Titre
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Description
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Date
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Format
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Les fouilles du Lac de Capelles à
Port-la-Nautique, entreprise dans le cadre du PCR sur les ports antiques
de Narbonne, ont permis la découverte d'un vivier d'agrément
exceptionnel d'époque augustéenne classé monument historique en 2013.
Cet ensemble unique en dehors des lieux de villégiature habituel de
l'aristocratie romaine en Italie est composé d'un bassin circulaire de
65 m de diamètre au centre duquel émerge un bâtiment quadrangulaire
ayant fait office de triclinium estival. Un bassin rectangulaire à
abside cuvelé occupe la partie septentrionale du bâtiment central. Il a
été comblé volontairement par la destruction de la superstructure
monumentale piégeant les poissons conservés dans le vivier et favorisant
une conservation parfaite du matériel archéologique, notamment une
vanne à glissière en bois et un casier de conservation des huîtres avant
consommation. L'ensemble a été édifié aux alentours de 30 av. J.-C. et
détruit vers 10 apr. J.-C. L'étude pluridisciplinaire du vivier a permis
de préciser le contexte paléoenvironnemental dans lequel il s'est
inscrit et de mettre en évidence une gestion précise de la salinité et
de la température de l'eau. La découverte et l'analyse de cette
structure apporte des éléments nouveaux pour la compréhension du
quartier portuaire d'époque augustéenne à Port-la-Nautique connu par les
fouilles depuis le début du XXe s.
Les fouilles du Lac de Capelles à
Port-la-Nautique, entreprise dans le cadre du PCR sur les ports antiques
de Narbonne, ont permis la découverte d'un vivier d'agrément
exceptionnel d'époque augustéenne classé monument historique en 2013.
Cet ensemble unique en dehors des lieux de villégiature habituel de
l'aristocratie romaine en Italie est composé d'un bassin circulaire de
65 m de diamètre au centre duquel émerge un bâtiment quadrangulaire
ayant fait office de triclinium estival. Un bassin rectangulaire à
abside cuvelé occupe la partie septentrionale du bâtiment central. Il a
été comblé volontairement par la destruction de la superstructure
monumentale piégeant les poissons conservés dans le vivier et favorisant
une conservation parfaite du matériel archéologique, notamment une
vanne à glissière en bois et un casier de conservation des huîtres avant
consommation. L'ensemble a été édifié aux alentours de 30 av. J.-C. et
détruit vers 10 apr. J.-C. L'étude pluridisciplinaire du vivier a permis
de préciser le contexte paléoenvironnemental dans lequel il s'est
inscrit et de mettre en évidence une gestion précise de la salinité et
de la température de l'eau. La découverte et l'analyse de cette
structure apporte des éléments nouveaux pour la compréhension du
quartier portuaire d'époque augustéenne à Port-la-Nautique connu par les
fouilles depuis le début du XXe s.
Les fouilles du Lac de Capelles à
Port-la-Nautique, entreprise dans le cadre du PCR sur les ports antiques
de Narbonne, ont permis la découverte d'un vivier d'agrément
exceptionnel d'époque augustéenne classé monument historique en 2013.
Cet ensemble unique en dehors des lieux de villégiature habituel de
l'aristocratie romaine en Italie est composé d'un bassin circulaire de
65 m de diamètre au centre duquel émerge un bâtiment quadrangulaire
ayant fait office de triclinium estival. Un bassin rectangulaire à
abside cuvelé occupe la partie septentrionale du bâtiment central. Il a
été comblé volontairement par la destruction de la superstructure
monumentale piégeant les poissons conservés dans le vivier et favorisant
une conservation parfaite du matériel archéologique, notamment une
vanne à glissière en bois et un casier de conservation des huîtres avant
consommation. L'ensemble a été édifié aux alentours de 30 av. J.-C. et
détruit vers 10 apr. J.-C. L'étude pluridisciplinaire du vivier a permis
de préciser le contexte paléoenvironnemental dans lequel il s'est
inscrit et de mettre en évidence une gestion précise de la salinité et
de la température de l'eau. La découverte et l'analyse de cette
structure apporte des éléments nouveaux pour la compréhension du
quartier portuaire d'époque augustéenne à Port-la-Nautique connu par les
fouilles depuis le début du XXe s. Les fouilles du Lac de Capelles à
Port-la-Nautique, entreprise dans le cadre du PCR sur les ports antiques
de Narbonne, ont permis la découverte d'un vivier d'agrément
exceptionnel d'époque augustéenne classé monument historique en 2013.
Cet ensemble unique en dehors des lieux de villégiature habituel de
l'aristocratie romaine en Italie est composé d'un bassin circulaire de
65 m de diamètre au centre duquel émerge un bâtiment quadrangulaire
ayant fait office de triclinium estival. Un bassin rectangulaire à
abside cuvelé occupe la partie septentrionale du bâtiment central. Il a
été comblé volontairement par la destruction de la superstructure
monumentale piégeant les poissons conservés dans le vivier et favorisant
une conservation parfaite du matériel archéologique, notamment une
vanne à glissière en bois et un casier de conservation des huîtres avant
consommation. L'ensemble a été édifié aux alentours de 30 av. J.-C. et
détruit vers 10 apr. J.-C. L'étude pluridisciplinaire du vivier a permis
de préciser le contexte paléoenvironnemental dans lequel il s'est
inscrit et de mettre en évidence une gestion précise de la salinité et
de la température de l'eau. La découverte et l'analyse de cette
structure apporte des éléments nouveaux pour la compréhension du
quartier portuaire d'époque augustéenne à Port-la-Nautique connu par les
fouilles depuis le début du XXe s.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Aujourd'hui, Port-la-Nautique est un
port de plaisance situé à 4 km au sud de Narbonne, au nord des étangs de
Bages et Sigean. Dès 1914, H. Rouzaud envisage La Nautique comme l'un
des principaux débarcadères de Narbonne antique, connu depuis longtemps sous le nom de Port des Galères ou de Capelles.
La chronologie du site de Port-la-Nautique correspond à la période
pendant laquelle le vin de Catalogne remplace les importations de vins
d'Italie. Port-la-Nautique est donc un débarcadère en grande partie
tourné vers le commerce du vin. Des entrepôts à dolia, fouillés
en 2010 par O. Ginouvez (Inrap), mesurent une centaine de mètres de long
sur une trentaine de large, les plaçant parmi les plus importants du
monde romain. Les fouilles récentes menées à Port-la-Nautique ont
également révélé des fours de potiers adossés aux entrepôts, au plus
près du rivage. Ils ont pu produire des matériaux de construction pour
l'agglomération portuaire, mais également des amphores pour le
reconditionnement des produits et des gobelets à parois fines, peut-être
destinés à l'exportation. Ces fours constituent une découverte inédite
qui ouvre de nouvelles perspectives : leurs productions étaient-elles
liées au conditionnement du vin stocké en vrac dans les dolia ou des fruits de mer préparés en saumure dans les bassins qui sont visibles le long de la route ?
À
proximité de ces fours, une dépression d'au moins 480 m2 pouvant
atteindre 3,50 m de profondeur est comblée par des coquillages : les
huîtres étaient particulièrement appréciées à l'époque romaine et
faisaient l'objet d'exploitation. L'amas de coquilles ne permet pas de
fouiller cet important creusement proche des entrepôts mais ces
découvertes attestent la multiplicité des activités au sein de cet
espace portuaire et donnent à Port-la-Nautique une nouvelle dimension :
outre l'exportation des sigillées sud-gauloises et l'importation des
amphores de Tarraconaise, le transport du vin en vrac, la fabrication de
céramiques et l'exploitation industrielle des fruits de mer sont mis en
évidence. Les activités de production sans doute en partie liées au
conditionnement des produits constituent une découverte majeure qui
modifie notre vision du système portuaire. Port-la-Nautique peut donc
bien être qualifiée d'agglomération portuaire avec des espaces publics,
des entrepôts, l'exploitation des ressources littorales et des activités
artisanales correspondant à la production céramique.
Les causes
de l'abandon de Port-la-Nautique restent encore inconnues. Au départ
proche d'une embouchure qui devait se situer au niveau de l'anse de
Montfort, les difficultés d'accès dues à l'ensablement corrélées avec
une évolution du commerce ont sans doute rendu caduques les
installations de la Nautique et pourraient expliciter la désertion de ce
lieu. La zone du Castélou, qui prend le relais, paraît pourtant bien
problématique : l'ensablement y est conséquent et exige un entretien
régulier. Elle permet cependant d'accéder depuis les lagunes à la voie
fluviale en canalisant l'embouchure.
Aujourd'hui, Port-la-Nautique est un
port de plaisance situé à 4 km au sud de Narbonne, au nord des étangs de
Bages et Sigean. Dès 1914, H. Rouzaud envisage La Nautique comme l'un
des principaux débarcadères de Narbonne antique, connu depuis longtemps sous le nom de Port des Galères ou de Capelles.
La chronologie du site de Port-la-Nautique correspond à la période
pendant laquelle le vin de Catalogne remplace les importations de vins
d'Italie. Port-la-Nautique est donc un débarcadère en grande partie
tourné vers le commerce du vin. Des entrepôts à dolia, fouillés
en 2010 par O. Ginouvez (Inrap), mesurent une centaine de mètres de long
sur une trentaine de large, les plaçant parmi les plus importants du
monde romain. Les fouilles récentes menées à Port-la-Nautique ont
également révélé des fours de potiers adossés aux entrepôts, au plus
près du rivage. Ils ont pu produire des matériaux de construction pour
l'agglomération portuaire, mais également des amphores pour le
reconditionnement des produits et des gobelets à parois fines, peut-être
destinés à l'exportation. Ces fours constituent une découverte inédite
qui ouvre de nouvelles perspectives : leurs productions étaient-elles
liées au conditionnement du vin stocké en vrac dans les dolia ou des fruits de mer préparés en saumure dans les bassins qui sont visibles le long de la route ?
À
proximité de ces fours, une dépression d'au moins 480 m2 pouvant
atteindre 3,50 m de profondeur est comblée par des coquillages : les
huîtres étaient particulièrement appréciées à l'époque romaine et
faisaient l'objet d'exploitation. L'amas de coquilles ne permet pas de
fouiller cet important creusement proche des entrepôts mais ces
découvertes attestent la multiplicité des activités au sein de cet
espace portuaire et donnent à Port-la-Nautique une nouvelle dimension :
outre l'exportation des sigillées sud-gauloises et l'importation des
amphores de Tarraconaise, le transport du vin en vrac, la fabrication de
céramiques et l'exploitation industrielle des fruits de mer sont mis en
évidence. Les activités de production sans doute en partie liées au
conditionnement des produits constituent une découverte majeure qui
modifie notre vision du système portuaire. Port-la-Nautique peut donc
bien être qualifiée d'agglomération portuaire avec des espaces publics,
des entrepôts, l'exploitation des ressources littorales et des activités
artisanales correspondant à la production céramique.
Les causes
de l'abandon de Port-la-Nautique restent encore inconnues. Au départ
proche d'une embouchure qui devait se situer au niveau de l'anse de
Montfort, les difficultés d'accès dues à l'ensablement corrélées avec
une évolution du commerce ont sans doute rendu caduques les
installations de la Nautique et pourraient expliciter la désertion de ce
lieu. La zone du Castélou, qui prend le relais, paraît pourtant bien
problématique : l'ensablement y est conséquent et exige un entretien
régulier. Elle permet cependant d'accéder depuis les lagunes à la voie
fluviale en canalisant l'embouchure.
Aujourd'hui, Port-la-Nautique est un
port de plaisance situé à 4 km au sud de Narbonne, au nord des étangs de
Bages et Sigean. Dès 1914, H. Rouzaud envisage La Nautique comme l'un
des principaux débarcadères de Narbonne antique, connu depuis longtemps sous le nom de Port des Galères ou de Capelles.
La chronologie du site de Port-la-Nautique correspond à la période
pendant laquelle le vin de Catalogne remplace les importations de vins
d'Italie. Port-la-Nautique est donc un débarcadère en grande partie
tourné vers le commerce du vin. Des entrepôts à dolia, fouillés
en 2010 par O. Ginouvez (Inrap), mesurent une centaine de mètres de long
sur une trentaine de large, les plaçant parmi les plus importants du
monde romain. Les fouilles récentes menées à Port-la-Nautique ont
également révélé des fours de potiers adossés aux entrepôts, au plus
près du rivage. Ils ont pu produire des matériaux de construction pour
l'agglomération portuaire, mais également des amphores pour le
reconditionnement des produits et des gobelets à parois fines, peut-être
destinés à l'exportation. Ces fours constituent une découverte inédite
qui ouvre de nouvelles perspectives : leurs productions étaient-elles
liées au conditionnement du vin stocké en vrac dans les dolia ou des fruits de mer préparés en saumure dans les bassins qui sont visibles le long de la route ?
À
proximité de ces fours, une dépression d'au moins 480 m2 pouvant
atteindre 3,50 m de profondeur est comblée par des coquillages : les
huîtres étaient particulièrement appréciées à l'époque romaine et
faisaient l'objet d'exploitation. L'amas de coquilles ne permet pas de
fouiller cet important creusement proche des entrepôts mais ces
découvertes attestent la multiplicité des activités au sein de cet
espace portuaire et donnent à Port-la-Nautique une nouvelle dimension :
outre l'exportation des sigillées sud-gauloises et l'importation des
amphores de Tarraconaise, le transport du vin en vrac, la fabrication de
céramiques et l'exploitation industrielle des fruits de mer sont mis en
évidence. Les activités de production sans doute en partie liées au
conditionnement des produits constituent une découverte majeure qui
modifie notre vision du système portuaire. Port-la-Nautique peut donc
bien être qualifiée d'agglomération portuaire avec des espaces publics,
des entrepôts, l'exploitation des ressources littorales et des activités
artisanales correspondant à la production céramique.
Les causes
de l'abandon de Port-la-Nautique restent encore inconnues. Au départ
proche d'une embouchure qui devait se situer au niveau de l'anse de
Montfort, les difficultés d'accès dues à l'ensablement corrélées avec
une évolution du commerce ont sans doute rendu caduques les
installations de la Nautique et pourraient expliciter la désertion de ce
lieu. La zone du Castélou, qui prend le relais, paraît pourtant bien
problématique : l'ensablement y est conséquent et exige un entretien
régulier. Elle permet cependant d'accéder depuis les lagunes à la voie
fluviale en canalisant l'embouchure. Aujourd'hui, Port-la-Nautique est un
port de plaisance situé à 4 km au sud de Narbonne, au nord des étangs de
Bages et Sigean. Dès 1914, H. Rouzaud envisage La Nautique comme l'un
des principaux débarcadères de Narbonne antique, connu depuis longtemps sous le nom de Port des Galères ou de Capelles.
La chronologie du site de Port-la-Nautique correspond à la période
pendant laquelle le vin de Catalogne remplace les importations de vins
d'Italie. Port-la-Nautique est donc un débarcadère en grande partie
tourné vers le commerce du vin. Des entrepôts à dolia, fouillés
en 2010 par O. Ginouvez (Inrap), mesurent une centaine de mètres de long
sur une trentaine de large, les plaçant parmi les plus importants du
monde romain. Les fouilles récentes menées à Port-la-Nautique ont
également révélé des fours de potiers adossés aux entrepôts, au plus
près du rivage. Ils ont pu produire des matériaux de construction pour
l'agglomération portuaire, mais également des amphores pour le
reconditionnement des produits et des gobelets à parois fines, peut-être
destinés à l'exportation. Ces fours constituent une découverte inédite
qui ouvre de nouvelles perspectives : leurs productions étaient-elles
liées au conditionnement du vin stocké en vrac dans les dolia ou des fruits de mer préparés en saumure dans les bassins qui sont visibles le long de la route ?
À
proximité de ces fours, une dépression d'au moins 480 m2 pouvant
atteindre 3,50 m de profondeur est comblée par des coquillages : les
huîtres étaient particulièrement appréciées à l'époque romaine et
faisaient l'objet d'exploitation. L'amas de coquilles ne permet pas de
fouiller cet important creusement proche des entrepôts mais ces
découvertes attestent la multiplicité des activités au sein de cet
espace portuaire et donnent à Port-la-Nautique une nouvelle dimension :
outre l'exportation des sigillées sud-gauloises et l'importation des
amphores de Tarraconaise, le transport du vin en vrac, la fabrication de
céramiques et l'exploitation industrielle des fruits de mer sont mis en
évidence. Les activités de production sans doute en partie liées au
conditionnement des produits constituent une découverte majeure qui
modifie notre vision du système portuaire. Port-la-Nautique peut donc
bien être qualifiée d'agglomération portuaire avec des espaces publics,
des entrepôts, l'exploitation des ressources littorales et des activités
artisanales correspondant à la production céramique.
Les causes
de l'abandon de Port-la-Nautique restent encore inconnues. Au départ
proche d'une embouchure qui devait se situer au niveau de l'anse de
Montfort, les difficultés d'accès dues à l'ensablement corrélées avec
une évolution du commerce ont sans doute rendu caduques les
installations de la Nautique et pourraient expliciter la désertion de ce
lieu. La zone du Castélou, qui prend le relais, paraît pourtant bien
problématique : l'ensablement y est conséquent et exige un entretien
régulier. Elle permet cependant d'accéder depuis les lagunes à la voie
fluviale en canalisant l'embouchure.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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La place de l'archive dans l'exposition François Truffaut. Conférence de Florence Tissot
La place de l'archive dans l'exposition François Truffaut. Conférence de Florence Tissot
La place de l'archive dans l'exposition François Truffaut. Conférence de Florence Tissot La place de l'archive dans l'exposition François Truffaut. Conférence de Florence Tissot
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Les
fouilles préventives réalisées ces dernières années sur la rive gauche
du canal de la Robine apportent des informations qui intéressent
l'histoire du cours d'eau, mais également celle des aménagements que sa
proximité a motivé durant les deux premiers siècles de notre ère.
La
question posée par l'origine de l'écoulement (bras naturel de l'Aude ou
creusement artificiel) bénéficie de nouveaux éléments de réflexion dans
les informations stratigraphiques et paléoenvironnementales issues de
la fouille du 14 Quai d'Alsace. Achevée à la fin de l'année 2011, cette
opération a permis de localiser une paléo-Robine datée du IIIe s. av. n.
è. (a priori naturelle), et de constater son déplacement progressif en
direction de l'ouest et du canal actuel. Dans les limites de
l'investigation, l'état de berge le plus récent a été observé dans un
sondage profond et a révélé la présence d'un dépotoir antérieur de
quelques décennies à l'urbanisation du site.
Le quartier qui se met en place dans le courant du 1er
s. ap. J.-C. s'implante sur les sédiments alluviaux déposés trois
siècles auparavant. Dans le cadre de cet investissement, une terrasse
est construite à l'approche du chenal actif, et répond à l'intention
vraisemblable de stabiliser l'assise de l'occupation en prévenant les
effets érosifs des crues et des eaux de ruissellement.
Le
projet immobilier qui s'applique après le changement d'ère conserve
encore une large part d'ombre, mais les traits du quartier professionnel
esquissés à partir des fouilles précédentes (notamment le 19-20 Quai
d'Alsace) trouvent ici une accentuation bénéfique. Les données
convergent, dorénavant, pour reconnaître un statut particulier à la
portion de ville logée dans la rive convexe du méandre.
A
deux endroits, voisins, et identiques dans la proximité qu'ils
entretiennent avec le cours d'eau, des entrepôts ont été mis au jour. La
coïncidence n'est pas fortuite et la possibilité que le secteur soit en
mesure d'abriter le port fluvial de Narbonne (sinon l'un des ports
fluviaux de Narbonne) mérite d'être sérieusement considérée.
Les
fouilles préventives réalisées ces dernières années sur la rive gauche
du canal de la Robine apportent des informations qui intéressent
l'histoire du cours d'eau, mais également celle des aménagements que sa
proximité a motivé durant les deux premiers siècles de notre ère.
La
question posée par l'origine de l'écoulement (bras naturel de l'Aude ou
creusement artificiel) bénéficie de nouveaux éléments de réflexion dans
les informations stratigraphiques et paléoenvironnementales issues de
la fouille du 14 Quai d'Alsace. Achevée à la fin de l'année 2011, cette
opération a permis de localiser une paléo-Robine datée du IIIe s. av. n.
è. (a priori naturelle), et de constater son déplacement progressif en
direction de l'ouest et du canal actuel. Dans les limites de
l'investigation, l'état de berge le plus récent a été observé dans un
sondage profond et a révélé la présence d'un dépotoir antérieur de
quelques décennies à l'urbanisation du site.
Le quartier qui se met en place dans le courant du 1er
s. ap. J.-C. s'implante sur les sédiments alluviaux déposés trois
siècles auparavant. Dans le cadre de cet investissement, une terrasse
est construite à l'approche du chenal actif, et répond à l'intention
vraisemblable de stabiliser l'assise de l'occupation en prévenant les
effets érosifs des crues et des eaux de ruissellement.
Le
projet immobilier qui s'applique après le changement d'ère conserve
encore une large part d'ombre, mais les traits du quartier professionnel
esquissés à partir des fouilles précédentes (notamment le 19-20 Quai
d'Alsace) trouvent ici une accentuation bénéfique. Les données
convergent, dorénavant, pour reconnaître un statut particulier à la
portion de ville logée dans la rive convexe du méandre.
A
deux endroits, voisins, et identiques dans la proximité qu'ils
entretiennent avec le cours d'eau, des entrepôts ont été mis au jour. La
coïncidence n'est pas fortuite et la possibilité que le secteur soit en
mesure d'abriter le port fluvial de Narbonne (sinon l'un des ports
fluviaux de Narbonne) mérite d'être sérieusement considérée.
Les
fouilles préventives réalisées ces dernières années sur la rive gauche
du canal de la Robine apportent des informations qui intéressent
l'histoire du cours d'eau, mais également celle des aménagements que sa
proximité a motivé durant les deux premiers siècles de notre ère.
La
question posée par l'origine de l'écoulement (bras naturel de l'Aude ou
creusement artificiel) bénéficie de nouveaux éléments de réflexion dans
les informations stratigraphiques et paléoenvironnementales issues de
la fouille du 14 Quai d'Alsace. Achevée à la fin de l'année 2011, cette
opération a permis de localiser une paléo-Robine datée du IIIe s. av. n.
è. (a priori naturelle), et de constater son déplacement progressif en
direction de l'ouest et du canal actuel. Dans les limites de
l'investigation, l'état de berge le plus récent a été observé dans un
sondage profond et a révélé la présence d'un dépotoir antérieur de
quelques décennies à l'urbanisation du site.
Le quartier qui se met en place dans le courant du 1er
s. ap. J.-C. s'implante sur les sédiments alluviaux déposés trois
siècles auparavant. Dans le cadre de cet investissement, une terrasse
est construite à l'approche du chenal actif, et répond à l'intention
vraisemblable de stabiliser l'assise de l'occupation en prévenant les
effets érosifs des crues et des eaux de ruissellement.
Le
projet immobilier qui s'applique après le changement d'ère conserve
encore une large part d'ombre, mais les traits du quartier professionnel
esquissés à partir des fouilles précédentes (notamment le 19-20 Quai
d'Alsace) trouvent ici une accentuation bénéfique. Les données
convergent, dorénavant, pour reconnaître un statut particulier à la
portion de ville logée dans la rive convexe du méandre.
A
deux endroits, voisins, et identiques dans la proximité qu'ils
entretiennent avec le cours d'eau, des entrepôts ont été mis au jour. La
coïncidence n'est pas fortuite et la possibilité que le secteur soit en
mesure d'abriter le port fluvial de Narbonne (sinon l'un des ports
fluviaux de Narbonne) mérite d'être sérieusement considérée. Les
fouilles préventives réalisées ces dernières années sur la rive gauche
du canal de la Robine apportent des informations qui intéressent
l'histoire du cours d'eau, mais également celle des aménagements que sa
proximité a motivé durant les deux premiers siècles de notre ère.
La
question posée par l'origine de l'écoulement (bras naturel de l'Aude ou
creusement artificiel) bénéficie de nouveaux éléments de réflexion dans
les informations stratigraphiques et paléoenvironnementales issues de
la fouille du 14 Quai d'Alsace. Achevée à la fin de l'année 2011, cette
opération a permis de localiser une paléo-Robine datée du IIIe s. av. n.
è. (a priori naturelle), et de constater son déplacement progressif en
direction de l'ouest et du canal actuel. Dans les limites de
l'investigation, l'état de berge le plus récent a été observé dans un
sondage profond et a révélé la présence d'un dépotoir antérieur de
quelques décennies à l'urbanisation du site.
Le quartier qui se met en place dans le courant du 1er
s. ap. J.-C. s'implante sur les sédiments alluviaux déposés trois
siècles auparavant. Dans le cadre de cet investissement, une terrasse
est construite à l'approche du chenal actif, et répond à l'intention
vraisemblable de stabiliser l'assise de l'occupation en prévenant les
effets érosifs des crues et des eaux de ruissellement.
Le
projet immobilier qui s'applique après le changement d'ère conserve
encore une large part d'ombre, mais les traits du quartier professionnel
esquissés à partir des fouilles précédentes (notamment le 19-20 Quai
d'Alsace) trouvent ici une accentuation bénéfique. Les données
convergent, dorénavant, pour reconnaître un statut particulier à la
portion de ville logée dans la rive convexe du méandre.
A
deux endroits, voisins, et identiques dans la proximité qu'ils
entretiennent avec le cours d'eau, des entrepôts ont été mis au jour. La
coïncidence n'est pas fortuite et la possibilité que le secteur soit en
mesure d'abriter le port fluvial de Narbonne (sinon l'un des ports
fluviaux de Narbonne) mérite d'être sérieusement considérée.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Séminaire "Cappadoce, terre d'histoire et de cultures" Prof. Dr. Demet Binan (Université des Beaux-Arts Mimar Sinan)La conservation de l’habitat traditionnel cappadocienLundi 7 mai 2012 à 18h à l'IFEA
Séminaire "Cappadoce, terre d'histoire et de cultures" Prof. Dr. Demet Binan (Université des Beaux-Arts Mimar Sinan)La conservation de l’habitat traditionnel cappadocienLundi 7 mai 2012 à 18h à l'IFEA
Séminaire "Cappadoce, terre d'histoire et de cultures" Prof. Dr. Demet Binan (Université des Beaux-Arts Mimar Sinan)La conservation de l’habitat traditionnel cappadocienLundi 7 mai 2012 à 18h à l'IFEA Séminaire "Cappadoce, terre d'histoire et de cultures" Prof. Dr. Demet Binan (Université des Beaux-Arts Mimar Sinan)La conservation de l’habitat traditionnel cappadocienLundi 7 mai 2012 à 18h à l'IFEA
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Le
site de Saint-Martin, situé sur la commune de Gruissan à une douzaine
de km au sud-est de Narbonne, occupe une position remarquable au cœur
des étangs narbonnais. Les recherches conduites depuis 2011 sur cet
établissement dans le cadre du PCR « Les ports antiques de Narbonne »
s'inscrivent dans la continuité des travaux réalisés précédemment sur ce
site par C. Sanchez, qui avait mis en évidence son intérêt majeur pour
la connaissance de l'histoire du littoral narbonnais. Les fouilles ont
permis de mettre au jour sur près de 2000 m² un vaste complexe édifié à
l'époque augustéenne et occupé jusqu'à la fin de l'Antiquité. Il se
caractérise par la présence d'un bâtiment en grand appareil d'assez
grande dimension (14 x 7,5 m), associé à une cour centrale de 380 m²,
équipée sur trois côtés de portiques d'une largeur de 4 m. A l'est,
plusieurs petites pièces ouvertes sur la galerie pourraient correspondre
à des espaces à vocation commerciale ou administrative, tandis qu'une
vaste pièce (91 m²) comporte un niveau souterrain qui évoque un espace
de stockage. Une forge et deux installations thermales ont également été
reconnues. L'objectif de cette communication est de présenter un
nouveau bilan des connaissances sur ce site et nos hypothèses sur la
nature et les fonctions de cet établissement atypique, qui pourrait
jouer un rôle-clé au sein du système portuaire de Narbonne antique.
Le
site de Saint-Martin, situé sur la commune de Gruissan à une douzaine
de km au sud-est de Narbonne, occupe une position remarquable au cœur
des étangs narbonnais. Les recherches conduites depuis 2011 sur cet
établissement dans le cadre du PCR « Les ports antiques de Narbonne »
s'inscrivent dans la continuité des travaux réalisés précédemment sur ce
site par C. Sanchez, qui avait mis en évidence son intérêt majeur pour
la connaissance de l'histoire du littoral narbonnais. Les fouilles ont
permis de mettre au jour sur près de 2000 m² un vaste complexe édifié à
l'époque augustéenne et occupé jusqu'à la fin de l'Antiquité. Il se
caractérise par la présence d'un bâtiment en grand appareil d'assez
grande dimension (14 x 7,5 m), associé à une cour centrale de 380 m²,
équipée sur trois côtés de portiques d'une largeur de 4 m. A l'est,
plusieurs petites pièces ouvertes sur la galerie pourraient correspondre
à des espaces à vocation commerciale ou administrative, tandis qu'une
vaste pièce (91 m²) comporte un niveau souterrain qui évoque un espace
de stockage. Une forge et deux installations thermales ont également été
reconnues. L'objectif de cette communication est de présenter un
nouveau bilan des connaissances sur ce site et nos hypothèses sur la
nature et les fonctions de cet établissement atypique, qui pourrait
jouer un rôle-clé au sein du système portuaire de Narbonne antique.
Le
site de Saint-Martin, situé sur la commune de Gruissan à une douzaine
de km au sud-est de Narbonne, occupe une position remarquable au cœur
des étangs narbonnais. Les recherches conduites depuis 2011 sur cet
établissement dans le cadre du PCR « Les ports antiques de Narbonne »
s'inscrivent dans la continuité des travaux réalisés précédemment sur ce
site par C. Sanchez, qui avait mis en évidence son intérêt majeur pour
la connaissance de l'histoire du littoral narbonnais. Les fouilles ont
permis de mettre au jour sur près de 2000 m² un vaste complexe édifié à
l'époque augustéenne et occupé jusqu'à la fin de l'Antiquité. Il se
caractérise par la présence d'un bâtiment en grand appareil d'assez
grande dimension (14 x 7,5 m), associé à une cour centrale de 380 m²,
équipée sur trois côtés de portiques d'une largeur de 4 m. A l'est,
plusieurs petites pièces ouvertes sur la galerie pourraient correspondre
à des espaces à vocation commerciale ou administrative, tandis qu'une
vaste pièce (91 m²) comporte un niveau souterrain qui évoque un espace
de stockage. Une forge et deux installations thermales ont également été
reconnues. L'objectif de cette communication est de présenter un
nouveau bilan des connaissances sur ce site et nos hypothèses sur la
nature et les fonctions de cet établissement atypique, qui pourrait
jouer un rôle-clé au sein du système portuaire de Narbonne antique. Le
site de Saint-Martin, situé sur la commune de Gruissan à une douzaine
de km au sud-est de Narbonne, occupe une position remarquable au cœur
des étangs narbonnais. Les recherches conduites depuis 2011 sur cet
établissement dans le cadre du PCR « Les ports antiques de Narbonne »
s'inscrivent dans la continuité des travaux réalisés précédemment sur ce
site par C. Sanchez, qui avait mis en évidence son intérêt majeur pour
la connaissance de l'histoire du littoral narbonnais. Les fouilles ont
permis de mettre au jour sur près de 2000 m² un vaste complexe édifié à
l'époque augustéenne et occupé jusqu'à la fin de l'Antiquité. Il se
caractérise par la présence d'un bâtiment en grand appareil d'assez
grande dimension (14 x 7,5 m), associé à une cour centrale de 380 m²,
équipée sur trois côtés de portiques d'une largeur de 4 m. A l'est,
plusieurs petites pièces ouvertes sur la galerie pourraient correspondre
à des espaces à vocation commerciale ou administrative, tandis qu'une
vaste pièce (91 m²) comporte un niveau souterrain qui évoque un espace
de stockage. Une forge et deux installations thermales ont également été
reconnues. L'objectif de cette communication est de présenter un
nouveau bilan des connaissances sur ce site et nos hypothèses sur la
nature et les fonctions de cet établissement atypique, qui pourrait
jouer un rôle-clé au sein du système portuaire de Narbonne antique.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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La mise en place de démarches participatives modifie la gouvernance des projets dans lesterritoires (Torre, 2011
Berlan-Darqué, Lunginbülh, Terrasson, 2007). Quelle place accorder aux acteurs traditionnels que sont les élus communaux ? Cette question est d’autant plus importante que d’une part, la légitimité des actions portées par le Parc repose sur l’adhésion des communes (Fleury, Prévot-Julliard, 2012) et d’autre part, le portage politique des projets paysagers est indispensable à leur mise en oeuvre (Lardon, Moquay, Poss, 2007
Trognon et al., 2012).Dans cette communication, nous présenterons la démarche de médiation paysagère menée auprès des vingt-deux élus de la Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat (CCCLM) dans le cadre de l’élaboration du diagnostic du plan de paysage et plus particulièrement dans la phase de diagnostic du projet. La question posée dans la phase de diagnostic est de savoir si l’accompagnement des élus à partager leurs regards et leurs représentations du paysage favorise leur adhésion au plan de paysage ?
La mise en place de démarches participatives modifie la gouvernance des projets dans lesterritoires (Torre, 2011 ; Berlan-Darqué, Lunginbülh, Terrasson, 2007). Quelle place accorder aux acteurs traditionnels que sont les élus communaux ? Cette question est d’autant plus importante que d’une part, la légitimité des actions portées par le Parc repose sur l’adhésion des communes (Fleury, Prévot-Julliard, 2012) et d’autre part, le portage politique des projets paysagers est indispensable à leur mise en oeuvre (Lardon, Moquay, Poss, 2007 ; Trognon et al., 2012).Dans cette communication, nous présenterons la démarche de médiation paysagère menée auprès des vingt-deux élus de la Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat (CCCLM) dans le cadre de l’élaboration du diagnostic du plan de paysage et plus particulièrement dans la phase de diagnostic du projet. La question posée dans la phase de diagnostic est de savoir si l’accompagnement des élus à partager leurs regards et leurs représentations du paysage favorise leur adhésion au plan de paysage ?
La mise en place de démarches participatives modifie la gouvernance des projets dans lesterritoires (Torre, 2011 Berlan-Darqué, Lunginbülh, Terrasson, 2007). Quelle place accorder aux acteurs traditionnels que sont les élus communaux ? Cette question est d’autant plus importante que d’une part, la légitimité des actions portées par le Parc repose sur l’adhésion des communes (Fleury, Prévot-Julliard, 2012) et d’autre part, le portage politique des projets paysagers est indispensable à leur mise en oeuvre (Lardon, Moquay, Poss, 2007 Trognon et al., 2012).Dans cette communication, nous présenterons la démarche de médiation paysagère menée auprès des vingt-deux élus de la Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat (CCCLM) dans le cadre de l’élaboration du diagnostic du plan de paysage et plus particulièrement dans la phase de diagnostic du projet. La question posée dans la phase de diagnostic est de savoir si l’accompagnement des élus à partager leurs regards et leurs représentations du paysage favorise leur adhésion au plan de paysage ? La mise en place de démarches participatives modifie la gouvernance des projets dans lesterritoires (Torre, 2011 ; Berlan-Darqué, Lunginbülh, Terrasson, 2007). Quelle place accorder aux acteurs traditionnels que sont les élus communaux ? Cette question est d’autant plus importante que d’une part, la légitimité des actions portées par le Parc repose sur l’adhésion des communes (Fleury, Prévot-Julliard, 2012) et d’autre part, le portage politique des projets paysagers est indispensable à leur mise en oeuvre (Lardon, Moquay, Poss, 2007 ; Trognon et al., 2012).Dans cette communication, nous présenterons la démarche de médiation paysagère menée auprès des vingt-deux élus de la Communauté de communes du Causse de Labastide-Murat (CCCLM) dans le cadre de l’élaboration du diagnostic du plan de paysage et plus particulièrement dans la phase de diagnostic du projet. La question posée dans la phase de diagnostic est de savoir si l’accompagnement des élus à partager leurs regards et leurs représentations du paysage favorise leur adhésion au plan de paysage ?
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Titre 
: 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Réalisation du DMG de l'Université Paris-DiderotIntervenant : Jocelyn LE BEL, Université Paris-DiderotSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins
cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production 
: Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Réalisation du DMG de l'Université Paris-DiderotIntervenant : Jocelyn LE BEL, Université Paris-DiderotSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins ; cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
Titre  : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Réalisation du DMG de l'Université Paris-DiderotIntervenant : Jocelyn LE BEL, Université Paris-DiderotSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production  : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S. Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Réalisation du DMG de l'Université Paris-DiderotIntervenant : Jocelyn LE BEL, Université Paris-DiderotSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins ; cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Parcours de soin et formation initialeIntervenant : Pr Jérôme ETIENNE, Faculté de Médecine de Lyon EstSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins
cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Parcours de soin et formation initialeIntervenant : Pr Jérôme ETIENNE, Faculté de Médecine de Lyon EstSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins ; cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Parcours de soin et formation initialeIntervenant : Pr Jérôme ETIENNE, Faculté de Médecine de Lyon EstSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S. Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Parcours de soin et formation initialeIntervenant : Pr Jérôme ETIENNE, Faculté de Médecine de Lyon EstSALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins ; cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Titre 
: 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Le Rapport CourdierIntervenant : Jean-Michel CHABOT, Haute Autorité de Santé (HAS)SALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins
cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production 
: Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Le Rapport CourdierIntervenant : Jean-Michel CHABOT, Haute Autorité de Santé (HAS)SALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins ; cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
Titre  : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Le Rapport CourdierIntervenant : Jean-Michel CHABOT, Haute Autorité de Santé (HAS)SALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production  : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S. Titre : 2èmes États Généraux de la Formation et de la Recherche Médicales - Le Rapport CourdierIntervenant : Jean-Michel CHABOT, Haute Autorité de Santé (HAS)SALLE 1 150AF5 - ÉQUIPE PLURIPRO, PARCOURS DE SOINS ET FORMATION INITIALE.Objectifs pédagogiques :- Le rapport « Cordier » (ou des « 7 sages ») remis aux pouvoirs publics en septembre 2013, développe une série d’arguments pour que le système de soins se réorganise de manière à accorder la priorité aux soins primaires et à assurer aux patients la prise en charge globale, continue et coordonnée qu’ils demandent.- C’est une double évolution, sociétale et épidémiologique, qui conduità cette nécessaire réorganisation du système de soins ; cette double évolution peut être résumée par la formule suivante : « les malades sont devenus savants et les maladies chroniques ».Discussion générale :- Les futures promotions de médecins tout comme les autres professions de santé doivent évidemment être préparés à cette réorganisation, qui passe avant tout par une révolution : le passage d’un exercice clinique individuel et autonome – qui repose sur une tradition ancestrale – à un exercice en équipe pluriprofessionnelle médico sociale.- Il est intéressant de constater que l’ensemble des pays développés– quel que soit leur modèle social – conduisent en ce moment les mêmes réflexions et évolutions.- Il est important de proposer des modalités permettant de prendre en compte au mieux ces évolutions dans la formation initiale des étudiants.Conférence enregistrée lors des 2èmes Etats Généraux de la Formation et de la Recherche Médicale les 5 et 6 décembre 2013 à l’Université Paris 13 – Bobigny UFR Santé, Médecine et Biologie Humaine (UFR SMBH).Etats Généraux organisés par la Conférence des Doyens des Facultés de Médecine.Réalisation, production : Canal U3S - CERIMES avec le partenariat de l’UNF3S.
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Ressource pédagogique
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