|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Substances pharmaceutiques : nouveaux contaminants du système aquatique - H. Budzinski
/ UTLS - la suite
/ 11-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence du cycle : "La croissance verte, comment ? "par Hélène Budzinski, laboratoire de Physico et Toxico-Chime de l'Environnement, Université Bordeaux 1 Mot(s) clés libre(s) : chimie, eau, médicaments, pollution, risque écologique, risque sanitaire, station d'épuration
|
Accéder à la ressource
|
|
Les vols habités
/ UTLS - la suite
/ 04-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
SCHMITT Didier
Voir le résumé
Voir le résumé
Les vols habités par Didier SCHMITTPas de résumé disponible pour le moment Mot(s) clés libre(s) : astronaute, conquête spatiale, cosmonaute, espace, exploration spatiale, impesanteur, Mars, mission spatiale, orbite, simulateur de vol spatial, station spatiale, vol spatial habité
|
Accéder à la ressource
|
|
Les égouts et l'évacuation des déchets
/ UTLS - la suite
/ 01-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
MOUCHEL Jean-Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
Après de nombreux siècles où l'alimentation en eau de Paris, et par voie de conséquence, son réseau d'égout sont restés fort limités, un essor considérable a été donné au réseau au milieu du 19e siècle, et il s'est poursuivi jusqu'à aujourd'hui. Parmi les projets initiaux, certains prévoyaient la création d'une ville souterraine, où seraient réalisées nombreuses des basses besognes nécessaires au fonctionnement et au prestige de la partie visible (et "hygiénisée") de la ville. Les réseaux souterrains devaient ainsi assurer le transport de l'eau mais aussi de nombreuses marchandises ou déchets. Dans le même temps, l'alimentation en eau potable généralisée, et l'élimination des eaux souillées hors de la ville, devenait un objectif prioritaire pour des raisons sanitaires. Les épidémies de choléra du milieu du siècle furent un des facteurs déclenchant le développement des projets de Belgrand à l'époque ou Haussmann rénovait la partie visible de Paris. Une particularité des égouts de Paris est la taille des canalisations, qui les rend en tout point visitables, ce qui leur confère un cachet tout particulier. Ils ont d'ailleurs toujours été visités, par les égoutiers chargés de leur entretien en premier lieu, mais aussi par de nombreux visiteurs qui accèdent aujourd'hui au musée des égouts situé dans le réseau. Dans la dernière partie du 19e siècle fut instauré le principe du tout-à-l'égout, mais sa mise en oeuvre complète, visant à l'élimination de toutes les fosses chez les particuliers, dura plusieurs décennies et se poursuivit au début du 20ième siècle. Le réseau devint unitaire, évacuant à la fois les eaux usées et les eaux de chaussées (eaux du lavage de rues, eaux de ruissellement pluvial etc.). Pour des raisons techniques, et pour éviter des déversements en Seine à l'intérieur de Paris, Belgrand a basé l'architecture du réseau sur un collecteur central qui rejoignait directement la Seine à Clichy. Le développement de la ville, et la mise en oeuvre du tout-à-l'égout ont considérablement augmenté la quantité de pollution déversée. A la fin du 19ième siècle, une solution basée sur l'épuration par le sol fut développée pour traiter les eaux avant leur arrivée en Seine. Des champs d'épandage furent installés dans la presqu'île de Gennevilliers puis plus à l'aval (Achères, Triel
), la ville de Paris devint propriétaire fermier et favorisait une intense activité de maraîchage. Au moment de l'exposition universelle à la toute fin du siècle, presque toutes les eaux collectées étaient envoyées vers les champs d'épandage. Cependant, la course en avant devait continuer, de plus en plus d'eau étant utilisée et devant être évacuée puis traitée dans une ville en constante expansion, alors que la pression foncière réduisait la superficie des champs d'épandage. Dès le début du 20ième, les rejets d'eaux usées en Seine reprirent de plus belle. Après de nombreux essais menés sur les pilotes par la ville de Paris, la première station d'épuration moderne à boues activées fut construite à Achères en 1938 (aujourd'hui "Seine-Aval"), et ne fut réellement alimentée que plusieurs années après la guerre. Dans les filières de traitement d'une telle station, comme dans le sol, des micro-organismes se développent en digérant les matières organiques et les transforment en gaz carbonique et en sels. Les matières solides transportées dans l'eau des égouts et les micro-organismes produits au cours du traitement sont rassemblés pour constituer les boues d'épuration. D'autres filières sont chargées du traitement des boues qui sont épaissies, pressées, éventuellement digérées avant d'être épandues sur des terres agricoles, mises en décharge ou encore incinérées. Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le processus de construction de nouveaux réseaux et de nouvelles stations de traitement des eaux n'a cessé de se développer. A partir des années 70, on cessa de créer des réseaux unitaires pour passer au système séparatif. Dans un réseau séparatif, les eaux pluviales sont collectées dans un réseau séparé des eaux usées domestiques ou industrielles. Les eaux pluviales sont évacuées directement vers le milieu récepteur, alors que les eaux usées sont envoyées vers les stations d'épuration. Un avantage très significatif de ce type de collecte est que les flots reçus par les stations de traitement sont beaucoup plus réguliers, et qu'il n'y a pas de risques de surcharge du système en temps de pluie. Par contre, ce système nécessite une surveillance accrue des "mauvais branchements" d'eaux usées sur le réseau pluvial, et ne permet pas de traiter les eaux de ruissellement qui peuvent être fortement contaminées. Les stations de traitement sont devenues plus efficaces et plus flexibles dans leur gestion, ce qui permet notamment de traiter une fraction toujours croissante des eaux de temps de pluie dans les réseaux anciens unitaires, et de résoudre en grande partie graves problèmes dues aux déversements de temps de pluie dans le réseau unitaire. De nouvelles stations ont été construites en différents points de l'agglomération parisienne pour des raisons techniques, parce qu'il devenait techniquement difficile d'acheminer les eaux sur de très longues distances vers un point de traitement unique à l'aval, mais aussi pour des raisons éthiques et politiques pour que soit mieux partagées les nuisances dues au traitement. Le devenir des boues est toujours un problème aujourd'hui car elles peuvent contenir des contaminants persistants en quantité excessive. Alors que les matières organiques contenues dans les boues constituent des amendements utiles aux cultures, les contaminations doivent être évitées. Des efforts très importants ont été faits dans l'agglomération parisienne pour limiter le rejets de contaminants dans le réseau. Cette politique de réduction à la source a porté ses fruits puisque les teneurs en certains métaux dans les boues de la station "Seine-Aval" ont diminué de plus qu'un facteur 10 en 20 ans. L'évolution actuelle va vers des réseaux et des méthodes de traitement plus diversifiées. Le développement de stations de traitement va se poursuivre en différents points de l'agglomération parisienne, alors que l'interconnexion du réseau unitaire devient une réalité, qui permet une meilleure gestion des eaux en temps de pluie. Dans le même temps les eaux pluviales sont de plus en plus souvent retenues ou traitées à l'amont des bassins versants pour limiter le ruissellement excessif. Il aura donc fallu plus d'un siècle pour que la grande ligne directrice "tout vers l'aval" qui avait été instaurée par Belgrand soit remise en cause. Il aura fallu un siècle également pour que l'objectif "zéro rejets par temps", atteint au début du siècle lors de l'exposition universelle, soit de nouveau atteint. Le réseau d'assainissement fait donc bien partie de ces patrimoines techniques urbains fondamentaux qu'il faut gérer aujourd'hui en pensant aux générations futures.Références utilisées dans cette conférence : "Atlas du Paris Souterrain", par Gilles Thomas et Alain Clément, Ed. Parigramme, 2001. "Paris Sewers and Sewermen, realities and representations", par D. Reid, Harvard University Press, 1991. "Les égouts de Paris, une ville sous la ville", plaquette de présentation des égouts, Mairie de Paris "Rendre l'eau à la vie, 1970/1995, 25ième anniversaire du SIAAP", par M.F. Pointeau, Ed. CEP Euro Editions. "La Seine en son Bassin", M. Maybeck, G. de Marsily et E. Fustec (editeurs), publié par Elsevier en 1998. Mot(s) clés libre(s) : boues d'épuration, collecteur, déchet, eaux usées, égoutiers, égouts de Paris, génie urbain, réseau d'assainissement, station d'épuration, système séparatif, tout-à-l'égout, traitement des eaux
|
Accéder à la ressource
|
|
Les aiguilleurs de l'eau (1999)
/ Science en Cours
/ 01-01-1999
/ Canal-U - OAI Archive
DORISON Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
Tous les jours les habitants de lIle de France consomment trois milliards de litres deau qui se dirigent ensuite vers les égouts. Nous découvrons le réseau dacheminement des eaux usées et des eaux de pluie vers les stations dépuration. En arrière plan de cette gestion quotidienne, de grands travaux sont réalisés dans le but de polluer la Seine le moins possible.GénériqueUn reportage de Philippe Dorison Image : François Dumain, Mathieu Cosse Son : Yves Zysman, Mohamed Chekkoumy, Michel Perez Lumière : Vincent Flour, Martin Didek Remerciements : le CIAAP © France 3 Paris Ile de France centre / SCI octobre 1999 Mot(s) clés libre(s) : eau, eaux usées, égoûts, station d'épuration
|
Accéder à la ressource
|
|
Science Infos 14/01/2009
/ BioTV, Institut de Cinématographie Scientifique
/ 14-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DAUTIGNY André, ZAVAGLIA David, FREIXANET Alain, Henriot Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
Troisième numéro de Science Infos
Science Infos est le premier journal scientifique du web, produit et réalisé par des scientifiques de Bio-TV. Mot(s) clés libre(s) : Calamar géant, dépendance cocaïne, exoplanète, exosquelette, IgNoble prices, Nobel médecine, sonde MRO, station polaire écologique Princess Elisabeth, VIH, ville européenne des sciences
|
Accéder à la ressource
|
|
Les vols spatiaux chinois, de l'orbite basse à la Lune et au-delà
/ 09-02-2013
/ Canal-u.fr
COUÉ Philippe
Voir le résumé
Voir le résumé
En 1992, la Chine
s'est engagée dans un programme de vols spatiaux habités qui ont abouti au
lancement du premier chinois (Yang Liwei) en 2003. Depuis, l'Empire du
Milieu gravit une à une toutes les marches qui devraient le conduire à
disposer d'une station orbitale permanente avant dix ans. Pékin imagine
déjà qu'elle puisse "remplacer" la station spatiale
internationale et ouvre son projet à la coopération. Des projets beaucoup
plus audacieux sont en cours d'étude ou de développement pour déposer sur
la Lune des taïkonautes, le préalable à des vols habités dans le Système
solaire. Cette conférence rappellera toutes les grandes étapes du
programme spatial habité chinois, le plus dynamique des grandes puissances
spatiales. Mot(s) clés libre(s) : Chine, astronomie, lune, station spatiale, conquête spatiale
|
Accéder à la ressource
|
|
KEZAKO: Comment épure-t-on l'eau ?
/ Damien Deltombe
/ 14-05-2012
/ Canal-u.fr
BEAUGEOIS Maxime, Deltombe Damien, Hennequin Daniel
Voir le résumé
Voir le résumé
Kezako,
la série documentaire qui répond à vos questions de science,
répond cette fois-ci la question "Comment épure-t-on l'eau ?"
et aborde notamment le principe de fonctionnement des stations
d'épuration.
Mot(s) clés libre(s) : déchets, lagunage, epuration, station, dégrillage, boues activées
|
Accéder à la ressource
|
|
L'homme dans l'espace, les vols habités
/ Mission 2000 en France
/ 23-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
AMMAR-ISRAEL Arlène
Voir le résumé
Voir le résumé
Depuis les débuts de l'ère spatiale, il y a environ un demi-siècle, les vols habités ont occupé une place privilégiée dans l'histoire scientifique et technologique moderne, compte tenu de leur caractère exceptionnel. L'espace est particulièrement hostile à l'homme : absence de pesanteur, radiations, confinement, températures extrêmes, vide.... Progressivement, les difficultés de la vie et du travail dans l'espace, ont été surmontées, grâce en particulier à l'analyse des mécanismes en jeu et aux progrès de la technologie, à une sélection et un entraînement des astronautes très rigoureux et à l'emploi de contre-mesures. Pour retracer l'histoire des vols habités, nous rappellerons comment la conquête spatiale qui a été l'un des grands sujets de compétition de la guerre froide, a conduit à l'envoi du premier homme dans l'espace suivi du programme Apollo, de la navette spatiale et des stations orbitales. Aujourd'hui la Station Spatiale Internationale, le plus grand programme civil en coopération au niveau mondial, est en construction et la Station sera opérationnelle en 2004. Des études sont en cours aux États-Unis, en Russie et en Europe pour préparer l'exploration de Mars par l'homme qui pourrait avoir lieu à partir de 2020. Enfin, nous essaierons de mieux faire comprendre les enjeux scientifiques et économiques de ces missions à partir d'exemples significatifs tels que la maintenance et la réparation du Télescope Spatial Hubble, la mission franco-russe Perseus sur la station orbitale MIR au cours de laquelle en 1999 J. P. Haigneré a séjourné six mois dans l'espace, le programme français de préparation à l'utilisation de la Station Spatiale Internationale.... Hub : Hub : Mot(s) clés libre(s) : atmosphère planétaire, conquête de l'Espace, espace, exploration spatiale, Mars, micropesanteur, mission spatiale, Perseus, planète, station spatiale, système solaire, vol spatial habité
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|