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Dans la présente étude, le personnage de Thésée est mis en question. Le héros mythique est utilisé comme exemple pour introduire les notions de l’intégration sociale et du passage de l’enfance à l’âge adulte qui est suivi par des rituels d’intégration. Elle est distinguée en deux parties, une conceptuelle qui met en évidence les raisons pour lesquelles le personnage mythique était choisi, ainsi que son parcours vers l’intégration sociale et les liens avec le présent. Dans une deuxième partie, une application d’un projet autour du héros athénien est proposée pour une classe élémentaire. Le contexte et les séances de ce projet sont analysés en liaison avec les programmes officiels et les attentes de l’éducation nationale. Il consiste à une recherche autour de l’identité, des valeurs communes et de la place des grands hommes dans la conception de la société.
Dans la présente étude, le personnage de Thésée est mis en question. Le héros mythique est utilisé comme exemple pour introduire les notions de l’intégration sociale et du passage de l’enfance à l’âge adulte qui est suivi par des rituels d’intégration. Elle est distinguée en deux parties, une conceptuelle qui met en évidence les raisons pour lesquelles le personnage mythique était choisi, ainsi que son parcours vers l’intégration sociale et les liens avec le présent. Dans une deuxième partie, une application d’un projet autour du héros athénien est proposée pour une classe élémentaire. Le contexte et les séances de ce projet sont analysés en liaison avec les programmes officiels et les attentes de l’éducation nationale. Il consiste à une recherche autour de l’identité, des valeurs communes et de la place des grands hommes dans la conception de la société.
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La lecture magistrale est la lecture à haute voix que l’enseignant réalise aux élèves pour leur faire découvrir et leur transmettre une histoire. Cette lecture peut se réaliser selon différentes modalités faisant entrer en compte la voix, les supports (les images et leur taille), la musique et la mise en scène. La lecture de l’enseignant semble alors guider les élèves dans leur compréhension et interprétation de l’histoire : la voix permet de noter le changement de personnages, la différence entre récit et discours, et facilite dès lors la compréhension des élèves. Toutefois, cette lecture n’est-elle qu’une aide ? N’influence-t-elle pas également la réception des élèves qui ont accès à l’histoire lue à partir de la mise en voix réalisée ? Les choix de l’enseignant ne conduisent-ils pas à induire une compréhension et interprétation des élèves ?
La lecture magistrale est la lecture à haute voix que l’enseignant réalise aux élèves pour leur faire découvrir et leur transmettre une histoire. Cette lecture peut se réaliser selon différentes modalités faisant entrer en compte la voix, les supports (les images et leur taille), la musique et la mise en scène. La lecture de l’enseignant semble alors guider les élèves dans leur compréhension et interprétation de l’histoire : la voix permet de noter le changement de personnages, la différence entre récit et discours, et facilite dès lors la compréhension des élèves. Toutefois, cette lecture n’est-elle qu’une aide ? N’influence-t-elle pas également la réception des élèves qui ont accès à l’histoire lue à partir de la mise en voix réalisée ? Les choix de l’enseignant ne conduisent-ils pas à induire une compréhension et interprétation des élèves ?
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Donner du sens aux apprentissages pour les rendre plus efficace est une question qui a souvent été posée et également souvent affirmée par de nombreuses recherches. Seulement, comment donner du sens à ces apprentissages ? Est-ce que le fait de verbaliser une information à retenir va permettre un meilleur maintien en mémoire de cette dernière sur le long terme ? Pour répondre à cette question, nous nous sommes intéressés plus particulièrement aux stimuli visuels à l’évolution de leur mémorisation sur 6 semaines. Notre méthode consistait à présenter des images à 16 participants âgés de 20 à 30 ans, de leur demander de mémoriser ces images et de les verbaliser en un mot. Nous avons présenté des images signifiantes et sans significations, pendant différentes durées (120 ms vs. 1 920 ms) et exposées différentes fois (1 exposition vs. 2 expositions). En comparant les résultats de notre expérience avec la même expérience où les participants n’avaient pas pour consigne de verbaliser explicitement, il s’est avéré que la verbalisation améliore la mémorisation des images sans signification exposées une fois durant un temps long et des images signifiantes exposées une fois durant un temps court mais nui à la mémorisation des images sans significations exposées deux fois durant un temps court.
Donner du sens aux apprentissages pour les rendre plus efficace est une question qui a souvent été posée et également souvent affirmée par de nombreuses recherches. Seulement, comment donner du sens à ces apprentissages ? Est-ce que le fait de verbaliser une information à retenir va permettre un meilleur maintien en mémoire de cette dernière sur le long terme ? Pour répondre à cette question, nous nous sommes intéressés plus particulièrement aux stimuli visuels à l’évolution de leur mémorisation sur 6 semaines. Notre méthode consistait à présenter des images à 16 participants âgés de 20 à 30 ans, de leur demander de mémoriser ces images et de les verbaliser en un mot. Nous avons présenté des images signifiantes et sans significations, pendant différentes durées (120 ms vs. 1 920 ms) et exposées différentes fois (1 exposition vs. 2 expositions). En comparant les résultats de notre expérience avec la même expérience où les participants n’avaient pas pour consigne de verbaliser explicitement, il s’est avéré que la verbalisation améliore la mémorisation des images sans signification exposées une fois durant un temps long et des images signifiantes exposées une fois durant un temps court mais nui à la mémorisation des images sans significations exposées deux fois durant un temps court.
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Ce mémoire de Master 2 MEEF propose une étude concernant l’utilisation des ouvrages de littératures de jeunesses à dimension historique à des fins d’apprentissages scolaires, notamment l’apprentissage de l’histoire en classe de cycle 3. Il peut sembler paradoxal d’utiliser des oeuvres littéraires donc imaginaires à des fins pédagogiques. C’est cette problématique qui est le thème principal de ce mémoire : comment utiliser cet outil, quel sont les impacts d’un tel enseignement… Mais surtout, comment enseigner avec la littérature de jeunesse en classe de cycle 3. Ce mémoire proposera donc de mettre en perspective littérature de jeunesse historique et apprentissage de l’histoire à l’école afin de faire des liens entre les deux et d’en tirer quelques éléments indispensables à la mise en pratique en classe de l’apprentissage de l’histoire par l’utilisation des ouvrages de jeunesse à dimension historique.
Ce mémoire de Master 2 MEEF propose une étude concernant l’utilisation des ouvrages de littératures de jeunesses à dimension historique à des fins d’apprentissages scolaires, notamment l’apprentissage de l’histoire en classe de cycle 3. Il peut sembler paradoxal d’utiliser des oeuvres littéraires donc imaginaires à des fins pédagogiques. C’est cette problématique qui est le thème principal de ce mémoire : comment utiliser cet outil, quel sont les impacts d’un tel enseignement… Mais surtout, comment enseigner avec la littérature de jeunesse en classe de cycle 3. Ce mémoire proposera donc de mettre en perspective littérature de jeunesse historique et apprentissage de l’histoire à l’école afin de faire des liens entre les deux et d’en tirer quelques éléments indispensables à la mise en pratique en classe de l’apprentissage de l’histoire par l’utilisation des ouvrages de jeunesse à dimension historique.
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Le patrimoine local est un témoin privilégié de l’histoire que nos société apprennent à préserver, étudier, mettre en valeur. Il nous rappelle notre passé, celui de notre territoire, celui de nos aïeux, mais aussi le passé de l’humanité. Le patrimoine local est, en somme, la trace que l’histoire globale, l’histoire de l’Homme, a laissé sur les territoires. Il permet de comprendre comment cette histoire a construire notre environnement, mais aussi comment les singularités des territoires ont participé à construire l’histoire. Pourtant, cet aspect local de l’histoire est rarement étudié à l’école primaire. A partir d’une enquête réalisée auprès des enseignants de Franche-Comté, ce mémoire présente un aperçu des pratiques pédagogiques, en analyse les causes et les tendances d’après la problématique suivante : comment étudier l’histoire à partir du patrimoine local ? Il apparait que des disparités existent dans l’accès aux ressources et aux connaissances selon les territoires et les parcours des enseignants. Bien que l’intérêt pour l’étude du patrimoine local soit fort de la part des élèves et des professeurs, la mise en place de projets d’étude est loin
d’être systématique. Il y a donc un travail à faire pour faciliter la tâche des enseignants.
Le patrimoine local est un témoin privilégié de l’histoire que nos société apprennent à préserver, étudier, mettre en valeur. Il nous rappelle notre passé, celui de notre territoire, celui de nos aïeux, mais aussi le passé de l’humanité. Le patrimoine local est, en somme, la trace que l’histoire globale, l’histoire de l’Homme, a laissé sur les territoires. Il permet de comprendre comment cette histoire a construire notre environnement, mais aussi comment les singularités des territoires ont participé à construire l’histoire. Pourtant, cet aspect local de l’histoire est rarement étudié à l’école primaire. A partir d’une enquête réalisée auprès des enseignants de Franche-Comté, ce mémoire présente un aperçu des pratiques pédagogiques, en analyse les causes et les tendances d’après la problématique suivante : comment étudier l’histoire à partir du patrimoine local ? Il apparait que des disparités existent dans l’accès aux ressources et aux connaissances selon les territoires et les parcours des enseignants. Bien que l’intérêt pour l’étude du patrimoine local soit fort de la part des élèves et des professeurs, la mise en place de projets d’étude est loin
d’être systématique. Il y a donc un travail à faire pour faciliter la tâche des enseignants.
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Prendre en compte les langues premières des élèves allophones en classe, n’est pas un défi simple. Ce travail de recherche cherche à définir quel est le pouvoir d’action des enseignants quand il s’agit de valoriser la langue des élèves, afin qu’ils se sentent bien à l’école et qu’ils évoluent dans leurs apprentissages. Après avoir exposé l’état de la recherche en France sur ce sujet, ce mémoire propose une étude de terrain, avec des entretiens et des questionnaires proposés aux enseignants, qui vivent au quotidien l’accueil des élèves allophones dans leur classe.
Prendre en compte les langues premières des élèves allophones en classe, n’est pas un défi simple. Ce travail de recherche cherche à définir quel est le pouvoir d’action des enseignants quand il s’agit de valoriser la langue des élèves, afin qu’ils se sentent bien à l’école et qu’ils évoluent dans leurs apprentissages. Après avoir exposé l’état de la recherche en France sur ce sujet, ce mémoire propose une étude de terrain, avec des entretiens et des questionnaires proposés aux enseignants, qui vivent au quotidien l’accueil des élèves allophones dans leur classe.
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Quelle est l'évolution des savoirs sur les révolutions à enseigner à l'école primaire depuis le XIXe siècle jusqu'à nos jours? Quelles sont les révolutions au programme pendant ce laps de temps ? Comment sont-elles abordées et interprétées dans les manuels? Est-ce que les savoirs enseignés à l'école primaire correspondent à l'état actuel des savoirs savants ? Autant de questions auxquelles ce mémoire va tenter de donner des réponses, en se basant sur une étude des programmes officiels et des manuels scolaires, et leurs évolutions au fil du temps.
Quelle est l'évolution des savoirs sur les révolutions à enseigner à l'école primaire depuis le XIXe siècle jusqu'à nos jours? Quelles sont les révolutions au programme pendant ce laps de temps ? Comment sont-elles abordées et interprétées dans les manuels? Est-ce que les savoirs enseignés à l'école primaire correspondent à l'état actuel des savoirs savants ? Autant de questions auxquelles ce mémoire va tenter de donner des réponses, en se basant sur une étude des programmes officiels et des manuels scolaires, et leurs évolutions au fil du temps.
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