Lebomin, ethnomusicologue en présence de Denis Mimbaye. 08 01 harpe cithare 2 mn 47 La harpe cithare joué ici par un musicien bakoya est vraisemblablement d'origine Kwélé où elle sert à accompagner le chant d'une épopée, dans un style proche du Mvet fang. Cet instrument de très gande longueur est fait en bambou de Chine avec des cordes directement prélevèes sur la canne de Bambou. L'instrument est dit alors idiocorde. 08 02 harpe cithare et corbeille 2 mn 15s Pendant que la femme du musicien continue de tresser sa corbeille, celui-ci continue d'improviser des paroles. L'énorme marmite placée sous l'instrument sert d'amplificateur. Le rythme pointé utilisé dans le jeu de l'instrument semble spécifique au jeu de la harpe-cithare à traves différentes populations d' Afrique centrale. 08 03 harpe cithare 1 mn 16 08 04 harpe cithare 1 mn 16s Les deux mains du musicien, disposées de part et d'autre du chevalet, jouent alternativement. Il y a de fait peu de polyphonie bien que l'instrument en possède le potentiel. 08 05 harpe cithare 1 mn 47s 08 06 harpe cithare 53 s 08 07 harpe cithare 4 mn 19s Un des accompagnateurs de l'équipe, Joseph Ambese, chante en duo avec le musicien principal qui de ce fait retrouve une source d'inspiration. 08 08 harpe cithare 2 mn 30s 09 générique 40 s
Mot(s) clés libre(s) : relations Européens/Pygmées, harpe cithare, sédentarisation, dent de lait, iboga, Tabernanthe iboga, Imbong, pygmée, Ebola, Bakoya, enterrement sécurisé, sorcellerie, culte initiatique, yodel, Mongala, Mbumba, Zoula, rythme ternaire, Ngodja, prévention, mort, thérapeutique, gorille, rite funéraire, Mékambo, cimetière, épidémie, cannabis, santé publique, administration, esprit, colonisation, discrimination, anthropologie, histoire, maladie, alcool, musique, vidéo, enfance, ethnomusicologie, Afrique, culte, divination, film ethnographique, Gabon, sang, jeu, rumeur, chant, cadavre, danse
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Science Infos 07/04/2010

/ André DAUTIGNY / 07-04-2010 / Canal-U - OAI Archive
DAUTIGNY André, FREIXANET Alain, ZAVAGLIA David
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13e numéro de Science Infos Science Infos est le premier journal scientifique du web, produit et réalisé par des scientifiques de Bio-TV. Zoologie : les caméléons, l'homme de Cro-MagnonEnvironnement : la protection des manchots du CapEspace : la météorite responsable de la disparition des dinosauresMédecine : la cigarette électroniqueDossier du jour : la semaine du cerveau - maladie de Parkinson - épilepsieHi-Tech : le logiciel Open Vibe ou comment contrôler un ordinateur par la penséeInsolite : l'attirance pour la musique chez les bébés
Mot(s) clés libre(s) : Caméléon, cerveau, Cro Magnon, épilepsie, manchots du Cap, météorite, neuroanat, Parkinson, rythme musique bébés
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JLP 2008 - Développement du sommeil et diffcultés de sommeil de l'enfant

/ Canal U/Tice Médecine Santé, SPI-EAO / 02-02-2008 / Canal-U - OAI Archive
CHALLAMEL Marie-Josèphe
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On étudie le sommeil par le procédé de polygraphie. Il est important que les parents tiennent un agenda de sommeil. Il y a trois grands états de vigilance dans le sommeil, l'éveil, le sommeil lent et le sommeil paradoxal. L'adulte dort par cycles de sommeil faits de 10 à 90 minutes. Il a quatre à cinq cycles par nuit. La seconde partie de nuit est réservée au sommeil paradoxal. Au cours du sommeil agité, le nouveau né répète toutes ses mimiques d'expression. Un coucher tardif entraîne une diminution du sommeil. L'adolescent actuel manque de sommeil. Il a de grosses difficultés d'endormissement qui sont en partie d'origine physiologique. La sieste chez l'enfant disparaît entre 3 et 6 ans. L'horloge interne a un rythme de 25 heures. SCD médecine nancy 1
Mot(s) clés libre(s) : adolescent, agenda de sommeil, apnées du sommeil, enfant, enregistrement sommeil, JLP, journée lorraine de pédiatrie, polysomnographie, rythme circadien, rythme jour nuit, sieste, sommeil lent, troubles sommeil
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Echocardiogramme et troubles du rythme

/ 26-04-2007 / Canal-U - OAI Archive
BRUNTZ Jean-François
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Le but de l'échocardiographie n'est pas de préciser le trouble du rythme, mais l'existence : - d'une cardiopathie arythmogène sous-jacente - le retentissement hémodynamique et les complications potentielles - d'un asynchronisme intra ou inter ventriculaire - optimiser le réglage de PM (CMO ++). Origine DIU d'échocardiographie du Nord-Est 28 avril 2007 Générique Dr JF. Bruntz (CHU de Nancy SPI-EAO CERIMES Canal-U Sciences de la Santé et du Sport
Mot(s) clés libre(s) : DIU d’écho cardiologie, pace maker, troubles du rythme cardiaque
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h-Jubilé André Calas - Olivier Bosler

/ André DAUTIGNY, Alain FREIXANET, BioTV / 24-04-2008 / Canal-U - OAI Archive
BOSLER Olivier
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Description à venir Voir les autres programmes du jubilé André Calas : a-Jubilé André Calas - présentation b-Jubilé André Calas - Andrée Tixier-Vidal c-Jubilé André Calas - Alain Trembleau d-Jubilé André Calas - Bennis e-Jubilé André Calas - Gérard Alonso f-Jubilé André Calas - Olivier Kah g-Jubilé André Calas - Yves Tillet h-Jubilé André Calas - Olivier Bosler i-Jubilé André Calas - Mikhail Ugrumov j-Jubilé André Calas - Massimiliano Beltrano k-Jubilé André Calas - Marc Landry l-Jubilé André Calas - Brigitte Oteniente m-Jubilé André Calas - André Calas
Mot(s) clés libre(s) : horloge interne, morphologie., neuropeptides hypothalamiques, noyau suprachiasmatique, rythmes circadiens, sérotonine, synchronisation
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Réanimation du prématuré en salle de naissance

/ 14-01-2007 / Canal-U - OAI Archive
ASSOULINE AZOGUI CORINNE
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Ce film est destiné à compléter l'enseignement de la réanimation du prématuré à la naissance. Après la description du matériel utilisé, il aborde les particularités et les difficultés de certains gestes techniques de réanimation néonatale chez le grand prématuré. Il insiste sur la démarche et la conduite à tenir dans les situations les plus fréquemment rencontrées en salle de naissance. qUELQUES 2QUIPES ANGLOSAXONNES UTILISENT LES MOYENS VID2OS POUR évaluer les manoeuvres de réanimation néonatale. la réanimation doit être la moins agressive possible. Origine FILMED : 106 5401 118 Générique Auteur : Assouline Azogui C. FILMED : 106 5401 118 Indexation SCD Médecine
Mot(s) clés libre(s) : adrénaline, CPAP, détresse respiratoire, FILMED, grand prématuré, massage cardiaque, réanimation, rythme cardiaque
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