|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Les acariens : de nouveaux acteurs dans les maladies inflammatoires intestinales ? (video abstract)
/ Jean-Christophe VIALLE
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Les acariens : de nouveaux acteurs dans les maladies inflammatoires intestinales ? (video abstract)
Les recherches menées au sein du laboratoire Tolérance immunitaire (EA 6302) ont mis en évidence le rôle inattendu et potentiellement important des allergènes respiratoires d'acariens dans la physio-pathologie des maladies inflammatoires de l'intestin. Ces recherches ont fait l'objet de publications dans la prestigieuse revue Gut.
http://gut.bmj.com/content/65/5/757.long
- Production :
Faculté de Médecine de Nice
Université Nice Sophia Antipolis
- Directeur de la publication
Pr Patrick BAQUÉ
- Directrice de la production
Isabelle CALLEA
- Réalisation:
Jean-Christophe VIALLE
- Scénario :
Emmanuelle DUCHEZ
Jean-Christophe VIALLE
- Traduction
Emmanuelle DUCHEZ
Valérie VERHASSELT
- Voix-off
Emmanuelle DUCHEZ
medecine.unice.fr
2015/2016
Facebook:
http://www.facebook.com/UNSSante Mot(s) clés libre(s) : recherche biomédicale, faculté de médecine, intestin, Tolérance immunitaire, acariens, video abstract
|
Accéder à la ressource
|
|
ANARLF 2009 - Pré conditionnement et cerveau
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 26-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PANDIN Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
31ème journée de l’association de Neuro Anesthésie Réanimation de Langue Française (ANARLF). Thérapeutique en neuro anesthésie-réanimation.ANARLF 2009 Nancy – Pré-conditionnement et cerveauRésumé : L'ischémie et l’épilepsie sont les maladies fréquentes avec comme principale conséquence la mort neuronale. Dans ce contexte, il n'y a pas de traitement disponible pour bloquer ou renverser le processus de mort neuronale. Malheureusement les succès en la matière observés en expérimental n’ont pu être reproduits en clinique humaine. C’est pour cela que les pistes d’une protection cérébrale préventive ont été de plus en plus considérées et explorées. Expérimentalement, une agression cérébrale modérée préalable, comme une ischémie limitée sans conséquence en elle-même, permet un mécanisme d’adaptation du cerveau lui-même lorsque survient un épisode ischémique potentiellement mortel. Ce processus est appelé pré-conditionnement ischémique. Ce même type de phénomène est observé lors d’une épilepsie. On parle alors de pré conditionnement épileptique mettant le cerveau dans un réel état de tolérance à l’épilepsie. D'autres situations comme l'hyperthermie ou la dépression cérébrale fonctionnelle diffuse augmentent également la résistance du cerveau aux effets néfastes des dommages ischémiques ou épileptiques. Enfin, ce que l’on appelle une tolérance croisée entre ischémie ou épilepsie et tout autre stimulus a été rapporté et tout particulièrement l’effet bénéfique de certains molécules comme les anesthésiques volatils, permettant de parler alors de pré conditionnement pharmacologique. Ceci ouvre le chemin à la recherche de cibles potentiellement utiles pour la protection cérébrale aiguë aussi bien que pour cette sorte de prévention thérapeutique.Auteur : Pierre PANDIN - Service d’Anesthésie Réanimation Cliniques Universitaires de Bruxelles – Hôpital Erasme Bruxelles BelgiqueSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : ANARLF 2009 Nancy, anesthésie, épilepsie, ischémie, neurologie, pharmacologie, pré-conditionnement, réanimation, tolérance
|
Accéder à la ressource
|
|
Dépendance au sport et dépendances des sportifs
/ Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 25-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MANGON Eric, FERREIRA Anthony, GOURARIER Laurent, AURIACOMBE Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
1ère Journée de Psychopathologie du Sport - Plénière 227 mai 2007 - CAPS / CHU de Bordeaux / Université Victor Segalen Bordeaux 2 IntervenantsE. Mangon (Bordeaux) Dépendance à l’exercice : intérêts et limites de ce concept en cliniqueA. Ferreira (Paris)La dépendance comportementale à l’activité physique et ses relations à la dépendance pharmacologique dans le cadre d’un modèle animalL. Gourarier (Paris)Psychopathologie de l'Usage du Sport Président / Modérateur : Pr Auriacombe (Bordeaux)------------------------------------------------------------------------OrganisationJournée organisée par le CAPS ( Centre d’Accompagnement et de Prévention des Sportifs, basé au Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux), en partenariat avec les équipes Montpelliéraine, Toulousaine et Nantaise. Thème de la Journée" État des lieux des difficultés psychologiques liées à la pratique intensive" Le sport est un facteur reconnu de protection de la santé. Toutefois, il existe des situations dans lesquelles la pratique sportive peut constituer un facteur de vulnérabilité sur le plan sanitaire. Etablir ce lien entre sport et pathologie est aisé pour toute la sphère somatique. Mais cela est beaucoup moins évident pour la sphère psychopathologique où nous nous heurtons à une notion idéologique du sport, source d’équilibre et de santé, au détriment des souffrances individuelles. Cette croyance solidement ancrée dans les imaginations conduit souvent le milieu sportif voire sanitaire à ne pas détecter ni prendre en charge ce type de difficultés. Sur le terrain, la demande et l’offre de soins sont quasi inexistantes. Le sportif, symbole d’équilibre et de santé, peut rencontrer au cours de sa carrière et après des difficultés psychologiques. L’initiative de cette journée est née d’une démarche commune d’équipes de terrain confrontées à cette problématique et souhaitant contribuer à l’émergence du champ de la psychopathologie du sport en France. - Diverses problématiques du sportif : les troubles du comportement alimentaire et de l’image du corps, les diverses dépendances (des produits à l’activité physique), les troubles anxieux (stress de performance), les interfaces entre surentraînement et burn out,… - Les moments particuliers de la trajectoire du sportif : du retentissement d’un investissement précoce, aux périodes de blessure et à la post carrière.- Expériences de prévention de ces difficultés à travers le bilan psychologique systématique. Mot(s) clés libre(s) : addiction, dépendance, neurobiologie, psychopathologie, sevrage, sport, substances psychoactives, tolérance, vulnérabilité
|
Accéder à la ressource
|
|
Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
DUFFULER-VIALLE Hélène
Voir le résumé
Voir le résumé
Le "chant du cygne" : de la prostitution réglementée durant l'entre-deux-guerres / Hélène Duffuler-Vialle. In journée d'étude "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Âge à nos jours" organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014.A partir notamment des archives départementales du Nord et du
Pas-de-Calais, des archives municipales de Lille, Douai, Boulogne, Dunkerque,
Roubaix et des thèses juridiques d’époque, Hélène Duffuler-Vialle étudie
l'évolution des maisons de tolérance durant l'Entre-deux-guerres entre abolitionnisme
et réglementarisme, un régime juridique spécial qui encadre la prostitution et
dont la mise en œuvre et l'application ont été déléguées -du Consulat jusqu’en
1946- à l’autorité municipale. Au cours du XIXe siècle la plupart des maires
adoptent des logiques réglementaristes communes sur l’ensemble du territoire,
il s’agit de l’ « âge d’or » des maisons de tolérance. A la fin du XIXe siècle, le nombre de maisons décline en raison, notamment, de l’extension de la
prostitution clandestine qui s’exerce dans les bars à femmes, de nouvelles
conduites prostitutionnelles et de la critique abolitionniste contre la
prostitution réglementée. Après la Première Guerre mondiale, les maisons de
tolérance semblent trouver un nouveau souffle sur l’ensemble du territoire, du fait de l'afflux d’hommes dans les zones à
reconstruire ou dans les zones militarisées. Le Nord-Pas-de-Calais fait figure
de bastion du réglementarisme. Dans le département du Nord, en 1921, Dunkerque
est, après Paris, la deuxième ville par le nombre de maisons closes. Dans le
Pas-de-Calais, le recours à de la main d'œuvre étrangère dans les usines et les
mines explique la réorganisation et la multiplication des maisons de tolérance. Au niveau national, face
aux critiques abolitionnistes et aux positions du Comité de la traite des
femmes et des enfants de la Société des Nations, une remise en question du
réglementarisme se dégage et une tendance prohibitionniste semble poindre. Les
projets et propositions de loi, soit abolitionnistes, soit réglementaristes, tentent
d'instaurer le délit de contamination, le délit de racolage et des mesures
sanitaires coercitives, sans prévoir toutefois le délit de prostitution des
femmes majeures consentantes. Ne parvenant pas à se positionner entre
abolitionnisme et réglementarisme, le législateur reste silencieux. Les
circulaires ministérielles sont également ambivalentes car certaines créent des
standards afin que les règlements municipaux puissent parer les critiques
abolitionnistes et d’autres interdisent l’ouverture de nouvelles maisons. Mot(s) clés libre(s) : France (1919-1939), prostitution (droit), maison de tolérance
|
Accéder à la ressource
|
|
Quand des erreurs se produisent dans les supercalculateurs
/ Inria / Interstices
/ 10-02-2020
/
Benoit Anne, Jongwane Joanna
Voir le résumé
Voir le résumé
La France vient de se doter du supercalculateur baptisé Jean Zay, l'un des plus puissants d'Europe, offrant des capacités de calculs inimaginables jusqu'à présent pour la recherche française. Mais saviez-vous que des pannes peuvent se produire chaque jour dans ces machines surpuissantes ? Anne Benoit s'intéresse à cette problématique et nous explique les enjeux de ses travaux dans cet épisode du podcast Interstices. Mot(s) clés libre(s) : supercalculateur, calcul haute performance, tolérance aux pannes, modélisation, optimisation, fréquence optimale de sauvegarde
|
Accéder à la ressource
|
|
Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
ARTISTES
El Hadj Kane & Pape Omar Pouye
ACTEURS
El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré
COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain
Epelboin
CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin
REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France.
RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet.
L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder.
Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française.
Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle.
Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault
SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes
et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans
les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes
compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes.
Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui
en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des
sons, des odeurs, des émotions datant de
leur jeunesse.
Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits
de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très
populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles
et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des
lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis
dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que
véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25
passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la
galerie ou marche-pied..
Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du
Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones,
des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont
permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque
véhicule cumulant des millions de kilomètres.
Au Sénégal, ils ont été également investis de
générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base
de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices,
en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets,
écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre
les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes
et d’accidents.
Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques
sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes
dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus
aux touristes.
Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du
Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de
renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars
rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et
asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au
Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis. Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|