Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
2. Comment s'organise le MAB au niveau international ? Question à Mireille Jardin, juriste, Comité MAB France
/ Anne TEYSSEDRE, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, Muséum national d'Histoire naturelle, MAB
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Après un bref rappel des origines et grands concepts du MAB, Mireille Jardin présente son organisation et le fonctionnement de ses instances à différents niveaux d’intégration, depuis la réunion du Conseil intergouvernemental tous les deux ans jusqu’à la mise en œuvre et l’adaptation du programme par les gestionnaires et acteurs dans les réserves de biosphère. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
1. Qu'est-ce que le MAB ? Question à Robert Barbault, Président du Comité MAB France
/ Anne TEYSSEDRE, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, Muséum national d'Histoire naturelle, MAB
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
La réponse de Robert Barbault à cette question comporte deux parties. Dans la première, l’écologue retrace l’origine et les fondements du MAB, expose les grands concepts, objectifs et outils de ce programme international de l’UNESCO dédié à l’expérimentation de projets d’écodéveloppement à l’échelle régionale. Dans la seconde, il présente les réserves de biosphère et leur zonage territorial. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
Journées Giordano Bruno : allocutions d'ouverture
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Journées Giordano Bruno : allocutions d'ouverture par Anne Maumont, Catherine Gadon, Philippe Solal, in "Journées Giordano Bruno" organisées par l'Université de Toulouse, le Muséum de Toulouse, de Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille, Muséum de Toulouse, 9-11 octobre 2014.Giordano Bruno naît en
janvier 1548, à San Giovanni del Cesco, près de Naples. Le 15 Juin 1565, il entre chez les Frères prêcheurs de San Domenico Maggiore, et il est ordonné prêtre en 1573.Trois ans plus tard, il est accusé d’hérésie et doit quitter l’environnement menaçant de Naples pour entamer une
longue période d’errance qui l’amena à parcourir l’Europe quinze ans durant. Il fréquenta les villes universitaires, et dut souvent changer de lieu pour éviter une arrestation. Il se rend ainsi à Genève, Paris, Toulouse, Londres, Prague, en Allemagne. Au carrefour de la religion, de la
philosophie et de la science, son œuvre, mais aussi sa vie, illustrent le caractère subversif de toute recherche libre, exempte des préjugés qui peuvent brider la construction du savoir. Il paya pourtant de sa vie cette liberté, puisqu’il fut brûlé vif sur le « Campo dei Fiori » de Rome, le 17 février 1600. À travers l’hommage rendu à la vie et à l’œuvre de Giordano Bruno, ces Journées ont pour objectif de présenter la façon dont se
construisent aujourd’hui les connaissances, par comparaison avec celle
de l’humanisme de la Renaissance. Cet humanisme, qui s’est développé dès
le XVe siècle, a placé en son centre le souci de la dignité de l’homme
et de la communication entre les savoirs. Des chercheurs d’horizons
différents, cosmologistes, biologistes, artistes, philosophes,
historiens, psychologues, spécialistes en littérature, tenteront eux
aussi de renouer les liens qui étaient ceux de la science humaniste pour
mieux interroger notre présent. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, philosophie des sciences, humanisme de la Renaissance, philosophie de la Renaissance, philosophie et religion, Bruno Giordano (1548-1600), infini (philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
La réception de Thucydide de l'Antiquité au XIXe siècle : introduction au colloque / Valérie Fromentin, Sophie Gotteland, Pascal Payen
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
La réception de Thucydide, de l'Antiquité au XIXe siècle (III) "Un acquis pour toujours" ? Thucydide chez les Modernes, XVe-XIXe siècles" : introduction au colloque / Valérie Fromentin, Sophie Gotteland, Pascal Payen Colloque organisé par l'équipe de recherche PLH-ERASME : (Patrimoine, Littérature, Histoire / Equipe de recherche sur la Réception de l'Antiquité : Sources, Mémoire, Enjeux) de l'université Toulouse II-Le Mirail et l'Institut Ausonius de l'université Bordeaux II. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 23-25 octobre 2008.
Le colloque de Toulouse, du 23 au 25 octobre 2008, clôt un programme de recherche international consacré à la réception de l'historien athénien Thucydide (Ve siècle avant J.-C.), de l'Antiquité jusqu'aux premières décennies du XXe siècle. Les deux premiers colloques, qui se sont tenus à Bordeaux, en 2007 et 2008, ont eu pour objectif d'analyser comment Thucydide s'est imposé dans l'Antiquité, dès les décennies qui suivent sa mort, comme l'initiateur d'une forme d'histoire caractérisée à la fois par sa matière, qualifiée de "pragmatique" (c'est-à-dire essentiellement politique et militaire), par sa démarche, centrée sur la notion de cause historique, et par son style "élevé" (c'est-à-dire difficile, admirable et digne d'imitation). Les aléas qui accompagnent la fortune de Thucydide sont ensuite difficiles à reconstituer. Nous constatons qu'il est appréhendé, au XIXe siècle, comme une source documentaire de premier plan et comme le paradigme de l'histoire "véritable". Mais qu'en est-il lorsque les Grecs réapparaissent en Occident au début du XVe siècle et au cours des périodes qui suivent, dominées par l'historiographie latine (Salluste avant tout, César, Tite-Live) ?C'est pourquoi le troisième colloque tentera de répondre au problème principal suivant : pourquoi et comment Thucydide a-t-il été considéré, en Europe, depuis la Renaissance, semble-t-il, et plus encore au cours du XIXe siècle qui érige l'histoire en discipline reine, comme le modèle de l'historien épris d'objectivité, de rigueur, d'exactitude, de fidélité aux sources ? Le problème de la réception de Thucydide, à partir du XVe siècle (la traduction de Lorenzo Valla date de 1483 et est réimprimée dans toute l'Europe au cours du XVIe), peut être ramené à deux questions principales. - Quelle a été, d'une part, son influence sur la construction des connaissances et de l'image que nous possédons d'Athènes, à côté de l'autre grande source privilégiée jusqu'à la veille de la Révolution : les Vies parallèles de Plutarque ? Quelles lectures, à ce sujet, firent de Thucydide non seulement Machiavel, Bodin, Hobbes, son traducteur (1629), mais encore Benjamin Constant, George Grote, Victor Duruy et les tenants d'une "Athènes bourgeoise" ? Comment s'élabora, dans le même temps la figure d'un nouveau Périclès ? - D'autre part, comment, par un ensemble d'emprunts, mais surtout d'écarts, de ruptures, parfois de méprises, l'épistémologie et l'écriture de l'histoire des Modernes, telles qu'elles s'élaborent au XIXe, se sont-elles façonnées à partir des pratiques et des catégories de Thucydide : la "recherche de la vérité", l'akribeia, le concept de "grandeur", la préoccupation de "trouver" ou d'"établir" ( heurein) les faits ? -Le problème ainsi tracé concerne à la fois : - les modalités de l'intérêt porté au passé et, conjointement, de son étude ; - la nature même de la discipline historique, de sa formation, de sa propre histoire - la mise en perspective du présent et du passé, dans un double mouvement : étudier le projet et l'œuvre de Thucydide à partir des questions de la discipline historique moderne ; puis revenir de Thucydide au présent, lesté de ce que l'on aura compris de l'historien athénien. Mot(s) clés libre(s) : méthode scientifique, Thucydide (0460?-0395? av. J.-C.), réception des oeuvres, appréciation (Thucydide), histoire (science), Thucydide (historiographie)
|
Accéder à la ressource
|
|
Comment ont-ils su que la lumière avait une vitesse ?
/ Bruno FARNIER, Romuald DROT
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
De l'Antiquité au XVIIIe siècle, l'Histoire de la vitesse de la lumière n'est pas un long fleuve tranquille ! Mot(s) clés libre(s) : histoire des sciences, vitesse de la lumière
|
Accéder à la ressource
|
|
9. Comment mobiliser les acteurs socio-économiques ? Question à Jean-Michel Martin, coordinat eur de la RB de Fontainebleau - Gâtinais
/ Anne TEYSSEDRE, MAB, Muséum national d'Histoire naturelle, Université Virtuelle Environnement et Développement durable
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
La labellisation d’un territoire en Réserve de Biosphère par l’UNESCO est un argument de
base pour mobiliser les acteurs de ce territoire dans des
projets d’éco-développement
,
mais ce ne peut être le seul, souligne Jean-Michel Martin. Pour impliquer les acteurs socio-économiques dans la gestion commune de leur territoire, Réserve de Biosphère, une
stratégie qui a fait ses preuves consiste à proposer
une charte d’engagement autour d’un
projet commun, tel que la valorisation des activités liées au secteur vitico
le (pour la RB du
Mont Ventoux)
ou à l’écotourisme (pour la
RB de Fontainebleau-Gâtinais) Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
8. Comment organise-t-on la participation locale ? Question à Raphaël Mathevet, chercheur CNRS, comité MAB France
/ Anne TEYSSEDRE, MAB, Muséum national d'Histoire naturelle, Université Virtuelle Environnement et Développement durable
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Raphaël Mathevet détaille les étapes et difficultés liées à la mise en place et à la coordination d’un collectif de gestion territoriale : créer du concernement chez les acteurs, faciliter l’expression des groupes sociaux, concilier connaissances scientifiques et savoirs traditionnels, explorer ensemble le fonctionnement des systèmes socio-écologiques et identifier les actions à mener, gérer l’incertitude. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
7. En quoi consiste le travail d’un gestionnaire de Réserve de Biosphère ? Question à Régis Vianet, gestionnaire de la Réserve de Biosphère de Camargue
/ Anne TEYSSEDRE, MAB, Muséum national d'Histoire naturelle, Université Virtuelle Environnement et Développement durable
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Depuis l’organisation de réunions de travail jusqu’à l’animation de projets et manifestations dédiées à divers publics, en passant par la proposition, le portage et le suivi de projets de valorisation de la biodiversité et/ou d’éco-développement, ou encore de formation du grand public et des étudiants, etpar la mise en relation des différents acteurs socio-économiques, la mission d’un gestionnaire de réserve de biosphère est multiple.
Régis Vianet expose en quelques minutes la diversité des activités liées à cette mission. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
6. Les réserves de biosphère transfrontières : pourquoi et comment ? Question à Eric Brua, Coordinateur de la Réserve de Biosphère Vosges du Nord – Pfälzerwald
/ Anne TEYSSEDRE, MAB, Muséum national d'Histoire naturelle, Université Virtuelle Environnement et Développement durable
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
En 1998, à la demande de leurs habitants respectifs à l’UNESCO, le Parc Naturel Régional des Vosges du Nord a fusionné avec le Parc Naturel mitoyen allemand du Pfälzerwald pour former la Réserve de Biosphère Vosges du Nord – Pfälzerwald. Après avoir souligné la continuité écologique des écosystèmes locaux et la similitude des activités économiques, sociales et culturelles des habitants de cette région, Eric Brua explique comment gestionnaires, acteurs et élus se concertent et coordonnent leurs actions pour gérer ensemble cette réserve de biosphère transfrontalière, au bénéfice des acteurs socio-économiques et en préservant le fonctionnement des écosystèmes régionaux. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|
5. Quel est l’intérêt d’une réserve de biosphère à l’échelle d’un grand bassin versant ? Question à Frédéric Moinot, Coordinateur de la Réserve de Biosphère de Dordogne
/ Anne TEYSSEDRE, MAB, Muséum national d'Histoire naturelle, Université Virtuelle Environnement et Développement durable
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
En 2012, soit vingt ans après la mise en place d’une Charte de la Vallée - Dordogne pour la
gestion de l’eau et des milieux aquatiques, le Bassin de la Dordogne a été labellisé
«Réserve de Biosphère» par l’UNESCO. Après avoir rappelé l’unité fonctionnelle de ce va ste écosystème
, qui s’étend sur onze départements et subit les pressions de multiples activités socio-économiques
liées à divers usages de l’eau, Frédéric Moinot souligne la nécessité d’une meilleure organisation et coordination intra-interdépartementale et interrégionale des habitants, pour gérer collectivement cette ressource commune - coordination qui sera favorisée par la mise en œuvre du programme MAB dans cette région. Mot(s) clés libre(s) : développement durable, éco-développement, sciences de la conservation, collectivités territoriales
|
Accéder à la ressource
|
|