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Le temps chrétien au Moyen Age
/ 26-09-2011
/ Canal-u.fr
SCHMITT Jean-Claude
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Avant que la globalisation du monde et les technologies modernes
n’exigent et ne permettent la mesure universelle d’un temps de plus en
plus abstrait des rythmes naturels du soleil, de la lune et des étoiles,
chaque civilisation s’est dotée de calendriers appropriés à ses usages
pratiques et symboliques du temps : qu’il s’agisse des cycles annuels ou
du découpage égal ou inégal des mois ou des heures, la variété des
solutions proposées (depuis la Mésopotamie ancienne jusqu’aux débats
actuels sur le Temps Atomique International, en passant par les
calendriers des civilisations précolombiennes et la détermination de la
fête mobile de Pâques pour les chrétiens), n’a d’égal que le raffinement
stupéfiant des spéculations élaborées dans chaque culture par les
prêtres ou les astronomes. Un regard historique et comparatif
s’impose pour éclairer les énigmes que le temps et sa mesure ne cessent
de poser aux hommes et aux sociétés.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : contribution au concept de temps
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Jean-Claude Schmitt , Visions et voix
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 12-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Schmitt Jean-Claude
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CHAIRE DE PHYSIOLOGIE DE LA PERCEPTION ET DE L'ACTIONM. Alain BERTHOZ, ProfesseurSéminaire 2007-2008 sous forme de colloque internationalLA PLURALITÉ INTERPRÉTATIVEFONDEMENTS HISTORIQUES ET COGNITIFS DE LA NOTION DE POINT DE VUE.Organisé avec les Professeurs Brian Stock et Carlo Ossola12 et 13 Juin 2008Amphithéâtre Marguerite de Navarre10h30 Jean-Claude Schmitt, Visions et voix : une herméneutique médiévale par les gestes, les images et la musiqueVoir la liste des vidéos Mot(s) clés libre(s) : exégèse, herméneutique, interprétation, pluralisme, pluralité, point de vue, représentation, vérité
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Histoire des rythmes
/ 17-03-2016
/ Canal-u.fr
SCHMITT Jean-Claude
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Séminaire dispensé par Jean-Claude Schmitt
Les rythmes entraînent la vie entière des individus et des sociétés : il
n’y a pas de vie sans rythme, c’est-à-dire sans une mise en ordre
variable de faits qui se répètent en combinant indéfiniment périodicité
et rupture. Pourtant, il n’existe pas à ce jour une histoire des rythmes
qui confronte nos conceptions à celles du passé. Or le contraste est
fort entre notre monde, où les rythmes sont observés dans des champs
séparés, et la civilisation holiste de l’Europe médiévale, où ils
entrent en résonance avec la totalité de la Création, que Dieu aurait
façonnée en six jours. C’est à ce rythme fondateur que le livre de
Jean-Claude Schmitt emprunte sa propre scansion, en explorant les
significations du rythmus médiéval, les rythmes du corps et du
monde, ceux du temps, de l’espace et du récit, avant de s’interroger sur
la fonction des rythmes dans le changement social et la marche de
l’histoire. Mot(s) clés libre(s) : changement social, périodicité, holisme, rythme, Moyen-Âge
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"L’avènement du « corps » aujourd’hui entre sens commun et sens savant", semi-plénière avec la participation de Jean-Claude Schmitt, Alain Corbin, Georges Vigarello et Irène Thèry
/ 30-06-2015
/ Canal-u.fr
SCHMITT Jean-Claude, CORBIN Alain, VIGARELLO Georges, THERY Irène
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L’avènement du « corps » aujourd’hui entre sens commun et sens savant
Coordination : CE de l’AFS, Axe « Corps, Santé, Société » à la MSH-Paris Nord. Séance animée par Dominique Memmi
Intervenants :
- Jean-Claude Schmitt
- Alain Corbin
- Georges Vigarello
- Irène Thèry
Dans le champ savant, comme dans les pratiques sociales, le « corps » est devenu un incontournable. De nombreuses pratiques et micro-mobilisations sociales tendent aujourd’hui à le présenter comme indispensable pour penser correctement des questions aussi diverses que la « perte » (il faudrait retrouver du corps pour « faire son deuil »), l’ « origine » (pour les enfants adoptés ou ceux nés de procréation artificielle), l’identité « vraie » (grâce aux opérations sur transexuels), le rapport à l’enfant (amélioré par l’allaitement, ou les premiers soins masculins au bébé) mais aussi sa différence (les « minorités visibles »). Le corps serait devenu « bon à penser » (mais aussi à regarder, à toucher, à retrouver) pour l’équilibrepsychique, la fortification du lien social, la fortification des identités individuelles et collectives... Inscription d’un thème « corps » au programme de l’agrégation de sciences sociales ; publication deplusieurs manuels de Sociologie du corps, de deux Dictionnaire du corps ; référence-révérence sur le plan épistémologique à l’objet et au mot « corps » dans les contenus et les titres des ouvrages d’histoire (Histoire du corps), d’anthropologie (Corps et affects dirigé par Françoise Héritier) ; ou de sociologie;élection d’un texte très longtemps inaperçu de Marcel Mauss - Les Techniques du corps, comme texte séminal, singulière insistance de Pierre Bourdieu à la fin de sa vie sur la connaissance « par corps » : au coeur des sciences sociales aussi, l’intérêt pour le "corps", à la fois comme objet et comme instrument de lecture du monde social, qui avait émergé dans les années 70, s'est fortement intensifié, tout en s'infléchissant idéologiquement, depuis les années 90. Enfin, rapprochement à la fois inévitable et hasardeux : avec le développement des sciences cognitives, des neuro-sciences, l’apparition d’une neuropsychologie voire récemment d’une neuro-économie, ou l’omniprésence des médecins et biologistes dans l’espace public comme auteurs d’essais sur le monde social, bien d’autres indices tendent à montrer que le donné physique, sous l’espèce également du « biologique », est devenu un prêt à penser. Sont ici en oeuvre des logiques internes, propres aux différents champs scientifiques. Mais elles ne suffisent pas à expliquer l’infléchissement simultané de multiples pratiques sociales. Bachelard fait de « l’expérience première » et sensorielle une expression privilégiée du sens commun et le premier obstacle à la progression de l’esprit scientifique. Aurait-t-on affaire ici à une sourde et générale activation d’un "physicalisme ordinaire" ? Y-a-t-il porosité à cet égard entre univers savant et pratiques ordinaires ? Et si oui, comment l'expliquer ? Tout se passe comme si cette histoire, toujours en tension, s’était déroulée en deux temps : une reformulation - "matérialiste", "physicaliste" ? – de la définition de l'individu et du lien social, dans lesannées 60 sous l’effet, notamment, du féminisme ; une plus récente tentation au naturalisme, depuissurtout les années 90, avec ses significations idéologiques, incitant à penser le monde social à l’aide du corps, voire du biologique. Sous la concrétion de ces deux moments se profile-t-il une matrice commune, une interprétation sociétale latente, une nouvelle « lecture partagée» de la société sur elle-même (Veyne,2008) ? Le problème de l’interprétation et des mots pour le dire se pose tout particulièrement pour le second de ces moments. Entreprise de « naturalisation », de « biologisation » du social et du psychisme ? « Retour » dénié du physicalisme ? Ou simple manifestation parmi d‘autres de l’appétence sociétale retrouvée pour les pensées « concrètes », la force de « l’expérience » vécue, le crédit du « témoin » ayant assisté à« l’événement » ?
Pour réfléchir à cette question seront invités des auteurs ayant été, mais de l’intérieur des sciences sociales - et non des sciences de la vie - parties prenantes de cette histoire savante et/ou aptesaujourd’hui à en objectiver les étapes et les effets : Jean-Claude Schmitt, un des représentants historiques – par La raison des gestes dans l'Occident médiéval notamment – de cette tendance à avoir fait du corps un instrument de lecture privilégié du social ; Alain Corbin et Georges Vigarello, codirecteurs d’une Histoire du corps en trois volumes ; enfin Irène Thèry, sociologue et plus récemment engagée dans cette voie à partir de sa Distinction de sexe. Aucune intervention en forme ne sera demandée aux intervenants mais leur participation à une réflexion collective, dûment préparée et encadrée, afin d’objectiver :
- les logiques proprement scientifiques qui furent au principe de l’intérêt pour la dimension corporelle dans leurs travaux,
- la réception de leurs travaux de ce point de vue (mésinterprétations éventuelles, usages dévoyés),
- les logiques sociales éventuellement communes qui pourraient soutenir cette production scientifique, sa bonne réception, en même temps que la réflexivité sociale. Une ligne interprétative leur sera à cet égard proposée pour se voir débattue. Mot(s) clés libre(s) : sociologie, corps, histoire de la sociologie, technique du corps
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Le « moment Le Goff » : histoire et sciences sociales
/ 27-01-2015
/ Canal-u.fr
REVEL Jacques, SCHMITT Jean-Claude, TOURAINE Alain, HARTOG François
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Table-ronde
Modérateur : François Hartog, École des hautes études en sciences sociales
Jacques Le Goff, le plus historien des historiens : Alain Touraine, École des hautes études en sciences sociales
Jacques Le Goff : une histoire anthropologique : Marc Augé, École des hautes études en sciences sociales
Les temps de l’historien : Jacques Revel, École des hautes études en sciences sociales
Tout peut faire source : Jean-Claude Schmitt, École des hautes études en sciences sociales Mot(s) clés libre(s) : historiographie, anthropologie historique, Sources historiques
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Pour un autre Moyen-Âge : Entretien avec Jacques Le Goff
/ Pierre GAUGE, Marc FERRO
/ 02-07-1992
/ Canal-u.fr
LE GOFF Jacques, SCHMITT Jean-Claude, PHILIPPE Robert, LE ROY LADURIE Emmanuel, NORA Pierre
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En dialoguant avec Robert Philippe, Pierre Nora, Emmanuel Le Roy Ladurie et Jean-Claude Schmitt, Jacques Le Goff parcourt l'itinéraire qui, des marchands et des intellectuels du Moyen-Âge, en passant par la synthèse de la Civilisation de l'Occident médiéval, le purgatoire, la ville, l'imaginaire et la royauté, lui a fait explorer le Moyen-Âge, comme terrain de renouvellement de l'histoire et de ses méthodes en s'efforçant de définir une anthropologie historique. Mot(s) clés libre(s) : historiographie, anthropologie historique, histoire médiévale, Nouvelle histoire
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