Titre
|
Description
|
Date
|
Entrepôt
|
Format
|
|
Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ?
Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ?
Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ? Conférence du 20 février 2000 par Antoine Garapon. Les formes rituelles de la justice ont-elles un avenir ? Ne sont-elles pas que le vestige de l'enfance du droit ? Ce n'est pas ce que semble indiquer les trois tendances actuelles. Les formes du procès ordinaire sont délaissées au profit des modes alternatifs de règlement des conflits comme la médiation ou la conciliation qui ne sont pas sans sécréter leurs propres formes symboliques. Celles-ci ne s'apparentent plus au rituel mais à la cérémonie dans le sens où elles ne prennent plus en charge la reproduction de l'ordre du monde. Mais, dans le même temps, on voit réapparaître une demande sociale forte pour mettre en scène de "grands procès " lors de catastrophes collectives (comme celle du sang contaminé). C'est moins la faute qui y est mise en scène pour y être réprouvée qu'une responsabilité objective. Ces procès prennent en charge la part tragique de la condition humaine mais en en chassant toute transcendance. Notre époque a vu, enfin, cinquante ans après le procès de Nüremberg, revivre l'idée d'une justice internationale pour témoigner sa réprobation du crime contre l'humanité ? La scène de la justice anticipe une communauté politique et morale entre les nations, qui peut-être n'existe pas encore. N'assiste-t-on pas ainsi à la naissance d'un ""théologico-juridique"", tant au niveau intime qu'au niveau interne ou international, qui aurait en charge d'administrer la transcendance d'un monde commun dans notre ère individualiste ?
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
Générique
Réalisation : Marcel Rodriguez Production : Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) Copyright Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) 1997
Générique
Réalisation : Marcel Rodriguez Production : Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) Copyright Arts & Education / Paris VII (Denis Diderot) 1997
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
Générique
Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006
L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
Générique
Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006
L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
Générique
Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006 L'Institut des Nanosciences de Paris a été créé en janvier 2005 à partir de quatre laboratoires de physique de la matière condensée. Il réunit 200 personnes dont une centaine de chercheurs permanents et une cinquantaine de personnels techniques, avec une triple tutelle : le CNRS, l'université Pierre et Marie Curie Paris 6 et l'université Denis Diderot-Paris 7.
Générique
Claudine Noguera Directrice de l'Institut des Nanosciences de Paris Copywright Studio vidéo Université de Paris 7 Denis Diderot mars 2006
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002
Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002
Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002 Interwievé dans sa salle de montage, Jean-Dominique Lajoux, cet infatigable travailleur de l'image scientifique, ethnologue, photographe de renom (Prix Niepce en 1960), spécialiste du monde pré-chrétien et de sa religion, nous révèle les secrets du culte de l'ours et des mascarades qui y sont associées. Cet ethnologue cinéaste a pu réunir au long de sa vie, consacrée essentiellement à la Recherche en Ethnographie et à l'Histoire du Cinéma, toute une panoplie absolument unique de photographies et de films consacrés à ce sujet. Ce grand homme de la Science a pu attester par ses nombreuses recherches documentaires de tous horizons (Bibliothèque Nationale, Archives Régionales etc
) l'existence réelle du culte de l'Ours dans nos régions de l'Europe. De ses recherches en Sibérie où le culte de l'ours se pratique encore, il a pu ouvrir des portes sur ce qui se passait chez nous, il y a fort longtemps. Il a pu observer une évolution à travers les siècles du rôle des masques et de leur signification. Ce document, illustré par ses propres photographies et des extraits de ses propres films (diffusés par le CNRS) est absolument essentiel à ceux qui veulent comprendre d'ou nous venons et ce que nous étions à lépoque des cavernes.
Générique
Extraits des films "V'là Mardi gras", "L'ours ou l'Homme sauvage" et "Mascaradak" produit par CNRS Images / media (1975, 1979, 1980 respectivement) Photographies extraites de la collection privée de Jean-Dominique Lajoux Mascarades Auteur : Jean-Dominique Lajoux Réalisateur : Jean-Christian Nicaise Production : CNRS Images / media Diffusion : CNRS Diffusion Copyright CNRS Images / media 2002
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui.
Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui.
Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui. Specialiste du masque et de la Comedia dell' arte, Mario Gonzalez est passionné par la pédagogie; il enseigne et multiplie les stages, du Conservatoire national d'Helsinki aux écoles belges (I.N.S.A.S., Institut National Supérieur des arts du Spectacle et C.I.F.A.S., Centre International de Formation en Arts du Spectacle), des écoles suédoises au Conservatoire national de Montréal... Mario Gonzalez nous raconte dans ce film son parcours : ses début dès l'âge de quinze ans avec les marionnettes jusqu'à son travail de mettteur en scène et de professeur aujourd'hui.
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
Chaque année, environ 17 millions d'individus décèdent de maladies infectieuses dans le monde. Neuf fois sur dix il s'agit d'individus vivant dans des pays en voie de développement. Ainsi, au-delà des effets de mode et des concepts médiatiques l'émergence et la réémergence des maladies infectieuses sont réelles dans le monde industrialisé comme dans le tiers-monde. En fait, le progrès comme le sous-développement portent en eux le risque d'émergence de nouveaux pathogènes ou de réémergence d'anciens sous des formes modifiées, en particulier résistantes aux agents anti-infectieux. L'optimisme inconscient affiché il y a vingt ans devant les progrès acquis en santé publique grâce à l'application des mesures d'hygiène dérivées des théories pasteuriennes, à la découverte des antibiotiques et des vaccins et au contrôle des vecteurs, a fait place à un pessimisme sans doute tout aussi excessif, mais certainement moins porteur de risques d'erreurs fatales. Il est temps de mettre en place une approche intégrée et cohérente visant à la prévision, la reconnaissance, la surveillance, la compréhension, le traitement, la prévention, en un mot, la maîtrise des maladies infectieuses.
Chaque année, environ 17 millions d'individus décèdent de maladies infectieuses dans le monde. Neuf fois sur dix il s'agit d'individus vivant dans des pays en voie de développement. Ainsi, au-delà des effets de mode et des concepts médiatiques l'émergence et la réémergence des maladies infectieuses sont réelles dans le monde industrialisé comme dans le tiers-monde. En fait, le progrès comme le sous-développement portent en eux le risque d'émergence de nouveaux pathogènes ou de réémergence d'anciens sous des formes modifiées, en particulier résistantes aux agents anti-infectieux. L'optimisme inconscient affiché il y a vingt ans devant les progrès acquis en santé publique grâce à l'application des mesures d'hygiène dérivées des théories pasteuriennes, à la découverte des antibiotiques et des vaccins et au contrôle des vecteurs, a fait place à un pessimisme sans doute tout aussi excessif, mais certainement moins porteur de risques d'erreurs fatales. Il est temps de mettre en place une approche intégrée et cohérente visant à la prévision, la reconnaissance, la surveillance, la compréhension, le traitement, la prévention, en un mot, la maîtrise des maladies infectieuses.
Chaque année, environ 17 millions d'individus décèdent de maladies infectieuses dans le monde. Neuf fois sur dix il s'agit d'individus vivant dans des pays en voie de développement. Ainsi, au-delà des effets de mode et des concepts médiatiques l'émergence et la réémergence des maladies infectieuses sont réelles dans le monde industrialisé comme dans le tiers-monde. En fait, le progrès comme le sous-développement portent en eux le risque d'émergence de nouveaux pathogènes ou de réémergence d'anciens sous des formes modifiées, en particulier résistantes aux agents anti-infectieux. L'optimisme inconscient affiché il y a vingt ans devant les progrès acquis en santé publique grâce à l'application des mesures d'hygiène dérivées des théories pasteuriennes, à la découverte des antibiotiques et des vaccins et au contrôle des vecteurs, a fait place à un pessimisme sans doute tout aussi excessif, mais certainement moins porteur de risques d'erreurs fatales. Il est temps de mettre en place une approche intégrée et cohérente visant à la prévision, la reconnaissance, la surveillance, la compréhension, le traitement, la prévention, en un mot, la maîtrise des maladies infectieuses. Chaque année, environ 17 millions d'individus décèdent de maladies infectieuses dans le monde. Neuf fois sur dix il s'agit d'individus vivant dans des pays en voie de développement. Ainsi, au-delà des effets de mode et des concepts médiatiques l'émergence et la réémergence des maladies infectieuses sont réelles dans le monde industrialisé comme dans le tiers-monde. En fait, le progrès comme le sous-développement portent en eux le risque d'émergence de nouveaux pathogènes ou de réémergence d'anciens sous des formes modifiées, en particulier résistantes aux agents anti-infectieux. L'optimisme inconscient affiché il y a vingt ans devant les progrès acquis en santé publique grâce à l'application des mesures d'hygiène dérivées des théories pasteuriennes, à la découverte des antibiotiques et des vaccins et au contrôle des vecteurs, a fait place à un pessimisme sans doute tout aussi excessif, mais certainement moins porteur de risques d'erreurs fatales. Il est temps de mettre en place une approche intégrée et cohérente visant à la prévision, la reconnaissance, la surveillance, la compréhension, le traitement, la prévention, en un mot, la maîtrise des maladies infectieuses.
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées.
Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées.
Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées. Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées.
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
"Le malade est devenu un ""usager"" du système de santé, son corps un produit de la science et de la technique. Les enjeux économiques considérables peuvent être à la source de nouveaux besoins de santé, suscités par l'économie elle-même. L'information du public sans limite par les nouveaux moyens de communication encourage l'autoprescription et l'espoir infini et incessant dans la révolution thérapeutique et dans les performances médicales et chirurgicales de plus en plus spectaculaires. La sécurité maximale est une exigence croissante. Ces changements radicaux de culture s'accompagnent de nouveaux rapports moins paternalistes médecin/malade et d'une revendication du droit des malades à l'accès direct à leur dossier, à un partenariat, à une information de plus en plus précise. Cette nouvelle ère où la recherche occupe une place si importante ne doit pas faire oublier que l'écoute d'une plainte, l'attention aux plus démunis, aux plus désespérés, à ceux qui terminent leur vie restent au coeur de l'acte médical, dans le respect le plus absolu du secret. La dimension économique privilégie cependant plus les changements culturels, que l'écoute et l'approche individuelle du malade. Elle impose des choix de santé qui impliquent des responsabilités tant au niveau collectif d'information, de prévention et d'évaluation, qu'au niveau individuel où le citoyen devra assumer sa responsabilité en prenant conscience que la façon dont il gère sa santé retentira de façon croissante sur l'ensemble de la société. La déshumanisation d'une médecine devenue technologique va de pair avec la place croissante du généraliste comme décrypteur, conseiller, et agent de santé publique."
"Le malade est devenu un ""usager"" du système de santé, son corps un produit de la science et de la technique. Les enjeux économiques considérables peuvent être à la source de nouveaux besoins de santé, suscités par l'économie elle-même. L'information du public sans limite par les nouveaux moyens de communication encourage l'autoprescription et l'espoir infini et incessant dans la révolution thérapeutique et dans les performances médicales et chirurgicales de plus en plus spectaculaires. La sécurité maximale est une exigence croissante. Ces changements radicaux de culture s'accompagnent de nouveaux rapports moins paternalistes médecin/malade et d'une revendication du droit des malades à l'accès direct à leur dossier, à un partenariat, à une information de plus en plus précise. Cette nouvelle ère où la recherche occupe une place si importante ne doit pas faire oublier que l'écoute d'une plainte, l'attention aux plus démunis, aux plus désespérés, à ceux qui terminent leur vie restent au coeur de l'acte médical, dans le respect le plus absolu du secret. La dimension économique privilégie cependant plus les changements culturels, que l'écoute et l'approche individuelle du malade. Elle impose des choix de santé qui impliquent des responsabilités tant au niveau collectif d'information, de prévention et d'évaluation, qu'au niveau individuel où le citoyen devra assumer sa responsabilité en prenant conscience que la façon dont il gère sa santé retentira de façon croissante sur l'ensemble de la société. La déshumanisation d'une médecine devenue technologique va de pair avec la place croissante du généraliste comme décrypteur, conseiller, et agent de santé publique."
"Le malade est devenu un ""usager"" du système de santé, son corps un produit de la science et de la technique. Les enjeux économiques considérables peuvent être à la source de nouveaux besoins de santé, suscités par l'économie elle-même. L'information du public sans limite par les nouveaux moyens de communication encourage l'autoprescription et l'espoir infini et incessant dans la révolution thérapeutique et dans les performances médicales et chirurgicales de plus en plus spectaculaires. La sécurité maximale est une exigence croissante. Ces changements radicaux de culture s'accompagnent de nouveaux rapports moins paternalistes médecin/malade et d'une revendication du droit des malades à l'accès direct à leur dossier, à un partenariat, à une information de plus en plus précise. Cette nouvelle ère où la recherche occupe une place si importante ne doit pas faire oublier que l'écoute d'une plainte, l'attention aux plus démunis, aux plus désespérés, à ceux qui terminent leur vie restent au coeur de l'acte médical, dans le respect le plus absolu du secret. La dimension économique privilégie cependant plus les changements culturels, que l'écoute et l'approche individuelle du malade. Elle impose des choix de santé qui impliquent des responsabilités tant au niveau collectif d'information, de prévention et d'évaluation, qu'au niveau individuel où le citoyen devra assumer sa responsabilité en prenant conscience que la façon dont il gère sa santé retentira de façon croissante sur l'ensemble de la société. La déshumanisation d'une médecine devenue technologique va de pair avec la place croissante du généraliste comme décrypteur, conseiller, et agent de santé publique." "Le malade est devenu un ""usager"" du système de santé, son corps un produit de la science et de la technique. Les enjeux économiques considérables peuvent être à la source de nouveaux besoins de santé, suscités par l'économie elle-même. L'information du public sans limite par les nouveaux moyens de communication encourage l'autoprescription et l'espoir infini et incessant dans la révolution thérapeutique et dans les performances médicales et chirurgicales de plus en plus spectaculaires. La sécurité maximale est une exigence croissante. Ces changements radicaux de culture s'accompagnent de nouveaux rapports moins paternalistes médecin/malade et d'une revendication du droit des malades à l'accès direct à leur dossier, à un partenariat, à une information de plus en plus précise. Cette nouvelle ère où la recherche occupe une place si importante ne doit pas faire oublier que l'écoute d'une plainte, l'attention aux plus démunis, aux plus désespérés, à ceux qui terminent leur vie restent au coeur de l'acte médical, dans le respect le plus absolu du secret. La dimension économique privilégie cependant plus les changements culturels, que l'écoute et l'approche individuelle du malade. Elle impose des choix de santé qui impliquent des responsabilités tant au niveau collectif d'information, de prévention et d'évaluation, qu'au niveau individuel où le citoyen devra assumer sa responsabilité en prenant conscience que la façon dont il gère sa santé retentira de façon croissante sur l'ensemble de la société. La déshumanisation d'une médecine devenue technologique va de pair avec la place croissante du généraliste comme décrypteur, conseiller, et agent de santé publique."
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
"Dans une première partie, je présenterai un bref historique du transport aérien, puis sa situation actuelle : déréglementation, regroupements de compagnies, mise en application récente de la ""cinquième liberté"" et ses conséquences. J'insisterai particulièrement sur le contexte européen. Dans un deuxième temps, je présenterai les acteurs en présence en France : AIR France, les autres compagnies, Aéroport de Paris, les CCI, l'Aéropostale, et donnerai quelques chiffres sur le transport aérien de voyageurs et de marchandise. Avant d'aborder la discussion, j'exposerai les principales questions que se posent les usagers et j'y apporterai ma réponse. C'est ce qui déclenchera la discussion. Parmi ces questions on peut citer par exemple : ""Pourquoi les retards?"", ""Comment sont calculés les tarifs?"", ""Quel intérêt ont les compagnies à se regrouper?"", ""Comment fonctionnent les programmes de fidélisation?"", ""Pourquoi faire un super airbus à deux étages, l'AXXX?"", ""Pourquoi les avions stationnent-ils loin des aérogares alors que des passerelles sont disponibles?"" etc. La conclusion portera bien sûr sur l'avenir du transport aérien dans le Monde. "
"Dans une première partie, je présenterai un bref historique du transport aérien, puis sa situation actuelle : déréglementation, regroupements de compagnies, mise en application récente de la ""cinquième liberté"" et ses conséquences. J'insisterai particulièrement sur le contexte européen. Dans un deuxième temps, je présenterai les acteurs en présence en France : AIR France, les autres compagnies, Aéroport de Paris, les CCI, l'Aéropostale, et donnerai quelques chiffres sur le transport aérien de voyageurs et de marchandise. Avant d'aborder la discussion, j'exposerai les principales questions que se posent les usagers et j'y apporterai ma réponse. C'est ce qui déclenchera la discussion. Parmi ces questions on peut citer par exemple : ""Pourquoi les retards?"", ""Comment sont calculés les tarifs?"", ""Quel intérêt ont les compagnies à se regrouper?"", ""Comment fonctionnent les programmes de fidélisation?"", ""Pourquoi faire un super airbus à deux étages, l'AXXX?"", ""Pourquoi les avions stationnent-ils loin des aérogares alors que des passerelles sont disponibles?"" etc. La conclusion portera bien sûr sur l'avenir du transport aérien dans le Monde. "
"Dans une première partie, je présenterai un bref historique du transport aérien, puis sa situation actuelle : déréglementation, regroupements de compagnies, mise en application récente de la ""cinquième liberté"" et ses conséquences. J'insisterai particulièrement sur le contexte européen. Dans un deuxième temps, je présenterai les acteurs en présence en France : AIR France, les autres compagnies, Aéroport de Paris, les CCI, l'Aéropostale, et donnerai quelques chiffres sur le transport aérien de voyageurs et de marchandise. Avant d'aborder la discussion, j'exposerai les principales questions que se posent les usagers et j'y apporterai ma réponse. C'est ce qui déclenchera la discussion. Parmi ces questions on peut citer par exemple : ""Pourquoi les retards?"", ""Comment sont calculés les tarifs?"", ""Quel intérêt ont les compagnies à se regrouper?"", ""Comment fonctionnent les programmes de fidélisation?"", ""Pourquoi faire un super airbus à deux étages, l'AXXX?"", ""Pourquoi les avions stationnent-ils loin des aérogares alors que des passerelles sont disponibles?"" etc. La conclusion portera bien sûr sur l'avenir du transport aérien dans le Monde. " "Dans une première partie, je présenterai un bref historique du transport aérien, puis sa situation actuelle : déréglementation, regroupements de compagnies, mise en application récente de la ""cinquième liberté"" et ses conséquences. J'insisterai particulièrement sur le contexte européen. Dans un deuxième temps, je présenterai les acteurs en présence en France : AIR France, les autres compagnies, Aéroport de Paris, les CCI, l'Aéropostale, et donnerai quelques chiffres sur le transport aérien de voyageurs et de marchandise. Avant d'aborder la discussion, j'exposerai les principales questions que se posent les usagers et j'y apporterai ma réponse. C'est ce qui déclenchera la discussion. Parmi ces questions on peut citer par exemple : ""Pourquoi les retards?"", ""Comment sont calculés les tarifs?"", ""Quel intérêt ont les compagnies à se regrouper?"", ""Comment fonctionnent les programmes de fidélisation?"", ""Pourquoi faire un super airbus à deux étages, l'AXXX?"", ""Pourquoi les avions stationnent-ils loin des aérogares alors que des passerelles sont disponibles?"" etc. La conclusion portera bien sûr sur l'avenir du transport aérien dans le Monde. "
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|
"La mondialisation a eu des manifestations qui ont suscité une demande de réactualisation du rôle de l'État. Les déséquilibres sociaux, économiques, écologiques qui ont découlé de la tentation du "" tout marché "" ont amené l'opinion publique à demander une intervention plus régulatrice de l'État. Cette régulation devrait permettre de mieux affronter les défis de la fin du XXe siècle notamment la pauvreté, la dégradation de l'environnement, le chômage, mais aussi les risques collectifs du début du troisième millénaire, tels que la sécurité alimentaire, les inégalités, le développement maîtrisé des nouvelles technologies et de la science. La dynamique régulatrice de l'État va certes se heurter à la complexité inhérente au passage d'un "" monde international "" à un monde global. L' intervention de l'État dans le cadre de l'État-Nation va donc devenir de plus en plus complexe, à cause des dictats de l'interdépendance et de la mondialisation. La nécessaire prise en charge de la cohérence des politiques économiques, sociales et écologiques, une meilleure gouvernance de l'entreprise et de la concurrence, tels sont les grands chantiers de la régulation nationale. A ceux là, il convient d'ajouter les défis de la régulation globale, notamment la réforme de l'architecture financière internationale, le rééquilibrage du système commercial multilatéral en le rendant plus équitable ainsi que le devoir de solidarité Nord-Sud. "
"La mondialisation a eu des manifestations qui ont suscité une demande de réactualisation du rôle de l'État. Les déséquilibres sociaux, économiques, écologiques qui ont découlé de la tentation du "" tout marché "" ont amené l'opinion publique à demander une intervention plus régulatrice de l'État. Cette régulation devrait permettre de mieux affronter les défis de la fin du XXe siècle notamment la pauvreté, la dégradation de l'environnement, le chômage, mais aussi les risques collectifs du début du troisième millénaire, tels que la sécurité alimentaire, les inégalités, le développement maîtrisé des nouvelles technologies et de la science. La dynamique régulatrice de l'État va certes se heurter à la complexité inhérente au passage d'un "" monde international "" à un monde global. L' intervention de l'État dans le cadre de l'État-Nation va donc devenir de plus en plus complexe, à cause des dictats de l'interdépendance et de la mondialisation. La nécessaire prise en charge de la cohérence des politiques économiques, sociales et écologiques, une meilleure gouvernance de l'entreprise et de la concurrence, tels sont les grands chantiers de la régulation nationale. A ceux là, il convient d'ajouter les défis de la régulation globale, notamment la réforme de l'architecture financière internationale, le rééquilibrage du système commercial multilatéral en le rendant plus équitable ainsi que le devoir de solidarité Nord-Sud. "
"La mondialisation a eu des manifestations qui ont suscité une demande de réactualisation du rôle de l'État. Les déséquilibres sociaux, économiques, écologiques qui ont découlé de la tentation du "" tout marché "" ont amené l'opinion publique à demander une intervention plus régulatrice de l'État. Cette régulation devrait permettre de mieux affronter les défis de la fin du XXe siècle notamment la pauvreté, la dégradation de l'environnement, le chômage, mais aussi les risques collectifs du début du troisième millénaire, tels que la sécurité alimentaire, les inégalités, le développement maîtrisé des nouvelles technologies et de la science. La dynamique régulatrice de l'État va certes se heurter à la complexité inhérente au passage d'un "" monde international "" à un monde global. L' intervention de l'État dans le cadre de l'État-Nation va donc devenir de plus en plus complexe, à cause des dictats de l'interdépendance et de la mondialisation. La nécessaire prise en charge de la cohérence des politiques économiques, sociales et écologiques, une meilleure gouvernance de l'entreprise et de la concurrence, tels sont les grands chantiers de la régulation nationale. A ceux là, il convient d'ajouter les défis de la régulation globale, notamment la réforme de l'architecture financière internationale, le rééquilibrage du système commercial multilatéral en le rendant plus équitable ainsi que le devoir de solidarité Nord-Sud. " "La mondialisation a eu des manifestations qui ont suscité une demande de réactualisation du rôle de l'État. Les déséquilibres sociaux, économiques, écologiques qui ont découlé de la tentation du "" tout marché "" ont amené l'opinion publique à demander une intervention plus régulatrice de l'État. Cette régulation devrait permettre de mieux affronter les défis de la fin du XXe siècle notamment la pauvreté, la dégradation de l'environnement, le chômage, mais aussi les risques collectifs du début du troisième millénaire, tels que la sécurité alimentaire, les inégalités, le développement maîtrisé des nouvelles technologies et de la science. La dynamique régulatrice de l'État va certes se heurter à la complexité inhérente au passage d'un "" monde international "" à un monde global. L' intervention de l'État dans le cadre de l'État-Nation va donc devenir de plus en plus complexe, à cause des dictats de l'interdépendance et de la mondialisation. La nécessaire prise en charge de la cohérence des politiques économiques, sociales et écologiques, une meilleure gouvernance de l'entreprise et de la concurrence, tels sont les grands chantiers de la régulation nationale. A ceux là, il convient d'ajouter les défis de la régulation globale, notamment la réforme de l'architecture financière internationale, le rééquilibrage du système commercial multilatéral en le rendant plus équitable ainsi que le devoir de solidarité Nord-Sud. "
|
|
|
Ressource documentaire
Ressource pédagogique
Ressource documentaire Ressource pédagogique
|
|