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Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui.
Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui.
Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui. Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui.
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
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Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002
Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002
Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002 Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
Générique
Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006
L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
Générique
Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006
L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
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Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006 L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
Générique
Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
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Générique
Réalisation : Marcel Rodriguez Production : Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) Copyright Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) 1997
Générique
Réalisation : Marcel Rodriguez Production : Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) Copyright Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) 1997
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Ressource documentaire
Ressource pédagogique
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Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ?
Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ?
Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ? Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ?
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