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“History, Theory, and the Problem of the American Democratic State”
/ Jean-François THOMELIN, Fondation Singer-Polignac
/ Canal-u.fr
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William J. Novak, University of Michigan Mot(s) clés libre(s) : démocratie, gouvernement, sciences politiques, États-Unis
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7. La science politique et le développement durable
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 21-05-2015
/ Canal-u.fr
VILLALBA Bruno
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Dans cette vidéo, Bruno Villalba montre que le développement durable est une proposition politique impliquant des changements dans les modalités, les temporalités et les échelles de décision. Il discute ensuite des bénéfices et des risques des démarches engagées depuis plusieurs décennies. Mot(s) clés libre(s) : science politique, développement durable, institutions
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"Politiques de l'inimitié" - Discussion autour de l'ouvrage d'Achille Mbembe
/ FMSH Production
/ 03-05-2016
/ Canal-u.fr
VERGES Françoise, MBEMBE Achille
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Discussion animée par Françoise Vergès autour de l'ouvrage d'Achille Mbembe Politiques de l’inimitié (à paraître aux éditions La Découverte le 31 mars 2016).
Cet essai explore cette relation particulière qui s’étend sans cesse et se reconfigure à l’échelle planétaire : la relation d’inimitié. S’appuyant en partie sur l’œuvre psychiatrique et politique de Frantz Fanon, Mbembe montre comment, dans le sillage des conflits de la décolonisation du xxe siècle, la guerre – sous la figure de la conquête et de l’occupation, de la terreur et de la contre-insurrection – est devenue le sacrement de notre époque.
Cette transformation a, en retour, libéré des mouvements passionnels qui, petit à petit, poussent les démocraties libérales à endosser les habits de l’exception, à entreprendre au loin des actions inconditionnées, et à vouloir exercer la dictature contre elles-mêmes et contre leurs ennemis. L’essai pose, par-delà l’humanisme, les fondements d’une politique de l’humanité.
Dans cet essai brillant et brûlant d’actualité, Achille Mbembe s’interroge, entre autres, sur les conséquences de cette inversion, et les termes nouveaux dans lesquels se pose désormais la question des rapports entre la violence et la loi, la norme et l’exception, l’état de guerre, l’état de sécurité et l’état de liberté.
Dans le contexte de rétrécissement du monde et de son repeuplement à la faveur des nouveaux mouvements migratoires, l’essai n’ouvre pas seulement des pistes neuves pour une critique des nationalismes ataviques. Il pose également, par-delà l’humanisme, les fondements d’une politique de l’humanité.
Achille Mbembe est professeur d’histoire et de science politique à l’université de Witwatersrand à Johannesbourg (Afrique du Sud). Chercheur au Witwatersrand Institute for Social and Economics Research (WISER), il enseigne également au département français et à Duke University (aux États-Unis). Il est notamment l’auteur, à La Découverte, de Sortir de la grande nuit. Essai sur l’Afrique décolonisée (2010, 2013) et de Critique de la raison nègre (2013, 2015). Mot(s) clés libre(s) : civilisation, décolonisation, sciences politiques, histoire, démocraties
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Le parcours d'un sociologue : Entretien avec Alain Touraine
/ Pierre GAUGE, Marc FERRO
/ 21-06-2001
/ Canal-u.fr
TOURAINE Alain, WIEVIORKA Michel, KHOSROKHAVAR Farhad, DUBET François, GUILLEMARD Anne-Marie, PERALVA Angelina
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Alain Touraine évoque ses travaux sur la conscience ouvrière et l'action collective. Il montre comment s'est effectué le passage de la société industrielle vers un autre type de société. A ces fins, ses interlocuteurs rappellent la méthode de l'intervention sociologique qu'il a inventée. Par ailleurs, en dehors de son intérêt pour l'Amérique latine, Alain Touraine examine ici la place du sujet dans les sciences sociales et réfléchit aux conditions de la démocratie. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, sociologie du travail, Amérique latine, histoire, sciences politiques, Révolutions
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Gouvernement
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / UOH /CANAL PHILO / SCAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 15-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SENELLART Michel
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Les essentiels : La philo par les mots - GouvernementEquipe technique :Directeur de la production: Christophe Porlier, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat Mot(s) clés libre(s) : gouvernement, gouverner, science politique
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L'économie comme science et comme politique
/ Mission 2000 en France
/ 03-04-2000
/ Canal-u.fr
KOLM Serge-Christophe
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"L' ""économie"", en Français, désigne à la fois un objet et son étude scientifique. L'économie, en tant qu'objet, ne nous lâche guère : quand nous n'y peinons pas comme travailleurs, nous en jouissons en tant que consommateurs. En fait, presque tout est à la fois économique et autre chose. C'est dire que l'objet ""économie"" n'est pas vraiment un objet mais un aspect des choses, une façon de voir le monde, une optique ou un point de vue. C'est le monde perçu et mû par notre désir et notre besoin en général. Ce n'est pas l'aspect le plus beau et le plus intéressant du monde. Les choses les plus importantes n'ont pas de prix. L'amour, la dignité, la générosité et l'honneur cessent d'exister s'ils sont achetés et vendus. L'économiste connaît le prix de chaque chose et la valeur d'aucune. Mais on ne peut guère se passer de l'économie : il faut bien manger quelque chose et s'asseoir quelque part. En tant que connaissance scientifique, l'économie s'appelle aussi ""science économique"", parfois ""économique"", et autrefois ""économie politique"". Cette discipline est elle-même, dans la vie économique, un secteur contracyclique : la science économique se porte bien quand l'économie va mal (parce que l'on a alors besoin d'elle)." Mot(s) clés libre(s) : économie, science politique, reflexion
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Accès à l'information, transparence et espionnage : les contradictions de la communication de l'État moderne / Anne-Marie Gingras
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-04-2014
/ Canal-u.fr
GINGRAS Anne-Marie
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Accès à l'information, transparence et espionnage : les contradictions de la communication de l'État moderne / Anne-Marie Gingras, in colloque "Comprendre les mondes sociaux 2014", organisé par Le Labex Structuration des Mondes Sociaux (SMS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail. Toulouse, Centre de congrès Pierre Baudis, 7-9 avril 2014. Si l'accès à l'information et la transparence constituent des éléments constitutifs des démocraties modernes, le contrôle de l'information par les gouvernements n'en est pas moins présent au 21e siècle. Cette communication fait état des dilemnes institutionnels posés par l'accès à l'information et la transparence, particulièrement dans les systèmes de Westminster (développement de la culture orale chez les fonctionnaires, compétition entre organismes publics, impact de la connaissance des fraudes sur le public, responsabilité, etc.) et ce, dans un contexte où se multiplient les contre-pouvoirs institutionnels. Il est aussi question des défis que doivent affronter les gouvernements suite à la publicité des programmes d'espionnage politique et industriel. Il en ressort une vision de l'État comme étant davantage un champ de forces qu'un acteur central dont l'orientation et les actions sont cohérentes. Mot(s) clés libre(s) : transparence politique, communication gouvernementale, sciences politiques (recherche), Canada (20e-21e siècles)
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Le concept d'im-politique
/ Mission 2000 en France
/ 06-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ESPOSITO Robert
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Conférence du 6 décembre 2000 par Robert Esposito. Entre une conception théologique de la politique comme salut de l'humanité et sa réduction à pure technique administrative, la notion d'impolitique renvoie à une possibilité différente que certains auteurs du XXe siècle - de E. Canetti à S. Weil, à G. Bataille - ont saisie sans toutefois parvenir à la définir d'une façon précise. Inassimilable à toute forme de dépoliticisation ou d'antipolitique, la perspective de l'impolitique constitue la modalité la plus intense et radicale de penser la politique dans une phase où tous ses termes traditionnels - liberté, communauté, pouvoir - paraissent avoir égaré leur sens. Mot(s) clés libre(s) : philosophie, politique, science politique
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Le régime climatique onusien : une expertise à repenser
/ Michel ALBERGANTI
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
DAHAN-DALMEDICO Amy
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Amy Dahan aborde la question de la gouvernance climatique et plus précisément celle de l’expression de l’expertise dans le cadre du régime climatique onusien et sur la scène internationale. Au départ de son analyse, un rappel : celui de la vision hégémonique des relations entre science et politique qui a présidé aux négociations climatiques.
Ce sont en effet en premier lieu les chercheurs qui ont alerté sur le risque climatique. Dès 1978, les rapports scientifiques, à destination du politique, ont ainsi contribué à rendre centrale la question de l’incertitude. De fait, le problème climatique s’est construit sur le modèle du « science first ». Dans ce contexte, l’expertise s’est quant à elle construite selon un modèle linéaire revendiqué par les scientifiques eux-mêmes. L’idée de ce modèle est la suivante : les scientifiques produisent des analyses pertinentes pour les politiques mais non prescriptives. Les deux mondes - science et politique - sont alors présentés comme clairement séparés. Or une analyse du fonctionnement du résumé pour les décideurs réalisés par le GIEC permet de mettre en évidence le décalage entre le mode opératoire affiché du modèle et la réalité. En effet, contrairement au millier de pages du rapport, ce résumé de 30 pages, adopté avec les représentants des Etats, doit faire l’objet d’un consensus où chaque mot est pesé. Il s’agit donc là d’un processus éminemment politique. Le GIEC lui-même a été très critiqué à partir des années 90. On lui a notamment reproché une trop grande proximité avec la science du nord et son manque de considération de la variété des réalités du globe. Il a par ailleurs été attaqué sur sa vision trop globale du problème climatique - limitant de fait la prise en compte des problématiques des pays en voie de développement. Une vision globale considérée pour beaucoup comme responsable de l’échec de Copenhague. Rien d’étonnant donc à ce que cette focalisation sur la science - qui a elle-même conduit à un globalisme politique - ait progressivement conduit à un rejet du GIEC, notamment dans les années 90. Conscient des critiques qui lui était adressées, le GIEC a alors eu l’intelligence de faire un effort de réforme.
De nombreux rapports spéciaux relatifs aux préoccupations des pays du sud ont alors été mis en chantier et a vu se développer les co-présidences Nord-Sud. Quoi qu’il en soit, le modèle d’expertise du GIEC a aujourd’hui besoin d’être revu. « Plus généralement, c’est la construction même du problème climatique qui a besoin d’être revue. Nous ne pouvons pas continuer à considérer que la gouvernance climatique ne se fonde que sur la science. En fixant des objectifs à l’horizon 2100, la science seule semble aujourd’hui trop éloignée des problèmes locaux, concrets, matériels. Nous de- vons par ailleurs commencer à repenser le climat comme un problème, non pas uniquement environnemental, mais aussi économique, géopolitique, de civilisation », conclut Amy Dahan. Mot(s) clés libre(s) : gouvernance, ONU, GIEC, relations science et politique
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Conférence de Jacques Attali à l'École polytechnique : Peut-on penser le monde en 2030 ?
/ 18-02-2014
/ Canal-u.fr
ATTALI Jacques
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Jacques Attali donnait le 18 février 2014 une conférence à l'École polytechnique sur le thème : "Peut-on penser le monde en 2030" ?
Retrouvez le Livetweet de la conférence : https://twitter.com/search?q=%23AttaliX&src=hash Mot(s) clés libre(s) : économie, conférence, prospective, école polytechnique (paris), sciences politiques, Polytechnique, Jacques Attali, Attali, 2030
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