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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (3) Frontières et politiques migratoires, en France
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Tcholakova Albena, Rodier Claire, Davoudian Christine, Morice Alain
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeFrontières et politiques migratoires, en FranceAnimé par Albena TcholakovaAlain Morice (chercheur au CNRS (URMIS, UniversitéParis-Diderot) «Sans-papiers face à l’Etat, entremenaces et laisser-faire»Claire Rodier (Gisti) «Xenophobie business»Christine Davoudian (clinicienne en PMI, auteure deMères et bébés sans papiers) «Femmes enceintes sanspapiers ; une clinique de la suspicion» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (2) Frontières et politiques migratoires, en France
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Tcholakova Albena, Morice Alain, Davoudian Christine, Rodier Claire
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeFrontières et politiques migratoires, en FranceAnimé par Albena TcholakovaAlain Morice (chercheur au CNRS (URMIS, UniversitéParis-Diderot) «Sans-papiers face à l’Etat, entremenaces et laisser-faire»Claire Rodier (Gisti) «Xenophobie business»Christine Davoudian (clinicienne en PMI, auteure deMères et bébés sans papiers) «Femmes enceintes sanspapiers ; une clinique de la suspicion» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (1) Introduction générale
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Rollinde Marguerite, Brun François
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite Rollinde Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (6) Convergences des luttes
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Jounin Nicolas, Cherif Mimoun, Vernier Martine, Beuzelin Jérôme, Rollinde Marguerite, Diabate Souleymane
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeTable ronde animée par Nicolas Jounin, avec laparticipation de Martine vernier (blog Mediapart/Fini de rire), de Mimoun Cherif et Souleymane Diabate (coordination SP93) et Jérôme Beuzelin (inspecteurdu travail, membre de SUD-Travail) Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (4) Frontières et politiques migratoires, à l'étranger
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Coubes Marie Laure, Vezyri Zacharo, Tcholakova Albena
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeFrontières et politiques migratoiresAnimé par Albena TcholakovaMarie Laure Coubes (El Colegio de la Frontera Norte,Tijuana, Basse Californie, Mexique ;associée au GTM) : «Le passage des frontières aux tempsdes expulsions : migrants mexicains et centroaméricainssans papiers déportés des Etats-Unis».Zacharo Vezyri (Initiative contre le racisme.Thessalonique): «Des Centres de rétention auxfrontières intérieures :le cas de la Grèce» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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LES « SANS PAPIERS »,
DES MIGRANTS PAS COMME LES AUTRES ? (5) Portraits de sans papiers
/ Thomas GUIFFARD
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
Cámara Sergi, Diamcoumba Hadji
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On les appelle les « sans papiers », comme s’il s’agissait d’un statut, comme si les hommes et les femmesqu’on désigne ainsi n’avaient pas tous les papiers, sauf le seul qui leur permettrait d’être des citoyen-ne-sà part entière, issu-e-s de l’immigration, avec tout ce que cela implique comme discriminations (travail,logement etc.), mais citoyen-ne-s malgré tout. Et pourtant, ces « sans papiers », comme on les appelle,participent à la vie de la cité, par leur travail, par les loyers et taxes diverses auxquelles ils et elles sontassujetties, mais aussi par leur engagement au sein de collectifs ou en convergence avec des luttes syndicales,politiques et/ou associatives.Coordination : Marguerite RollindeAnimé par Dorothée Serges GarciaSergi Camara (reporter photographe, Barcelone) :«Migrants subsahariens à l’assaut du mur de Melilla»Hadji Diamcoumba (coordination 93 de lutte pour lessans papiers) : «Sortir de l’ombre pour vivre libres»Jenny Beltran Suavita : «Prostitué-e-s, sans papiers» Mot(s) clés libre(s) : migrants, sans papiers, politiques migratoires, luttes
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Le futur des écrans plats
/ UTLS au lycée
/ 08-02-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BONNASSIEUX Yvan
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe futur des écrans plats par Yvan BonnassieuxLycée professionnel rural Antoine Lomet (47 Agen) Mot(s) clés libre(s) : 3D, cristaux liquides, diode organique, écran conformable, écran plat, image, LCD, micro-projecteur, multi-touch, OLED, papier électronique
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Des écrans plats aux caméras mobiles : physique et téléphonie mobile
/ UTLS - la suite
/ 22-02-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BONNASSIEUX Yvan
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Interview du conférencier : Yvan Bonnassieux, d'où vient votre passion pour la science ? Au risque d'être très classique, une soif de savoir, de comprendre le pourquoi, le comment. J'ai, il me semble, toujours eu le besoin de ne pas m'arrêter aux faits, mais de trouver les mécanismes sous-jacents. L'histoire et la physique ont toujours été pour moi les deux clefs pour comprendre le monde. J'avoue avoir longtemps hésité ; mais la science est pour moi, par sa quête d'avenir, le plus beau moyen de construire un monde meilleur. Comment devient-on maître de conférence à l'Ecole Polytechnique, et en quoi cela consiste-t-il ? Comme pour tout poste de l'enseignement supérieur, il s'agit d'un concours auquel on peut postuler une foi obtenue une thèse de doctorat. On postule sous la forme d'un dossier présentant son travail ses thématiques de recherche et ses publications et l'on est sélectionné, ou non, par un vote de l'ensemble des enseignants du département de physique de l'école Polytechnique. C'est un poste d'enseignant chercheur cela signifie que la tache est double : - Effectuer des enseignements pour les élèves de l'Ecole Polytechnique en l'occurrence sur l'électronique et le traitement du signal. - S'impliquer dans une thématique de recherche dans l'un des laboratoires de l'Ecole. Je suis ainsi responsable de l'équipe électronique grande surface au sein du Laboratoire de Physique des Interfaces et des Couches Minces (Ecole Polytechnique). Vous êtes physicien mais vous revendiquez une approche expérimentale, « une approche d'ingénieur », pouvez-vous nous en dire plus ? Tout d'abord je pense la séparation est factice ; la physique n'est que le moyen de prévoir le résultat d'une expérience. En même tant je travaille dans des thématiques que l'on nomme physique de l'ingénieur c'est à dire sur des recherches qui ont normalement des retombées dans le grand public à court terme. J'avoue que ce côté concret, où on peut avoir la chance de voir utiliser le fruit de ces découvertes, est pour moi une source importante de motivation. Vous travaillez avec de grands industriels (Philips, Thomson, Samsung), est-ce pour imaginer de nouvelles technologies ? Et lesquelles ? Je travaille sur le développement des écrans plats et les collaborations avec les industriels leaders mondiaux sont pour nous un soutien important et aussi un gage de reconnaissance. Plus précisément parmi les nouvelles technologies sur lesquelles nous travaillons je citerai plus particulièrement les écrans conformables et flexibles. C'est à dire la réalisation d'écrans non plans, de formes diverses et aussi à terme déformables, pliables ou déroulables. Pour vous les téléphones portables c'est quoi ? Tout d'abord un outil pratique permettant de rester connecté, où que l'on soit, par la voix ou le texte (SMS, mail) avec son monde. Mais aussi un formidable objet technologique mettant en oeuvre plein de découvertes scientifiques (transmission radio, codage, cryptage,..). Enfin parfois un objet un peu intrusif, qui nous dérange souvent de manière intempestive. ÉCOLE POLYTECHNIQUE 200 ans d'excellence scientifique et technique, une École résolument tournée vers l'avenir « Pour la patrie, les sciences et la gloire », Napoléon, 1804 L'École Polytechnique est la plus prestigieuse et l'une des plus anciennes Grandes Ecoles d'ingénieurs françaises. Créée sous la Révolution en 1794, elle doit son drapeau et sa devise à Napoléon. Le statut, dont les termes ont varié au fil du temps, est devenu celui d'un établissement public à caractère administratif en 1974. Les élèves de nationalité française conservent cependant le statut d'élève officier pendant leur scolarité ; les élèves étrangers ont un statut d'étudiant. L'encadrement militaire est en charge de l'essentiel de la formation éthique, humaine et sportive des élèves. La triple vocation de l'École Polytechnique est de former : des scientifiques de réputation internationale (Monge, Gay-Lussac, Cauchy, Poincaré, Jacquard
) de futurs hauts responsables au service de l'Etat (Bernard Larrouturou, directeur général du CNRS, Philippe Kourilsky, directeur général de l'Institut Pasteur, Valéry Giscard d'Estaing, ancien Président de la République Française
) des dirigeants d'entreprises (André Citroën, Conrad Schlumberger, Carlos Ghosn, Président Directeur Général de Renault-Nissan
) Plusieurs polytechniciens ont choisi d'autres voies : le philosophe Auguste Comte, le champion de tennis Jean Borotra, l'architecte Paul Andreu
Le cycle ingénieur polytechnicien : une formation d'ingénieur en 4 ans Les élèves polytechniciens reçoivent une formation scientifique pluridisciplinaire de haut niveau complétée par un enseignement approfondi en sciences humaines et en langues ainsi que par des périodes de stages (15 mois répartis sur les 4 années de scolarité). L'encadrement militaire est en charge de la formation humaine des élèves. Celle-ci vise à développer leurs facultés d'adaptation et d'ouverture d'esprit, le sens du travail en équipe, du leadership et de l'intérêt général. Elle se concrétise notamment par des stages dans les armées ou dans des structures civiles (hôpitaux, prisons, associations caritatives ou de réinsertion, soutien scolaire
), par une pratique intensive du sport, par des manifestations culturelles, par une implication importante dans la vie de l'Ecole. Les polytechniciens se destinent pour 60% d'entre eux à l'entreprise. 15% choisissent la recherche et 25% les administrations françaises et internationales. Les masters : une formation de pointe au niveau européen Dans le cadre de l'harmonisation européenne, l'École Polytechnique propose des masters dans ses domaines d'excellence. Cette formation en 2 ans s'articule autour d'une composante recherche et d'une formation professionnelle de haut niveau comprenant un stage en entreprise ou en milieu de recherche. Elle est ouverte aux étudiants français et étrangers à partir du niveau licence. L'admission se fait sur dossier. Mot(s) clés libre(s) : caméra téléphonique, cellulaire, e-paper, écran à cristaux liquides, écran OLED, écran plat, LCD, papier électronique, téléphone portable
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Kingsley, carnet de route d’un immigrant clandestin, avec Kingsley Abang Kum, Olivier Jobard, Mahamet Timera
/ 13-04-2015
/ Canal-u.fr
ABANG KUM Kingsley, JOBARD Olivier, TIMERA Mahamet
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En 2004, Olivier Jobard, photojournaliste, rencontre Kingsley Abang Kum, un jeune Camerounais qui a décidé d’émigrer en France. Ensemble, pendant six mois, ils suivent la route qui mène les migrants d’Afrique subsaharienne en Europe. Le reportage d’Olivier Jobard, exposé à la Bibliothèque universitaire du Havre au printemps 2015, nous fait vivre au plus près les risques pris par ceux qui empruntent ces filières clandestines et nous en dévoile l’organisation.L’Université populaire s’associe pour la deuxième fois à ce rendez-vous avec un photojournaliste et propose une rencontre avec les acteurs de ce voyage périlleux. Par son travail, Olivier Jobard "met le nom et l’histoire de Kingsley sur ceux que l’on qualifie anonymement de ‘sans papiers’". Le sociologue Mahamet Timera mettra en perspective ce parcours dans le contexte plus global des migrations Afrique-Europe. Mot(s) clés libre(s) : immigration, sans papier, clandestin, migrations Afrique-Europe
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The Printing House of Derge
/ Canal-u.fr
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The Printing House of Derge
- Filmed in 2004 by Stéphane Gros
Thanks to Rémi Chaix and Tshangs bKra for their support and to the workers
who accepted to be filmed Mot(s) clés libre(s) : papier, Imprimé
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