|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Réduction de la mortalité maternelle - Dakar 2010 : Séduction et sexualité au Sénégal.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 03-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
HANE Fatoumata
Voir le résumé
Voir le résumé
Réduction de la mortalité maternelle - Dakar 2010 : Séduction et sexualité au Sénégal.Conférence enregistrée dans le cadre du Colloque International Interdisciplinaire : Droit et Santé en Afrique. Réduction de la mortalité maternelle en Afrique Sub-saharienne, mieux comprendre pour mieux agir. 1ère Session : Fécondité, sexualité et planning familial.Résumé : Les relations de couple mettent en jeu un certain nombre de tensions, de conflits, d’expériences individuelles et collectives. La séduction peut-être définie comme une métaphore du désir, l’apprentissage et la réactualisation des hiérarchies qui hantent l’homme et la femme, mais relève également des formes de socialisation de la sexualité, de l’érotisme, de l’amour et des rencontres. « Pour l’homme la séduction s’apparente à une conquête, pour la femme elle s’assimile à une sélection ». L’auteur commente ensuite les résultats de l’enquête en 3 points : découverte de la sexualité, séduction et rapport entre séduction et planning familial.Auteur : Foutoumata HANE - UMR 912SE4SOrganisé avec le partenariat de l’UMVF et le FSP Mère-Enfant du Ministère des Affaires Etrangères. SCD Médécine. Mot(s) clés libre(s) : Afrique, contraception, féminité, plaisir sexuel, plannifiacation familiale, RMM Dakar 2010, séduction, sexualité
|
Accéder à la ressource
|
|
Jeux chantés des filles baka
/ 08-02-1999
/ Canal-u.fr
FURNISS Suzanne
Voir le résumé
Voir le résumé
Jeux chantés des filles baka (rushes nettoyés), Messéa, Cameroun, février 1999
Caméra :
Claire Lussiaa-Berdou
Réalisation:
Suzanne Fürniss
© 2005, CNRS-LMS-MNHN (SMM n°0533/CA)
Les jeunes filles baka du Cameroun ont un répertoire musical qui leur est réservé: be na sòlò, "chants-danses de jeu". Par le chant et la danse, l'activité musicale participe à leur construction en tant que futures femmes. Les danses mettent en œuvre des chorégraphies portant particulièrement sur l'assouplissement du bas du dos et du bassin avec, parfois, des entrechocs des bassins ou des gestes suggestives des mains. Les thématiques des chants, outre l'amour et la séduction, sont à forte connotation sexuelle. Toutefois, les deux ne sont pas forcément concomitants dans les différents chants et danses.
Le film montre l'enchaînement de treize chants dansés (dont un en deux versions) auquels s'ajoutent à la fin deux autres chants provenant du répertoire de divertissement rituel, mèngbaa, destiné à être chanté lors des cérémonies de circoncision.
Chapitres :
be na solo, “Chants de jeu”
01 nga tè mako "Nous aimons Mako et Kele": Deux lignes de filles, une debout derrière une autre agenouillée. Les mouvements sont des exercices d'assouplissement du bassin avec appui par les mains des filles debout. Ces mouvements ressemblent de beaucoup aux exercices de préparation à l'accouchement en contexte occidental.
Deux lignes de filles enlacées face-à-face. Jetée des pieds en avant.
02 dipa lale 1 "Une crotte mon enfant, une crotte de Roussette" : Première version du chant 2. dipa lale dipa likpongolo "La crotte de mon enfant, la crotte de la Roussette"
Les petites filles qui jouent à la maman avec une poupée de bananier, font semblant que les crottes d'oiseau ou de chauve-souris sont les crottes de leur enfant et s'exercent avec elles au maniement de la machette et au geste du nettoyage du sol.
03 dipa lale 2 "Une crotte mon enfant, une crotte de Roussette" : Deuxième version du chant 2. dipa lale dipa likpongolo "La crotte de mon enfant, la crotte de la Roussette"
Pour les difficultés d'une mère adolescente en milieu pygmée, cf. le film d'Alain Epelboin, 1995 Gbédélé, femme, fille et mère. Mongoumba, RCA 1993. Film 20 mn. Paris: Lacito et CNRS Audovisuel.
Deux lignes de filles enlacées face-à-face. Trois jetées des pieds en arrière suivies d'un entrechoc des bassins.
04 bifunga, "La boucle d'oreille des aînées" : Chant 3. bifunga kobo "La boucle d'oreille des aînées"
La séduction passe par la beauté du corps et de ses ornements – boucles d'oreilles et colliers, mais aussi les dents taillées en pointe et les visages et les épaules tatoués. Les Aka de Centrafrique possèdent les mêmes canons de beauté, cf. les films d'Alain Epelboin :
- 1988 Les dents sculptées. Mongoumba, RCA 1988. Film 13 mn. Paris: Lacito, CNRS Audiovisuel et La Cathode Vidéo.
- 1989 Femmes pays. Akungu, RCA 1988. Film 22 mn. Paris: Lacito, CNRS Audiovisuel et La Cathode Vidéo.
05 mènje tulu, , "Mènje, mon chéri, j'ai envie de toi, eh, garçon, tu seras mon mari”:
Chant 4. mènje tulu na bemba tangi, mènje beu, mènje kò bo "Mènje, mon doux chéri, j'ai envie de toi. Mènje, eh, garçon, c'est toi le mari"
Les mots doux sont souvent pris dans l'environnement naturel. Le champignon de termitière est particulièrement apprécié pour son goût sucré et cette qualité désigne facilement l'être désiré.
Deux lignes de filles enlacées face-à-face font des allers-retours en se suivant. Les filles qui avancent, fléchissent et tendent successivement les genoux en basculant le bassin d'avant en arrière. C'est la chorégrapie la plus répandue dans ce répertoire
06 ti a sòlè : Chant 5. ti a sòlè nè, ma jalèjalèjalè ma gò kpimbim etis "L'épine m'a piquée ici. Je boîte, je tombe: pique !"
En deux parties : Eloignement des lignes, puis rapprochement face-à-face. Sautillement sur place, puis entrechoc des bassins. C'est un des chants ou le geste corrobore les paroles.
07 mènje kòle : Chant 6. mènje kòlè na wanja dò ja le wosè "Mènje, mon amant de mari, viens me prendre pour femme"
Le terme "wanja" utilisés dans ce chant montre bien que l'on se situe dans cet espace expérimental avant le mariage puisqu'il signifie "concubinage" et désigne également l'"amant, l'amante" et la "fiancé(e)".
Deux lignes de filles enlacées face-à-face font des allers-retours en se suivant. Les filles qui avancent, fléchissent et tendent successivement les genoux en basculant le bassin d'avant en arrière. C'est la chorégrapie la plus répandue dans ce répertoire.
08 Aya ia : Chant 7. Aya ia
Les paroles ne sont pas connues. C'est une très belle polyphonie qui illustre le timbre strident du chant dans une tessiture très aigüe, style vocal spécifique aux femmes Baka.
Deux lignes de filles face-à-face, enlacées par les épaules. Les genoux en flexion-suspension constante, elles posent la tête sur une épaule, puis sur l'autre.
10 Atibo, "Allez, viens vers moi, allons nous coucher ! Prends ton macabo": Chant 10. i dò mu gò ni alati, jaja ko manga atibo "Allez, viens vers moi, allons nous coucher. Vas-y, Atibo, saisis ton macabo"
Le macabo, taro camerounais, est l'image utilisée pour désigner un pénis mou.
Deux lignes de filles enlacées face-à-face font des allers-retours en se suivant. Les filles qui avancent, fléchissent et tendent successivement les genoux en basculant le bassin d'avant en arrière. C'est la chorégrapie la plus répandue dans ce répertoire.
11 é é é : Les paroles ne sont pas connues
Après une disposition en deux lignes enlacées, les filles se détachent les unes des autres et battent des mains pendant que deux danseuses solistes s'accrochent par un pied et tournent sur elles-mêmes. Couples de solistes en alternance. Elles battent la pulsation avec le geste qui signifie l'acte sexuel.
12 Misèl, "Michel, donne-moi mon argent" : Chant 11. misèl tòpe moni a le "Michel, donne-moi mon argent"
Allusion à l'argent de la compensation matrimoniale que le jeune homme doit fournir à sa belle-famille et à sa fiancée.
Disposition en cercle détaché. Elles battent des mains pendant que deux danseuses solistes dansent l'une vers l'autre au centre du cercle. Couples de solistes en alternance.
13 ma nde kòle, "Je n'ai pas un mari lettré qui m'ait demandé": Chant 12. ma nde kòle mekana ayi lè "Le mari qui m'a demandé n'est pas lettré"
Ce chant est probablement emprunté aux Kako.
Disposition en cercle détaché. Elles battent des mains pendant que deux danseuses solistes dansent l'une vers l'autre au centre du cercle. Couples de solistes en alternance. Elles battent la pulsation avec le geste qui signifie l'acte sexuel.
14 alum adòndò, "J'introduis l'aiguille : pique !" :
Chant 13. alum adòndò "J'injecte l'aiguille"
Ce chant est en langue ewondo : alum atos ma alum adòndò "Pchic! J'injecte l'aiguille"
Disposition en cercle détaché. Les filles battent des mains pendant que l'une d'elles va de l'une à l'autre et l'invite à bouger le bassin et à battre la pulsation avec le geste qui signifie l'acte sexuel. C'est un des chants ou le geste corrobore les paroles.
be na beka, “Chants de circoncision” :
15 aso mala nde, “Ami, ne joue pas à l’indifférent, prends la femme par le bras” :
Chant de divertissement rituel mèngbaa, destiné à être exécuté lors de la cérémonie de circoncision.
La chorégraphie est ici différente de celle des chants de jeu : les lignes de filles se suivent et la participation est ouverte aux plus petits, y compris aux petits garçons.
16 panda bide namo, "On fait lit à part" :
Chant de divertissement rituel mèngbaa, destiné à être exécuté lors de la cérémonie de circoncision : panda bide namu "Deux lits pour toi" = "Faisons lit à part"
La chorégraphie est ici différente de celle des chants de jeu : les lignes de filles se suivent et la participation est ouverte aux plus petits, y compris aux petits garçons. Mot(s) clés libre(s) : danse, Messéa, fille, pygmée, ethnomusicologie, Afrique, film ethnographique, séduction, chant, éducation sexuelle, enfance, Cameroun, vidéo, femme, maternité, sexualité, apprentissage, musique, baka
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique des pygmées babongo 2007 : Récital de chant & harpe bwiti par J. B. Matzanga
/ 27-10-2015
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Moughombofouala, le 27 fév 2007, (Ogoué Lolo, préfecture de Koukamoutou, Gabon)
Au cours de l'après-midi, dans le salon de Loundou Daniel, chef du regroupement babongo, Jean Blaise Matzanga, Nzebi par son père, Babongo par sa mère, assistant de l'équipe de recherche et étranger au village, improvise spontanément un récital de son répertoire de chant bwiti à la harpe. En dehors de son plaisir personnel à jouer, J.B. Matzanga est aussi en cour amoureuse auprès d'une jeune fille du village et donc de séduction de ses beaux-parents potentiels.
La qualité de l'interprétation retient l'attention des présents, très concentrés, qui participent en accompagnant tout doucement la musique, les uns par le chant, la frappe des mains, des mouvements de danse
Les pièces s'enchaînent dans le désordre, entrecoupées d'explications en français et de libations de vin de canne à sucre.
Un des fils du maître de maison enregistre le récital à l'aide d'un des radios cassette de la maison. Le village, situé au pied d'une ligne à haute tension, bénéficie de l'électricité.
Mot(s) clés libre(s) : afrique, Ogooué Lolo, nzebi, états modifiés de conscience, bwiti, harpe, iboga, Babongo, pygmée, ethnomusicologie, film ethnographique, Gabon, séduction, vidéo, musique, danse, Mokhombofouala
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique aka, Akungu 1994 : discordes, infortunes et réparations
/ 16-06-1994
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Chronique d'Akungu juin 1994, discordes, infortunes et réparationstraduction et voix en français : Bobino Patrice Topesua MbatoEn juin 1994, les habitants du campement pygmée d'Akungu, en République centrafricaine, sont frappés d'infortunes. Divers rituels sont pratiqués pour ramener le bien-être et la concorde. Une jeune femme, Mambi, pratique un rituel sur le corps de son dernier-né, afin de pouvoir consommer un animal interdit aux femmes allaitantes. Monduwa, un guérisseur étranger au campement, purifie un fusil souillé par du sang menstruel. Pour un prétexte futile, I'emprunt d'une harpe, une bagarre éclate: nombre d'habitants en profitent pour contester l'autorité du chef Yakpata. Mambi effectue une fumigation de son bébé puis raconte en riant sa consultation au dispensaire pour ses propres maux de ventre. Un homme se fait extraire par Monduwa le maléfice qui gâtait sa chance et son habileté à la chasse. Un singe et un céphalophe sont préparés sous le regard gourmand des enfants, puis partagés. Lors d'une soirée de danse, une divination par scrutation d'un feu allumé est pratiquée. Monduwa ordonne que Yakpata et son fils se réconcilient: le défunt frère cadet de Yakpata hante le campement. Une femme malade est soignée en utilisant une lame de machette rougie au feu. Un grand rituel de réconciliation a lieu. Chacun, après avoir dit ce qu'il avait sur le cœur, crache sur un rameau de feuilles purificatrices.
Chapitres :1ère journée
01 Bébé et nandinie, prévention d'une rupture d'interdit 1 mn 41
Lundi 6 juin 1994
10 h 35 : Akungu, maison de Ginza, Koti, Mambi & Co
Simon Kikili (cousin de Ginza) dépose devant Mambi l'animal qu'il a tué avec la cartouche que Monduwa , le guérisseur, lui a donné. C'est un petit carnassier, la nandinie, une viande goûteuse et grasse, normalement interdite (kila) aux femmes enceintes et aux mères allaitantes sous peine de maladie pour leur enfant. Et Mambi veut pouvoir en manger.
Elle effectue donc à titre préventif le rituel ketu.
Elle se saisit d'une poignée de feuilles de lèndè (Fabacée) dont elle fustige la tête de l'animal et celle de son dernier-né Noël. Pour finir, elle arrache quelques poils sur la tête de l'animal qu'elle dépose sur la fontanelle de son enfant.
Dans le même temps elle prononce des paroles rejetant vers la forêt les principes néfastes générant la maladie kila.
02 Chanvre et musique, préparation d'une journée de travail 57 s
C'est au cours de séances familiales pluriquotidiennes joyeuses de consommation collective de chanvre que Ginza, le "mbai", le dirigeant du campement, fait passer ses instructions du jour à ses frères et cousins.
03 Construction du corps, perçage des oreilles d'un bébé 1 mn 25
Mangutu, de passage au campement de ses parents, fait percer les oreilles de sa petite fille.
04 Chasse et chance, lavage d'un fusil 2 mn 41
Monduwa, le guérisseur, assisté de Mésa, "lave", purifie le fusil d'un chasseur villageois qui ne tue plus de gibier. La femme du propriétaire du fusil a gâté la chance du fusil en enfreignant un interdit : elle a mangé de la viande tué par ce fusil alors qu'elle avait ses règles.
05 Discorde et infortune, bagarre entre cousins 5 mn 19
Une bagarre éclate entre Mesa et Matoko, deux cousins, officiellement pour une harpe empruntée, officieusement parce que le premier a tenté de séduire la femme du second. Certains cherchent à les séparer, des frères viennent aider un des combattants. Le vieux Yakpata semble chercher l'apaisement, mais en fait soutient Matoko, son fils préféré, de telle façon, qu'il envenime la situation.
Masoy, la veuve de son frère le lui reproche publiquement.
Mambi et Koti commentent l'évènement.
06 Thérapie des interdits, fumigations de l'enfant et de la mère 3 mn 44
Noël, le dernier né de Mambi fait des cauchemards et se réveille la nuit. Redoutant que ce soit les symptômes annonciateurs d'une maladie dûe à un interdit qu'elle a rompu, elle lui applique ainsi qu'à elle-même une fumigation de feuilles sp..
07 Jeu et apprentissage, grimaces à un petit frère 47 s
Wawa amuse son petit frère Noël en lui exécutant ses plus belles grimaces et mimiques.
campement - pygmée - aka - quotidien - petite enfance - apprentissage - grimace - jeu -
2ème journée
08 Chasse et chance, extraction d'un maléfice 9 mn 45
Mbonga consulte Monduwa, se plaignant de son infortune à la chasse à la sagaie. Le guérisseur diagnostique qu'un objet maléfique lui a été projeté dans l'épaule.
Il entreprend de le lui extraire, pratiquant d'abord une scarification, puis une succion.
Il crache sur une feuille de bananier un mélange de salive, de sang et l'objet maléfique, que Mbonga va soigneusement enterrer derrière la maison.
Puis Monduwa applique sur la scarification un remède devant conférer adresse et force à Mbonga lors de ses prochaines chasses.
09 Maladie et interdit, soins d'un abcès du dos 3 mn 11
Isanya tente vainement de percer un abcès du dos du fils de son frère Mbonga.
10 Soirée de danse, divination et thérapeutique 14 mn 42
En raison de la bagarre, des discordes et des infortunes qui affectent les habitants du campement, une soirée de danse est organisée, entrelaçée par deux séquences divinatoires et une séquence thérapeutique.
3ème journée
11 Discorde et infortune, réparation par la salive 13 mn 42
Suite à la soirée se danse réussie de la veille, Yakpata organise un rituel de réconciliation. Il est basé sur un crachat de salive par tous les résidents du campement, petits et grands, sur un faisceau de feuilles sp.. Chacun avant de cracher a la possibilité de dire ce qu'il a sur le coeur, et bon nombre ne s'en privent pas.
A la fin, avant d'expulser ce faisceau de feuilles couvert de salives en dehors du campement, Yakpata se purifie en s'en fustigeant la tête. Mot(s) clés libre(s) : réconcialiation, villageois, mbili, interdit, chanvre, campement, gibier, chasse, aka, Akungu, pygmée, remède, couteau, salive, interdit alimentaire, crachat, machette, fumigation, maléfice, discorde, bagarre, rituel/chasse, fusil, perçage, rupture d'interdit, rituel préventif, kila, parole, devin-guérisseur, guérissage, extraction, grossesse, vidéo, scarification, maladie, alimentation, oreille, apprentissage, feu, Vie quotidienne, musique, danse, abcès, allaitement, rituel thérapeutique, petite enfance, guérisseur, République Centrafricaine, phytothérapie, divination, film ethnographique, séduction, sang, jeu, ethnomédecine, chant, afrique
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique aka 2006 , Motonga :
Baisers au tribunal
/ 21-06-2006
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Devant la maison du chef de village de Motonga, juin 2006 (Mongoumba, Lobaye, République centrafricaine)Au cours d'un procès chez le chef de village, le bébé de la plaignante passe dans les mains d'une parente. Celle ci déploie tout un arsenal de mimiques, de sons et de contacts buccaux pour séduire le bébé. Mot(s) clés libre(s) : afrique, mimique, contact buccal, interaction bébé/adulte, Motonga, baiser, aka, pygmée, petite enfance, République Centrafricaine, film ethnographique, séduction, vidéo, sourire
|
Accéder à la ressource
|
|
Chronique aka 1993, Motonga : Leçon de chant et de danse ou la drague des Pays d’Akungu
/ 10-12-1993
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Leçon de chant et de danse ou la drague des Pays d’Akungu
Ginza, Isanya et Mombaka, meneurs de chant et de danse
Mokoso, meneur de percussions
Le mari de Gbédélé
Bassin Joseph
Un frère de Monduwa
Le fils de Bassin
Gbédélé
Bonzanga, la femme de Monduwa
Mombaka, fils de Ginza10 décembre 1993
Campement de Oto Joseph (Mongouba, RCA)
© 2002 Alain Epelboin SMM CNRS MNHN Paris
En décembre 1993, Ginza, Isanya et Mombaka en visite chez Monduwa font une démonstration de leurs chants et danses à leurs hôtes. C'est aussi l'occasion de séduire ! Mot(s) clés libre(s) : afrique, percussion, Motonga, drague, Lobaye, Akungu, pygmée, bébé, ethnomusicologie, République Centrafricaine, film ethnographique, séduction, chant, vidéo, musique, danse, Mongouba
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 13-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ATOBRAH Deborah
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : Afrique, mortalité maternelle, planning familial, RMM Dakar 2010, séduction, sexualité
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|