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Université de Franche-Comté
/ 18-12-2002
Thevenin Thomas
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Cette recherche propose une approche renouvelée de l'intermodalité consistant à concilier l'offre de transport collectif classique avec des modes de transports publics personnalisés : les services à la demande. L'objectif de cette étude sur les transports de voyageurs est double, puiqu'il s'agit de répondre aux besoins de planification des autoritiés comptétentes dans le domaine des déplacements, puis de satisfaire les impératifs d'exploitation des transporteurs. La méthodologie développée pour mener à bien ces investigations s'appuie sur une connaissance partagée des multiples acteurs des transports au sein d'un système d'information unique. Reproductible dans des villes de taille moyenne, cet outil est à la fois conçu pour établir un diagnostic géographique d'un réseau de transport public en milieu urbain, et pour produire des informations destinées au fonctionnement d'un outil d'aide à la mobilité. Cette analyse est ensuite complétée par un examen des rythmes de la mobilité urbaine dans l'espace et le temps. L'agglomération de Besançon offre enfin un terrain d'étude adéquat pour expérimenter ces outils.
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Université de Franche-Comté
/ 01-12-2005
Henry Adeline
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Au-delà de l’évènement sportif international qu’ils représentent, les Jeux olympiques constituent aussi un véritable catalyseur des mutations urbaines qu’ils provoquent olympiques constituent aussi un véritable catalyseur des mutations urbaines qu’ils provoquent ou accélèrent. En effet, ils peuvent être perçus comme un outil d’organisation, d’aménagement et d’équipement des villes hôtes qui doivent mettre au service des Jeux toute une série d’infrastructures sportives, de transport, d’hébergement… qui assureront le bon déroulement de la manifestation mondiale. 2004 marque le retour des Jeux olympiques sur le territoire qui les a vu naître ; Athènes accueille les premiers Jeux du troisième millénaire. Or, la capitale grecque constitue un cadre particulier car cette cité millénaire, au passé archéologique et architectural si riche, est aussi une capitale récente et cette diachronie se révèle difficile à gérer du point de vue de son aménagement et de son organisation. Elle n’a jamais connu de véritable schéma d’aménagement du territoire qui soit respecté. Mais, l’accueil des Jeux olympiques, et les impératifs qui leurs sont liés en terme d’équipement territorial, constitue un ultimatum pour l’agglomération qui doit résoudre les problèmes urbanistiques auxquels elle est confrontée, notamment depuis son spectaculaire développement débuté à la fin des années 60. L’objectif de cette thèse est donc d’évaluer les impacts des Jeux olympiques de 2004 sur l’organisation et l’aménagement du territoire athénien, l’adéquation entre projet urbain et projet olympique et d’avancer ainsi dans la connaissance de la relation « villes et Jeux olympiques » et plus globalement entre « sport et espace ».
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Université de Franche-Comté
/ 01-12-2005
henry Adeline
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Au-delà de l’évènement sportif international qu’ils représentent, les Jeux olympiques constituent aussi un véritable catalyseur des mutations urbaines qu’ils provoquent olympiques constituent aussi un véritable catalyseur des mutations urbaines qu’ils provoquent ou accélèrent. En effet, ils peuvent être perçus comme un outil d’organisation, d’aménagement et d’équipement des villes hôtes qui doivent mettre au service des Jeux toute une série d’infrastructures sportives, de transport, d’hébergement… qui assureront le bon déroulement de la manifestation mondiale. 2004 marque le retour des Jeux olympiques sur le territoire qui les a vu naître ; Athènes accueille les premiers Jeux du troisième millénaire. Or, la capitale grecque constitue un cadre particulier car cette cité millénaire, au passé archéologique et architectural si riche, est aussi une capitale récente et cette diachronie se révèle difficile à gérer du point de vue de son aménagement et de son organisation. Elle n’a jamais connu de véritable schéma d’aménagement du territoire qui soit respecté. Mais, l’accueil des Jeux olympiques, et les impératifs qui leurs sont liés en terme d’équipement territorial, constitue un ultimatum pour l’agglomération qui doit résoudre les problèmes urbanistiques auxquels elle est confrontée, notamment depuis son spectaculaire développement débuté à la fin des années 60. L’objectif de cette thèse est donc d’évaluer les impacts des Jeux olympiques de 2004 sur l’organisation et l’aménagement du territoire athénien, l’adéquation entre projet urbain et projet olympique et d’avancer ainsi dans la connaissance de la relation « villes et Jeux olympiques » et plus globalement entre « sport et espace ».
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Université de Franche-Comté
/ 02-12-2005
DONY Sophie
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L'analyse des systèmes agricoles passe aujourd'hui par l'étude de leurs interactions avec l'environnement qu'il soit physique, économique ou social. C'est dans ce contexte que s'inscrit l'objet de cette recherche doctorale.
Nous proposons tout d'abord de mener une réflexion sur les évolutions récentes de l'agriculture française, particulièrement sur la dernière période intercensitaire durant laquelle les transformations ont été les plus radicales. Mais le coeur de la recherche est consacré à un dispositif récent de l'aménagement du territoire : le Contrat Territorial d'Exploitation (CTE), aboutissement d'une réflexion menée sur les transformations de l'agriculture et sur leurs conséquences environnementales et territoriales. Le dispositif recouvre de nombreuses contraintes, que nous proposons d'identifier tout d'abord dans son processus de mise en oeuvre qui se révèle assez complexe, puis dans son application spatiale dans les régions françaises. Enfin, une étude des CTE à un niveau local plus fin est réalisée. Elle concerne deux départements franc-comtois : La Haute-Saône et le Doubs. Leur analyse permet de saisir la complexité de l'outil et les différents types de contrats existants dans les territoires d'étude. Elle permet d'aboutir à une typologie globale des exploitations agricoles en CTE, qui présente, au-delà des grandes tendances départementales, une grande diversité géographique de localisation. Même si un suivi n'a pas été possible, l'analyse ouvre de nombreuses interrogations quant à l'efficacité de l'outil et de son successeur, le Contrat d'Agriculture Durable (CAD).
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Université de Franche-Comté
/ 09-12-2005
Tolle Florian
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Echinococcus multilocularis est un parasite responsable chez l’homme d’une maladie grave : l’échinococcose alvéolaire. Les œufs du parasite, agent pathogène, sont présents dans les fèces de renard et peuvent survivre plusieurs mois dans l’environnement. Le risque épidémiologique lié à la maladie a conduit, en France et en Europe, à la mise en place de programmes d’épidémiosurveillance. Ils ont permis de collecter des échantillons géoréférencés dont la contamination éventuelle a été testée. Cette base de données a servi au développement sur SIG d’un protocole de recherche de descripteurs paysagers présumés indicateurs du potentiel de risque. Trois échelles ont successivement été abordées. Dans le Doubs, département situé en zone de haute endémie, une analyse en régression logistique binaire a permis l’identification d’indices paysagers associés aux zones présentant des échantillons positifs. La qualité des modèles prédictifs générés a été testée par la méthode des courbes ROC. La représentation cartographique des facteurs paysagers présumés à risque a conduit à identifier des zones potentiellement favorables à l’établissement du cycle parasitaire. Pour l’ensemble français, les nuées dynamiques floues ont été utilisées pour le choix de niveaux d’échelle pertinents. Une typologie des paysages environnant les échantillons collectés a été conduite. La prévalence de chaque type paysager ainsi défini a été calculée. Les paysages ont été représentés en fonction de leur susceptibilité présumée à accueillir le cycle parasitaire. Enfin, à l’échelle européenne, les données climatiques ont permis la délimitation d’une limite méridionale théorique d’extension du parasite. Ces résultats montrent les possibilités offertes par les outils d’analyse spatiale et de modélisation dans les problématiques de risque sanitaire.
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Université de Franche-Comté
/ 14-12-2005
Caille-Cattin Catherine
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Le paysage est produit par une communauté d'hommes ne projetant pas forcément les mêmes intentions paysagères. Aussi, les représentations des divers acteurs qu'ils soient aménageurs, décideurs ou usagers, influencent la prise en compte du paysage dans les projets d'aménagement du territoire. La multiplicité des représentations ne facilite pas le dialogue qui devrait s’instaurer entre eux lorsqu’ils établissent ensemble ces projets ; cependant l’élaboration de consensus est nécessaire pour garantir une réalisation négociée et partagée. D'autre part, si une culture du paysage minimale est nécessaire pour appréhender les problématiques paysagères des territoires concernés, il s'avère que celle des acteurs est souvent lacunaire. Par ailleurs, les diverses collectivités territoriales assument aujourd’hui des charges, pour certaines nouvelles, en matière de paysage. C’est pourquoi les atlas de paysages ont été conçus dès 1994 comme outils possibles de connaissance paysagère, ils dressent l’inventaire des paysages régionaux et les analysent. Ainsi la gouvernance des territoires peut être facilitée par l’accès aux informations contenues dans l’atlas. Cependant les images, comme re-présentations des paysages (textes, photographies, cartes, croquis…) qui les composent, révèlent et nourrissent des représentations sociales du paysage et favorisent ainsi certaines démarches paysagères. Par conséquent, l’étude des représentations de paysage offertes dans les atlas, puis celle des représentations paysagères des acteurs territoriaux, renseigneront sur les partis pris et les points de vue donnés à voir, ainsi que sur la compréhension des modes d’appréhension et d’appropriation des territoires qu’ils aménagent. L’analyse de ces deux types de représentations et de leurs interactions permettra de comprendre ce qui est proposé aux acteurs pour les aider dans leurs prises de décision. Elle permettra de répertorier et d’envisager les médiations qui faciliteraient l’accès à la connaissance des paysages, pour élaborer une culture paysagère commune et partagée, celle-ci étant indispensable à toute réalisation de projet paysager.
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Université de Franche-Comté
/ 14-12-2005
Caille-Cattin Catherine
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Le paysage est produit par une communauté d'hommes ne projetant pas forcément les mêmes intentions paysagères. Aussi, les représentations des divers acteurs qu'ils soient aménageurs, décideurs ou usagers, influencent la prise en compte du paysage dans les projets d'aménagement du territoire. La multiplicité des représentations ne facilite pas le dialogue qui devrait s’instaurer entre eux lorsqu’ils établissent ensemble ces projets ; cependant l’élaboration de consensus est nécessaire pour garantir une réalisation négociée et partagée. D'autre part, si une culture du paysage minimale est nécessaire pour appréhender les problématiques paysagères des territoires concernés, il s'avère que celle des acteurs est souvent lacunaire. Par ailleurs, les diverses collectivités territoriales assument aujourd’hui des charges, pour certaines nouvelles, en matière de paysage. C’est pourquoi les atlas de paysages ont été conçus dès 1994 comme outils possibles de connaissance paysagère, ils dressent l’inventaire des paysages régionaux et les analysent. Ainsi la gouvernance des territoires peut être facilitée par l’accès aux informations contenues dans l’atlas. Cependant les images, comme re-présentations des paysages (textes, photographies, cartes, croquis…) qui les composent, révèlent et nourrissent des représentations sociales du paysage et favorisent ainsi certaines démarches paysagères. Par conséquent, l’étude des représentations de paysage offertes dans les atlas, puis celle des représentations paysagères des acteurs territoriaux, renseigneront sur les partis pris et les points de vue donnés à voir, ainsi que sur la compréhension des modes d’appréhension et d’appropriation des territoires qu’ils aménagent. L’analyse de ces deux types de représentations et de leurs interactions permettra de comprendre ce qui est proposé aux acteurs pour les aider dans leurs prises de décision. Elle permettra de répertorier et d’envisager les médiations qui faciliteraient l’accès à la connaissance des paysages, pour élaborer une culture paysagère commune et partagée, celle-ci étant indispensable à toute réalisation de projet paysager.
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Université de Franche-Comté
/ 01-12-2006
Piombini Arnaud
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Actuellement, la marche à pied suscite un regain d intérêt comme mode de transport complémentaire. En effet, les décideurs locaux semblent vouloir atténuer le déséquilibre existant entre modes de déplacement au sein des agglomérations. En géographie, la mobilité se réfère à la pratique des échanges et des déplacements qu effectuent les individus ou groupes d individus ; cette mobilité est susceptible de révéler les propriétés des lieux et de participer à leur transformation. Parmi tous les modes de déplacement, la marche à pied implique un rapport privilégié entre les personnes et l espace dans lequel elles évoluent. Le paysage visible, en tant qu élément du cadre de vie pratiqué quotidiennement et perçu par le prisme de la perception, est donc un facteur pris en compte dans les choix de déplacement. Cette recherche a pour objectif d analyser les choix d itinéraires pédestres en fonction des paysages urbains. Deux enquêtes sont pour cela mises en oeuvre sur les sites de Lille et besançon. La première a donné lieu au recensement de plus de 500 trajets en marche à pied ; la seconde a permis de qualifier précisément les paysages urbains. En mettant en oeuvre plusieurs types d analyses géographiques en partie inspirées des travaux des économistes et des psychologues, les caractéristiques des déplacements pédestres sont mises en évidence. Des modèles de choix discrets sont ainsi utilisés et le travail proposé conduit à élaborer une méthode originale d évaluation des paysages urbains perçus par les piétons.
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Université de Franche-Comté
/ 08-12-2006
Audard Frédéric
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Actuellement, la gestion des services de transport public change, passe d un niveau d échelle à un autre, se décentralise nationalement et s élargit localement. Ainsi, les Régions ont vu leurs compétences s élargir en termes d organisation des transports, créant ainsi de nouveaux problèmes de gestion. C est face à ces interrogations nouvelles que notre travail trouve sa place, en proposant une modélisation adaptée à la fois aux modifications permanentes de la mobilité quotidienne et aux nouvelles échelles d application de la gestion des transports. Nous nous sommes plus spécifiquement penché sur l étape de la génération de trafic, (ou modélisation du processus de choix à l origine du déplacement effectué par l individu), négligée jusqu ici dans son approche géographique. Traitée jusqu alors sous l angle de l économie des transports, la modélisation de la génération de trafic occultait un aspect géographique important de sa conception : le zonage de l aire d étude, dont dépend la quantification des déplacements. Nous nous proposons ici de réaliser dans sa totalité la modélisation de l étape de génération de trafic sur la Région de Franche-Comté. Il s agit tout d abord de comprendre et délimiter notre périmètre d étude ; puis d élaborer un zonage pertinent en fonction de notre problématique de gestion ; pour finalement quantifier les déplacements sur les zones créées
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Université de Franche-Comté
/ 15-12-2006
Bolot Jérome
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Les évolutions des rythmes de vie, la multiplication des motifs de déplacements, la ruralité et la périurbanisation constituent les principales raisons qui compliquent la tâche des transports collectifs classiques. L’automobile est ainsi devenue le mode de transport privilégié pour assurer les déplacements des personnes. Pourtant, ce mode de transport individuel génère des nuisances qui ne satisfont pas aux principes du développement durable. Pour accompagner le report modal de l’automobile vers les transports alternatifs, il existe de nombreux leviers.
Le transport à la demande constitue l’une des pistes pour le développement d’une mobilité durable. Tadvance, groupe de travail pluridisciplinaire auquel j’ai participé, mène des recherches innovantes sur ce sujet. Evolis-Gare, destiné à l’acheminement des usagers des TGV à Besançon, constitue la première mise en œuvre de ce groupe. Dans ce cadre, la recherche pluridisciplinaire a permis l’élaboration du logiciel Résad2 destiné à assurer la gestion d’Evolis-Gare. Cette recherche appliquée au service de la collectivité a été récompensée par un prix national (Mercure d’or de Kéolis) et local (prix du développement local de Franche-Comté en 2001). Le code source du logiciel Resad2, conjointement déposé par l’université, le CNRS et Kéolis, a été transféré à une société française qui en assure la commercialisation.
Cette thèse présente ensuite une recherche théorique qui propose une extension du service Evolis-Gare en lui assurant un fonctionnement en temps-réel. Afin d’assurer la gestion d’un tel système nous proposons une démarche en trois temps. Une première étape permet de prévoir le niveau de demande probable. Une seconde étape élabore des trajets provisoires afin de calibrer la flotte de véhicules à mobiliser et de positionner ces derniers sur le territoire. Enfin, la troisième étape gère en temps-réel les appels des usagers. Elle recalcule les trajets au fur et à mesure et les adapte à chaque nouvelle situation. La simulation des processus s’appuie sur l’association de la géomatique et de l’intelligence artificielle au cœur d’une plate-forme informatique dynamique.
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