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Naissances, gestes, objets et rituels.
Le rituel juif de circoncision : La brith milah d'Ethan
/ Richard JOURNO
/ Canal-u.fr
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Montage vidéo réalisé pour l’exposition « Naissances : objets, paroles et rituels » du Musée de l’homme 2005-2006Le rituel juif de la circoncisionremerciements à Ethan et ses parents Elisa et David Benaïm, Lahlamy Messod, mohelDr Paul Atlan, hôpital Antoine Béclère, ClamartDanielle et Richard JournoImages Richard Journo 2004La marque de l’alliance perpétuellePour les juifs, la circoncision du garçon nouveau-né est le signe concret de l’alliance perpétuelle conclue entre Dieu et Abraham. Le rituel est accompli, le huitième jour, en la présence symbolique d’Elie, prophète chargé de vérifier que tous accomplissent bien le commandement. Sur le siège d'Elie est assis le sandaq, parrain de l’enfant, il maintient celui-ci sur ses genoux. Une fois l’enfant circoncis, l’officiant bénit le vin et les aromates et les fait goûter à l’enfant. C’est alors que le père révèle à toute l’assistance le nom hébreu de son fils, nouveau membre du peuple d’Israël. Si l'enfant est une fille, le rituel consiste simplement à aller à la synagogue où le rabbin bénit l'enfant en prononçant son nom.Brith-milah, rituel juif de la circoncisionque Dieu fasse grandir le petitque le père se réjouisse de sa progéniture, que la mère soit heureuse du fruit de son ventrecirconcisionEternelParoleange sauveurallianceAbrahamprophèteLe père de l'enfant"Sois béni, Eternel notre Dieu, roi du monde qui nous a sanctifiés par ses commandements et nous a ordonné de le faire entrer dans l'alliance d'Abraham notre père."je te dis : par ton sang, vis !que Dieu fasse grandir le petitNotre Dieu, Dieu de nos pères, conserve cet enfant à son père et à sa mère ; qu'il soit nommé en Israël Ethan, Elie fils de David, que le père se réjouisse de sa progéniture, que la mère soit heureuse du fruit de son ventre, comme il est dit {Prov. 23 25} : Que ton père se réjouisse ainsi que ta mère. Qu'exulte celle qui t'a enfanté. Et il est dit {Ezéchiel 16 6} - Je passai près de toi et te vis empêtré dans ton sang ; je te dis : par ton sang, vis ! je te dis : par ton sang, vis ! Et il est dit {Ps. 105 8-10} Il se souvient pour toujours de son alliance, cette parole ordonnée pour des milliers de générations. qu'il a contractée avec Abraham et jurée à Isaac. Il l'a érigée en loi pour Jacob et en alliance éternelle pour Israël. {Ps. 106 1} Rendez grâce à l'Eternel - C'est bon ! Oui, son amour est éternel ! Que Dieu fasse grandir le petit…….De même qu'il l'a introduit dans l'alliance, qu'il l'introduise dans la Torah, les mitsvot, le mariage et les bonnes actions. Qu'il en soit ainsi - Disons AmenCet enfant mérite d'être circoncisElie, prophète de l'Eternel{niche 1}{objet}Nécessaire de circoncisionAlsace, 19e siècle - Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée.Selon la Bible, le père a le devoir de circoncire lui-même son enfant. Dans la pratique, il délègue cette opération à un praticien traditionnel, le mohel. Ce dernier n’est pas nécessairement un rabbin ou un médecin ; c'est un homme ayant reçu la formation technique et religieuse nécessaire pour accomplir correctement le rite.{niche 2}{objet}MappaAlsace, 18e siècle - Musée Alsacien, StrasbourgEn Alsace et dans toute la région rhénane, le linge sur lequel l'enfant a été circoncis, est découpé en bandes cousues bout à bout. La mère ou une femme de la famille y brode le nom de l’enfant, sa date de naissance et des vœux de prospérité. Offerte à la synagogue à l’occasion du premier ou du troisième anniversaire de l’enfant elle servira à maintenir serrés les rouleaux de la Torah.{citation}« Baruch, fils de Juda Löbl Segal, est né sous une bonne étoile le vendredi, veille du saint shabbat, le 18 Nissan 510. Qu’il grandisse pour la Torah, la Houppah et les bonnes œuvres. Amen."{niche 3}{objet}La circoncision de JésusAnvers, début 16e siècle - Musée National du Moyen Age, thermes et hôtel de Cluny, Paris{Circoncision juive}{Source L'arme de la parole - communiquée par le rabbin Rivon Krygier,lui-même recommandé par l'assistante du rabbin Josy Eisenberg)Refrain : "Soyez bénis, vous communauté de mes fidèles; bienvenue au nom de l'Eternel." Que cet enfant soit né pour la chance. Qu'il grandisse et devienne comme un jardin fertile. Qu'il s'élève, réussisse et échappe à la peste Amen ! Ainsi fera l'Eternel ! Refrain Que nous soit donnée une part dans les délices éternelles ; Que de son temps nous montions pour les trois pèlerinages, Grands et petits, à la maison de l'Eternel Refrain Souviens-toi de ta miséricorde et du sang de l'alliance, Prends soin de ton troupeau - celui qui reste - Par l'intermédiaire de ton Messie, Messie fils de David, Et envoie Elie, le prophète de l'Eternel. Refrain Cet enfant mérite d'être circoncis Que son père et sa mère voient son mariage Que l'ange sauveur le bénisse et qu'il mérite de contempler les délices de l'Eternel ! RefrainBénédiction du mohel
Sois béni, Eternel notre Dieu, roi du monde qui nous a sanctifiés par ses commandements et nous a ordonné la circoncision.
Le père de l'enfant :
Sois béni, Eternel notre Dieu, roi du monde qui nous a sanctifiés par ses commandements et nous a ordonné de le faire entrer dans l'alliance d'Abraham notre père.
Sois béni, Eternel notre Dieu, roi du monde qui nous a fait vivre, subsister et arriver à ce moment-là.L'assistance dit :
De même qu'il est entré dans l'alliance, il sera introduit dans la Torah, les commandements, le mariage et les bonnes actions. Qu'il en soit ainsi, Amen !
Avec votre permission, mes maîtres !
Sois béni Eternel notre Dieu, roi du monde, créateur du fruit de la vigne
Sois béni Eternel notre Dieu, roi du monde, créateur des bois de parfum
Sois béni Eternel notre Dieu, roi du monde, qui a sanctifié le bien-aimé depuis le ventre maternel, a fixé la loi pour sa postérité, et a scellé le signe de la sainte alliance dans ses descendants. Par ce mérite, ô Dieu vivant, notre sort, notre rocher, ordonne d'épargner le reste de cette sainte postérité bien-aimée de la destruction, grâce à cette alliance que tu as gravée dans notre chair. Sois béni Eternel, qui scelle cette alliance.
Notre Dieu, Dieu de nos pères, conserve cet enfant à son père et à sa mère ; qu'il soit nommé en Israël …… fils de…… , que le père se réjouisse de sa progéniture, que la mère soit heureuse du fruit de son ventre, comme il est dit {Prov. 23 25} : Que ton père se réjouisse ainsi que ta mère. Qu'exulte celle qui t'a enfanté. Et il est dit {Ezéchiel 16 6} - Je passai près de toi et te vis empêtré dans ton sang ; je te dis : par ton sang, vis ! je te dis : par ton sang, vis ! Et il est dit {Ps. 105 8-10} Il se souvient pour toujours de son alliance, cette parole ordonnée pour des milliers de générations. qu'il a contractée avec Abraham et jurée à Isaac. Il l'a érigée en loi pour Jacob et en alliance éternelle pour Israël. {Ps. 106 1} Rendez grâce à l'Eternel - C'est bon ! Oui, son amour est éternel ! Que Dieu fasse grandir le petit……. De même qu'il l'a introduit dans l'alliance, qu'il l'introduise dans la Torah, les mitsvot, le mariage et les bonnes actions. Qu'il en soit ainsi - Disons Amen !Ps. 128
1.- Cantique des degrés Heureux celui qui craint l'Eternel, celui qui marche dans ses chemins. 2.- Puisse-tu manger du labeur de tes paumes. Tu en seras heureux et ce sera bon pour toi. 3.- Ta femme sera comme une vigne féconde dans l'intimité de ta maison. Tes fils seront comme des plants d'olivier, autour de ta table. 4.- Oui, c'est bien ainsi qu'est béni celui qui craint l'Eternel. 5.- Que l'Eternel te bénisse depuis Sion ; Puisses-tu voir le bonheur de Jérusalem tous les jours de ta vie ! 6.- Puisses-tu voir les fils de tes fils !
Paix sur Israël. Mot(s) clés libre(s) : religion, fête, objet rituel, dation du nom, mohel, mitsva, prénom, séfarade, France, Europe, clou de girofle, bénédiction, vin, prière, nourriture, nouveau né, vidéo, mutilation, naissance, chant, hébreu, judaisme, sang, circoncision, rituel, film ethnographique, petite enfance, brith milah
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L’abattage du cochon en Voïvodine, décembre 1998
/ 13-12-1998
/ Canal-u.fr
VIVOD Maria
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L’abattage du cochon en Voïvodine, Serbie (ex-Yougoslavie)
La viande du cochon est d’une importance centrale dans la nutrition de la Voïvodine, une région au nord de la Serbie. La viande du cochon est un symbole de démarquage (’tu es ce que tu manges’) entre les groupes ethniques originaires de la région (aujourd’hui minoritaires) et les nouveaux groupes, introduits par une migration volontaire ou forcée après la Deuxième Guerre Mondiale, et une migration qui a eu lieu durant les année 90 d’une population groups fuyant la guerre civile en ex Yougoslavie, venant des différents territoires (Bosnie, Lika, Kordun, Herzégovine, Croatie, Kosovo). Le documentaire a été tourné en hiver 1998 - l’hiver est traditionnellement la saison de l’abattage… Cette dernière fête de l’aliment était utilisée durant les années des guerres et de la dictature comme un moyen de s’approvisionner de la viande pour toute l’année, mais aussi une manière qui avait lieu à huis clos, de souligner l’appartenance ethnique et régionale. L’abattage du cochon est devenu un symbole de la région, le dernier bastion, dans laquelle la politique nationaliste du régime de Milosevic et les changements sociaux survenus durant les guerres civiles ne se sont pas interférés. Les images ont été tournées un peu partout en Voïvodine, dans le village de Budisava, chez une famille de la minorité hongroise, chez une famille serbe dans le village d’Od-aci, et chez une famille du village de Prigrevica, d’origine d’Herzégovine, arrivant à Voïvodine après la Deuxième Guerre Mondiale. La façon de tuer et de consommer le cochon, d’élaborer minutieusement ses produits et d’en faire un art, signifie dans les milieux villageois une fête, une occasion de rassembler la famille venant parfois de loin. Dans les villes, l’abattage du cochon, et les festivals, les compétitions – qui ont lieu dans les villages de Budisava, Voganj, Turija, un peu partout autour de la capitale de la région, Novi Sad – qui sont dédiées à cet art d’élaboration d’un aliment et à la culture populaire de la région portent une signification du retour « aux racines ». La consommation de la viande du porc est liée étroitement avec le sentiment de l’appartenance régionale et ethnique, même avec une notion de combat pour la sauvegarde de l’identité, d’une supériorité provenant du savoir-faire.
Caméra :Pierre SimlerDavid BeztzingerMontage :Zoltàn Szekeres-SzikiMusique : Màtyàs MàrtonPhotos :Pedrag UzelacRemerciements :SCAVUn film de Maria VivodDécembre 1998 Mot(s) clés libre(s) : alimentation, découpe, mise à mort, abattage, cochon, Voïvodine, repas, mort animal, film ethnographique, sang, Serbie, vidéo, cuisine, préparation culinaire
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Le cochon en Galice
/ 21-11-2013
/ Canal-u.fr
SOENGAS Beatriz
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La matanza do porco, l'abattage du cochon en galicien, est pratiqué depuis de nombreuses années dans ma famille. Ce film retrace l'abattage du dernier cochon élevé par ma grand-mère paternelle. On y voit les différentes étapes depuis la mise à mort de l'animal jusqu'à l'élaboration de produits avec la viande du cochon. Ces opérations qui s'étalent sur deux jours, mobilisent la famille mais aussi les voisins qui sont venus prêter main forte. On constate une répartition des tâches clairement définie. Les hommes tuent, préparent l'animal et le découpent. Les femmes s'occupent de nettoyer les boyaux et d'élaborer les différentes charcuteries, ici chorizos et morcillas. Les techniques d'abattage ont changé dans le temps et varient selon les villages. Toutefois, bien que l'abattage du cochon soit une pratique séculaire dans les campagnes galiciennes, elle tend à disparaître.
Mot(s) clés libre(s) : feu, boyau, viande, voisins, préparations culinaires, cuisson, salage, épice, charcutere, chorizo, morcilla, fumage, fumoir, découpe, chalumeau, espagne, famille, vidéo, tradition, sang, film ethnographique, mort animal, cochon, abattage, mise à mort, paille, brûlage, Galice
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FILMED - Sang aucun doute
/ FILMED, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 05-08-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SELLINI T.
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Titre: SANG AUCUN DOUTEAuteur: Sellini T. Spécialité: EDUCATION DE LA SANTEDurée: 12 mn Distribution: Pour recevoir ce film, contacter FILMED au (0)3.22.80.05.80 Public concerné: Référence Filmed: 110 3605 066 Resumé: Film destiné à la sensibilisation du grand public, au don de sang. Mot(s) clés libre(s) : don, efs, Filmed, sang, transfusion
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Biopuces à peptides
/ Science en Cours
/ 01-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
Science en Cours
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Biopuces à antigènes pour la qualification des dons du sangGénériqueO.Melnyk IBL USTL TV SEMM Mot(s) clés libre(s) : antigène, biopuce, biotechnologie, don du sang, peptide, polymère, puce à ADN, transfusion sanguine
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Institut du Thermalisme de Dax : Journées d'Automne 2009 - 1/4
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 27-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
ROQUES-LATRILLE Christian-François, TABONE Wainer, ROBERT Carole, DUBOIS Olivier, VITALE Marco
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Journées d'Automne 20092e Symposium Européen de Recherche ThermaleOrganisées dans le cadre du 2e Symposium Européen de Recherche Thermale et des 3e Rencontres Internationales de l'Institut du Thermalisme, les Journées d'Automne 2009 ont rassemblé divers spécialistes autour du thermalisme et de ses effets cliniques sur les curistes. Elles ont été l'occasion d'exposer les résultats de différentes enquêtes et études sur les bénéfices d'une cure thermale chez les patients atteints de problèmes dermatologiques, rhumatologiques, cardio-vasculaires...et de présenter outre le projet de coopération européen TERMARED, quelques travaux originaux de l'Institut du Thermalisme. Les conférences :C.-F. Roques-Latrille : Enquête 112 000 questionnairesLe but de ce travail était d’identifier l’opinion des curistes fréquentant les établissements thermaux de France. W. Tabone, Coût du thermalisme social - Approche macroéconomiqueLe résultat de cette approche montre que le thermalisme compense quasiment par sa contribution spécifique aux budgets sociaux et fiscaux ce que la solidarité nationale consacre à son financement.C. Robert, Fibromyalgie et cures thermalesAu cours de l’année 2009 l’association de patients Fibromyalgie France UFAF a proposé un questionnaire en ligne sur son site Internet en partenariat avec le C.N.E.T.H. L’objectif visait à recueillir les avis et attentes des patients par rapport à la cure thermale.O. Dubois, Thermalisme et sevrage de psychotropes á propos d'une enquête auprès de médecins généralistesCette étude visait à estimer la proportion de patients traités par des benzodiazépines pouvant relever d’une indication de sevrage et à recueillir l’avis des médecins généralistes libéraux contactés sur différentes prises en charge en particulier la cure thermale dans l'indication de la réalisation d'un sevrage thérapeutique.M. Vitale, Ion H2S et fonctionnement cellulaireOne specific interest of the effects of sulfurs on keratinocytes derives from the potential applications of the results, as sulfur is able to penetrate the skin and a sulfur-rich balneotherapy has been known for long to be effective in the treatment of psoriasis. Mot(s) clés libre(s) : cellules sanguines, cures thermales (aspect économique), dépendance (physiologie), fibromyalgie (thérapeutique), hydrogène sulfuré, hydrothérapie, psychotropes, sang (analyse), sources thermales, thérapeutique, thermalisme
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Sacrifice d’un cheval pour la célébration de la fin du deuil
/ 14-09-2003
/ Canal-u.fr
LESCUREUX Nicolas
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Kirghizistan, village d'Atsha-Kaïyndy 2003
40 jours après l’enterrement d’un homme, une cérémonie est organisée. Elle marque la fin du deuil de la veuve. Afin de célébrer cet évènement, les gens du village sont invités et un cheval est abattu. Ce film montre la prière précédant le sacrifice, la mise à mort, le découpage et une partie de la préparation du cheval. Mot(s) clés libre(s) : Asie, kirghizistan, Atch-Kayïndé, découpage, cérrémonie, mususlman, viande, mise à mort, prière, mort animal, sacrifice, cheval, film ethnographique, rituel, sang, tradition, deuil, vidéo, boyaux
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Hong Sang-soo par Hong Sang-soo : une leçon de cinéma
/ La Cinémathèque française
/ 16-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française
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Leçon de cinéma animée par Jean-François Rauger."Un film est bon pour moi s'il m'apporte de nouvelles sensations et s'il modifie ma manière de penser. C'est pourquoi la forme est si importante. Nous partageons tous les mêmes matériaux. Mais la forme qu'on utilise mène à des sensations différentes ou à de nouveaux questionnements, de nouveaux désirs. Je ne crois donc pas pouvoir me définir comme formaliste ou réaliste. (...) La seule chose dont je sois conscient sont mes désirs."Hong Sang-soo, avril 2004 Mot(s) clés libre(s) : cinema, Hoo Sang Soo
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Chronique aka 1992, Akungu, Paris : La chasse au filet, Akungu, 27 novembre 1992
/ 27-11-1992
/ Canal-u.fr
ESTI, EPELBOIN Alain
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Chroniques pygmées, la chasse au filet, 27 novembre 1992, Lobaye, République centrafricaineEmission “Sylva” sur Arte
Réalisatrice :Esti
Auteurs :
Alain Epelboin & Esti
Image & son :
Alain Epelboin & Esti
Avec les habitants du campement d’Akungu :
Ginza, Monbaka, Mesa, Mbolo, Koti, et Mambi
Présentation d'une chasse au filet, commentée par l'ethnologue, avec également lecture de son carnet de terrain. Mot(s) clés libre(s) : musique, serpent, Lobaye, chasse, gibier, filet, céphalophe, capture, rituel propitiatoire, appel, mime cri, appat, poudre écorce/crotte, fustigation rituelle, esprit de la forêt, aka, Akungu, Portrait, forêt, croyance, chercheur, vidéo, chant, anthropologie visuelle, ethnographie, sang, film ethnographique, République Centrafricaine, mort animal, carnet de terrain, pygmée, chien
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Chronique pygmées Bakoya, Gabon, avril 2006
/ 10-04-2006
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Chronique des Pygmées Bakoya, Gabon avril 2006 : 1- Imbong 2- dix leçons d'ethnomusicologie, 3 Angetse Etienne, chanteur & musicien bakoya de harpe-cithare
37 scènes
1- Imbong
2- Au quartier bakoya de Zoula Sylvie Lebomin, ethnomusicologue, enregistre et analyse 10 pièces musicales bakoya en faisant jouer simultanément et/ou successivement les musiciens et les chanteuses.
3- Huit chansons d'Angetse Etienne, chanteur et musicien bakoya d'enye (harpe cithare) à Mékambo. Il est accompagné pour une pièce par Louis Joseph Ambese.
Petit récital improvisé à la demande de Sylvie Lebomin, ethnomusicologue en présence de Denis Mimbaye.
Chapitres :
00 1 Imbong, avril 2006 35 mn
Acteurs par ordre d'apparition
Ambèse Louis Joseph
Mimbaye Denis, chef de village
Moulili Jean de Dieu, préfet
Angetse Etienne, joueur d'enyele
Lebomin Sylvie, ethnomusicologue
Toum Bernard
Mbouaza Ginère, évangéliste
Bokani Gilles, chef de village
Epelboin Alain, médecin anthropologue
01 traitement de la première dent de lait des enfants bakoya 2 mn 07
Installé dans le "corps de garde" du village Imbong, Louis Joseph Ambèse raconte que lorsque l'enfant bakoya perd sa dent de lait, il doit la donner au "lézard" (indet), afin qu'il la remplace par une belle dent.
02 sortie des Pygmées de la forêt dans les années 1934-36 13 mn 59s
Denis Mimbaye, chef bakoya du village Imbong, raconte comment, au début de la colonisation, ses aïeux Pygmées ont noué leurs premiers rapports avec les Européens, leur fournissant, notamment, des gibiers entiers, non découpés.
Il évoque en particulier le lieutenant Thomas qui dirigeait la région en 1933-1936. Celui ci, favorable aux Pygmées, gagne leur confiance à l'occasion du règlement d'une rébellion provoquée par des injustices exercées par un chef de village nommé par l'administration.
C'est à la suite de cette affaire que les Pygmées du secteur d'Imbong, décidèrent de quitter leurs campement isolés en forêt, pour s'installer au bord de la route que venait d'ouvrir ce même lieutenant Thomas
03 administration de Mékambo de 1924 à 2006 1 mn 48s
À la sous-préfecture de Mékambo, Moulili Jean de Dieu, le sous-préfet, commente le grand panneau érigé dans l'entrée "liste nominative du personnel de commandement ayant servi dans le département de la Zadié Mékambo" depuis 1924. On y retrouve la trace du Lieutenant Thomas (1933 1936), dont le rôle fut important dans la percée des routes et dans la construction d'une alliance avec les Pygmées Bakoya : c'est celle ci qui les amena à cette époque "à sortir de la forêt" et à s'installer le long de la piste, récemment rendue carrossable.
J.D. Moulili rapelle comment autrefois les avions qui reliaient le Congo au Gabon, faisaient escale à Mékambo qui'était également une étape importante sur la route du Congo.
Moulili Jean de Dieu, préfet de Mékambo depuis 2005, face à la caméra : - Comme on est proche de la République du Congo, la grande voie, c’était, qui reliait le Congo à Makokou, je crois, Makokou, Eboué d’ailleurs qui était la première capitale provinciale : et bien, la voie passait par ici. C’était un passage obligé.Et même les avions qui partaient de Libreville ou Woleu-Ntem, avant que ça n’atterrisse à Brazzaville, ils faisaient escale ici. Vous avez vu la petite piste d’atterrissage.La première voiture qui serait partie du Congo était passée par ici. Ce sont les gens de Mékambo qui l’auraient vu. C’était quand même un spectacle ! Avant ceux de Makokou !Le propos est interrompu par une voix en français, forte et tendue de vieille femme en colère. Elle est habillée de vêtements propres et délavés, mouchoir de tête noir et jaune brillant, assorti au trop grand polo masculin jaune pâli, avec sur le visage des restes blancs de masque facial au kaolin, en particulier sur son « gros » nez. Une malade mentale que les employés de la préfecture ont l’habitude de voir fréquenter les bureaux, serinant les mêmes litanies. En fait, une ancienne employée qui est devenue folle à la suite de diverses infortunes. Filmiquement, une rupture explosive du propos d’un très haut fonctionnaire, comme par un esprit ancien, hantant sans cesse les lieux de son passé.
L’ancienne employée de bureau : - Voilà le premier état civil pour moi à Mékambo ! Veut-elle dire qu’elle a été une des premières à être enregistrée à l’état civil ou à tenir le bureau de l’état civil ? Signifie-t-elle que sa famille et/ou elle même a été en contact très tôt avec l’administration au pouvoir, et qu’elle a eu un statut social élevé, désormais détruit ?
Alain : - Quelle année ?
Période coloniale ou après l’indépendance ? Elle poursuit son propos sans prêter attention à la question. Elle n’a pas l’air si âgée, 60, 70 ans : donc on pourrait prendre comme hypothèse qu’elle est née dans les années 1930, 1940. Elle aurait eu 20 ans entre 1950 et 1960 ? En fin d’administration coloniale ou au contraire lors de la mise en place de l’administration gabonaise ?
- Moi qui étais premier (employé) état civil, ici à le bureau à Mékambo, avec le vieux là !
Elle montre un vieillard à proximité, hors caméra. La fourchette d’âge s’élargit jusqu’à 80 ans, et la fiabilité du propos, quant à un ancien emploi de bureau exercé ici se confirme. Elle a, dans un premier temps, bénéficié de l’ascenseur social construit sur la scolarisation, l’apprentissage du français et de l’écriture.
L'air, il fait moi comme ça (geste d’essuyage de la sueur du front), comme je n'ai pas de voiture !
L’air ! Attention, c’est vraisemblablement un mot très polysémique. Le geste d’essuyage de la sueur sur le front, morphème non-verbal transculturel africain bien connu, désigne le travail physique, mais aussi l’excès de dépense d’énergie, et donc aussi la notion de fatigue au sens aussi bien physiologique que pathologique.
Ici, on entend air au sens d’exposition au aléas du climat, que ce soit dans les bureaux surchauffés ou lors de déplacements à pied. Employée de bureau, c’est-à-dire un statut social important du point de vue de la société dont elle est originaire, mais négligeable du point de vue de la hiérarchie administrative. Elle n’avait pas un rang lui permettant de disposer d’un véhicule et elle avait de grandes distances à parcourir, non seulement pour venir au travail, mais également pour mener à bien ses autres activités, familiales, agricoles, voire commerciales.
L'air, il volait pour moi de l'argent !
Les dures conditions écologiques lui coûtaient beaucoup ? « Air » est à prendre au sens écologique, mais aussi surnaturel : vents ou souffles porteurs des agressions maléfiques d’esprits, de jaloux, d’envieux, d’ingrats, de méchants !
L'air ! Il gaspillait les enfants pour moi !
Il rendait ses enfants malades ? Il a détourné ses enfants de leur mère ?
L'air, il gaspillait moi !
Cet air a fini par altérer sa réussite sociale.
Je dors dans le par terre !
S’agit-il de dormir par terre, parce que sa ruine est-elle qu’elle ne dispose même plus de lit chez elle et qu’elle est obligée de dormir sur une natte. Ce peut être une réalité concrète ou une expression archétypale de la misère d’une femme âgée, délaissée, veuve ou divorcée, et de plus abandonnée par ses enfants !
Autre hypothèse, elle n’a pas de domicile fixe et est amenée à dormir n’importe où, parfois sans natte, à même le sol, comme beaucoup de malades mentaux, délaissés par leurs familles impuissantes à juguler la folie.
C'est premier (e) à le bureau là, l'année du boulot, moi de l'argent !
Il faudrait reprendre l’histoire de l’administration de Mékambo pour identifier son statut véritable et savoir si elle a été effectivement embauchée la première ! Peu importe ! Elle exprime une réussite sociale ancienne et une ruine actuelle.
Tous les jours à le boulot, le village, c'était en courant !
Je viens pour trouver moi le boulot !
Ici, elle reprend ce qu’elle indiquait antérieurement par le geste d’essuyage de la sueur sur le front, à savoir qu’elle était une femme active, gérant de nombreuses activités, « en courant ». Et que sa réussite était le fait de son propre mérite.
Une histoire « ordinaire » d’une personne qui a pris l’ascenseur de la réussite sociale de la modernité, mais qui s’est brisée dans le piège tendu, un miroir aux alouettes : et qui tend elle aussi un miroir dans lequel on craint de retrouver son propre reflet, passé ou à venir.
Un bouffon, une griotte, qui dit des « vérités » aux puissants sans pouvoir être puni. Une vieille femme dangereuse, au malheur potentiellement « contaminant », qui révèle les non-dits, les désirs, les inconscients individuels et collectifs.
Est-ce en tant que ce qu’elle était qu’elle est tolérée en ces lieux officiels ? À cause de la présence du témoin étranger ? En raison de la dangerosité des paroles de malédiction d’une vieille femme ?
Ou, comme les Pygmées, du fait de sa proximité avec les êtres du monde non visible au commun des mortels ?
04 Représentation de la maladie Ebola chez les Bakoya 4 mn 27s
voir séquence 9 mn : http://www.canal-u.tv/video/smm/chronique_pygmees_bakoya_de_mekambo_gabon_avril_2006_representation_des_epidemies_de_maladie_a_virus_ebola_de_2001_2002.16144
À la suite d'une épizootie ayant décimé les gorilles, en 2001-2002, une épidémie de fièvre hémorragique à virus Ebola, sous-type Zaïre, se propageant jusqu'à Kéllé au Congo, a terrifié la population de la région de Mékambo, tuant notamment quelques Pygmées Bakoya.
Qu'en reste-t-il dans les mémoires ?
À la sous-préfecture de Mékambo, deux affiches sont exposées dans le hall : l'une d'un parc national avec des têtes de gorilles en très gros plan, l'autre consacrée à Ebola et indiquant les mesures et comportements à prendre, pour éviter de se contaminer.
Angeste Étienne, chanteur et joueur réputé de harpe cithare enye interprête à son domicile la chanson sur Ebola qu'il a inventé lors de l'épidémie.
" Les jeunes filles ! Gardez le corps ! Ebola arrive !". traduisent Toum Bernard et
Mbouaza Ginère, évangéliste, tous deux originaires d'Imbong. Ils rappellent l'horreur qui les a saisi
Toum Bernard : -Pour moi c'était la première fois d'entendre parler d'Ebola et c'était aussi pour moi très horrible. de voir comment les médecins manipulaient les corps.
Là nous les parents ! Non ! Les parents des décédés ! Non, non, non ! Ils n'avaient plus le pouvoir, de manipuler les corps.
Mbouaza Ginère, évangéliste : - Comment se fait il que c'est une épidémie. Et puis en prenant, quand le corps meurt, il faut absolument que les parents puissent voir comment, à enterrer le corps.
Mais ce qui était horrible, c'était pourquoi ? C'était parce que, quand la personne trouve la mort, au lieu que c'est les parents qui prennent le corps, ce sont les médecins eux-même qui prennent le corps. Et des fois, d'autres corps ont disparu !
Toum Bernard : - Mais leur cimetière (tombe) , on ne connait pas. On ne connait pas où se trouvent de ces corps là aujourd'hui.
Mbouaza Ginère, évangéliste : - Après un moment donné, les familles qui ont perdu les parents ont été satisfaits par l'argent.
Donc il a fallu que l'état gabonais pense aux familles qui ont perdu les parents pour leur donner de l'argent... déja sur canal u
Acteurs par ordre d'apparition :
Angetse Etienne, joueur d'enyele
Lebomin Sylvie, ethnomusicologue
Toumoro Bernard
Mbouaza Ginère, évangéliste
Epelboin Alain, médecin anthropologue
Caméra-son- réalisation :
Epelboin Alain
05 iboga 5 mn
06 remerciements 7 mn 17s
00 2 dix leçons d'ethnomusicologie 32 mn18
Au quartier bakoya de Zoula Sylvie Lebomin, ethnomusicologue, enregistre et analyse 10 pièces musicales bakoya en faisant jouer simultanément et/ou successivement les musiciens et les chanteuses.
Etaba Madeleine, chanteuse
Ambili Florence, chanteuse
Maboa Thérèse, chanteuse
Aboul Jonas, percussion
Mwango Mathias, joueur d'abele
Ipatima Stanislas joueur de ndumu
Mindem Jean-Rémy, joueur de ngom
07 1 Chant du Mongala 8 mn 7s
Après un essai destiné à expliquer la procédure de l'enregistrement aux musiciens, exécution d'un premier chant de Mongala où chaque intervention est enregistrée en référence avec celle qui la précède. Le Mongala est un culte initiatique centré sur la gemmellité que l'on retrouve sur une grande frange est du territoire gabonais.
07 2 Chant du culte Issembu 3 mn 28
Enregistrement analytique d'un chant du culte Issembu réservé aux femmes. Comme pour le Mongala, ce culte se retrouve dans les populations de toute la frange est du territoire gabonais sous différentes appellations (Lissembu; Lissimbi; Lessimbu).
07 3 Chant et fabrication de panier 2 mn 28
Pendant les enregistrements, un homme continue à tresser son panier, vraisemblablement de l'ethnie Kwélé au regard du type de maille utilisé.
07 4 chant par deux femmes 57 s
Cet enregistrement permet d'entendre la complémentarité des voix et des registres utilisés par les deux femmes.
07 5 chant de Ngodja 3 mn 54s
Chant de Ngodja accompagné particulièrement par la poutre frappée et le baguettes entrechoquées. Ces deux éléments rythmiques permettent d'entendre la suprposition d'un rythme binaire et d'un rythme ternaire.
07 ethnomusicologie 6 3 mn 35s
07 7 chant du culte Mbumba 3 mn
Chant du culte de divination Mbumba. Au bout de quelques temps, Florence, la chanteuse principale, introduit la technique de chant du yodel qu'elle dit avoir emprunté aux Pygmées Baka, installés dans la région de Minvoul, mais qui descendent parfois jusque dans l'Ogooué-Ivindo pour la chasse.
07 8 chant du répertoire Abwema 3 mn 48s
Enregistrement d'un chant du répertoire Abwéma.
07 9 Bébé en musique 1 mn 36
Les bébés participent à l'activité musicale dès leur plus jeune âge. Dans un premier temps de façon passive, du seul fait de leur présence dans les bras des femmes. Ils acquièrent ainsi les rythmes corporels de base.
00 3 Angetse Etienne, chanteur & musicien bakoya de harpe-cithare 18 mn 25
Huit chansons d'Angetse Etienne, chanteur et musicien bakoya d'enye (harpe cithare) à Mékambo. Il est accompagné pour une pièce par Louis Joseph Ambese.
Petit récital improvisé à la demande de Sylvie Lebomin, ethnomusicologue en présence de Denis Mimbaye.
08 01 harpe cithare 2 mn 47
La harpe cithare joué ici par un musicien bakoya est vraisemblablement d'origine Kwélé où elle sert à accompagner le chant d'une épopée, dans un style proche du Mvet fang.
Cet instrument de très gande longueur est fait en bambou de Chine avec des cordes directement prélevèes sur la canne de Bambou. L'instrument est dit alors idiocorde.
08 02 harpe cithare et corbeille 2 mn 15s
Pendant que la femme du musicien continue de tresser sa corbeille, celui-ci continue d'improviser des paroles. L'énorme marmite placée sous l'instrument sert d'amplificateur.
Le rythme pointé utilisé dans le jeu de l'instrument semble spécifique au jeu de la harpe-cithare à traves différentes populations d' Afrique centrale.
08 03 harpe cithare 1 mn 16
08 04 harpe cithare 1 mn 16s
Les deux mains du musicien, disposées de part et d'autre du chevalet, jouent alternativement. Il y a de fait peu de polyphonie bien que l'instrument en possède le potentiel.
08 05 harpe cithare 1 mn 47s
08 06 harpe cithare 53 s
08 07 harpe cithare 4 mn 19s
Un des accompagnateurs de l'équipe, Joseph Ambese, chante en duo avec le musicien principal qui de ce fait retrouve une source d'inspiration.
08 08 harpe cithare 2 mn 30s
09 générique 40 s Mot(s) clés libre(s) : relations Européens/Pygmées, harpe cithare, sédentarisation, dent de lait, iboga, Tabernanthe iboga, Imbong, pygmée, Ebola, Bakoya, enterrement sécurisé, sorcellerie, culte initiatique, yodel, Mongala, Mbumba, Zoula, rythme ternaire, Ngodja, prévention, mort, thérapeutique, gorille, rite funéraire, Mékambo, cimetière, épidémie, cannabis, santé publique, administration, esprit, colonisation, discrimination, anthropologie, histoire, maladie, alcool, musique, vidéo, enfance, ethnomusicologie, Afrique, culte, divination, film ethnographique, Gabon, sang, jeu, rumeur, chant, cadavre, danse
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