Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
IPM 2007 - La mutation de la pédagogie numérique : Quelques questions - réponses
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ Canal-U - OAI Archive
Voir le résumé
Voir le résumé
Questions - réponses à la suite des présentations concernant la mutation de la pédagogie numérique dans les Facultés de Médecine de France. Mot(s) clés libre(s) : IPM 2007, pédagogie numérique, Strasbourg, TICE
|
Accéder à la ressource
|
|
Teacher education and ICT integration: Jozef Colpaert
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Reassuring lies versus inconvenient truths.
One of the major challenges in teacher education is to convince pre-service teachers, our students, that they should (become able to) determine for themselves which technologies to use, when, where, how and why. Preferably in a methodological and justifiable way. This provocative statement stems from two conflicting phenomena. On the one hand, technology is evolving so quickly that it does not make sense to build a course around specific systems or applications as they might have become obsolete once our students start to teach in the real world. On the other hand, our students expect their professors to explain in detail which technologies to use and, more importantly, how to use them. Students in teacher education are often reluctant (or afraid?) to think for themselves, and false assumptions and myths permeate their vision on the role of ICT in learning and teaching.
In this presentation Jozef Colpaert will present and discuss the inconvenient truths he has been confronted with over the last two decades. He will show how periods of hypes and myths alternated with periods of common sense, and how current beliefs can be classified under ‘blurred ontologies’: flipped classrooms, digital natives, blended learning, MOOCs, digital pedagogy, etc.
EuroCALL Teacher Education SIG Workshop
Nice, 22-23 May, 2014 Mot(s) clés libre(s) : apprentissage des langues, TICE, didactique des langues, Accompagner les enseignants aux usages pédagogiques du numérique
|
Accéder à la ressource
|
|
Critical semiotic awareness in CALL teacher education : Nicolas Guichon
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Adopting a semiotic approach to technology-mediated language teaching may constitute an appropriate perspective to grasp some of the issues pre- and in-service teachers have to deal with when they integrate technology in their pedagogical practice. With reference to the seminal work of Halliday (1978) and Van Lier (2004), we will see how this perspective has fueled research on language learning (Pinnow, 2011) and language teaching (Jewitt, 2009) and how it can help understand how language teachers’ postures are challenged by the use of technology and how technology can progressively become part of their semiotic repertoire.
Semio-pedagogical competence will be defined as a key competence needed by language teachers to effectively work in the digitally enhanced language classroom. To illustrate how this competence can be developed through training, I will present a telecollaboration project between Lyon and Dublin whereby future teachers of French as a foreign language prepare and participate in online interactions with learners of French in a business school in Ireland. Certain aspects of this project will help uncover the challenges that are at stake for teachers who are confronted with a dense multimodal situation (Norris, 2004) and it will give me the opportunity to present the concept of “critical semiotic awareness”.
EuroCALL Teacher Education SIG Workshop
Nice, 22-23 May, 2014 Mot(s) clés libre(s) : apprentissage des langues, TICE, didactique des langues, Accompagner les enseignants aux usages pédagogiques du numérique
|
Accéder à la ressource
|
|
FORMATIC 2012 - Ouverture du Colloque TIC Santé 2012.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 07-02-2012
/ Canal-U - OAI Archive
ZYLBERBERG Thierry, CAZELLET Lisette
Voir le résumé
Voir le résumé
Titre : FORMATIC 2012 - Ouverture du Colloque.Auteurs : Thierry Zylberberg (Directeur Orange HealthCare).Lisette Cazellet (Présidente de l’association FORMATICSanté).Résumé : Accueil, ouverture du colloque.L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée.Conférence enregistrée lors du Colloque Santé 2012 : développer des compétences TIC Santé pour mieux soigner aujourd’hui les 7 et 8 février 2012 à Issy les Moulineaux.Réalisation, production : Canal U/3SMots clés : FORMATIC, 2012, compétences, e-formation, e-learning, TIC, Santé, e-santé, DGOS, hôpital numérique, C2I, serious game, dossier patient Mot(s) clés libre(s) : 2012, C2I, compétences, DGOS, dossier patient, e-formation, e-learning, e-santé, FORMATIC, hôpital numérique, Santé, serious game, TIC
|
Accéder à la ressource
|
|
Nano-électronique et informatique
/ UTLS - la suite
/ 20-12-2001
/ Canal-U - OAI Archive
WEISBUCH Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Les révolutions de l' information et des communications sont un des faits marquants du siècle et vont continuer à bouleverser dans ce nouveau siècle tous les domaines de l'activité humaine, y compris nos modes de vie. Ces révolutions sont nées du codage de l'information sous forme de paquets d'électrons (les " grains " d'électricité) ou de photons (les " grains " de lumière) (quelques dizaines de milliers de chaque pour l'élément d'information, le " bit "), et la capacité de manipuler et transmettre ces paquets d'électrons ou de photons de manière de plus en plus efficace et économique. À la base de cette capacité se trouvent les matériaux semi-conducteurs. Rien ne prédisposait ces matériaux à un tel destin : ils ont des propriétés " classiques " médiocres, que ce soit mécaniques, thermiques, optiques ou électriques. C'est justement les propriétés moyennes des semi-conducteurs qui les rendent " commandables " : par exemple, leur comportement électrique a longtemps semblé erratique, car très sensible aux " impuretés ". Cette capacité à changer de conductivité électrique, devenue " contrôlée " par la compréhension physique des phénomènes et l'insertion locale d'impuretés chimiques, permet de commander le passage de courant par des électrodes. On a alors l'effet d'amplification du transistor, à la base de la manipulation électronique de l'information. La sensibilité des semi-conducteurs aux flux lumineux en fait aussi les détecteurs de photons dans les communications optiques, et le phénomène inverse d'émission lumineuse les rend incontournables comme sources de photons pour les télécommunications, et bientôt pour l'éclairage. Les progrès des composants et systèmes sont liés aux deux démarches simultanées d'intégration des éléments actifs sur un même support, la " puce ", et de miniaturisation. Une des immenses surprises a été le caractère " vertueux " de la miniaturisation : plus les composants sont petits, meilleur est leur fonctionnement ! On a pu ainsi gagner en trente-cinq ans simultanément plusieurs facteurs de 100 millions à 1 milliard, en termes de complexité des circuits, réduction de coût (la puce de plusieurs centaines de millions de transistors coûte le même prix qu'un transistor dans les années 60), fiabilité, rendement de fabrication. Le problème des limites physiques est cependant aujourd'hui posé : jusqu'où la miniaturisation peut-elle continuer ? Combien d'atomes faut-il pour faire un transistor qui fonctionne encore ? Y-a t'il d'autres matériaux que les semi-conducteurs qui permettraient d'aller au delà des limites physiques, ou encore d'autres moyens de coder l'information plus efficaces que les électrons ou les photons ? Ce sont les questions que se pose aujourd'hui le physicien, cherchant à mettre en difficulté un domaine d'activité immense qu'il a contribué à créer. En savoir plus : http://pmc.polytechnique.fr/ weisbuch/microelectronique Mot(s) clés libre(s) : codage de l'information, composant électronique, matériaux semi-conducteurs, micro-électronique, miniaturisation, nanotechnologies, physique quantique, stockage de données, technologies de l'information, TIC, transistor
|
Accéder à la ressource
|
|
Monique Linard
/ Jean-Pierre Pivin, Ruben Ibanez, Pascal Roche, INRP/TECNE, IUFM Academie de Versailles
/ 01-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, TRAULLET Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Linguiste de formation, Monique Linard, a commencé par enseigner l’anglais dans le Secondaire. Elle est ensuite entrée à l’Université Paris 10 - Nanterre, où elle a poursuivi sa carrière en Sciences de l’Education. Dans les années 70, elle crée une filière d’enseignement et de recherche en pédagogie audiovisuelle. Au début des années 1980, elle s’intéresse aux questions de la connaissance et de l’apprentissage médiatisés par ordinateur. De 1992 à 1995, elle dirige à Lyon-Ecully un laboratoire CNRS de Sciences Humaines et Sociales consacré à divers aspects de la formation et de la communication liés aux TIC. Elle est actuellement Professeur Emérite de l’Université.Extraits vidéos du CD Rom "Une approche multimédia des idées et des personnes". Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
|
Accéder à la ressource
|
|
Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
Voir le résumé
Voir le résumé
Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
|
Accéder à la ressource
|
|
Entretien avec Geneviève Jacquinot
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 04-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
Voir le résumé
Voir le résumé
Après un CAPES de lettres modernes et un diplôme de cinéma, Geneviève Jacquinot opte pour l'audiovisuel lors de missions en Afrique et à la radio-télévision scolaire. Elle enseigne ensuite au collège expérimental de Marly le Roy dès 1966 puis participe à la création de Paris 8 (Vincennes). Elle poursuit alors une carrière universitaire dans cette université (1).A partir de ces diverses expériences et de ses recherches, Geneviève Jacquinot a théorisé dans tous les domaines touchant à l’audiovisuel.Image et pédagogie (2)Les limites des expérimentations avec l’audiovisuel dans un système éducatif (3)Le rapport entre innovation et audiovisuel (4)Le statut de l’audiovisuel dans le contexte universitaire de Paris 8 (5)Après plusieurs expériences internationales (6), elle participe à l’expérimentation de la télévision scolaire en Côte d’Ivoire dont elle analyse les points et les limites durant près de 10 ans (7), puis enseigne à l’université d’Abidjan.De retour à Paris 8, elle participe aux avancées dans le domaine des technologies éducatives (8) et participe à l’élaboration de théories multiréférencées (9). Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
|
Accéder à la ressource
|
|
Entretien avec Etienne Brunswic
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, Université Paris Descartes
/ 04-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
Voir le résumé
Voir le résumé
Professeur de lettre en Tunisie puis Stagiaire à l’ENS Saint Cloud, il utilise des méthodes audiovisuelles en français, à partir de 1963, il intègre la Radio-télévision scolaire puis l’IPN (1), où il est chargé, entre autres, des expérimentations des circuits fermés de télévision, comme celui du collège de Marly le Roi. (2) (3). De 1971 à 1988 il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède à l’UNESCO qui joue alors un rôle important dans le développement des systèmes éducatifs des pays nouvellement indépendants (4) (5). Son approche va s'élargir, l'usage des technologies n'étant perçu que comme la résultante d'un système plus large (8) où la pédagogie elle même n’est que la résultante de facteurs objectifs (9). Après sa retraite, souvent avec Jean Valérien, il participera comme consultant auprès de divers organismes internationaux à de nombreux projets éducatifs.(10)>> à voir aussi: Formation des enseignants Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
|
Accéder à la ressource
|
|
Entretien avec Max Egly
/ Loïc QUENTIN, Marcel LECAUDEY, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES
/ 27-03-2007
/ Canal-u.fr
WALLET Jacques, THIBAULT Françoise
Voir le résumé
Voir le résumé
Après des études de philosophie à l’ENS Saint Cloud (1), il intègre le centre audiovisuel et est nommé chargé des études et des recherches (2), (3), (4), (5) puis il intègre la Radio-télévision scolaire où il travaillera en particulier avec Henri Dieuzède. Il accède ensuite à des responsabilités (6), mais n’apprécie pas la charge administrative. Son rôle dans l’expérimentation de tv Niger à partir de 1964 (7), où la télévision scolaire est à l’origine d’un développement original de la scolarisation, l’amènera à participer à de nombreux dispositifs de coopération éducative, comme à Bouaké en Côte d’Ivoire, (8), même si ensuite selon ses termes «l’audiovisuel ne fut plus à la mode » (9).>> à voir aussi:Le Zéro Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, audiovisuel, TICE
|
Accéder à la ressource
|
|