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Michel Bitbol : "La conception naturaliste de la conscience à l’épreuve du dialogue socratique"
/ Dimitri BASTARD, Quentin ROQUES
/ Canal-u.fr
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Dans le cadre du cycle de conférence de la fondation Institut
d'Etudes Avancées de Nantes, Michel Bitbol, Directeur de recherche CNRS aux Archives Husserl, ENS, Paris, a donné une conférence intitulée : "La conception naturaliste de la conscience à l’épreuve du dialogue socratique". Mot(s) clés libre(s) : conscience, conférence, IEA NANTES, Michel Bitbol, conception naturaliste, dialogue socratique
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Esprit et identité
/ UTLS - la suite
/ 08-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
PROUST Joëlle
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Qui, "je" ? Si l'injonction socratique connais-toi toi-même ! implique une forme de recherche de sa propre spécificité qui n'a rien d'immédiat ou de facile, en revanche nul ne songe à s'inquiéter de ce à quoi renvoie le "toi-même". Le toi-même renvoie à moi, l'interlocuteur de Socrate; pour savoir cela, il suffit apparemment d'être conscient de jouir d'un corps et d'un esprit de manière exclusive; de savoir que chaque histoire est unique; que tout le monde appelle chacun par son nom; que ce que l'on fait retentit sur soi au premier chef. Cette conviction que le moi s'offre sans difficulté dans l'expérience courante est renforcée par la manière non problématique dont on utilise couramment le mot "je", pronom personnel qui renvoie à l'auteur de l'énoncé, c'est-à-dire un interlocuteur identifiable dans le contexte de la communication. Mais la référence du mot "je" perd de sa clarté quand on remarque que, lorsqu'on l'utilise le mot pour exprimer sa pensée ou son expérience intime (comme dans "j'ai mal aux dents"), il paraît impossible de se tromper sur la personne que l'on est. Wittgenstein conclut de cette immunité contre l'erreur d'identification que les auto-attributions subjectives sont de fausses affirmations sur soi (une affirmation doit pouvoir être fausse). On se proposera de montrer que l'immunité contre l'erreur d'identification n'a rien d'universel, comme en attestent certaines formes de délires. Dès lors la question de la référence à soi devient cruciale, tout comme celle de l'identité de la personne. A quelles conditions une personne peut-elle se constituer et se reconnaître comme la même ? Telles seront les questions dont on débattra en axant la réflexion sur les formes variées de l 'agir. Mot(s) clés libre(s) : conscience de soi, esprit et corps, identité, Ludwig Wittgenstein, mémoire, moi, Socrate
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De l'Antiquité au Moyen-Âge
/ Observatoire de Paris
/ 09-2007
/ Unisciel
Lamy Jérôme
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Parmi les modes d'appréhension de l'environnement physique et naturel déployés par les civilisations antiques, l'astronomie constitue une catégorie de savoirs particulière. Sous-tendue par des impératifs agricoles et religieux elle connaît un développement important en Mésopotamie et en Egypte. Mais c'est en Grèce qu'elle se constitue en un corpus cohérent de connaissances. L'émergence de la rationalité comme principe directeur joue ici un rôle fondamental dans la compréhension des phénomènes astronomiques. La civilisation arabe poursuit et transmet l'héritage grec que l'Occident médiéval redécouvre peu à peu. Mot(s) clés libre(s) : Mésopotamie, cosmologie babylonienne, calendrier, Egypte, Milet, Thalès, Pythagore, Anaximandre, apeiron, Anaximène, Philolaos de Crotone, astronomie présocratique, Platon, Socrate, sphères d'Eudoxe, Aristote, Héraclide du Pont, Aristarque de Samos, Épicycles, Hipparque, Eratosthène de Cyrène, Ptolémée, Almageste, Grèce, point équant, astronomie arabe, Occident médiéval
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