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Le consommateur roi
/ Mission 2000 en France
/ 30-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ROCHEFORT Robert
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"Depuis longtemps, le commerce a une maxime : "" le client est roi "". Pourtant, l'offre a longtemps mené le marché. Aujourd'hui, les choses s'inversent : les industriels et les distributeurs proposent, mais c'est le consommateur qui décide. La situation apparaît bien paradoxale : nous sommes dépendants de la consommation, il n'y a pas une journée où il ne nous faille sortir plusieurs fois un peu de monnaie, ou une carte de crédit et pourtant, nous n'avons jamais été autant libres d'accepter ou de refuser d'acheter chacune des références qui nous sont proposées. L'hyper choix dans le supermarché incite certes à consommer plus que nécessaire, mais il rend chaque acte d'achat facultatif. Jamais un produit donné n'a été en concurrence avec autant d'autres références (biens et services) souvent parfois bien éloignées de ce qu'il est lui-même. Si je souhaite une soirée facile sans corvée de préparation du repas, vais-je préférer une pizza surgelée ou une sortie au restaurant ? Si je souhaite entretenir mon corps, vais-je acheter une cure de thalassothérapie ou un appareil de gymnastique à installer à la maison ? L'innovation amène sans cesse des références nouvelles dans les rayons et pourtant, environ 70 % des produits nouveaux font des flops. Les consommateurs ne les choisissent pas, ou pas assez vite. Le pouvoir croissant des distributeurs accroît encore l'importance et la rapidité du choix des consommateurs. N'ayant rien à produire par lui-même, le distributeur de grande surface retire tout produit de ses linéaires qui ne convainc pas immédiatement. " Mot(s) clés libre(s) : choix (psychologie), cibles marketing, consommateurs, consommation, société de consommation, stratégie de marque
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Le consommateur roi
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 30-04-2000
/ Canal-u.fr
ROCHEFORT Robert
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Depuis longtemps, le commerce a une maxime : " le client est roi ". Pourtant, l'offre a longtemps mené le marché. Aujourd'hui, les choses s'inversent : les industriels et les distributeurs proposent, mais c'est le consommateur qui décide. La situation apparaît bien paradoxale : nous sommes dépendants de la consommation, il n'y a pas une journée où il ne nous faille sortir plusieurs fois un peu de monnaie, ou une carte de crédit et pourtant, nous n'avons jamais été autant libres d'accepter ou de refuser d'acheter chacune des références qui nous sont proposées.
L'hyper choix dans le supermarché incite certes à consommer plus que nécessaire, mais il rend chaque acte d'achat facultatif. Jamais un produit donné n'a été en concurrence avec autant d'autres références (biens et services) souvent parfois bien éloignées de ce qu'il est lui-même. Si je souhaite une soirée facile sans corvée de préparation du repas, vais-je préférer une pizza surgelée ou une sortie au restaurant ? Si je souhaite entretenir mon corps, vais-je acheter une cure de thalassothérapie ou un appareil de gymnastique à installer à la maison ?
L'innovation amène sans cesse des références nouvelles dans les rayons et pourtant, environ 70 % des produits nouveaux font des flops. Les consommateurs ne les choisissent pas, ou pas assez vite. Le pouvoir croissant des distributeurs accroît encore l'importance et la rapidité du choix des consommateurs. N'ayant rien à produire par lui-même, le distributeur de grande surface retire tout produit de ses linéaires qui ne convainc pas immédiatement. Mot(s) clés libre(s) : choix (psychologie), cibles marketing, consommateurs, société de consommation, stratégie de marque
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"Je voyage et donc je suis" : culture et parcours de consommation des migrants sénégalais entre ici et là-bas
/ 20-01-2016
/ Canal-u.fr
NDIONE Louis César
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Dans le courant de la théorie culturelle de la consommation, cette conférence cherche à dépasser les recherches classiques sur l’acculturation de la consommation et porte sur la culture de migration. Elle s’appuie sur le cas des « venants », désignant la diaspora sénégalaise de France qui revient en « vacances » au pays d’origine, dont l’expérience migratoire est à replacer dans une visée globale. En effet, avec la mondialisation de la migration et l’ère des mobilités, ces mouvements d’allers-retours se font aussi bien à l’échelle infranationale et internationale, aussi bien au nord qu’au sud.
Louis César Ndione aborde l’immigration traditionnelle des travailleurs sénégalais dans les foyers hétérotopiques de Rouen et les parcours migratoires dé-communautarisés et sédentarisés. Le monde de consommation de ces migrants, les formes d’échanges au cœur de ces mouvements d’allers-retours, participent de la mondialisation de la culture et de la marchandisation du monde. Leur rôle en tant que passeur culturel est évoqué sachant que leur légitimité culturelle est de plus en plus contestée au niveau local par les élites, la circulation des images et la jeunesse mondialisée. La conférence présente enfin les bénéfices d’un marketing des diasporas. Mot(s) clés libre(s) : immigration, mondialisation, société de consommation, marketing, culture de migration, diaspora sénégalaise, marchandisation
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Une histoire sociale du déchet
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 28-02-2014
/ Canal-u.fr
AUREZ Vincent
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Vincent Aurez montre que les déchets sont relativement jeunes dans l'histoire de nos sociétés, qu'ils datent du 19ème siècle. Il présente différents facteurs qui peuvent être mis en relation avec ce développement des déchets "inutiles" : consommation de masse, obsolescence programmées, etc. Mot(s) clés libre(s) : déchets, société de consommation, obsolescence planifiée
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