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Objectifs : étudier l’influence du sommeil sur la consolidation des images en mémoire à long terme chez des enfants âgés de 3 à 4 ans ainsi que quelques facteurs pouvant avoir un impact sur l’apprentissage (la signification des images, le délai entre la phase d’apprentissage et la phase de reconnaissance et le nombre d’expositions des images).
Objectifs : étudier l’influence du sommeil sur la consolidation des images en mémoire à long terme chez des enfants âgés de 3 à 4 ans ainsi que quelques facteurs pouvant avoir un impact sur l’apprentissage (la signification des images, le délai entre la phase d’apprentissage et la phase de reconnaissance et le nombre d’expositions des images).
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Étudier la place des étrangers et des pays étrangers dans l’enseignement de l’histoire à l’école primaire peut sembler de prime abord quelque chose d’accessoire lorsque l’on s’intéresse à l’histoire de l’éducation. Cette étude permet toutefois d’appréhender les grandes évolutions de l’enseignement de l’histoire et de montrer comment, depuis la fin du XIXe siècle, elle suit les mentalités des français. Guerres et immigration ont notamment influencé la considération des étrangers au sein de cet enseignement mais ce sont, plus largement, diverses volontés politiques qui façonnaient la vision offerte aux élèves. L’étude des programmes et des manuels scolaires montre donc les différentes finalités qui ont pu imprégner de tels apprentissages. D’abord une manière de recréer une unité nationale et un goût pour la patrie à travers le « Roman national », qui ne laisse que très peu de place aux étrangers, l’histoire à l’école primaire a su s’ouvrir, en même temps que les classes, aux étrangers et aux pays étrangers.
Étudier la place des étrangers et des pays étrangers dans l’enseignement de l’histoire à l’école primaire peut sembler de prime abord quelque chose d’accessoire lorsque l’on s’intéresse à l’histoire de l’éducation. Cette étude permet toutefois d’appréhender les grandes évolutions de l’enseignement de l’histoire et de montrer comment, depuis la fin du XIXe siècle, elle suit les mentalités des français. Guerres et immigration ont notamment influencé la considération des étrangers au sein de cet enseignement mais ce sont, plus largement, diverses volontés politiques qui façonnaient la vision offerte aux élèves. L’étude des programmes et des manuels scolaires montre donc les différentes finalités qui ont pu imprégner de tels apprentissages. D’abord une manière de recréer une unité nationale et un goût pour la patrie à travers le « Roman national », qui ne laisse que très peu de place aux étrangers, l’histoire à l’école primaire a su s’ouvrir, en même temps que les classes, aux étrangers et aux pays étrangers.
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Quand on pense aux langues de Franche-Comté, le français ou le patois nous viennent en tête. Pourtant, un nombre beaucoup plus important de langues est parlé dans cet espace. Nous en avons la preuve rien qu’au sein de nos classes en commençant par les classes de maternelle ou chaque année sont accueilli des enfants allophones. L’éveil aux langues mis en place dans les classes de maternelle est une opportunité pour mettre en évidence le caractère multiculturel de nos classes et de favoriser le plurilinguisme. C’est dans cette optique que cette réflexion sur la création d’outils pédagogiques en éveil aux langues a vu le jour. L’album qui en résulte a pour but de faire découvrir aux élèves différentes langues et cultures dans le cadre d’un projet annuel tout en mettant en valeur le public allophone de Franche-Comté.
Quand on pense aux langues de Franche-Comté, le français ou le patois nous viennent en tête. Pourtant, un nombre beaucoup plus important de langues est parlé dans cet espace. Nous en avons la preuve rien qu’au sein de nos classes en commençant par les classes de maternelle ou chaque année sont accueilli des enfants allophones. L’éveil aux langues mis en place dans les classes de maternelle est une opportunité pour mettre en évidence le caractère multiculturel de nos classes et de favoriser le plurilinguisme. C’est dans cette optique que cette réflexion sur la création d’outils pédagogiques en éveil aux langues a vu le jour. L’album qui en résulte a pour but de faire découvrir aux élèves différentes langues et cultures dans le cadre d’un projet annuel tout en mettant en valeur le public allophone de Franche-Comté.
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Beaucoup d’enseignants redoutent d’aborder la poésie avec leurs élèves de maternelle. Cependant par une approche régulière visant à mettre en images (de toutes sortes) des univers poétiques, ce travail se révèle être une source d’apprentissages langagiers et artistiques. Les poèmes motivent les élèves à créer des images par l’imaginaire qu’ils évoquent.
Les activités d’écoute, de langage et les travaux artistiques autour de poèmes très variés permettent d’éveiller de jeunes enfants au monde qui les entoure.
Beaucoup d’enseignants redoutent d’aborder la poésie avec leurs élèves de maternelle. Cependant par une approche régulière visant à mettre en images (de toutes sortes) des univers poétiques, ce travail se révèle être une source d’apprentissages langagiers et artistiques. Les poèmes motivent les élèves à créer des images par l’imaginaire qu’ils évoquent.
Les activités d’écoute, de langage et les travaux artistiques autour de poèmes très variés permettent d’éveiller de jeunes enfants au monde qui les entoure.
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Ce mémoire a pour but de constater s’il y a un écart entre l’enseignement théorique des sciences à l’école primaire et ce qui se passe réellement dans les classes.
Tout d’abord, la première partie est consacrée à l’histoire de l’éducation scientifique. La deuxième partie s’articule autour de la didactique de la biologie. La troisième partie présente la biologie à l’école primaire et la quatrième partie les freins à l’enseignement des sciences.
Puis, ce mémoire propose une analyse, basée sur des questionnaires distribués auprès d’enseignants, de ce que les enseignants mettent en place en sciences et de ce qui les bloquent à enseigner des sciences. La cinquième partie présente le questionnaire, la sixième partie est une analyse des résultats obtenus et la septième partie propose des réponses au questionnement.
Pour terminer, quelques pistes sont proposées pour une augmentation de la pratique scientifique dans la partie sept de ce mémoire.
Ce mémoire a pour but de constater s’il y a un écart entre l’enseignement théorique des sciences à l’école primaire et ce qui se passe réellement dans les classes.
Tout d’abord, la première partie est consacrée à l’histoire de l’éducation scientifique. La deuxième partie s’articule autour de la didactique de la biologie. La troisième partie présente la biologie à l’école primaire et la quatrième partie les freins à l’enseignement des sciences.
Puis, ce mémoire propose une analyse, basée sur des questionnaires distribués auprès d’enseignants, de ce que les enseignants mettent en place en sciences et de ce qui les bloquent à enseigner des sciences. La cinquième partie présente le questionnaire, la sixième partie est une analyse des résultats obtenus et la septième partie propose des réponses au questionnement.
Pour terminer, quelques pistes sont proposées pour une augmentation de la pratique scientifique dans la partie sept de ce mémoire.
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Ce mémoire s’intéresse au rapport à l’écrit que présentent les EFIV. Les problématiques retenues sont : quelles relations présentent les enfants du voyage vis-à-vis de l’écrit ? et comment l’écrit est-il abordé par les enseignants en charge de ces élèves ? Afin d’y répondre, différentes hypothèses ont été établies en lien avec ce public concernant un rapport éloigné à l’écrit, des difficultés d’apprentissage en lecture-écriture mais également en lien avec les enseignants et les outils et formations dont ils disposent.
Dans le but de vérifier les hypothèses, un travail de recherche bibliographique a d’abord été mené dans le but contextualiser le sujet. Puis, un travail de recherche de terrain a été mis en place afin de tester nos hypothèses : deux temps d’observation en classe nous ont permis de comprendre le fonctionnement d’une UPS et le rôle de l’enseignant en poste, un entretien avec un coordonnateur chargé du dossier EFIV permettant d’aborder avec plus de précision le rapport à l’écrit de ces élèves.
Ce mémoire s’intéresse au rapport à l’écrit que présentent les EFIV. Les problématiques retenues sont : quelles relations présentent les enfants du voyage vis-à-vis de l’écrit ? et comment l’écrit est-il abordé par les enseignants en charge de ces élèves ? Afin d’y répondre, différentes hypothèses ont été établies en lien avec ce public concernant un rapport éloigné à l’écrit, des difficultés d’apprentissage en lecture-écriture mais également en lien avec les enseignants et les outils et formations dont ils disposent.
Dans le but de vérifier les hypothèses, un travail de recherche bibliographique a d’abord été mené dans le but contextualiser le sujet. Puis, un travail de recherche de terrain a été mis en place afin de tester nos hypothèses : deux temps d’observation en classe nous ont permis de comprendre le fonctionnement d’une UPS et le rôle de l’enseignant en poste, un entretien avec un coordonnateur chargé du dossier EFIV permettant d’aborder avec plus de précision le rapport à l’écrit de ces élèves.
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Les pédagogies actuelles mettent l’accent sur la nécessité de travailler selon la
démarche d’investigation en sciences. Cette démarche met en avant l’observation, la manipulation, l’expérimentation de la part des élèves afin de valider ou de réfuter des hypothèses. La possibilité d’utiliser le modèle en sciences se présente alors aux enseignants dans un souci de faire observer et manipuler les élèves. Il s’agit donc ici de comparer l’efficacité et la pertinence de deux types de modèle liés au concept de mouvement corporel : un squelette et un bras articulé pour la notion de muscle. Le premier modèle est considéré comme une représentation de la réalité simplifiée et le second est considéré comme un modèle pour penser, une aide à la compréhension de certains phénomènes. L’étude complémentaire menée chez des élèves de CE2 permet de dire que le modèle comme représentation de la réalité est pertinent pour des élèves de cet âge alors que le modèle comme support pour penser (compréhension d’un phénomène) reste possible mais nécessite de nombreuses précautions pour qu’il soit bien reçu et utilisé à bon escient par les élèves.
Les pédagogies actuelles mettent l’accent sur la nécessité de travailler selon la
démarche d’investigation en sciences. Cette démarche met en avant l’observation, la manipulation, l’expérimentation de la part des élèves afin de valider ou de réfuter des hypothèses. La possibilité d’utiliser le modèle en sciences se présente alors aux enseignants dans un souci de faire observer et manipuler les élèves. Il s’agit donc ici de comparer l’efficacité et la pertinence de deux types de modèle liés au concept de mouvement corporel : un squelette et un bras articulé pour la notion de muscle. Le premier modèle est considéré comme une représentation de la réalité simplifiée et le second est considéré comme un modèle pour penser, une aide à la compréhension de certains phénomènes. L’étude complémentaire menée chez des élèves de CE2 permet de dire que le modèle comme représentation de la réalité est pertinent pour des élèves de cet âge alors que le modèle comme support pour penser (compréhension d’un phénomène) reste possible mais nécessite de nombreuses précautions pour qu’il soit bien reçu et utilisé à bon escient par les élèves.
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