|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
La souffrance psychique
/ UTLS - la suite
/ 15-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
SCHNEIDER Monique
Voir le résumé
Voir le résumé
Parler de souffrance psychique ne revient pas à postuler une dualité physique, psychique dans les manifestations de la souffrance. Le souffrance physique est elle aussi instauratrice de souffrance psychique. On ne saurait toutefois instaurer un parallélisme entre ces deux modalités, dans la mesure où la souffrance psychique est repérable, non à l'intensité de sa manifestation, mais à la tentative d'extinction dont elle fait dont elle fait l'objet. Remarque d'une femme traversant une grave dépression : « Si seulement je pouvais être triste ». La souffrance psychique, dans certaines de ses formes, se caractérise par une apparente anesthésie. Les tentatives d'insonorisation prenant pour cible la souffrance psychique contraignent l'analyse à des stratégies d'approche indirecte. Seront notamment interrogés les liens entre la souffrance psychique et l'apparition de maladies organiques. Liens s'établissant par-delà un déni. Freud retranscrit le rêve d'une patiente ayant subi une opération à la mâchoire : dans le récit de rêve, la douleur est transférée sur un autre personnage, souffrant atrocement, pendant que la rêveuse se voit à l'Opéra, assistant à une représentation. Le rêve rend figurables les processus à l'oeuvre dans le psychisme et fait affleurer l'opération de déni. La rêveuse dit en rêve : « puisque ce n'est pas moi qui souffre ». Le processus de délégation et de transfert, agissant dans les stratégies de défense contre la souffrance, est particulièrement repérable dans les phénomènes consécutifs à un trauma. D'autres personnages sont impliqués pour devenir porteurs d'une souffrance faisant l'objet de stratégies de délocalisation. La souffrance psychique marque ainsi, non seulement l'être individuel, mais les processus de filiation. Mot(s) clés libre(s) : douleur psychique, rêves et souffrance, santé mentale, Sigmund Freud, souffrance, traumatisme psychique
|
Accéder à la ressource
|
|
EMOIS Nancy 2011 - Approche géographique du recours aux soins en santé mentale.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
SAULEAU Erik André
Voir le résumé
Voir le résumé
Titre : Approche géographique du recours aux soins en santé mentale.Résumé : La sectorisation psychiatrique, conception territoriale et démographique de l’organisation des soins vise, par l’implantation des structures de prise en charge hors de l’hôpital, à faciliter l’accès aux soins et à une meilleure intégration des patients dans la cité. Ses directives ont été suivies de manière inégale. L’intérêt est alors de pouvoir identifier les facteurs de « rugosité de l’espace » qui sous-tendent les hétérogénéités voire les inégalités qui affectent la distribution de l’offre et le recours au soin.Méthode : Il s’agit d’identifier les liens entre la variabilité spatiale du recours aux structures et les typologies sociogéographiques communales (construites par des techniques d’analyse de données), les données individuelles des patients : pathologies, caractéristiques sociodémographiques, les caractéristiques liées à la structure… Le recours aux soins est le rapport entre le nombre de patients résidant dans une commune et un nombre attendu de patients, fonction de la population. Ce rapport dépend ensuite de covariables dans un modèle généralisé additif. Certaines des variables influentes sont systématiquement testées : autocorrélation spatiale, distance d’accès aux structures. Cette méthodologie est appliquée au centre hospitalier d’Erstein, établissement de santé mentale d’Alsace, accueillant 7.350 patients par an (le quart des prises en charge de psychiatrie du département).Résultats : Les variations du recours aux soins s’expliquent notamment par la typologie des communes de résidence (résumée par des variables démographiques et des variables mesurant l’éloignement aux services à la population), la densité médicale en médecins généralistes (effet linéaire) mais par exemple pas par la densité en psychiatres libéraux.Discussion : La réflexion actuelle sur les missions de la psychiatrie montre l’importance de repenser l’organisation de l’offre des soins et de mieux prendre en compte sa globalité (articulation avec les soins somatiques, dimension sociale, actions intersectorielles) Dans ce contexte, l’influence de l’environnement sur le recours aux soins est admise mais est insuffisamment prise en compte.Intervenant : SAULEAU Erik André (Laboratoire de Bio statistiques, Faculté de Médecine, Université de Strasbourg, France).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : EMOIS Nancy 2011, géographie de la santé, modélisation statistique spatiale, recours aux soins, santé mentale
|
Accéder à la ressource
|
|
Croix Rouge - Nancy 2011 : L’école : un lieu privilégié d’éducation à la santé
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
POMMIER JEANINE
Voir le résumé
Voir le résumé
Une mauvaise santé est un obstacle à l’apprentissage, et il existe un lien fort entre le niveau d’éducation et l’état de santé. Le premier lieu d’éducation à la santé est la famille. L’école aussi est reconnue comme un lieu privilégié d’éducation et de promotion de la santé. Plutôt que de se focaliser sur les dangers et les problèmes, intervenir en amont et agir sur un ensemble de facteurs clés, dits de «protection». Aider les équipes éducatives et soignantes à travailler collectivement, et via l'action des collectivités locales et du secteur associatif, offrir aux parents la possibilité d'être soutenus dans leur action éducative. Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°2.2 promotion de la santé. Modérateur : Jean-Pierre DESCHAMPS - Pédiatre, Professeur honoraire de santé publique, Nancy.Intervenant : POMMIER JEANINE - Enseignant chercheur en promotion de la santé, Rennes.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescent, Croix Rouge Nancy 2011, école, éducation à la santé, enfance, salutogenèse, santé mentale
|
Accéder à la ressource
|
|
Emois 2005 : Facteurs associés à la durée de séjour dans un établissement de santé en psychiatrie
/ 18-03-2005
/ Canal-U - OAI Archive
PARIENTE Philippe-Dan
Voir le résumé
Voir le résumé
La durée de séjour dans un établissement psychiatrique est-elle associée statistiquement à des facteurs à des variables socio-économiques, diagnostiques ou de prise en charge ? Etude menée à l'Institut Marcel Rivière, le Mesnil Saint Denis (Ile de France) en 2003. Présentation suivie de questions.
Origine
Journées émois 2005. XVIIIè Congrès national, Nancy
Générique
Indexation : SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : analyse statistique factorielle, emois, psychiatrie, service santé mentale, statistique
|
Accéder à la ressource
|
|
EMOIS Nancy 2011 - Le système d’information sur l’offre de soins en psychiatrie.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 18-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEROUX Isabelle
Voir le résumé
Voir le résumé
Titre : Le système d’information sur l’offre de soins en psychiatrie.Résumé : La DREES a travaillé, avec les autres directions du ministère de la santé et l’ATIH, à la construction d’un système-cible de suivi de l’offre de soins en santé mentale reposant sur 3 sources : la statistique annuelle des établissements de santé (SAE), le Recueil d’information médicalisée en psychiatrie (RIM-P) et les rapports d’activité de psychiatrie (RAPSY).Méthode : L’appariement de ces 3 sources sur l’année 2008 fournit une base de données sur les capacités et l’activité, enrichies d’informations plus qualitatives sur l’organisation des soins, ainsi que de quelques éléments sur les patients, leur motif de prise en charge et leur parcours. En effet, la SAE fournit un bilan annuel sur les capacités, le personnel et l’activité. Le RIM-P permet de recueillir des données détaillées sur l’activité et la patientèle. Les RAPSY contiennent des informations sur les capacités et l’activité à un niveau géographique plus fin, mais également sur l’organisation des soins et les pratiques professionnelles.Résultats : Le bilan complet de l’activité et des capacités d’accueil des patients dans plus de 8000 lieux de soins de psychiatrie dans les 600 établissements de santé pourront donc être réalisés.Si la majeure partie des patients des services de psychiatrie est prise en charge en ambulatoire, les autres prises en charge reposent essentiellement sur 58 000 lits d’hospitalisation à temps plein, 26 000 places d’accueil en hôpital de jour et 1 800 CATTP. L’étude des différences d’organisation des prises en charge ainsi que des disparités régionales est en cours. Plus particulièrement, les premiers résultats d’une étude sur la prise en charge de la santé mentale des détenus, à partir des 3 sources, seront présentés à titre d’illustration.Conclusion : L’utilisation combinée de la SAE, du RIM-P et des RAPSY est indispensable pour obtenir une information complète et réaliser des études sur le système d’offre de soins en santé mentale.Intervenant : LEROUX Isabelle (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques - Ministère chargé de la santé, Paris).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : Il n’y a pas que le MCO : activité externe, HAD, SSR, Psychiatrie. Modérateurs : Sandra GOMEZ (Agence Technique Information, Hospitalisation-Lyon), Pierre METRAL (RESAMUT – Lyon).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : EMOIS Nancy 2011, offre de soins, psychiatrie, RAPSY, RIM-P, SAE, santé mentale, système d’informations
|
Accéder à la ressource
|
|
« Et si on parlait calmement de la violence »
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
JEULIN B.
Voir le résumé
Voir le résumé
la violence est partout, elle est parfois une réponse à la violence. S'y intégrent de nombreux phénomènes comme l'alcool, la drogue, la frustration, l'impossibilité du dialogue, l'humiliation.
Origine
FILMED : 100 4903 014
Générique
Auteur : Jeulin B FILMED : 100 4903 014 SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : alcool, drogue, exclusion, FILMED, frustration, santé mentale, violence
|
Accéder à la ressource
|
|
Emois 2005 : Valorisation du recueil complémentaire PMSI psychiatrie
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 18-03-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CHOMON F.
Voir le résumé
Voir le résumé
Etablissement Public de Santé Mentale de la Réunion
Origine
Journées émois 2005. XVIIIè Congrès national, Nancy
Générique
Indexation : SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : emois, groupes homogènes malades, psychiatrie, service santé mentale, statistique
|
Accéder à la ressource
|
|
Emois 2005 : Bilan de l'expérimentation du PMSI en psychiatrie
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 18-03-2005
/ Canal-U - OAI Archive
BOUCHARRACHOT V.
Voir le résumé
Voir le résumé
L'expérimentation, menée entre 1997 et 2004, a 3 objectifs : - fiabiliser un recueil d'informations utiles à l'ensemble des établissements ayant une activité de psychiatrie en France - améliorer et préparer l'évolution de la classification médico-économique en psychiatrie - prendre en compte les spécificités de la psychiatrie
Origine
Journées émois 2005. XVIIIè Congrès national, Nancy
Générique
Indexation : SCD Médecine Nancy I Mot(s) clés libre(s) : classification, emois, groupes homogènes malades, psychiatrie, service santé mentale, statistique, système information
|
Accéder à la ressource
|
|
Croix Rouge - Nancy 2011 : Vision globale des élus de terrain sur la santé de l’enfant.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-01-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BLANC-PARDIGON Michèle
Voir le résumé
Voir le résumé
Les élus de terrain, les Programmes Locaux de Santé Publique et les Ateliers santé-ville: une vision globale sur la santé des enfants et des adolescents, des espaces de communication et de concertation entre les professionnels de terrain, les décideurs et les habitants.Prévention des conduites à risques. Accompagnement des parents, repérage et orientation des enfants présentant des troubles précoces de l’apprentissage et du comportement. Coordination des dispositifs de soins et de prévention des addictions.Conférence enregistrée lors du congrès international de la Croix Rouge Française à Nancy sur le thème de la fragilité de l’enfant et de l’adolescent dans une société en mutation. Atelier n°2.3 promotion de la santé. Modérateur : Jean-Pierre DESCHAMPS - Pédiatre, Professeur honoraire de santé publique, Nancy.Intervenant : BLANC-PARDIGON Michèle - Elue à la Santé Publique et à la Restauration Collective de la ville de Salons-de-Provence. Conseillère communautaire.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : adolescence, Atelier Santé-Ville, Croix Rouge Nancy 2011, enfance, Observatoire Santé Social, précarité, santé mentale
|
Accéder à la ressource
|
|
Mobilité et accessibilité aux soins de santé mentales des étrangers à Dakar / Oumar Barry
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
BARRY Oumar
Voir le résumé
Voir le résumé
« Mobilité et accessibilité aux soins de santé mentale des étrangers à Dakar », Oumar BARRY (psychologue, enseignant-chercheur FLSH, Université Cheikh Anta DIOP, Sénégal). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), Association AMADES : 16-18 septembre 2009.Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A3 : Réaménagements des pratiques de soin et questionnements interculturels.La capitale dakaroise accueille de nouvelles catégories populations, provenant d’horizons très divers, dont un nombre de plus en plus croissant serait confronté à des problèmes de santé mentale avérés ou potentiels. Ces problèmes sont consécutifs à des vécus dramatiques (guerres, viols, catastrophes naturels, assassinats de parents, pauvreté, etc.) qui les ont conduit à migrer vers Dakar. Dans cette ville, elles doivent s’adapter à des situations difficiles de survie au quotidien dans un contexte culturel et linguistique qui leurs est complètement étranger. Elles sont aussi souvent dans une logique de recherche de soins de santé mentale, car dans ce domaine, Dakar garde encore une image valorisée en Afrique subsaharienne avec l’Ecole de Fann. Dans toutes les procédures thérapeutiques, il est reconnu que la parole joue un rôle important dans le processus, aussi bien pour le thérapeute que le patient. Elle permet à l’individu de formuler une demande d’aide en exprimant son vécu en mots, à des professionnels de la santé de poser un diagnostic, d'orienter la personne vers les services requis et de lui proposer un traitement et/ou un accompagnement approprié. Pourtant, nombre de ces étrangers demandent des services d’assistance psychologique et/ou psychiatriques, sans maîtriser les langues d’usage à Dakar, qui sont le français et le wolof. De même, les structures qui offrent ces services, déjà en nombre limité dans la capitale, font aussi face à une nouvelle catégorie de demandeurs au profil particulier qu’il faut prendre en compte. Ces différentes considérations nous amènent à nous poser les questions suivantes :- l’utilisation de langues autres que le français et le wolof par les migrants constitue-t-elle une barrière à l’accès à des services appropriés en santé mentale dans la ville de Dakar ?- au sein des structures sollicitées (hôpitaux, services sociaux, organismes et associations d’appui aux migrants), quelle est la réponse offerte pour accompagner et répondre aux besoins de santé mentale de populations usagères de langues étrangères ?- est ce que cela induit une modification de leurs pratiques ou offres de services ?Les données ici présentées sont collectées par le biais d’une enquête qualitative menée au sein des deux principales structures institutionnelles d’offres de services en santé mentale à Dakar et des organisations d’appui et d’accompagnement des migrants et réfugiés. Nous y avons ciblé des personnels de service, des migrants effectivement utilisateurs, ainsi que des potentiels solliciteurs des services de santé mentale à Dakar.Résultats attendus : les données de cette étude doivent montrer que la méconnaissance de la langue française et celle du wolof par les migrants vivant à Dakar demeure comme une barrière fondamentale à l'obtention de services appropriés en santé mentale. Il n’existe pas encore dans les structures à Dakar de services spécifiques en santé mentale en direction des personnes étrangères utilisant d’autres médiums autres que le français et le wolof. Les limites qu’impose la méconnaissance des langues d’usage appauvrissent toute la dimension « médiatrice » de la relation thérapeute-patient. Ceci a des incidences avérées sur la perception de la qualité des soins aussi bien par les soignants que les patients, et conduit ces derniers à s’orienter vers l’offre de soins de nouveaux acteurs. Néanmoins, le phénomène des mouvements migratoires à Dakar et leurs conséquences en terme de troubles mentaux et comportementaux interpelle de plus en plus le champ sanitaire dakarois. Le besoin de mise en place d’un dispositif d’offres de services spécifiques en santé mentale diversifiant davantage les médiums de communication se fait davantage ressentir. Il est à prévoir que le champ de l’offre de soins se diversifie davantage, avec de nouveaux acteurs. Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins, barrières linguistiques, communication interculturelle, migration intérieure, réfugiés, relations soignant-soigné, services de santé mentale (Dakar - Sénégal)
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|