Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Les séries TV et le soap opera
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
WINCKLER Martin
Voir le résumé
Voir le résumé
En France, la télévision est considérée comme un support « impur », inapte à véhiculer des productions artistiques conçues spécifiquement pour elle. Il n'en va pas de même partout. Aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, où spectacle populaire et production artistique vont toujours de pair (et ont toujours été indépendants du pouvoir), les productions télévisées sont infiniment plus audacieuses et plus inventives qu'en France. Le mépris habituellement réservé aux « séries » et aux « soaps » par les intellectuels français repose sur une seule chose : leur ignorance profonde de ce genre, certes populaire, mais aussi créatif que la bande dessinée, les « mauvais » genres littéraires que sont le roman policier et la science-fiction et le théâtre expérimental. Infiniment plus proches de la réalité que ne l'est le cinéma, les téléfictions établissent avec leur public une relation particulière - liée aux conditions de diffusion et de réception - et portent sur le monde un regard incisif, critique et extrêmement anti-conformiste. Cette conférence visera d'une part à définir ce que sont les séries télévisées et les « soap operas », à en brosser un panorama thématique et analytique avec quelques extraits de séries récentes en guise d'illustration visuelle, et de montrer qu'il s'agit aussi de fictions accomplies. Il sera en particulier question de séries telles que « Friends », « Les Soprano », « Urgences », « Oz » « New York District », « Homicide », « Buffy contre les vampires » ou « A la Maison Blanche ». Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, censure, états-unis, feuilletons télévisés, france, genres télévisés, intellectuels français (influence), séries télévisées, soap opéras (télévision), télévision, télévision (aspect social)
|
Accéder à la ressource
|
|
La prolifération des images (2) - Francis Vanoye
/ UTLS au lycée
/ 07-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, VANOYE Francis
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au LycéeLa prolifération des images par Francis VanoyeLycée Eugène Woillez ( 62 Montreuil sur Mer) Mot(s) clés libre(s) : publicité, télévision, video
|
Accéder à la ressource
|
|
La prolifération des images - Martine Joly
/ UTLS au lycée
/ 21-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au LycéeLa prolifération des images par Martine JolyLycée agricole et rural de Soule ( Mauléon 64) Mot(s) clés libre(s) : communication, publicité, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
La prolifération des images - Martine Joly
/ UTLS au lycée
/ 04-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au LycéeLa prolifération des image par Martine JolyLycée Jean Zay (Thiers 63) Mot(s) clés libre(s) : média, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
Les médias reflètent-ils l'opinion publique ?- Luc Ferry
/ UTLS - la suite
/ 19-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
Voir le résumé
Voir le résumé
Premiers entretiens du jeu de paume L’Université de tous les savoirs et Le Château de Versailles présentent les Premiers entretiens du Jeu de Paume La démocr@tie d’opinionDu siècle des lumières à la démocratie des courts –circuitsVendredi 18, samedi 19 et dimanche 20 juin 2010 Les médias reflètent-ils l'opinion publique ? par Luc Ferry Mot(s) clés libre(s) : démocratie, presse, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
L'image télévisuelle
/ UTLS - la suite
/ 16-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
SCHNEIDERMANN Daniel
Voir le résumé
Voir le résumé
La télévision exerce sur son public une influence, c'est certain, mais laquelle ? Cette influence est-elle recherchée ou fortuite, s'exerce-t-elle immédiatement ou dans la durée, atteint-elle de même manière toutes les tranches d'âge, tous les milieux sociaux ? De nos comportements électoraux à nos comportements amoureux, de notre vie familiale à notre manière de nous habiller, à la lumière des enquêtes d'Arrêt sur Images, nous passerons en revue tous les domaines dans lesquels l'image de télévision façonne le réel. Nous nous demanderons ensuite si cet état de choses est acceptable, et de quelles manières il est possible de « réguler les images ». Mot(s) clés libre(s) : communication visuelle, influence, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
Cafés des Sciences Nancy 2010 - Peut-on échapper à la publicité?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 12-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SALTIEL François, BOULANGER Hélène, MARIE Romain
Voir le résumé
Voir le résumé
Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRAElle fait rire, elle fait réagir, elle choque, elle fait consommer, elle fait prendre conscience, elle informe, la publicité remplit bien des fonctions, jusqu'à envahir notre quotidien. Entre bonne publicité et mauvaise publicité, le débat reste entier. Certains n’ont pourtant pas attendu pour réagir à cette omniprésence publicitaire qui entache parfois notre libre arbitre. Détournement et mouvement anti-pub redoublent de créativité pour surpasser leurs modèles. Un monde sans publicité est-il utopique ? Pour aller plus loin, vous pouvez consulter la bibliographie sur http://www.uhp-nancy.fr/cst/les_cafes_des_sciences/archives(Source : http://www.uhp-nancy.fr/cst)Intervenants : BOULANGER Hélène, MARIE Romain, SALTIEL François, SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy Université, communication, Conseil Supérieur de l'Audiovisuel, CSA, Culture Pub, loi Evin, médias, publicité subliminale, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
Débat sur la mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire, leçon 4, 2/2)
/ Pascal CESARO
/ 05-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NINEY François
Voir le résumé
Voir le résumé
Un débat organisé à partir de l'ouvrage de François Niney : "Le documentaire et ses faux-semblants" qui interroge la nature des images à la télévision et au cinéma. A quoi reconnaît-on un documentaire ? Qu'est-ce qui distingue, à l'écran, le monde réel d'un monde fictionnel ? Entre ceux qui croient aveuglément à l'objectivité des prises de vue (actualités ou archives) et ceux qui leur dénient toute vérité, n'y voyant que "mise en scène", le chemin est étroit et parfois sinueux (du fait que s'y croisent réel et imaginaire) mais c'est celui que ce livre cherche à tracer. Aucune prise de vue ne saurait à elle seule prouver un quelconque événement, mais elle montre bien quelque chose du monde à un certain moment (c'est toute la magie du cinématographe). Il convient donc de l'interroger sur son sens, sur ce qu'elle a capté, voulu montrer, sur les circonstances qui la commandent et qu'elle relatent plus ou moins, et comment elle se donne à croire au spectateur (on ne croit pas de la même façon à ce que raconte "La mort aux trousses" ou "Le chagrin et la pitié" ; le « comme si » de la fiction qu’on accepte diffère du « comme ça » du documentaire qu’on peut mettre en doute). Il s'agit donc de clarifier la distinction (et parfois le mélange, amusant ou douteux) entre documentaire et fiction, en s'appuyant sur des exemples, pour élargir la palette des traits discriminants (ou communs). Ce n'est pas seulement la nature — supposément réelle ou imaginaire en soi — de ce qui est filmé qui va déterminer le caractère documentaire ou fictionnel du film, c'est tout autant la relation du filmeur au filmé, le patage des points de vue à travers l’objectif, la tournure de la mise en scène et du montage, la façon qu'a le film de s'adresser au spectateur, de l'entraîner à voir à l'écran notre monde commun ou un monde ajouté ("inventé"), de se faire comprendre comme une énonciation sérieuse (documentaire) ou feinte (fictive)... Sans compter qu'il y a bien des usages documentaires de la fiction (commenté par le réalisateur ou le chef décorateur, à la façon de certains bonus de DVD, un film devient ipso facto un document sur son propre tournage), tout comme il y a certaines fictions qui feignent de n'en être pas et, pour des raisons propagandistes ou commerciales, voudraient bien nous faire croire que "ça s'est vraiment passé comme ça" ! Mot(s) clés libre(s) : analyse esthétique, cinema, documentaire, fiction, imaginaire, mise en scène, réalité, réel, représentation, télévision, théorie du cinéma
|
Accéder à la ressource
|
|
Le Documentaire et les images d'archives (Penser le cinéma documentaire : leçon 5)
/ Pascal CESARO
/ 10-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MILLS - AFFIF Edouard
Voir le résumé
Voir le résumé
De DzigaVertov à Frédéric Rossif, en passant par Alain Resnais et Chris Marker, de grandes signatures se sont prêtées à cet exercice bien particulier, qui consiste à faire un film sans tourner une seule image, un film qui va s’écrire entièrement sur la table de montage. Ce n’est pas pour rien qu’on appelle bien souvent les documentaires d’archives des « films de montage ».Images d’actualité, émissions de télévision, archives industrielles, militaires, éducatives, films de famille, d’explorateurs ou d’ethnologues, les terrains de chasse du documentaire d’archives sont diverses et variées. Mais quelque soit l’origine du fonds qui va constituer la matière première du film à faire, il convient au préalable de savoir décrypter et déchiffrer ces images, afin d’en révéler la nature profonde. Une image n’est pas une preuve de vérité, elle est toujours faite dans un but précis, elle peut dire vrai comme mentir vraiment. « Tous les documents doivent être analysés comme des documents de propagande, préconise l’historien Marc Ferro. Mais le tout, c’est de savoir de quelle propagande il s’agit. Les images d’archives ne sont pas mensongères au moins sur un point : ce que l’on a voulu dire aux gens. Ça, c’est une vérité historique ! »Autres questions qui s’imposent comme des impératifs catégoriques avant de rentrer en salle de montage : comment ne pas ajouter de la manipulation à la manipulation? Quels principes de montage se donner pour éviter de tomber dans le piège de répondre à la propagande par de la contre-propagande ? Comment ne pas se contenter de plaquer un discours sur des images prétextes, dont la seule fonction sera d’illustrer et de valider le point de vue initial des auteurs ?Nous verrons, à partir d’exemples précis, quels sont les différents styles d’écriture empruntés par le documentaire d’archives, sans exclusive, mais en privilégiant toutefois les formes les plus innovantes et singulières.1.Le contexte historique de l'usage des images d'archives dans le cinéma et à la télévision.- Les différentes formes de documentaires d'archives : archive de guerre, film de famille, documentaire historique, scientifique, expérimental...- Une utilisation classique : le document témoignage comme preuve d'une réalité historique- Une utilisation contemporaine : L'archive comme moteur du récit, le document d'archive est ré-interrogé, il sert un champ d'expérimentation des formes narratives cinématographiques... 2. Le statut des images d'archives : Histoire ou Propagande ?- Vérité et mensonge dans le documentaire historique, le faux et le vrai, la réalité et le matériau cinématographique.L’image d’archive est une trace "historique", le réalisateur doit s'interroger sur la signification et la fonction qui lui ont été assignées : c'est le refus de l'archive comme simple illustration et preuve du réel !- Exemple de la polémique sur les images des camps de concentration: Shoah de C. Lanzman / versus D.D. Huberman3. Les spécificités de l' écriture pour un scénario de film documentaire à base d’archives ?- Appréhender les archives par une méthodologie de réalisation.- Ethique du montage : comment appréhender au montage des images que l’on a pas conçues ? comment intégrer les archives à une nouvelle stratégie narrative ?4. Les dispositifs de la mise en scène des images d'archives dans le documentaire télévisé:- Ecrire ou reécrire l'histoire ?- Le statut et l'écriture du commentaire : le rôle de la voix off- Le traitement sonore : le rôle de la musique, bruitage et ambiance sonore.5. L'archive comme matériau cinématographique Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinéma, documentaire d'archives, esthétique, film de montage, histoire du cinéma, images d'archive, télévision
|
Accéder à la ressource
|
|
Comment le film a inventé le rock (et réciproquement). Conférence de François Bon
/ La Cinémathèque française
/ 23-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Bon François
Voir le résumé
Voir le résumé
Si la révolution rock a pris une telle ampleur, une telle échelle, à telle simultanéité, c'est aussi qu'elle correspondait à l'éclosion de masse d'un nouveau media : la télévision. C'est du sein de cette relation qu'ont émergé une suite de films qui cherchaient pour leur propre compte une image du héros, de la légende. L'histoire filmique très documentée des Rolling Stones, depuis les premières captations télévisées, shows mis en scène ou actualités, jusqu'à la grande trilogie Gimmie Shelter (Maysles), One + One (Godard), Cocksucker Blues (Frank) des années 69-72, peut servir de marqueur. L'histoire filmique inégale de Dylan, des Who, de Led Zeppelin pourrait alors devenir une histoire singulière d'enjeux esthétiques dont ne disposaient pas les acteurs eux-mêmes, et par là une inscription de la dimension symbolique de cette légende. Mot(s) clés libre(s) : états-unis, films musicaux, médias et musique, musiciens de rock, musique, rock (musique) et cinéma, télévision, télévision et musique
|
Accéder à la ressource
|
|