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Quelles maths faut-il apprendre pour répondre aux questions des élèves et traiter leurs erreurs ?
/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Luc Trouche
/ 15-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Mercier Alain
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Les travaux sur les erreurs des élèves ont montré que leur forme est constante, indépendante des enseignements, et qu'elles apparaissent longtemps encore après les commencements, de manière quasi aléatoire (Bardini 2003, Abou Raad 2004). Les ingénieries didactiques permettent en revanche de les faire apparaître au fur et à mesure des problèmes auxquelles elles sont des réponses non consistantes, et donc d'identifier les manières de penser qui les produisent. Il faut que les élèves de chaque génération puissent affronter et résoudre certains des problèmes que les mathématiciens ont résolus : le professeur ou plutôt la profession des enseignants de mathématiques toute entière doit, pour se préparer à enseigner, connaître ces problèmes. Et la profession doit donc disposer d’au moins un des chemins de l’étude d’une œuvre incontournable dans toute formation scientifique : l’écriture symbolique mathématique, et ses usages en sciences, pour analyser la position des élèves sur ce chemin et les conduire sûrement. Mot(s) clés libre(s) : algébrique, collège, dialectique action/formulation., didactique, enseignement par ostension, équations, jeux de langage, Mathématiques, systèmes sémiotiques, systèmes symboliques
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Cinéma, Télévision : entre réalité et fiction
/ UTLS - la suite
/ 15-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
JOST François
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Tout le monde sait à peu près ce qu'est mentir. Chacun trace la frontière entre ce qu'il vit et ce qu'il invente. Même pour la fiction, qui prête à bien des discussions depuis quelques dizaines de siècles, il est possible de s'accorder sur une définition minimale comme « création, invention de choses imaginaires, irréelles » (Larousse 1996). D'où vient alors que, dès qu'intervient l'image, nos certitudes vacillent ? Les uns affirment sans ambages que les images mentent, les autres qu'elles sont manipulées, d'autres que, dès qu'il y a récit, il y a fiction. D'où vient la fiction, s'agissant de l'image animée ? De l'image elle-même ? De ses utilisateurs ? du récit ? Pour répondre à cette question, il faut interroger aussi bien les façons dont nous regardons les images que les croyances qui s'y rattachent. Dans un premier temps, de l'examen des divers sens que l'on donne au terme fiction depuis Platon se dégagent trois figures - l'imitateur, le menteur, la faussaire -, qui révèlent aussi trois façons pour les images d'être signes. Cette classification n'est pourtant pas qu'un premier pas pour comprendre comment réalité et la fiction s'entrecroisent sur nos écrans depuis quelques années : qu'il s'agisse de la retransmission télévisée en direct du 11 septembre, de Blair Witch ou, encore, de la télé-réalité, les fluctuations de la réception ont montré que les croyances jouent un rôle bien plus déterminant que les savoirs sur l'image dans son interprétation. Comment se structurent ces croyances, que visent directement les promesses que font au public les producteurs et les diffuseurs par le biais de la publicité et de la promotion ? Pour répondre à cette question, on se propose, dans un second temps, d'explorer les mondes de l'image qui construisent le terrain commun à la conception, la structuration et la réception des documents audiovisuels. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, interprétation des images, perception des images, sémiotique et audiovisuel, sémiotique et cinéma, sociologie visuelle, télévision, théorie de la fiction, vérité et mensonge
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Le pouvoir créateur des signes
/ Mission 2000 en France
/ 18-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
FONTANILLE Jacques
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On considère généralement qu'on a affaire à un signe quand une chose est sensée renvoyer à une autre chose ; on précise même parfois que le signe est d'abord signe de l'absence de la chose même, voire qu'on ne peut parler de signe qu'en raison de l'imperfection de notre rapport sensible avec le monde qui nous entoure. Pourtant, les signes d'aujourd'hui, et notamment les images, débordent largement cette propriété restrictive de représentation indirecte de la réalité. Les signes suscitent et inventent notre réalité, et on voudrait montrer ici comment, bien au-delà de leur capacité (imparfaite) à se référer à la réalité, ils agissent sur elle : les signes agissent sur le monde et dans le monde, et modifient notre relation avec lui. L'exposé se limitera à une catégorie de signes, celle des signes visuels (de l'idéogramme au pictogramme, de l'image publicitaire à l'espace architectural). Après avoir défini ces différents types sémiotiques, on s'efforcera de dégager un principe général de fonctionnement.Conférence du 18 février 2000 par Jacques Fontanille. Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, langage publicitaire, sémiotique, signaux et signalisation, signes et symboles
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L’analyse de l’image - Bernard Darras
/ UTLS au lycée
/ 07-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DARRAS Bernard
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L’analyse d’une image ne peut se faire selon une méthode scientifique (division en parties de l’image) car elle représente un tout synthétique. C’est donc sous une approche holiste et systémique que toute image doit être étudiée : le tout est supérieur à la somme des parties. C’est de cette affirmation que part Bernard Darras pour détailler sa conception de l’analyse d’un objet, quelque soit son genre ou sa typologie. L’étude d’une image comporte 4 grandes phases : - l’Ekphrasis : description- l’Exégèse : explication, interprétation- l’Herméneutique : art d’interpréter et de faire comprendre- le ThéoriqueUne conférence de l'UTLS au lycéeL’analyse de l’image par Bernard Darras, sémioticien.Professeur des UniversitésUniversité Paris 1 Panthéon-Sorbonne UFR 04Directeur du Centre de Recherche Images et Cognitions LYCEE JEAN JAURES (93100 MONTREUIL) Mot(s) clés libre(s) : éducation à l’image, holisme, illustrations et images (interprétation), perception des images, réductionnisme, sémiotique et arts
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Interpréter dans les sciences et les arts : points communs et différences / Catherine Allamel-Raffin
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
ALLAMEL-RAFFIN Catherine
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Interpréter dans les sciences et les arts : points communs et différences / Catherine Allamel-Raffin. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 5 : Transpositions et interprétations. Du macro au nano et inversement : quelles transpositions et interprétations pour le scientifique, l'artiste et le public ?, 10 décembre 2010. Nous employons le même terme "d'interprétation" pour qualifier l'activité à laquelle se livrent les chercheurs lorsqu'ils sont amenés, entre autre, à exploiter les images réalisées dans des laboratoires de nanosciences, et l'activité du critique d'art ou de l'amateur éclairé lorsqu'ils sont confrontés à une œuvre plastique. Quelles leçons peut-on tirer d'une analyse du concept d'interprétation, quant aux points communs et aux différences existant entre ces types de réalisation humaine ? Mot(s) clés libre(s) : arts visuels et sciences, imagerie scientifique (interprétation), nanosciences (réception), sémiologie de l'image, sémiotique et arts
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