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Guerre et diplomatie : victoire militaire, défaite diplomatique ?
/ UTLS - la suite
/ 14-02-2002
/ Canal-U - OAI Archive
VAISSE Maurice
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Victoire militaire, défaite diplomatique. 0n peut y voir un constat objectif au regard des résultats positifs de l'armée française et de l'issue négative du conflit pour la France. Mais comment ne pas déceler dans cette opposition des termes une intention polémique. Aux yeux d'une partie de l'armée, des pieds noirs, la victoire fut manquée parce que le chef de l'état n'en a pas voulu ainsi. La guerre gagnée sur le terrain fut mise à mal par une politique ambiguë poussant les Algériens à se rallier au FLN et à préférer l'indépendance au maintien de la France en Algérie.Il y a effectivement un paradoxe, comment une victoire militaire s'est-elle transformée en défaite diplomatique ? Mais d'abord, y-a-t-il eu victoire militaire et dans quelle mesure peut-on parler de défaite diplomatique ? Pour y voir plus clair, il convient d'analyser la guerre d'Algérie, non pas comme une guerre classique, mais bien comme une guerre de décolonisation. Hors dans un tel conflit, c'est la hantise d'une défaite qui a plané au-dessus de la France après l'Indochine et Dien Bien Phu, après le retrait de la Tunisie et du Maroc. Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), armée française, colonies françaises, FLN, front de libération nationale (algérie), guerre d'algérie, guerre d'indépendance, harkis, relations france-algérie, torture
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063 - La torture durant la guerre d’Algérie dans l’actualité (2000-2005)
/ ENS-LSH/SCAM
/ 21-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM
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une « régénération » de l’espace public ? par Abdelhafid Hammouche (Université Lyon 2)Colloque pour une histoire critique et citoyenne - le cas de l'histoire franco-algérienne C’est par une approche sociologique que nous souhaitons interroger dans cette communication la mise en débat dans l’actualité récente de la torture durant la guerre d’Algérie et de la colonisation. Nous nous appuierons sur deux types de matériaux : un échantillon d’articles de journaux, notamment du journal Le Monde - de 2000 à 2005 -, et des données saisies lors de recherches précédentes sur l’engagement associatif dans les associations de la région lyonnaise liées à l’immigration - des années 1960 à aujourd’hui. Nous mettrons en discussion l’hypothèse d’une « régénération » de l’espace public afin de tenter d’éclairer l’enjeu que représente cette période historique dans l’établissement d’une mémoire collective.La référence au passé et la définition de celui-ci sont considérées comme des enjeux relatifs à la construction sociale de cette mémoire. Ainsi la manière dont les acteurs tendent à la définir revient d’une part à juger le passé et les positions des parties prenantes au conflit, et d’autre part à définir un vivre ensemble actuel et à venir. La régénération se définit comme un processus de mise en discussion publique de pratiques telle que la torture, mais dans la perspective d’un dépassement sans oubli. Elle équivaut à une tentative d’assainissement de l’espace public. On peut penser, en effet, qu’il s’agit de la sorte de se dégager sans reniement des « encombrements » légués par la colonisation - comme la négation du colonisé et la déconsidération de l’immigré ou les traumatismes de la guerre - afin de permettre des repositionnements des différentes parties prenantes de l’épisode colonial - notamment les rapatriés, les harkis et les immigrés, puis les enfants de ces trois populations - pour une participation « pleine » et « entière » à la société française. Cette régénération n’est pas pour autant le fait de ces seuls derniers, mais est bien à l’œuvre depuis l’engagement de multiples acteurs agissant pour certains depuis les années 1950 - militants politiques, historiens, journalistes, etc.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation: Pascal Grzywacz, Image: Sébastien Boudin, Son: Xavier comméat, Encodage-Diffusion Web: Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962 - guerre d'algérie), colonisation, opinion publique, torture
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L'armée, la torture et la République
/ UTLS - la suite
/ 07-03-2002
/ Canal-U - OAI Archive
BRANCHE Raphaëlle
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L'existence de la torture pendant la guerre d'Algérie ne peut être niée. Cette pratique de l'armée française sur le territoire algérien est une chose avérée. Dès l'époque de la guerre des témoignages existent sur le sujet, des rapports sont communiqués régulièrement aux responsables politiques pour les en informer. On s'attachera donc moins à la pratique, mais plus à la manière dont cette violence interdite par la loi, interdite par le droit a été prise en compte par les hommes politiques français pendant toute la période. Comment les hommes politiques français étaient informés de la torture et que savaient-ils exactement? Quelles ont été leurs attitudes et peut-on repérer une évolution au court de la guerre ? Il faut se demander si l'armée, instrument dans les mains des politiques, a été incitée à mettre un terme aux violences illégales développées en son sein ou si elle a, au contraire, été encouragé à les continuer. Et dans ce cas, qu'elles en ont été les conditions. L'analyse de cette attitude ne peut pas se focaliser exclusivement sur la torture. Pour être bien comprises, ces violences doivent être replacées dans le contexte plus général des violences caractéristiques de cette guerre, coté français comme coté algérien. Mot(s) clés libre(s) : algérie (1954-1962), armée française (algérie), crimes de guerre, guerre d'algérie, guerre d'indépendance, politique et guerre, torture, violences
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La torture - Florence Bellivier
/ UTLS au lycée
/ 10-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BELLIVIER Florence
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Une conférence de l'UTLS au lycéepar Florence BellivierLycée Hélène Boucher (Paris) Mot(s) clés libre(s) : justice, torture
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