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Peter Neumann compare les scènes djihadistes en Allemagne et en Grande-Bretagne, en pointant les spécificités de chaque pays et en les comparant à leur tour au cas français. Les conditions socio-économiques (chômage, antécédents criminels, migrations, niveau d'études, etc.) des musulmans recrutés pour le djihad, les politiques extérieures et internes (laïcité française par exemple) ainsi que le legs colonial de chaque pays, mais aussi le développement de l'islam des pays d'origines des musulmans (Turquie, Pakistan par exemple) ayant migré dans ces pays, sont autant de facteurs qui expliquent certaines des différences dans leur rapport au djihadisme.
Peter Neumann compare les scènes djihadistes en Allemagne et en Grande-Bretagne, en pointant les spécificités de chaque pays et en les comparant à leur tour au cas français. Les conditions socio-économiques (chômage, antécédents criminels, migrations, niveau d'études, etc.) des musulmans recrutés pour le djihad, les politiques extérieures et internes (laïcité française par exemple) ainsi que le legs colonial de chaque pays, mais aussi le développement de l'islam des pays d'origines des musulmans (Turquie, Pakistan par exemple) ayant migré dans ces pays, sont autant de facteurs qui expliquent certaines des différences dans leur rapport au djihadisme.
Peter Neumann compare les scènes djihadistes en Allemagne et en Grande-Bretagne, en pointant les spécificités de chaque pays et en les comparant à leur tour au cas français. Les conditions socio-économiques (chômage, antécédents criminels, migrations, niveau d'études, etc.) des musulmans recrutés pour le djihad, les politiques extérieures et internes (laïcité française par exemple) ainsi que le legs colonial de chaque pays, mais aussi le développement de l'islam des pays d'origines des musulmans (Turquie, Pakistan par exemple) ayant migré dans ces pays, sont autant de facteurs qui expliquent certaines des différences dans leur rapport au djihadisme. Peter Neumann compare les scènes djihadistes en Allemagne et en Grande-Bretagne, en pointant les spécificités de chaque pays et en les comparant à leur tour au cas français. Les conditions socio-économiques (chômage, antécédents criminels, migrations, niveau d'études, etc.) des musulmans recrutés pour le djihad, les politiques extérieures et internes (laïcité française par exemple) ainsi que le legs colonial de chaque pays, mais aussi le développement de l'islam des pays d'origines des musulmans (Turquie, Pakistan par exemple) ayant migré dans ces pays, sont autant de facteurs qui expliquent certaines des différences dans leur rapport au djihadisme.
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Ressource documentaire
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How are neural, behavioral and social scales coordinated in real time so as to make possible the emergenceof social cognition? Answering this question requires to study the dynamics of coordination in real humaninteractions. However, even at the simplest dyadic scale, methodological and theoretical challenges remain.Several theories have been proposedto infer the link between neurobiology and social psychology, but the dynamical components of humaninteraction are still poorly explored because of the difficulty to record simultaneously the brain activity fromseveral subjects. This is the goal of hyperscanning methodology. I will first present how the combination ofsituated social paradigms with hyperscanning allowed to demonstrate that states of interactional synchronyat the behavioral level correlate with the emergence of interindividualsynchronization at the brain level(Dumas et al. PLoS ONE 2010). These interbrainsynchronization appeared to reflect in different frequencybands different aspects of social interaction, such as interactional synchrony, anticipation of other’s actionsand coregulationof turntaking.Then, I will present how such phenomena can be simulated with biologicallyinspired numerical simulations (e.g. using direct measures of brain connectivity with DTI) and how thehuman connectome facilitates interindividualsynchronizations and thus may partly account for ourpropensity to generate dynamical couplings with others (Dumas et al. PLoS ONE 2012). Finally, I willpresent another tool called the Human Dynamic Clamp (HDC) (Dumas et al. PNAS 2014). This HDCintegrates equations of human motion at the neurobehavioral level. A human and a “virtual partner” are thenreciprocally coupled in realtime,which allow controlling the dynamical parameters of the interaction whilemaintaining the continuous flow of interaction. This technique scaled up to the level of human behavior theidea of dynamic clamps used to study the dynamics of interactions between neurons. Combininghumanhumanand humanmachineinteractions thus presents new approaches for investigating theneurobiological mechanisms of social interaction, and for testing theoretical/computational modelsconcerning the dynamics at the neural, behavioral and social scales.
How are neural, behavioral and social scales coordinated in real time so as to make possible the emergenceof social cognition? Answering this question requires to study the dynamics of coordination in real humaninteractions. However, even at the simplest dyadic scale, methodological and theoretical challenges remain.Several theories have been proposedto infer the link between neurobiology and social psychology, but the dynamical components of humaninteraction are still poorly explored because of the difficulty to record simultaneously the brain activity fromseveral subjects. This is the goal of hyperscanning methodology. I will first present how the combination ofsituated social paradigms with hyperscanning allowed to demonstrate that states of interactional synchronyat the behavioral level correlate with the emergence of interindividualsynchronization at the brain level(Dumas et al. PLoS ONE 2010). These interbrainsynchronization appeared to reflect in different frequencybands different aspects of social interaction, such as interactional synchrony, anticipation of other’s actionsand coregulationof turntaking.Then, I will present how such phenomena can be simulated with biologicallyinspired numerical simulations (e.g. using direct measures of brain connectivity with DTI) and how thehuman connectome facilitates interindividualsynchronizations and thus may partly account for ourpropensity to generate dynamical couplings with others (Dumas et al. PLoS ONE 2012). Finally, I willpresent another tool called the Human Dynamic Clamp (HDC) (Dumas et al. PNAS 2014). This HDCintegrates equations of human motion at the neurobehavioral level. A human and a “virtual partner” are thenreciprocally coupled in realtime,which allow controlling the dynamical parameters of the interaction whilemaintaining the continuous flow of interaction. This technique scaled up to the level of human behavior theidea of dynamic clamps used to study the dynamics of interactions between neurons. Combininghumanhumanand humanmachineinteractions thus presents new approaches for investigating theneurobiological mechanisms of social interaction, and for testing theoretical/computational modelsconcerning the dynamics at the neural, behavioral and social scales.
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Ressource documentaire
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Lorenzo Vidino compare le djihadisme aux États-Unis et en Europe. Le problème qui est mineur aux États-Unis : le facteur démographique et la meilleure intégration des musulmans dans la société les rend certes plus hermétiques à la radicalisation, mais il faut nuancer le propos puisque plusieurs individus "radicalisés" en Europe ou aux États-Unis sont bien intégrés. De plus, aux États-Unis, il n'existe pas de filières comme en Europe, les salafistes non-djihadistes ne se développant pas autant qu'en Europe, et les recruteurs n'ayant pas la même facilité à rassembler et à s'établir en intermédiaires via Internet. La diversité culturelle nord-américaine interroge éégalement la place des musulmans afro-américains dans la radicalisation djihadiste : ceux-ci sont très minoritaires, ils n'ont pas de discours politisé ou violent sur l'islam, anti-américain ou pro-syrien. De même, on observe très peu de radicalisations en prison des afro-américains et malgré les conversions fréquentes en prison, beaucoup délaissent l'islam en en sortant. Enfin, l'absence d'un passé colonial est un facteur non-négligeable pour expliquer cette situation, même s'il faut noter aussi qu'un "sentiment anti-islam" plus général se développe et est relayé par certains intellectuels et hommes politiques néo-conservateurs en cette période électorale.
Lorenzo Vidino compare le djihadisme aux États-Unis et en Europe. Le problème qui est mineur aux États-Unis : le facteur démographique et la meilleure intégration des musulmans dans la société les rend certes plus hermétiques à la radicalisation, mais il faut nuancer le propos puisque plusieurs individus "radicalisés" en Europe ou aux États-Unis sont bien intégrés. De plus, aux États-Unis, il n'existe pas de filières comme en Europe, les salafistes non-djihadistes ne se développant pas autant qu'en Europe, et les recruteurs n'ayant pas la même facilité à rassembler et à s'établir en intermédiaires via Internet. La diversité culturelle nord-américaine interroge éégalement la place des musulmans afro-américains dans la radicalisation djihadiste : ceux-ci sont très minoritaires, ils n'ont pas de discours politisé ou violent sur l'islam, anti-américain ou pro-syrien. De même, on observe très peu de radicalisations en prison des afro-américains et malgré les conversions fréquentes en prison, beaucoup délaissent l'islam en en sortant. Enfin, l'absence d'un passé colonial est un facteur non-négligeable pour expliquer cette situation, même s'il faut noter aussi qu'un "sentiment anti-islam" plus général se développe et est relayé par certains intellectuels et hommes politiques néo-conservateurs en cette période électorale.
Lorenzo Vidino compare le djihadisme aux États-Unis et en Europe. Le problème qui est mineur aux États-Unis : le facteur démographique et la meilleure intégration des musulmans dans la société les rend certes plus hermétiques à la radicalisation, mais il faut nuancer le propos puisque plusieurs individus "radicalisés" en Europe ou aux États-Unis sont bien intégrés. De plus, aux États-Unis, il n'existe pas de filières comme en Europe, les salafistes non-djihadistes ne se développant pas autant qu'en Europe, et les recruteurs n'ayant pas la même facilité à rassembler et à s'établir en intermédiaires via Internet. La diversité culturelle nord-américaine interroge éégalement la place des musulmans afro-américains dans la radicalisation djihadiste : ceux-ci sont très minoritaires, ils n'ont pas de discours politisé ou violent sur l'islam, anti-américain ou pro-syrien. De même, on observe très peu de radicalisations en prison des afro-américains et malgré les conversions fréquentes en prison, beaucoup délaissent l'islam en en sortant. Enfin, l'absence d'un passé colonial est un facteur non-négligeable pour expliquer cette situation, même s'il faut noter aussi qu'un "sentiment anti-islam" plus général se développe et est relayé par certains intellectuels et hommes politiques néo-conservateurs en cette période électorale. Lorenzo Vidino compare le djihadisme aux États-Unis et en Europe. Le problème qui est mineur aux États-Unis : le facteur démographique et la meilleure intégration des musulmans dans la société les rend certes plus hermétiques à la radicalisation, mais il faut nuancer le propos puisque plusieurs individus "radicalisés" en Europe ou aux États-Unis sont bien intégrés. De plus, aux États-Unis, il n'existe pas de filières comme en Europe, les salafistes non-djihadistes ne se développant pas autant qu'en Europe, et les recruteurs n'ayant pas la même facilité à rassembler et à s'établir en intermédiaires via Internet. La diversité culturelle nord-américaine interroge éégalement la place des musulmans afro-américains dans la radicalisation djihadiste : ceux-ci sont très minoritaires, ils n'ont pas de discours politisé ou violent sur l'islam, anti-américain ou pro-syrien. De même, on observe très peu de radicalisations en prison des afro-américains et malgré les conversions fréquentes en prison, beaucoup délaissent l'islam en en sortant. Enfin, l'absence d'un passé colonial est un facteur non-négligeable pour expliquer cette situation, même s'il faut noter aussi qu'un "sentiment anti-islam" plus général se développe et est relayé par certains intellectuels et hommes politiques néo-conservateurs en cette période électorale.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
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Les catégories grammaticales dans la construction du bilinguisme (avec focus sur la catégorie de la personne
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
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Dans le cadre du projet LGIDF, ce projet a pour but d'archiver et rendre accessibles à un public large,
en français, des informations sur les langues parlées en
(Ile-de-)France, tout particulièrement, mais non exclusivement, les langues de l'immigration récente.
Le turc : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs du turc.
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en français, des informations sur les langues parlées en
(Ile-de-)France, tout particulièrement, mais non exclusivement, les langues de l'immigration récente.
Le turc : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs du turc.
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en français, des informations sur les langues parlées en
(Ile-de-)France, tout particulièrement, mais non exclusivement, les langues de l'immigration récente.
Le turc : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs du turc. Dans le cadre du projet LGIDF, ce projet a pour but d'archiver et rendre accessibles à un public large,
en français, des informations sur les langues parlées en
(Ile-de-)France, tout particulièrement, mais non exclusivement, les langues de l'immigration récente.
Le turc : Quelques contrastes pertinents pour l'acquisition du Français Langue Seconde par des locuteurs du turc.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
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Language in immigration contexts
Evénement organisé avec le soutien de / Workshop supported by
UMR 7023 SFL/Université Paris 8-CNRS, MSH PN
GDRI SLAT (Second Language Acquisition and Teaching)
Language in immigration contexts
Evénement organisé avec le soutien de / Workshop supported by
UMR 7023 SFL/Université Paris 8-CNRS, MSH PN
GDRI SLAT (Second Language Acquisition and Teaching)
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Ressource documentaire
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