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C'est en regardant les inventions des autres que l'on apprend à inventer soi-même. Ingres (1780-1867) / Florence Viguier-Dutheil
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-04-2015
/ Canal-u.fr
VIGUIER-DUTHEIL Florence
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C'est en regardant les inventions des autres que l'on apprend à inventer soi-même. Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867) / Florence Viguier-Dutheil, in "La scénographie, le présent et le passé face à face", 6ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission" animée par Jean-Marc Luce et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 2 avril 2015.
L’acte qui consiste à
exposer un objet du passé n’est pas neutre. Le sens de cette
transformation n’est pas le même selon que l’objet est très ancien,
ancien ou récent, mais aussi selon qu’il s’agit d’un objet de la vie
quotidienne ou d’une œuvre d’art, faite pour le regard. L’objet
devient-il un document ou un objet esthétique ? La scénographie est-elle
en elle-même une œuvre d’art ? Comment le conservateur répond-il à
l’attente de son public ? Dans tous les cas, l’exposition dit quelque
chose sur le passé, mais aussi sur ceux qui le regardent. Mot(s) clés libre(s) : scénographie d'exposition (muséologie), Musée Ingres (Montauban)
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Le musée Saint-Raymond, Toulouse / Évelyne Ugaglia
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-04-2015
/ Canal-u.fr
UGAGLIA Évelyne
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Le musée Saint-Raymond, Toulouse / Évelyne Ugaglia, in "La scénographie, le présent et le passé face à face", 6ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission" animée par Jean-Marc Luce et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 20 janvier 2015.
L’acte qui consiste à
exposer un objet du passé n’est pas neutre. Le sens de cette
transformation n’est pas le même selon que l’objet est très ancien,
ancien ou récent, mais aussi selon qu’il s’agit d’un objet de la vie
quotidienne ou d’une œuvre d’art, faite pour le regard. L’objet
devient-il un document ou un objet esthétique ? La scénographie est-elle
en elle-même une œuvre d’art ? Comment le conservateur répond-il à
l’attente de son public ? Dans tous les cas, l’exposition dit quelque
chose sur le passé, mais aussi sur ceux qui le regardent. Mot(s) clés libre(s) : muséologie, scénographie d'exposition (muséologie), Musée Saint-Raymond (Toulouse)
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La scénographie, le présent et le passé face à face : introduction / Jean-Marc Luce
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-04-2015
/ Canal-u.fr
LUCE Jean-Marc
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La scénographie, le présent et le passé face à face : introduction / Jean-Marc Luce, in "La scénographie, le présent et le passé face à face", 6ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission", organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 2 avril 2015.
L’acte qui consiste à
exposer un objet du passé n’est pas neutre. Le sens de cette
transformation n’est pas le même selon que l’objet est très ancien,
ancien ou récent, mais aussi selon qu’il s’agit d’un objet de la vie
quotidienne ou d’une œuvre d’art, faite pour le regard. L’objet
devient-il un document ou un objet esthétique ? La scénographie est-elle
en elle-même une œuvre d’art ? Comment le conservateur répond-il à
l’attente de son public ? Dans tous les cas, l’exposition dit quelque
chose sur le passé, mais aussi sur ceux qui le regardent. Mot(s) clés libre(s) : transmission du savoir, scénographie d'exposition (muséologie)
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Décontextualisation, recontextualisation (muséologie) / Jérôme Glicenstein
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-04-2015
/ Canal-u.fr
GLICENSTEIN Jérôme
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Décontextualisation, recontextualisation (muséologie) / Jérôme Glicenstein, in "La scénographie, le présent et le passé face à face", 6ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1. Conservation, transmission" animée par Jean-Marc Luce et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 2 avril 2015.
L’acte qui consiste à
exposer un objet du passé n’est pas neutre. Le sens de cette
transformation n’est pas le même selon que l’objet est très ancien,
ancien ou récent, mais aussi selon qu’il s’agit d’un objet de la vie
quotidienne ou d’une œuvre d’art, faite pour le regard. L’objet
devient-il un document ou un objet esthétique ? La scénographie est-elle
en elle-même une œuvre d’art ? Comment le conservateur répond-il à
l’attente de son public ? Dans tous les cas, l’exposition dit quelque
chose sur le passé, mais aussi sur ceux qui le regardent. Mot(s) clés libre(s) : médiation culturelle, scénographie d'exposition (muséologie), expositions artistiques (publics)
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CHIVALLON Christine
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Patrimonialisation et mémoires de l'esclavage : la difficile rencontre / Christine Chivallon, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014.
Thématique 1 : Esclavage et mémoire.
Cette communication s'intéresse aux nouvelles pratiques patrimoniales et muséographiques relatives à l'esclavage trasatlantique dans la France contemporaine et ses lointains "Départements d'outre-mer" de la Caraïbe. Elle envisage de manière critique les discours que proposent ces nouveaux dispositifs patrimoniaux au vu de l'ambition qu'ils visent de représenter l'esclavage. A partir d'expériences concrètes de scénographies de l'esclavage, plutôt muséographiques, il s'agit de faire émerger les questions que pose la mise en visibilité de l'esclavage par le langage patrimonial dans un contexte politico-mémoriel saturé de signes. La visée stratégique de la prise en compte du passé esclavagiste fait en effet massivement appel aux « machines du souvenir », outils de la modernité occidentale, pour tenter de convaincre de la prise en compte des histoires douloureuses des peuples noirs. A partir de quelques exemples, Christine Chivallon veut ainsi montrer que ce langage muséographique et monumental, fortement mobilisé dans le contexte de frénésie mémorielle, n'est pas adapté pour traduire les expériences sociales issues de la matrice esclavagiste. Celles-ci semblent comme leur échapper ou être de nouveau rendues silencieuses par des dispositifs qui oblitèrent des pans de réalités sociales encore vives ou qui viennent à produire des régimes de représentations encore étroitement liées aux spécificités de sociétés restées clivées par les héritages coloniaux. Cette commuication envisage successivement quatre stratégies discursives : celle de la périodisation historique, celle du récit national, celle du lieu-témoin, celle enfin de la monumentalité du Mémorial. Ces stratégies ne sont pas exclusives l'une de l'autre mais expriment plutôt des dominantes où les discours, par leurs procédures de sélection et d'exclusion, installent certaines visions de l'esclavage qui brouillent les manières d'atteindre le sens de l'expérience humaine formée dans le creuset esclavagiste. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, lieux de mémoire, politique culturelle (protection du patrimoine), esclavage (mémoire collective), scénographie d'exposition (muséologie)
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