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Clonage reproductif, clonage thérapeutique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 28-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
RENARD Jean-Paul
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Depuis l'annonce, en 1997 de la naissance du mouton Dolly, on a pu obtenir - chez quatre espèces, le mouton, la vache, la chèvre et la souris - des jeunes par clonage de cellules prélevées sur des animaux adultes. L'efficacité de la technique reste encore faible. Le taux élevé de mortalité périnatale et foetale tardive, environ 40% des gestations établies, traduit l'existence d'effets épigénétiques à long terme induits par les perturbations précoces de l'environnement du noyau zygotique. Le clonage doit aujourd'hui être considéré, avant tout, comme une voie de recherche pour l'étude de la plasticité fonctionnelle du noyau des cellules différenciées. La maîtrise du clonage animal offrirait de nombreuses perspectives d'applications pour l'expérimentation animale, et aussi l'obtention d'animaux transgéniques issus de noyaux modifiés lors de la culture des cellules donneuses. Le non recours au clonage reproductif s'impose aujourd'hui chez l'homme, non seulement par simple précaution - compte tenu des cas de syndromes létaux observés chez les animaux clonés - mais aussi pour des raisons éthiques. L'obtention à partir de blastocystes humains issus du clonage, de cellules embryonnaires multipoptentes qui seraient ensuite différenciées en culture ouvrirait la voie au développement des autogreffes pour corriger des défauts tissulaires. Ce clonage dit thérapeutique et impliquant l'utilisation de très jeunes embryons à des fins de recherche, n'est toutefois pas prêt de devenir réalité. Mot(s) clés libre(s) : bioéthique, clonage, clonage reproductif, clonage thérapeutique, clone, Dolly, embryogénèse, épigénétique, éthique, génétique, transgénèse
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Risques et intérêts des aliments issus d'OGM
/ UTLS au lycée, UTLS - la suite
/ 22-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
PASCAL Gérard
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Une conférence de L'UTLS au Lycéeavec Pascal GérardLycée Simone de Beauvoir Garges les Gonnesses Mot(s) clés libre(s) : biotechnologie, génie génétique, nutrition humaine, OGM, organisme génétiquement modifié, plante transgénique, risque alimentaire, sécurité alimentaire, transgénèse
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Transgenèse, mutagenèse et génomique fonctionnelle chez les mammifères
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 29-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
METZER Daniel
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Conférence du 29 janvier 2000 par Daniel Metzer. La connaissance des génomes de l'homme et de la souris sera acquise dans moins de cinq ans. Leur comparaison révélera l'existence de dizaines de milliers de gènes, jusqu'alors inconnus, dont la fonction devra être établie. Cela nécessitera des études non seulement au niveau moléculaire et cellulaire, mais aussi à des niveaux de complexité supérieurs représentés par les tissus et organes, et finalement l'animal et l'homme dans leur globalité. La souris est un excellent modèle pour définir les fonctions des gènes humains car elle présente de grandes similitudes génétiques, immunologiques, reproductives, physiologiques et pathologiques avec l'homme. De plus, on dispose actuellement d'outils performants pour manipuler le génome de cet animal. Il est en effet possible, grâce à la transgenèse, d'insérer un gène normal ou modifié dans son génome, et de l'exprimer sélectivement à un endroit donné. On peut également modifier ou altérer un gène défini par recombinaison homologue, et induire des mutations somatiques de ce gène dans des cellules ou tissus choisis, et à un moment défini de la vie de l'animal. L'ensemble de ces techniques, récemment mises au point, permettra d'approfondir les études de la fonction des gènes chez la souris, et d'établir plus facilement des "modèles souris" de maladies humaines. De plus, les techniques de mutagenèse utilisées chez la souris auront des applications en thérapie génique. En effet, il est envisageable de remplacer des gènes mutés, ou de diriger l'expression de transgènes, dans des cellules somatiques déficientes prélevées sur des malades, et de les réinjecter, après la modification génétique, à ces patients. Ainsi, la transgenèse, la mutagenèse et la génomique fonctionnelle devraient avoir de nombreuses retombées positives en santé humaine. Mot(s) clés libre(s) : ADN, gène, génie génétique, génome, génotype, mutagénèse, mutation, phénotype, recombinaison homologue, traduction, transcription, transgénèse, vecteur
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La transgenèse et ses applications
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 30-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
HOUDEBINE Louis-Marie
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La découverte de la structure de l'ADN et du code génétique ainsi que la mise au point des techniques du génie génétique ont logiquement conduit à la modification du patrimoine génétique des cellules et des organismes entiers. Celle-ci est obtenue par le transfert direct de gènes isolés natifs ou modifiés, à l'aide de techniques qui sont adaptées aux différentes espèces concernées. La transgenèse consiste, soit à ajouter une information génétique étrangère, soit à remplacer très précisément un gène endogène par un gène étranger. Ces modifications génétiques sont définitives et elles conduisent à l'obtention de lignées d'animaux ou de plantes transgéniques. Mot(s) clés libre(s) : ADN, alicament, code génétique, évolution, gène, génie génétique, génome, génotype, OGM, thérapie génique, transfert de gènes, transgenèse
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La transgenèse grâce à Agrobacterium tumefaciens
/ BioMedia-UPMC
/ 13-12-2010
/ Unisciel
Furelaud Gilles, Weidner Marie
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La transgenèse consiste à ajouter un nouveau gène dans un organisme. Chez les végétaux, plusieurs techniques de transgénèse ont été développées. La possibilité de régénérer une plante entière à partir de quelques cellules végétales est d'un grand intérêt lors de ces transgénèses.
Une des techniques les plus utilisées en transgenèse végétale est l'utilisation d'une bactérie du sol, Agrobacterium tumefaciens. Mot(s) clés libre(s) : Transgénèse, bactérie, vecteur, plasmide, Génétique
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Pourquoi un antibiotique permet de sélectionner une plante transgénique ?
/ BioMedia-UPMC
/ 03-02-2011
/ Unisciel
Camus Gilles
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Dans le protocole de transgenèse d'un organisme végétal, la sélection des cellules ayant intégré le transgène s'effectue sur un milieu de culture contenant un antibiotique, en tirant parti du fait que le vecteur comporte un gène de résistance à l'antibiotique utilisé en plus du gène d'intérêt. Dans ce cadre, seules les cellules ayant intégré le transgène pourront se développer en présence de l'antibiotique, et par la suite donner une nouvelle plante. Mot(s) clés libre(s) : Sélection, Transgénèse, Antibiotiques
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