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Cafés des Sciences Nancy 2006 - Catastrophes naturelles : notre planète se rebiffe ?
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 09-05-2006
/ Canal-U - OAI Archive
TISOT Jean Paul, MASROURI Farimah, GRANDPEIX Jean-Yves, KLUSKA Serge
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Résumé : Le programme des Nations Unies pour l'environnement a annoncé lors de la Conférence de Montréal (janvier 2006) que l'année 2005 avait battu une série de records climatiques et que les catastrophes naturelles d'origine climatique n'ont jamais coûté autant d'argent. Tsunami, cyclones, tremblements de terre, volcans... chaque semaine, une région du monde est touchée par une catastrophe naturelle. Yen a-t-il plus qu’avant ? N’est-ce qu'une étape dans l'évolution de la planète ou doit-on y voir une conséquence des activités industrielles qui se développent sans cesse ? Intervenants :Farimah Masrouri, Professeur à l'Ecole Nationale Supérieure de Géologie, INPL - NancyJean-Paul Tisot ,ancien directeur de l' l'Ecole Nationale Supérieure de Géologie, INPL - NancySerge Kluska, Service départemental de Météo France - Tomblaine Jean-Yves Grandpeix , Laboratoire de Météorologie Dynamique - CNRS / Université Paris 6 SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy Université, effet de serre, modèle climatique, réchauffement climatique, tremblement de terre
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Sables mouvants
/ Jean-François TERNAY
/ 01-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
TERNAY Jean-François
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Démonstration de la fluidisation d'un sable gorgé d'eau sous l'effet dune vibration. Arnaud LEMAISTRE, médiateur scientifique au département sciences de la Terre du Palais de la découverte, montre sur une maquette que le « sable mouvant » ainsi obtenu perd toute cohésion. Une maison, modélisée par une petite maquette en bois, se couche avec beaucoup de facilité. Ceci ne se produit pas pour un sable sec (tant que l'amplitude des vibrations n'est pas trop grande). Ces modèles aident à comprendre les mécanismes des « effets de site » sur des sols sableux ou argileux qui ont conduit à des catastrophes. Par exemple, en 1985 à Mexico, des bidonvilles ont été anéantis parce qu'ils étaient installés sur des déblais qui se sont fluidisés à la suite d'une secousse sismique importante causant un grand nombre de victimes.GénériqueRéalisation : Jean-François Ternay Image : Luc Ronat, Claude Delhaye Son : Christophe Gombert Production CNRS Images/media Diffuseur : CNRS Diffusion vidéothèque, photothèque (lhoste@cnrs-bellevue.fr) © CNRS Images/media - 2003 Mot(s) clés libre(s) : effet de site, géotechnique, liquéfaction de sol, mécanique des sols, milieu granulaire, sable mouvant, saturation en eau, secousse sismique, tremblement de terre
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De la dérive des continents à la tectonique des plaques
/ Mission 2000 en France
/ 15-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LE PICHON Xavier
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Lorsque j'ai commencé ma carrière de chercheur en 1959, nous ne connaissions même pas l'existence de la dorsale médio-océanique, la plus grande structure de notre planète puisqu'elle fait 60 000 kilomètres de long. L'océan était considéré comme au moins aussi âgé que les continents. Or nous avons découvert qu'il était trente fois plus jeune. Nos connaissances sur la partie de la Terre recouverte par l'eau étaient donc embryonnaires. C'est l'exploration des océans qui a conduit à élaborer dans les années soixante la tectonique des plaques proposant pour la première fois un modèle quantitatif cohérent de l'évolution de notre planète. Paradoxalement, ce modèle, encore très schématique, s'appuyait sur des données entièrement océaniques. Aujourd'hui, grâce aux techniques géodésiques spatiales, la tectonique des plaques progresse très rapidement à partir de données concernant cette fois exclusivement les continents. Ce n'est plus simplement le mouvement des grandes plaques qui est déterminé. On obtient désormais la description détaillée des déformations continues qui affectent les frontières de plaque et qui se traduisent par l'activité sismique. On atteint ainsi une compréhension bien meilleure de ce que l'on appelle le cycle sismique, cycle qui amène le retour semi-périodique des très grands séismes. Mot(s) clés libre(s) : convection, dérive des continents, dorsale, géodésie, manteau terrestre, rift, séisme, subduction, tectonique des plaques, Terre, tremblement de terre
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Sous le plus haut plateau du monde
/ Jean-François TERNAY, C.N.R.S Images, Cité des Sciences et de l'Industrie
/ 20-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GRAPPIN Christiane, HIRN Alfred, de VOOGD Béatrice
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En septembre 1998, une cinquantaine de chercheurs et de techniciens chinois et français sont réunis à Gonghe, petite bourgade au nord du plateau tibétain, pour une des plus vastes opérations d'études sismologiques organisées en Chine : étudier la croute terrestre sur un trajet long de près de 1000 km. Dans des conditions difficiles, les deux équipes vont placer 240 stations sismiques tous les 5 km entre Gonghe et Yushu. Ces enregistreurs vont mémoriser les ondes produites par des tirs de plusieurs tonnes d'explosifs enterrés par forage. Parallèlement a lieu une autre expérience de sismologie : il s'agit d'enregistrer les ondes sismiques naturelles engendrées par les tremblements de terre ayant lieu n'importe où à la surface du globe. La réunion de ces deux expériences va permettre d'obtenir une image plus fine de l'ensemble croute terrestre-manteau supérieur. Le premier tir est parfaitement réussi. Le lendemain, l'équipe contrôle le bon enregistrement des signaux sur les sismomètres. L'analyse des résultats a lieu au retour à Paris. La corrélation entre toutes les ondes enregistrées permet de préciser la position du MOHO (l'interface entre la croute et le manteau), et de commencer à dessiner les hétérogénéités de la croute.GénériqueAuteurs : Christiane GRAPPIN, Alfred HIRN et Béatrice de VOOGD Réalisation : Jean-François TERNAY Production : CNRS Images media-FEMIS-CICT/Cités des Sciences et de l'Industrie Diffusion : CNRS Diffusion Mot(s) clés libre(s) : croûte terrestre, discontinuité de Mohorovicic, géologie, manteau supérieur, Moho, onde sismique, sismologie, Tibet, tremblement de terre
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Le risque sismique en France
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 18-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
CAROZZA Jean-Michel, VIDAL Franck
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Il existe, dans l'hexagone, mais surtout dans les Dom Tom un risque sismique réel en France. A travers les principales définitions de la sismicité, mais également à travers l'exposé des méthodes géomorphologiques de repérage des traces de séismes, l'auteur expose le concept de risque sismique et en particulier le rôle du chercheur en géographie dans la détection, la prévision et la prévention des risques de tremblements de terre en France aujourd'hui. (entretien réalisé le 18 décembre 2006)GénériqueInterview : Franck Vidal - Réalisation et Post production : Bruno Bastard - Cadreurs : Claire Sarazin et Nathalie Michaud - Production et moyens techniques : CAM - Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : construction parasismique, échelle de richter, géomorphologie, gestion des risques, paléosismologie, prévention, prévision, risque naturel, séisme, tremblement de terre, volcanisme, zone sismique
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Physique et sciences du globe
/ UTLS - la suite
/ 13-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
CAMPILLO Michel
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La Terre est une planète vivante dont l'intérieur garde de nombreux secrets. Comment voir sous la surface ? Les ondes sismiques sont les seules ondes qui se propagent jusqu'au centre de la Terre. Elles permettent de réaliser des images des structures profondes. En utilisant des méthodes qui se rapprochent de celles de l'imagerie médicale, ces images permettent d'explorer des problèmes fondamentaux de la physique de la Terre comme la convection dans le manteau, qui conditionne les grands traits de la géologie de la surface, ou l'existence du champ magnétique. Dans la plupart des cas les analyses des sismologues s'appuient sur des ondes dont ils peuvent décrire précisément le trajet et dont ils connaissent bien la source. Ces ondes ne sont qu'une faible partie du signal enregistré en continu par les stations sismologiques modernes. La physique de la diffusion multiple offre des possibilités nouvelles pour exploiter ces masses importantes de données. En particulier, le bruit, cette agitation permanente de la surface du sol qui trouve principalement son origine dans les couplages avec les océans, peut être utilisé en l'absence de séisme pour déduire les sismogrammes qui seraient observés si un séisme se produisait exactement à une des stations d'enregistrement. Une nouvelle imagerie passive émerge qui permettra d'affiner nos images de l'intérieur de la Terre et donc d'y mieux cerner les processus physiques à l'origine du monde qui nous entoure. Mot(s) clés libre(s) : champs diffus, corrélation, fluctuation-dissipation, géophysique, manteau terrestre, onde de surface, onde de volume, onde sismique, séisme, sismogramme, sismologie, Terre, tremblement de terre
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